Confirmation de la présence de métaux toxiques
http://www.tankerenemy.com/2017/05/analisi-dei-campioni-di-pulviscolo_88.html#.WnsL7K7ibIU
traduction Dominique Datwyler
Italie – Ont été récemment effectués les premiers prélèvements en altitude au moyen d’un drone semi professionnel.
Les prélèvements ont été faits par un « DJ Drone Phantom 4 » équipé d’une caméra vidéo à haute résolution (12MP/4K) et d’un système de contrôle GPS.
A bord de l’engin radio commandé, est installé un kit (réalisé à cet effet) qui aspire l’air en altitude et le dépose sur un filtre 3M.
Le drone a recueilli, en plusieurs sessions, les résidus des poussières dans un espace non urbanisé, mais traversé constamment par les couloirs aériens de descente empruntés par l’aviation civile de la zone aéroportuaire de Nice.
Un protocole rigoureux a donc été mis en place afin de prélever des échantillons utiles pour relever les composants chimiques présents dans l’atmosphère, en relation avec l’activité de bio ingénierie criminelle.
Comme site a été choisi un lieu dans l’arrière-pays ligure adapté à l’expérience.
Les prélèvements ont été exécutés en plusieurs fois, aussi le filtre a été démonté et les poussières accumulées ont été soumises à la procédure adaptée pour les analyser avec les réactifs d’Osumex comme indiqué par le producteur du kit.
Les résultats sont irrévocables : les échantillons mettent en évidence, une fois encore, la présence de manganèse, de cadmium, de cobalt, de cuivre et de mercure.
La couleur du révélateur, en fait, va du vert olive à l’orange, ce qui, en rapport au tableau de référence confirme que, dans l’atmosphère étudiée, se révèlent de fortes concentrations de métaux déjà trouvés dans le carburant Jet A1 par la scientifique suisse Ulrike Lohmann[1], professeur de physique de l’atmosphère auprès de l’ETH de Zurich.
Dans les carburants aériens (donc l’air que nous respirons), sont aussi présents les deux métaux tueurs déjà notés que sont l’aluminium et le baryum. (1)
Malheureusement, les réactifs fournis par Osumex ne permettent pas de retracer ces éléments neurotoxiques.
Si c’est possible, d’autres échantillonnages seront effectués, toujours sur la base d’une procédure précise et rationnelle.
Nous profitons de l’occasion pour remercier tous ceux qui, par leur contribution, ont permis la réalisation de ce projet.
Nous nous promettons d’organiser d’autres initiatives corollaires à celle-ci/similaires, en ligne/lien avec toutes les autres faites dans ces années.
Aussi, nous procédons à une collecte de fonds afin de faire face, si possible, aux coûteuses analyses spectrales et à celles, relativement plus économiques telles que le kit Osumex.
Ces analyses seront suivies avec la méthode des réactifs, comme dans cet exemple.
Lien pour contribuer à la campagne par Paypal
En alternative, on peut effectuer un virement bancaire (IBAN : IT4810617522700000001977280 –cause : campagne de prélèvement en altitude) ou par carte bancaire (4023 6009 4336 4051- code fiscal : MRCRSR61C19I469R).
Ci-dessous, le film relatif à quelques vols exécutés avec le DJL Phantom 4.
[1] Manuel Abegglen & al. , Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich, télécharger le document
http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/
et interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke
Bonjour, blogueuse depuis bientôt un an, je me suis investie avec mes petits moyens pour essayer d’alerter et d’organiser des actions contre les chemtrails et toute la géo ingénierie, mais force est de constater que les gens sur les réseaux sociaux ne bougent pas dans le vie reelle..malheureusement ! Je veux néanmoins continuer le combat, il n’est pas question pour moi d’abandonner ! L’enjeu pour nos enfants et notre planète est bien trop important ! Donc si je peux relayer et participer pour faire « bouger les lignes » avant qu’il ne soit trop tard, n’hésitez pas à me contacter…