GEO-INGENIERIE. En attendant qu’ils se RAND !

Transmis par Les Lucindas.

http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html

Vu sur http://www.handsoffmotherearth.org
Publié le 27 avril 2011.

L’armée américaine s’intéresse depuis longtemps à la modification de la météo et à la géoingénierie, mais nous pouvons maintenant jeter un œil à ses réflexions sur la gouvernance de la recherche dans le domaine de la géoingénierie.

En effet, la RAND Corporation  (note shd: pour en savoir plus sur le plus vieux think-tank militaro-industriel mondial, voir aussi la page fr.wikipedia.org sur la RAND) vient de publier un rapport de 93 pages qui tente de déterminer quels scénarios serviraient le mieux les intérêts des Etats-Unis, que ce soit l’interdiction totale, l’absence de normes ou la présence de normes très contraignantes. ( http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html)

Voici une preuve additionnelle que le gouvernement américain ainsi que le Département de la défense prennent la géoingénierie très au sérieux. Rien de rassurant.

Télécharger directement le  rapport complet / rapport résumé en anglais.
Lire en ligne le rapport résumé en anglais.
Traduction du résumé du rapport de la RAND-LIRE EN PLEIN ECRAN-

Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6 

Source :  http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html

Traduit par Les Lucindas.

La géoingénierie – la modification délibérée du climat planétaire – représente une proposition risquée, et effrayante pour certains. Mais le concept a attiré de plus en plus l’intérêt ces dernières années de part son habilité potentielle à changer de façon significative l’éventail des options pour limiter l’ampleur des futurs changements climatiques. Comparées à la plupart des approches visant à réduire les gaz à effet de serre, certaines approches en géoingénierie pourraient faire preuve d’une action plus rapide, moins onéreuse, et être déployées par une seule ou un petit nombre de nations sans coopération globale. Ces caractéristiques offrent un défi significatif pour la gestions des risques, la sécurité nationale, et la gouvernance internationale qui commence juste à faire l’objet de réflexion.

Ce rapport fournit tout d’abord un examen et une comparaison des risques associés aux approches alternatives internationales que les Etats Unis pourraient mener pour gouverner la géoingénierie SRM (gestion du rayonnement solaire). Pour traiter un vaste champ d’incertitudes, nous employons un cadre décisionnel analytique cooptant vulnérabilité et réaction. Plus spécifiquement, nous identifions des scénarios dans lesquels les alternatives des politiques américaines concernant la gouvernance de la géoingénierie pourraient échouer à atteindre leurs objectifs et suggèrent comment elles pourraient réduire ces vulnérabilités. Ce rapport exécute cette approche en utilisant une simple simulation afin de diriger les premières étapes d’une analyse de prises de décisions robuste (RDM, Robust decision Making). L’analyse identifie certains des risques  des trois approches les plus communément débattues concernant la gestion des recherches en géoingénierie : établir des normes imposantes à cette recherche, bannir totalement toute recherche, ou laisser cette recherche déréglementée.

Ce rapport a pour but de servir trois objectifs. Premièrement il démontre l’habilité potentielle d’une analyse des risques basée sur un cadre analytique cooptant vulnérabilité et réponse à informer le débat sur la géoingénierie. Deuxièmement, il aide à définir les étapes nécessaires à la conduite d’une analyse complète pour une prise de décision robuste (RDM) concernant ces questions de gouvernance. Troisièmement, il fournit des résultats politiques très intéressants, bien qu’à titre purement suggestif.

Cette analyse a comparé trois alternatives de politiques que le gouvernement américain pourrait mener concernant une gouvernance à court terme. Le rapport cible les technologies SRM parce que ce technologies offre un éventail complet de caractéristiques qui font que la géoingénierie  apparaît  à la fois  attrayante et dangereuse : une action rapide, relativement peu onéreuse, et qui est passible d’avoir des conséquences globales, même s’il s’agit d’une action unilatérale.

Sous une régulation imposante, le gouvernement américain encouragerait l’établissement de normes internationales pour réglementer les recherches en géoingénierie. Si elles sont bannies, les Etats Unis auraient à promouvoir une prohibition sur toute recherche en géoingénierie. En cas de déréglementation, les Etats Unis auraient à décourager activement toute tentative de réglementation. Une comparaison des performances de ces trois stratégies, à travers plusieurs états possibles du monde futur suggère que, si les dirigeants américains croient que certains types de technologies SRM sont possibles, ils auront à choisir une politique de réglementation stricte. Sous de telles conditions, cette option surpasse les alternatives parce que cela augmente la probabilité d’un déploiement réussi dans les cas où la géoingénierie prouverait sa faisabilité. Cela réduit également les probabilités d’échec dans les déploiements des nations luttant contre les impacts climatiques graves.

Si les dirigeants américains croient que les technologies SRM ne pourront pas réussir, ils auront à choisir de bannir toute recherche ou de les laisser sans réglementation. La politique de bannissement apparaît préférable si les dirigeants croient que les changements climatiques ne seront pas catastrophiques. Dans de telles conditions, cette option réduit les risques d’un excès de confiance dans le déploiement d’un système d’ingénierie qui aurait passé les tests mais échouerait en pratique. Cette option augmenteraient également la probabilité d’un accord international pour la réduction des gaz à effets de serre.

Pour comparer, les dirigeants pourraient choisi l’absence de réglementation s’ils croient que les technologies SRM ne sont pas fiables mais que le changement climatique peut être catastrophique. Sous de telles conditions, et en cas de bannissement de la géoingénierie, d’autres nations pourraient défier la prohibition et déployer une technologie SRM qui échouerait. L’absence de réglementation des recherches pourrait aboutir à des tests faits par des nations chacune de leur côté, sans communiquer leurs résultats. Ainsi, dans ce cas, une politique de déréglementation éviterait un déploiement secret de la géoingénierie.

Il y a beaucoup de mises en garde dans ces premiers résultats. L’analyse ne considère qu’un petit éventail des options possibles pour le gouvernement américain. Le rapport ne traite que les décisions des gouvernements nationaux et ne considère pas explicitement les choix des entreprises privées ou autres organisations non gouvernementales qui peuvent influer sur l’évolution politique en ce qui concerne la géoingénierie. Une analyse RDM plus complète avec une simulation plus complexe pourraient probablement ajouter d’autres vulnérabilités que celles identifiées précédemment et identifierait les directions à prendre pour en améliorer au moins quelques unes. Toutefois, ce rapport démontre que cette analyse des risques se fait sous des conditions de grande incertitude, ce qui pourrait aider les dirigeants américains à développer et évaluer des politiques robustes envers la gouvernance de la géoingénierie. L’étude offre également un aperçu des conditions futures sous lesquelles les approches de gouvernance des recherches en géoingénierie pourraient ne pas marcher comme prévu, et fournit quelques suggestions concernant l’arbitrage de telles stratégies, et décrit les étapes d’après qui pourrait se résoudre avec une estimation plus complète des arbitrages entre les politiques à court terme de gestion des risques et opportunités de la géoingénierie.

Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6 

Source :  http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html

Traduit par Les Lucindas.

http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html

« Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel » 22/04/2011 | LADEPECHE.FR – Ariège

"Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel" PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR

PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR

L’article n’est plus sur Ladepeche, mais encore ICI.

Intrigué par des traînées blanches anormalement persistantes laissées dans le ciel ariégeois par des avions, Thierry Baudouy, de tempérament curieux, décide de faire des recherches sur Internet et les informations qu’il va trouver vont l’amener à se poser de nombreuses questions. Il s’aperçoit que ce phénomène n’est pas tout récent – il serait apparu en 1996 – et découvre que ce sont des chemtrails (de l’anglais « chemical trails », traînées chimiques) provenant des avions civils et militaires équipés de cuves contenant des produits toxiques, aluminium, baryum, fibres de polymères… Ces épandages sont effectués entre 9 000 et 10 000 m d’altitude, quand le taux d’humidité atteint moins de 30 %.

Thierry continue ses recherches, il veut savoir à quoi servent ces pulvérisations ; les réponses sont troubles : à des fins climatiques, pour lutter contre le réchauffement planétaire, à l’usage militaire… Bon nombre d’informations sont données mais toujours sans aucune certitude. Il contacte alors des associations, dont la principale en France, l’association citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’intervention climatique et atmosphérique (ACSEIPICA), dont le but est de trouver des réponses ainsi que d’informer le public. Il apprend alors que ces épandages sont réalisés dans le monde entier, sans que personne ne connaisse réellement la raison. A l’heure actuelle, Thierry cherche toujours une réponse. « Nous sommes très inquiets des conséquences du nucléaire, précise-t-il, mais peut-être pourrions-nous nous poser la question sur les conséquences de ces épandages ». Site http://acseipica.blogspot.com/

Comment reconnaître des chemtrails : ce sont des traînées blanches sous forme d’alignements parallèles ou de quadrillage qui par la suite s’étalent pour couvrir le ciel d’un large voile blanc ; on peut même apercevoir plusieurs avions qui se suivent pendant l’épandage.

CIEL BLEU ???

Article du Dr Sandra Illya Prelinghieri traduit de l’anglais

Tout semblant de ciel bleu azur foncé des années 1990 a disparu, à cause de ces breuvages mortels.
Le soi-disant « ciel bleu » intermittent que des millions d’entre nous ont vu ces six derniers mois n’est, en fait, PAS un retour au vrai ciel bleu que nous avions avant que ce cauchemar délibérément créé ne commence. Il s’agit d’une autre illusion.
Selon le Dr Castle, cette « nouvelle couleur bleue est due aux composés chimiques Manganèse di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (sels). Ils sont ajoutés aux traînées chimiques de façon à ce que la lumière ne soit pas réfléchie ; au contraire, ces composés réfractent à la fois la lumière et l’obscurité. Par conséquent, l’atmosphère est transformée en ce que l’on appelle « une réfraction de phase cohérente par fibre optique » dans un matériau cristallin (les sels) de couleur bleue. Ainsi, le ciel « semble » bleu, mais en réalité il n’a que la couleur réfractée de la couleur (claire ou foncée) qui se trouve au-dessus de lui.« 


Le Dr Castle m’a dit hier que « la couleur est basée sur le bleu outremer/violet qui a été micronisé en particules aérosolisées et déployé dans l’atmosphère ouverte« . Il ajoute : « Cet aérosol a une puissance de 500 fois supérieure à celle de l’air ambiant : « Cet aérosol contient 500 fois plus de manganèse et un niveau élevé de composés dibromo-flouro-benzène toxiques. Cela permet aux aérosols de rester plus longtemps en altitude, contrairement au baryum et à l’aluminium, plus lourds. Ce dernier a également été testé et présente des niveaux plus élevés d’arsenic et de gallium, qui ont tous deux été testés de manière indépendante par Arizona Skywatch et d’autres. « 

Article original en anglais du Dr Sandra Illya Prelinghieri
Extrait:

Any semblance of the real, dark azure-blue sky of the 1990s is gone, due to these deadly brews.
Our intermittent so-called « blue sky » that millions of us have seen these past six months is, in fact, NOT a return to our real, blue, pre-Chemtrails sky that we had before this deliberately created nightmare began. This is another illusion.
According to Dr. Castle, this « new color blue is due to the chemical compounds Manganese di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (salts). They are added to Chemtrails so that light is not reflected; but, rather, these compounds refract both light and dark. Therefore, it works the atmosphere into what is called ‘a coherent phase fiber optics refraction’ in a crystalline (the salts) blue material. So, the sky ‘looks’ blue; but actually it only has the refracted color of whatever color (bright or dark) is above it. »
Dr. Castle told me yesterday, « the color is based on ultramarine blue/violet that has been micronized into aerosolized particulates and deployed into the open atmosphere. » He notes: « This aerosol has 500 times more manganese and a huge level of a toxic dibromo-flouro-benzene compounds. This helps the aerosols stay aloft for longer periods of time, unlike the heavier barium and aluminum. This also has been tested; and has higher levels of arsenic and gallium, both of which have been independently tested by Arizona Skywatch and others. »

Campagne à Chypre contre les épandages aériens de produits chimiques

Les Verts de Chypre et le Comité d’Action contre les Épandages Aériens de produits Chimiques ont organisé avec succès deux conférences, une à Limassol et une à Paphos, avec comme intervenant principal le Dr Nikos Katsaros, chimiste, du Demokritos National Center of Scientific Research. 
Lire l’article – en anglais

 

« Malheureusement le gouvernement américain contribue à toutes sortes d’activités eugéniques de ce type » [VIDEO 2:45mn]

Interview de Joe Bannister, ancien agent spécial de la division des enquêtes criminelles de l'Internal Revenue Service (IRS) parle des chemtrails

Interview de Joe Bannister, ancien agent spécial de la division des enquêtes criminelles de l’Internal Revenue Service (IRS)

Ex agent spécial IRS témoigne sur les chemtrails.

Lien: https://www.dailymotion.com/video/xh94oo

Merci à chem trails pour cette vidéo.
En anglais avec sous-titres en francais, 2:45mn.

Rassemblement contre les épandages aériens à Paris le 16 Avril

Rassemblement contre les épandages massifs (Chemtrails)

Samedi 16 avril · 13:00 – 18:00
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Devant le ministère de l’écologie
Grande Arche – Tour Pascal A et B
92055 La Défense CEDEX
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Exigez que ces épandages s’arrêtent !!!
Ils empoisonnent notre ciel, nos terres, nos nappes phréatiques, la faune, la flore, vous, vos enfants, …

Tous les détails ici
postez ici votre message

Le film "Bye bye blue sky" suites

Récapitulatif historique de la « modification du climat »

Après sa diffusion sur la chaîne de TV suisse RSI2, le film de Patrick Pasin a suscité quelques réactions hostiles, niant le phénomène.

Voilà ce qu’écrit le réalisateur Patrick Pasin aux dirigeants de cette chaîne:

Messieurs,

Les messages que vous avez reçus après la diffusion de « Bye Bye Blue Sky » ne sont pas une surprise pour moi. Quels que soient les éléments objectifs que l’on peut apporter, par exemple les analyses du sol telles celles que j’ai fait réaliser à Paris ou le fait que l’armée française ait acheté 10 tonnes de sulfate de baryum, vous recevrez toujours ce type de messages de gens qui s’auto-proclament « debunkers ».

J’enquête sur les questions climatiques et les chemtrails depuis plus de 7 ans. J’ai lu des dizaines de livres, d’études et de rapports sur la question. En janvier, j’ai terminé la rédaction d’un livre dont le titre est « La Manipulation du climat par les militaires ».

La « modification du climat » (c’est le terme officiel) possède déjà une longue histoire. Le premier essai officiel remonte aussi loin que 1891, avec l’expérience dans les Staked Plains au Texas conduite par le Général Dyrenforth. Le Congrès américain alloua alors la somme de 10 000 $, mais arrêta au bout de deux ans compte tenu des faibles résultats (j’ai acheté des journaux de l’époque pour connaître les détails de ces opérations).

La pulvérisation de produits chimiques dans le ciel par les militaires présente aussi une longue histoire. La première tentative de modification du climat à bord d’avions est certainement celle qui se produisit aux Etats-Unis en 1924, lorsque le Army Air Service équipa 2 avions selon les instructions du Dr Emory Leon Chaffee, un physicien de Harvard. Les militaires américains ne sont pas les seuls à avoir tenté ces expériences : les Russes, les Chinois et certainement d’autres ont aussi essayé. J’ai lu, par exemple, que l’armée chinoise avait répandu du deolin en 1930 au-dessus de Hong-Kong afin de combattre la sécheresse.

Ce n’était que le début, mais tout commença vraiment après 1946 et la découverte par le Dr V. Schaeffer de General Electric qu’en déversant de l’iodure d’argent dans les nuages, cela déclenchait des précipitations. Des milliers d’expériences ont été réalisées à travers le monde, dont bien sûr par les militaires. Pour les Etats-Unis, les recherches initiales furent principalement confiées à la Naval Aionr Weapons Stati à la base de China Lake, en Californie du Nord.

Pulvériser des produits chimiques dans le ciel devint une affaire courante pour les militaires américains (et les autres), par exemple dans la lutte contre les ouragans, avec notamment les projets de longue durée Cirrus (1947-1952) et Stormfury (1961-1983). 

Officiellement, la première utilisation de produits chimiques pour modifier le climat comme arme de guerre se produisit pendant le Vietnam, sous le nom de code « Operation Popeye ». De 1967 à 1972, près de 2 700 vols furent effectués pour répandre ces produits au-dessus du Vietnam et du Laos. Presque jusqu’à la fin de l’opération, les militaires réussirent à la garder secrète. Elle ne fut révélée qu’en 1971, ce qui aboutit à une audition devant le Congrès des Etats-Unis le 20 mars 1974 (cette audition ainsi que les détails de l’opération Popeye sont présentés dans un petit livre officiel intitulé  »Prohibition of weather modification as a weapon of war: Hearing before the Subcommittee on International Organizations of the Committee on International … first session, H. Res. 28 … July 29, 1975 » – j’ai ce livre, évidemment).

J’ai indiqué que le Pentagone n’est pas le seul à avoir pratiqué ces épandages chimiques : les Anglais l’ont fait aussi. La BBC, par exemple, a révélé en 2001 que l’inondation soudaine qui dévasta en 1952 la petite ville de Lynmouth, faisant 34 morts, était due à des expériences menées par la RAF sous le nom de code « Operation Cumulus

 (http: //www. uagrdian.co.uk/uk/2001/aug/30/sillyseason.physicalsciences). Malgré les preuves apportées par la BBC, le gouvernement nia sa responsabilité et refusa l’ouverture d’une enquête officielle.

Modifier le climat est une chose, empoisonner les populations en est une autre. En 1997, à la demande du Congrès, le National Research Council (NRC) publie un rapport stupéfiant, dont le titre est « Toxicological assessment of the U.S. Army’s zinc cadmium sulphide dispersion tests ». Il est expliqué que 40 ans plus tôt, dans les années 50 et 60, l’armée américaine déversa à partir d’avions, du toits des immeubles et de véhicules mobiles, un composé de sulfure de cadmium-zinc et de micro-organismes au-dessus de trente-trois zones urbaines et rurales des Etats-Unis et du Canada, dans le cadre de tests de guerre bactériologique. Des villes aussi importantes que Minneapolis et St. Louis furent visées. Bien évidemment, le NRC et ses experts concluent dans leur rapport que ces expériences ne présentaient aucun danger pour la population. La lecture complète du rapport démontre plutôt le contraire. Signalons que les militaires déclarèrent ne plus savoir exactement où furent conduites ces opérations et que la plupart des dossiers a disparu…

Nous apprenons aussi dans ce rapport que les mêmes expériences contre la population et l’environnement furent menées à la même période en Scandinavie et au Royaume-Uni, pendant près de 40 ans ! Le journal The Observer enquêta sur le sujet (à lire sur le site de The Guardian http://www.guardian.co.uk/politics/2002/apr/21/uk.medicalscience). « Beaucoup de ces tests consistaient à disperser des produits chimiques et des micro-organismes potentiellement dangereux au-dessus de vastes zones habitées, sans en avoir informé préalablement les populations. »

Les conséquences furent terribles, mais de nouveau, comme aux Etats-Unis, des experts distingués conclurent quatre décennies plus tard que ces expériences étaient sans danger pour la population et l’environnement. Et tout fut classé définitivement.

Tandis qu’ils aspergeaient les gens aux USA, en Angleterre et ailleurs, bien évidemment des « experts » et des « savants » expliquaient que ces traces dans le ciel étaient absolument normales. Par exemple, le journal américain The Free-Lance Star du 6 Mai 1972, explique que « les contrails familières souvent laissées par les avions volant à haute altitude peuvent persister pendant une longue période sous certaines conditions. » 

De même, dans le livre Clouds of the World: A Complete Color Encyclopedia publié en 1972, il est expliqué dans le chapitre 11 – Condensation trails, que ces traînées persistantes sont tout à fait normales. Dans les films et les séries TV américains de l’époque, on en voit parfois. Un exemple flagrant : l’épisode n°25 de la première saison de ZORRO, diffusée en 1957-58 (il n’y a eu que deux saisons). Vous verrez ces traînées, tout particulièrement pendant la course. Elles sont manifestement persistantes, car elles apparaissent, mais (heureusement) pas les avions qui les ont produites…

Dans son livre « Planet Earth, The Latest Weapon Of War », le Dr Rosalie Bertell écrit que « les Etats-Unis et le Canada collaborent à des expériences de modification du temps depuis 1958. […] Le Programme Churchill CRM (Chemical Release Modules) comprenait différents composés du baryum, dont de l’azoture de baryum, du chlorate de baryum, du nitrate de baryum, du perchlorate de baryum et du peroxyde de baryum. Tous sont combustibles et la plupart sont destructeurs de la couche d’ozone. Dans un programme de 1980, environ 2 000 kg de produits chimiques furent déversés dans l’atmosphère, incluant 1 000 kg de lithium. Le lithium est un produit chimique hautement réactif qui est ionisé très facilement par les rayons du soleil. Ceci augmente la densité des électrons dans les couches basse de l’ionosphère et crée des radicaux libres qui sont hautement réactifs et capables de produire d’autres changements chimiques.

[…] J’ai interrogé un jour le conservateur de la bibliothèque du Parlement du Canada pour savoir s’il existait des comptes-rendus officiels sur les conséquences de ces expériences. Il me fut répondu qu’il n’y avait aucun problème d’ordre environnemental étant donné que les scientifiques menant ces expérimentations n’en avait mentionné aucun et qu’il n’y avait pas de tollé de la part du public. Evidemment, puisque le public ne savait pas que les couleurs magnifiques qu’il observait dans le ciel pouvaient avoir été causées par des expériences. »

Pour ceux qui essayeraient de nous faire croire que ces expériences n’existent plus, voici un extrait d’une correspondance récente avec le Dr Rosalie Bertell :

« Le 19 septembre 2010, l’U.S. Navy a effectué un tir de fusée de sa base en Virginie pour créer des nuages artificiels d’oxyde d’aluminium à environ 800 kilomètres au-dessus de la côte Est des Etats-Unis. Les nuages naturels les plus élevés se situent autour de 80 km. L’ombre nuageuse gigantesque a ainsi généré une neige précoce sur la côte Est. […] Le plan original prévoyait aussi un test au-dessus de Singapour. L’U.S. Naval Reserve a retiré de son site les informations sur ce projet lorsque j’ai commencé à en parler. Qui sait ce qu’ils peuvent bien manigancer d’autre ? »

Ainsi que je l’ai indiqué ci-dessus, j’ai écrit un livre sur le sujet, donc évidemment je pourrais en ajouter encore sur ces expériences et opérations militaires devenues monnaie courante depuis plus de 60 ans. Qui peut encore avancer que tout cela n’existe pas ? Qu’il s’agit de « théorie du complot » ? Chacun peut vérifier toutes les informations ci-dessus, car elles proviennent de rapports officiels et de grands médias comme la BBC et The Guardian.

Parlons maintenant du film. J’ai évidemment interviewé des scientifiques (dont un météorologue membre distingué du GIEC), qui m’ont expliqué que les chemtrails n’existent pas et que tout est contrail. Lorsque, durant l’interview, je leur ai demandé s’ils avaient effectué des analyses de quelque sorte que ce soit pour étayer leurs propos, leur réponse fut naturellement négative. En fait, ils n’ont pas du tout étudié le phénomène : ils connaissent la « réponse officielle » et se contentent de la délivrer. Ce n’est plus de la science mais de la politique.

De même, lorsque je leur ai demandé comment expliquer la présence de baryum à la surface des bacs à sable à Paris et dans les endroits où apparaissent régulièrement ces traînées, ils n’avaient pas d’explication…
Et je ne parle pas mêmes des 10 tonnes de baryum achetées par l’armée française : aucun expert ou scientifique n’a été en mesure de me fournir une explication plausible quant à leur utilisation… Et je rappelle, ainsi qu’il est mentionné dans le film, que les militaires ont retiré l’information de leur site immédiatement après ma visite et le fait que je l’aie enregistrée. Pourquoi ?

Donc ces scientifiques que j’ai interviewés ne sont pas dans le documentaire : porter une blouse blanche et être qualifié officiellement de scientifique n’est pas suffisant, encore faut-il avoir travaillé sur le sujet pour être pertinent. C’est un respect minimum dû au public. De plus, la « réponse officielle » est déjà dans le film, puisque je cite cet extrait de la brochure de l’US Air Force affirmant que les chemtrails sont un « hoax », un canular. Je me suis donc clairement centré sur les scientifiques qui ont étudié le phénomène de ces traînées persistantes et depuis plusieurs années.

Certains emails que vous avez reçus tentent de jeter le discrédit sur eux. Est-il vraiment utile d’y répondre ? Le Dr Rosalie Bertell est une grande Dame, avec tant de références, de réalisations, de récompenses ! En juin dernier, elle a de nouveau été invitée à s’exprimer aux Nations Unies sur les questions de désarmement. Elle a dirigé la Commission médicale internationale de Bhopal, qui a enquêté sur les conséquences de cette catastrophe en Inde, elle a organisé la Commission médicale internationale à Tchernobyl, elle a travaillé sur le projet de guerre des étoiles de Reagan, etc., etc. Elle est l’une des rares scientifiques cités dans le Rapport Theorin (1999) du Parlement européen, que chacun devrait avoir lu.

Les références et les réalisations du Dr Nikos Katsaros sont également impressionnantes. De plus, il écrit et s’exprime sans relâche sur le sujet, y compris devant les parlements et les institutions qui l’invitent régulièrement. Quant au Dr Coen Vermeeren, en tant qu’expert en aéronautique, il est totalement engagé dans ce sujet sur lequel il enquête depuis des années avec tous ses efforts et son humilité.

De l’information documentée peut être trouvée partout. La chaîne allemande RTL9 a diffusé un reportage (http://www.youtube.com/watch?v=RWsQ2KnIvH0&feature=more_related) où des météorologues menés par Karsten Brandt ont obligé l’armée allemande à reconnaître qu’elle avait répandu des produits chimiques dans le ciel en  2005 et 2006.

De nombreuses analyses sont disponibles sur Internet (http://www.carnicom.com/flame1.htm). Ce qu’explique le Dr Hildegarde Stanninger est incroyable : elle a fait réaliser des analyses qui montrent au Texas et ailleurs que les substances trouvées dans des chemtrails et sur des patients souffrant de la maladie des Morgellons sont les mêmes (http://morgellons-info.blogspot.com/2010/11/morgellons-intervista-alla-dottoressa.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+MorgellonsDiseasetankerEnemy+%28Morgellons+Disease+%28Tanker+Enemy%29%29

Les contrôleurs aériens commencent aussi à parler (lire l’article de William Thomas, qui enquête depuis longtemps sur le sujet des chemtrails, sur http://www.rense.com/general20/cc.htm).

Vous pouvez aussi lire ce qu’en dit le Dr R. Michael Castle : « Au cours de ce siècle, nous pensons que nous assistons à la fin progressive et délibérée du système naturel de la Terre. Il y a ceux qui « débunquent » / désinforment tout ce qui est écrit au sujet des chemtrails. De quoi s’agit-il ? Les chemtrails ne sont que la vague description, en termes profanes, d’un théâtre bien plus vaste de produits toxiques déversés dans l’atmosphère / la stratosphère, pour une myriade de programmes bruts et toxiques. »

Je pourrais ajouter tellement d’autres informations, mais j’arrête la liste, car ce texte est déjà long. J’espère qu’il vous aidera. Ainsi que je l’ai indiqué au début, vous pouvez l’utiliser comme vous le souhaitez.

Pour finir, je voudrais saluer votre courage et votre sens des responsabilités. Espérons maintenant que le public fera pression sur les hommes politiques pour qu’ils obligent les militaires à arrêter tout ça.

Bien cordialement,

Patrick Pasin

Producteur et réalisateur de « Bye Bye Blue Sky »

Un pilote ivre révèle une mission secrète d’épandages mortels

 

Drunk Pilot Admits Secret Mission to Spray Deadly Chemicals article original en anglais


Nous avons bien conscience que les révélations d’un homme ivre sont sujettes à caution. Mais il n’y a jamais de fumée sans feu. A chacun de poursuivre son enquête, avec circonspection bien sûr !

Traduction:
Une des pièce majeure d’une grande conspiration a été ciblée par un pilote ivre.
Une petite ville à 30 miles à l’est de l’Océan Pacifique, dans l’Etat de l’Oregon, est le centre d’une opération globale majeure. Dans un bar de Mac Minnville, Oregon, un pilot en été d’ébriété a tenté d’impressionner une des jolies demoiselles avec des histoires concernant sa mission secrète.
La tentative pathétique du pilot à se décrire comme un « Sean Connery » ou un « Daniel Craig », l’a mené à expliquer son importance et à répandre les secrets de la base de la CIA, Evergreen International  Aviation.
Les révélations ont confirmé les doutes qu’Evergreen est concernée par la plupart des épandages de « merde » sur la planète. Les Chemtrails sont faits d’aluminium, de barium, et d’autres ingrédients, qui provoquent  des maladies respiratoires et qui changent l’acidité du sol.
Evergreen agit depuis une centaine de bases et emploie 4500 personnes. Delfort Smith possède la Compagnie de manière privée. Ils admettent « agir » pour le compte de la CIA.
Evergreen s’est vue octroyée un décret de non contestation, ce qui lui a donné toutes facilitées à Marana, Arizona, base qui appartenait précédemment à l’Air America, agence de la CIA.(Pinal air park, Arizona).
On dit que la sécurité sur le site de Pinal park est aussi dure que pour l’aire 51( Roswell, NdT). Tout s’y passe comme sur une base militaire, et les pilotes ont une escorte militaire dès qu’ils quittent la base opérationnelle. Le pilote , qui a 10 ans de vol, dit que c’était quelque chose qu’il n’avait jamais vu auparavant.
Evergreen affrète des avions qui ont 7 fois la capacité des autres avions de combat. Un seul peut transporter 20000 gallons (1 gallon = environ 4 L, NdT). Des bombardiers…..Mais oui…Et ensuite on nous dira que les chemtrails sont là pour prévenir du réchauffement climatique, pendant que d’autres millions d’entre eux envoient vers une mort prématurée.
Evergreen a des dérogations de la loi qui est publiée sur leur site web.Ils peuvent voler n’importe où, et ne sont pas obligés de rester sur une route désignée. Est-ce que les membres du CFR ont pavé la route ? Des gens, comme Philip Lader et John Wheeler III…..Ils étaient en position de faire juste ça.( ?NdT)
Le porte parole dEvergreen est manipulé par WPP, qui est conduit par le membre du conseil des nations étrangères, Philip Lader.I a travaillé sous les ordre sur chef actuel de la CIA….Leon Panetta, comme député du parti à la maison blanche, sous Bill Clinton.
Philip Lader est une autorité « interne » sur les les affaires et le business. Il est chairman non exécutif du groupe WPP, Conseiller Senior de Morgan Stanley International, et membre de Rand Corporation. Il a aussi un mécène  de la société UC Rusal (plus grosse compagnie d’aluminium du monde),  ainsi que de la Fondation du British museum et de la cathédrale st Paul. L’ambassadeur Lader, s’est adressé à des audiences transatlantiques, depuis le hall d’assemblée générale des Nations Unies, à des chambres d’état de commerce , et à des conseils  locaux des affaires mondiales.. Il est membre du Conseil Rockefeller sur les relations étrangères.

Philip Lader est un joueur clef, qui conduit vers un gouvernement mondial. Sans compter qu’il dirige les relations publiques pour Evergreen, Lader est un directeur de UC Rusal, le plus gros producteur d’aluminium du monde, basée à Moscou, en Suède, Italie, et Australie. Nathaniel Rothchild est un gros investisseur.
L’opération eugénique des chemtrails a eu le soutien de Mitre, une corporation a but non lucratif qui contrôle l’administration de l’aviation Fédérale, la sécurité intérieure, et l’IRS. L’IRS fait partie de la Réserve fédérale, qui est un cercle de transmission , conduisant la conspiration.
Un collègue de Philip Lader , membre du conseil sur les relations étrangères, John PWheeler III, a récemment été jeté dans une décharge de Wilmington, Delaware. Wheeler III était consultant chez Mitre, la corporation a but non lucratif, pour du conseil juridique concernant les plans de vols , pour l’administration de l’aviation fédérale.
Est-ce que John P. Wheeler  a été trop sentimental en ce qui concerne la tuerie qui était en cours ? Et a été tué par la Compagnie ?
La CIA est l’organe d’application du conseil sur les relations étrangères.
Mitre est installée confortablement à Mac Lean, patrie de la CIA.
Merci au pilot et à sa langue bien pendue, les gens libres du monde peuvent se concentrer sur les criminels qui empoisonnent notre air et notre eau.
http://imageevent.com/firesat/strangedaysstrangeskies
On peut commencer par faire en sorte que nos localités et villes adoptent l’Acte de Pureté de l’Air, sur AirCrap.com ?

Source Drunk Pilot Admits Secret Mission to Spray Deadly Chemicals article original en anglais