Le Kentucky est le cinquième État cette année (New Hampshire, Rhode Island, Dakota du Sud, Illinois) où les électeurs et les responsables politiques de leur État prennent des mesures législatives pour rejeter la gouvernance fédérale des mandats d’expérimentation de la MRS. La modification du rayonnement solaire (MRS) et l’injection d’aérosols stratosphériques (IAS) impliquant la libération intentionnelle d’aérosols chimiques et d’autres émissions dangereuses, y compris la pollution par rayonnement électromagnétique, sans le consentement du public.
“Pour préserver les utilisations sûres et saines de l’atmosphère du Commonwealth pour ses habitants, son environnement et son agriculture, et pour améliorer les efforts bénéfiques en matière de climat, il est nécessaire d’interdire la géo-ingénierie et de prévoir des mesures d’application et des sanctions pour les activités en infraction.”
Une méthode d’ensemencement de nuages pour l’amélioration des précipitations comprenant le largage de particules hygroscopiques à partir d’une fusée d’ensemencement.
Une méthode pour établir une région de plasma à haute densité et haute énergie à une altitude d’au moins 1500 Km au-dessus de la surface de la terre. (Un brevet à l’origine du projet HAARP)
Méthode et appareil pour altérer une région de l’atmosphère, de l’ionosphère ou de la magnétosphère de la terre. (Un autre brevet à l’origine du projet HAARP)
Un processus pour modifier artificiellement les précipitations où une composition liquide contenant du dimethyl sulfoxide comme principal ingrédient est dispersée dans l’atmosphère à partir d’un container sous la forme de micro gouttes.
La météo, un multiplicateur de force : S’approprier la météo en 2025
Un papier de 1996 pose clairement que l’armée US contrôlera la météo en 2025 et explique les bénéfices d’augmenter la réflectivité de la ionosphère pour diverses applications.
Vous pouvez vous aider par exemple du traducteur deepl.com pour faire une traduction automatique (il faut copier/coller le texte).
Ci dessus page 313 du livre Le guide du chasseur de nuages de Gavin Pretor-Pinney.
« Le guide du chasseur de nuages » a été écrit en 2008 et traduit en francais. L’auteur est le fondateur de la Cloud appreciation society, association mondiale d’observateurs de nuages. Isbn : 978-2-7578-0563-3
Article du Courrier International. Lecture 3 min. Publié le 21 octobre 2005 à 11h39, mis à jour le 29 juin 2022 à 05h04
Et si les cataclysmes météorologiques n’étaient pas le fait du déchaînement des éléments naturels, mais de l’action sournoise d’un ennemi maîtrisant une technologie redoutable ? Aux Etats-Unis comme en Russie, cette hypothèse a été récemment alimentée par les cyclones Katrina et Rita.
L’idée d’une “guerre météorologique” rencontre beaucoup de succès sur Internet, relève le Business Week. Mais, “pour la quasi-totalité des scientifiques et des météorologues, cette hypothèse est ridicule. Néanmoins, il ne fait aucun doute qu’une technologie capable de contrôler les conditions atmosphériques serait une puissante arme militaire et politique”, poursuit l’hebdomadaire américain.
Les Etats-Unis avaient commencé à explorer ce domaine après la Seconde Guerre mondiale et ont financé des recherches en ce sens. A partir de 1967, pendant la guerre du Vietnam, un projet “baptisé Popeye Project eut pour objectif de prolonger la saison de la mousson afin d’enliser les mouvements des troupes et la logistique de l’ennemi dans la jungle boueuse”. En 1977, le Pentagone consacrait 2,8 millions de dollars (2,34 millions d’euros) à des recherches sur la modification du climat. Mais les Nations unies s’en inquiétèrent et émirent une résolution interdisant l’usage hostile de ces techniques. “Un traité fut signé et les Etats-Unis le ratifièrent en 1978. Le Pentagone choisit de mettre fin à toutes ses recherches en 1979. Cependant, le Kremlin poursuivit les siennes”, souligne Business Week.
Mais, en 1996, un groupe de sept officiers américains des armées de l’air et de terre tira la sonnette d’alarme auprès du ministère de la Défense pour qu’il poursuive ses efforts dans ce domaine, pour éviter d’être distancé par les Russes. “En l’espace de trente ans, estimaient-ils, les technologies informatiques et météorologiques pourraient se développer à tel point que le contrôle des conditions atmosphériques assurerait une domination inimaginable dans la bataille de l’espace. Le rapport élaboré par ce groupe d’officiers est intitulé ‘La météo comme démultiplicateur de force : maîtriser les conditions atmosphériques en 2025’.”
Récemment, “le météorologue américain Scott Stevens a affirmé que les spécialistes de l’armée russe étaient derrière les ravages causés par le cyclone Katrina, qui a dévasté La Nouvelle-Orléans. D’après lui, depuis la période soviétique, la Russie a construit un appareil secret ayant un impact néfaste sur le climat”, note Pravda.ru. Le site d’informations russe indique que, après le cyclone Katrina, les Américains se sont souvenus des menaces, considérées jusque-là comme fantaisistes, du député ultranationaliste russe Vladimir Jirinovski. En 2003, ce dernier avait menacé les Etats-Unis d’inondations gigantesques déclenchées par les scientifiques russes…
Mais les météorologues américains ne sont pas les seuls à croire que leurs voisins pourraient être à la source de leurs malheurs climatologiques. “En 2002, certains hommes politiques européens accusaient l’armée américaine de vouloir nuire à leur économie en provoquant des inondations. La même année, la Commission pour la défense de la Douma russe s’en prenait aussi aux Américains à propos d’un centre de recherche très particulier, sous régime militaire, situé à 400 kilomètres au nord d’Anchorage, en Alaska, et appelé High Frequency Active Auroral Research Program, ou HAARP.”
“Les revues scientifiques affirment que le HAARP est capable de provoquer des aurores boréales artificielles, d’enrayer des stations radar de détection de missiles balistiques, de communiquer avec des sous-marins dans les océans et même de détecter les complexes secrets souterrains de l’ennemi. Les émissions de fréquence radio peuvent traverser le sol et découvrir les cachettes et les tunnels, griller les systèmes électroniques et mettre hors d’usage les satellites dans l’espace”, explique Pravda.ru. “L’installation permet également d’influer sur l’atmosphère et donc de modifier le climat. Elle serait utilisable pour provoquer des catastrophes naturelles semblables aux cyclones Katrina et Rita.”
En fait, confirme Pravda.ru, “les Etats-Unis et la Russie auraient développé des armes météorologiques secrètes”. Il existe au monde trois sites de ce genre : le HAARP en Alaska, un autre en Norvège et le troisième en Russie.
De leur côté, les Novye Izvestia ont publié une enquête exclusive sur le centre de recherches russe, le Soura, situé en Russie centrale, à 150 kilomètres de Nijni-Novgorod, et géré par l’Institut de recherches radiophysiques (NIRFI). Un site dont nombre d’hommes politiques russes conspuant le HAARP américain ignoraient l’existence. Mais aujourd’hui le Soura tombe en désuétude faute de financement. “Les correspondants des Novye Izvestia ont été les premiers journalistes à se rendre sur ce site autrefois ultrasecret, se félicite le quotidien. Cependant, l’énigmatique base, qui fait fantasmer, n’a pas l’air très attrayante. Pour s’y rendre, il faut emprunter une vieille route en pierre, ancienne voie sibérienne. Contre la base, une ancienne loge de garde en brique porte une inscription amusante : ‘Le poète Alexandre Sergueïevitch Pouchkine est passé ici.’”
Le quotidien moscovite précise que “la principale différence entre le Soura et le HAARP consiste dans le fait que le site russe se trouve sous des latitudes moyennes, et non pas près des pôles, où l’on observe des aurores boréales. C’est qu’au nord se rejoignent les champs magnétiques de la magnétosphère de la Terre. En agissant sur eux, on peut influencer la magnétosphère, et au minimum provoquer des aurores boréales artificielles et au maximum mettre hors d’usage les satellites et les appareils électroniques.”
“Aujourd’hui, le Soura fonctionne environ 100 heures par an. L’institut n’a pas suffisamment d’argent pour l’alimenter en énergie. Une seule journée de travail intensive dilapide un mois de budget. Les Américains, eux, réalisent environ 2 000 heures d’expériences par an, soit 20 fois plus que les Russes”, observent les Novye Izvestia. Un écart qui s’explique par les budgets alloués : 300 millions de dollars (250,98 millions d’euros) par an pour les Américains, contre 40 000 dollars (33 464 euros) pour les Russes, soit 7 500 fois moins.
“Agir sur le climat est possible, mais pas à une aussi grande échelle que les ouragans Katrina et Rita, affirme Iouri Tokarev, chercheur au NIRFI. Nous n’en sommes pas capables, et les Américains non plus.” Mais il s’agit sans doute d’une question de temps et de moyens.
Traduction en francais de l’article de la BBC en anglais:
Les législateurs du Tennessee ont adopté un projet de loi interdisant la diffusion de produits chimiques dans l’air, qui, selon les critiques, s’inspire des théories du complot sur les « chemtrails ».
Le projet de loi interdit « l’injection, la libération ou la dispersion intentionnelle » de produits chimiques dans l’air.
Il ne mentionne pas explicitement les « chemtrails », que les conspirationnistes considèrent comme des poisons répandus par les avions.
En revanche, elle interdit d’une manière générale d' »affecter la température, le temps ou l’intensité de la lumière du soleil ».
Le projet de loi parrainé par les républicains a été adopté lundi par les partis. Si elle est signée par le gouverneur du Tennessee, le républicain Bill Lee, elle entrera en vigueur le 1er juillet.
Les partisans du projet de loi ont été encouragés par un rapport gouvernemental publié l’année dernière sur la géo-ingénierie solaire, qui consiste à refroidir la planète en renvoyant la lumière du soleil dans l’espace. La Maison Blanche a cependant déclaré qu’il n’était pas prévu « d’établir un programme de recherche complet axé sur la modification du rayonnement solaire ».
Selon Scott Banbury, directeur de la conservation de la branche du Sierra Club, une organisation environnementale de l’État, plusieurs témoins qui ont témoigné devant la législature du Tennessee ont cité des théories de conspiration démenties ou ont spéculé sur des programmes secrets de géo-ingénierie du gouvernement.
Ces affirmations sont troublantes, a-t-il déclaré.
« En tant qu’organisation environnementale sérieuse, si ce qui est prévu dans le projet de loi était réellement en cours, nous demanderions qu’il y soit mis fin », a-t-il déclaré. « Ce n’est pas le cas.
Géo-ingénierie, modification des conditions météorologiques et « chemtrails » (traînées chimiques)
Cette législation ne doit pas être prise au sérieux », a-t-il déclaré.
M. Clemmons a déclaré à la BBC que plusieurs de ses collègues législateurs croyaient aux théories de QAnon et aux conspirations sur les vaccins cachés dans les aliments.
John Ray Clemmons a déposé un amendement visant à tourner en dérision le projet de loi
« Ce n’est malheureusement pas nouveau », a-t-il déclaré. « Il y a beaucoup de choses que nous pourrions faire pour réduire le coût de la vie pour nos familles de travailleurs, mais nous perdons du temps avec cela.
Un porte-parole de M. Fritts a déclaré : « Rien de ce qui contribue à garantir que notre air, notre eau et notre sol sont plus propres ne peut être considéré comme une perte de temps ».
« Nous ne pouvons pas changer ce que les gens croient », a déclaré le porte-parole à propos des allégations persistantes de théorie du complot. « Nous ne pouvons que présenter les informations et les laisser se faire leur propre opinion.
La BBC a contacté le bureau du gouverneur Lee pour obtenir un commentaire.
Bien que le projet de loi du Tennessee semble être le premier du genre à être adopté par une assemblée législative d’État, des législateurs de plusieurs autres États, dont la Pennsylvanie, le Rhode Island, le Kentucky, le Minnesota et le New Hampshire, ont présenté des projets de loi similaires.
M. Banbury, le représentant du Sierra Club, a fait remarquer que les témoins qui soutiennent le projet de loi sont venus de l’extérieur du Tennessee et que plusieurs d’entre eux ont témoigné en faveur de lois similaires dans d’autres États.
« En tant qu’organisateur de base, je suis impressionné par le fait qu’un groupe de personnes ait eu une telle influence et qu’il ait pu rassembler autant de pouvoir », a-t-il déclaré.
Documentaire de 2017 réalisée par Jacqueline Roche, journaliste & photographe et produit par l’association HDC. Ce documentaire aborde la question de la geo-ingénierie, l’obscurcissement de la planète, l’acidification de notre corps, les changements climatiques provoqués par cette nouvelle technologie, Haarp…
« Notre ciel est souvent voilé et nous perdons de la lumière ». C’est ce constat qui a d’abord intrigué Jacqueline Roche, photographe professionnelle et donc sensible à la lumière. Un constat qui l’a amené à étudier le sujet puis à mener une véritable enquête et à découvrir la Géo-ingénierie : la science de la modification du climat.
Après l’artificialisation des sols, nous assistons aujourd’hui à une artificialisation globale du climat. La géo-ingénierie regroupe l’ensemble des techniques qui visent à modifier le climat et l’environnement de la Terre à grande échelle. Dans le ciel, cette technologie industrielle, parmi d’autres que nous découvrirons, consiste à pulvériser des aérosols dans l’atmosphère pour créer un ensemencement de l’air et des nuages et filtrer le rayonnement solaire. Une enquête complète menée dès 2014 sur un phénomène qui ne fait l’objet d’aucun débat citoyen et qui reste ignoré du grand public.
Ce documentaire-évènement fut présenté par Jaqueline Roche en présence de Patrice Hernu LE LUNDI 6 NOVEMBRE 2017 à Lattes (près Montpellier).
En ce qui concerne les aurores boréales vues hier [le 05 11 2023] de Roumanie ainsi que de plusieurs pays européens – phénomène polaire spécifique aux deux pôles magnétiques de la Terre, Arctique et Antarctique, PAS au parallèle 45 et en-dessous, la Croatie, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie – maintenant c’est aussi officiel :
Une annonce a été publiée sur le site Web du programme HAARP de l’Université d’Alaska Fairbanks informant le public d’un programme de recherche qui sera mené entre le 4 et le 7 novembre 2023. « Le programme de recherche HAARP mènera une campagne de recherche du 4 au 7 novembre pour étudier la lueur artificielle de l’air et les ondes radio à très basse fréquence/extrêmement basse fréquence (VLF/ELF). Les principaux objectifs de cette campagne de recherche sont de mieux comprendre les mécanismes ionosphériques qui produisent les émissions optiques et d’étudier si certains types d’ondes ionosphériques peuvent amplifier les ondes VLF/ELF. Des expériences supplémentaires chercheront à déterminer si les satellites peuvent utiliser les ondes de plasma dans l’ionosphère pour détecter et éviter les collisions. (…) Le programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP) est un programme scientifique visant à étudier les propriétés et le comportement de l’ionosphère.» Important.. « L’unité de recherche HAARP a été transférée le 11/08/2015 de l’armée de l’air américaine à l’université d’Alaska à Fairbanks. » plus d’informations sur le site Web du programme HAARP de l’Université.
Source : https://haarp.gi.alaska.edu C’était donc très joli, pas naturel du tout et je ne suis pas sûre qu’il y a de quoi se réjouir.
05 novembre 2023: lueurs boréales rouges par endroits au dessus de l’Ukraine. https://twitter.com/HromadskeUA/status/1721231041661227338 « Les Ukrainiens voient maintenant des aurores boréales dans le ciel de Kiev, Donetsk, Odessa, Kherson et d’autres régions. »Merci @HromadskeUA
Si l’on considère que le critère axial du politique[14] est constitué par la désignation de l’ennemi, nous sommes ici confrontés à un ennemi qui se dérobe à notre prise ; car les globalistes politiques refusent de se présenter comme guidés par une volonté de puissance et de domination. Il n’existe dès lors selon nous qu’un seul moyen efficace pour identifier clairement l’ennemi mondialiste : analyser et scruter ses actions et ses méthodes pour comprendre (et peut-être anticiper) ses actions. C’est ce que nous faisons à nouveau dans cette étude avec la question de la guerre climatique comme nous l’avons précédemment fait avec celle du néo-malthusianisme, des « armes d’immigration massive », de la manipulation des droits de l’homme ou encore des « révolutions de couleurs ».
Nous allons voir qu’en matière de guerre climatique, comme pour les autres pans de l’action métapolitique globaliste, l’accusation de complotisme ne constitue qu’une façade bien fragile qui ne résiste pas à l’analyse. Cette diversion sémantique martelée de manière orwellienne, constitue l’habituelle barrière psychopolitique que les globalistes politiques tentent d’ériger entre le grand public et la réalité de l’existence des technologies de géo-ingénierie et de contrôle climatique.
Ces technologies relèvent pour nous de cette nouvelle norme sociopolitique qui accompagne la montée en puissance de la forme globalitaire (globaliste et totalitaire) : l’extension de la guerre à toutes choses et la fin de la limite, de la frontière, entre guerre et paix, entre civil et militaire, entre géopolitique et « métropolitique ».
« La manipulation des particularités électriques de l’atmosphère permet de contrôler des énergies gigantesques. Utilisée à des fins militaires contre un ennemi, cette technique peut avoir des conséquences terribles. HAARP permet d’envoyer à un endroit déterminé des millions de fois plus d’énergie que tout autre émetteur traditionnel. L’énergie peut aussi être dirigée contre un objectif mobile, notamment contre des missiles ennemis.
Le projet améliore la communication avec les sous-marins et permet de manipuler les conditions météorologiques mondiales. Mais l’inverse, perturber les communications, est également possible. En manipulant l’ionosphère, on peut bloquer la communication globale tout en conservant ses propres possibilités de communications. La radiographie de la terre sur une profondeur de plusieurs kilomètres (tomographie terrestre pénétrante) à la fin de découvrir les champs de pétrole et de gaz, mais aussi les équipements militaires sous-terrains, et le radar transhorizon qui identifie des objects à grande distance au-delà de la ligne d’horizon sont d’autres applications du système HAARP.
Depuis les années 50, les États-Unis procèdent à des explosions nucléaires dans les ceintures de Van Allen(25) afin d’examiner les effets des impulsions électromagnétiques qu’elles déclenchent sur les communications radio et le fonctionnement des équipements radars. Ces explosions ont généré de nouvelles ceintures de rayonnement magnétique qui ont pratiquement entouré la terre tout entière. Les électrons se déplaçaient le long de lignes de champs magnétiques et créaient une aurore boréale artificielle au-dessus du pôle nord. Ces essais militaires risquent de perturber à long terme les ceintures de Van Allen. Le champ magnétique terrestre pourrait s’étendre sur de vastes zones et empêcher toute communication radio. Certaines scientifiques américains estiment qu’il faudra plusieurs centaines d’années avant que les ceintures de Van Allen retrouvent leur état initial. HAARP peut bouleverser les conditions climatiques. Tout l’écosystème peut être menacé, en particulier dans l’Antarctique où il est fragile.
Les trous dans l’ionosphère causés par les ondes radio puissantes qui y sont envoyées constituent un autre effet très grave d’HAARP. L’ionosphère est notre bouclier contre le rayonnement cosmique. L’on espère que ces trous se refermeront, mais l’expérience acquise suite à la modification de la couche d’ozone donne à penser le contraire. Le bouclier de l’ionosphère est fortement percé à plusieurs endroits. »
« L’opinion publique ignore pratiquement tout du projet HAARP et il est important qu’elle soit mise au courant. »
On notera dans un même document du GIEC deux affirmations dans un même paragraphe qui semblent se contredire diamétralement. Que peut-on en conclure ?
Extraits
Si la SRM [solar radiation management = gestion du rayonnement solaire] prenait fin pour une quelconque raison, on peut affirmer, avec un degré de confiance élevé, que la température moyenne de la surface du globe augmenterait très rapidement jusqu’à atteindre des valeurs correspondant au forçage dû aux gaz à effet de serre. Les méthodes de CDR et de SRM présentent des effets secondaires indésirables et ont des conséquences à long terme à l’échelle du globe;
GIEC 2013, CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l’intention des décideurs, page 32
Des méthodes visant délibérément à contrer le changement climatique, regroupées sous le terme de géo-ingénierie, ont été proposées. Il existe peu d’éléments permettant d’évaluer quantitativement et de manière complète les techniques de gestion du rayonnement solaire (SRM) et d’élimination du dioxyde de carbone (CDR), ainsi que leur incidence sur le système climatique.
GIEC 2013, CHANGEMENTS CLIMATIQUES 2013 Les éléments scientifiques Résumé à l’intention des décideurs, page 32