Lettre ouverte au Maire de Nice

Monsieur Christian Estrosi

 

Claire Gillespie

24 rue Alphonse Karr

06000 Nice

 

Nice, le 25 janvier 2018

à Monsieur Christian Estrosi,

Maire de Nice

06000 MAIRIE DE NICE

LETTRE OUVERTE

Objet : Épandages inquiétants dans notre notre ciel (géo-ingénierie ?)

Monsieur le Maire,

Avez-vous pris le temps de regarder notre ciel ? Il s’y passe des phénomènes perturbants….

Où est passé le bleu profond de notre ciel d’azur qui durait pendant des jours ….. et sa luminosité ? … et les couleurs douces des paysages de notre région ? Ou sont passé les orages qui éclataient au printemps et en automne ? Prenez le temps Monsieur le Maire de regarder notre ciel …. et ce qu’il devient ….

 

Depuis plusieurs années, je suis témoin (et je ne suis pas la seule !) d’ épandages d’avions probablement civils et militaires (les couloirs de ces avions étant différents et les pulvérisations proviennent de ces différentes hauteurs), à fréquence quasi quotidienne, de manière importante et avec une conséquence effrayante sur la qualité de notre ciel, de notre air et des rayonnements du soleil.

 

Ces perturbations se sont étonnamment accentuées depuis la COP21 (fin 2016). Les traînées que tracent les avions sont parfois assez basses (pas toujours), très longues, elles quadrillent le ciel et s’étalent, particulièrement devant le soleil, transformant rapidement un ciel bleu d’origine en un ciel laiteux, en le recouvrant d’un voile ou de nuages jamais vus auparavant. Très souvent une couche cotonneuse opaque s’installe dans le ciel au lieu des nuages que nous avions l’habitude d’y voir circuler. D’ailleurs, ce ne sont plus des nuages mais des formations artificielles. Je ne pense pas vous étonner en portant à votre connaissance ma protestation et ma colère qui sont aussi celles de nombreux citoyens.

 

En qualité de maire, vous êtes responsable envers vos administrés, en matière de Santé-Environnement des pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article 1.2212-2 du Code Général des collectivités territoriales), je ne peux donc, que me tourner vers vous, dans un premier temps, pour exprimer mes craintes et mon questionnement quant aux risques d’une dégradation irrémédiable de notre atmosphère et par conséquent de la santé des êtres (humains, animaux, insectes, végétaux) qui en dépendent.

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Que sont ces épandages incessants dans notre ciel ? Quelle en est l’origine ? Quelles sont les particules contenues dans ces traînées qui retombent forcément vers le sol portant un préjudice certain et grave à tout être vivant lorsqu’on sait que certains métaux lourds et autres éléments inquiétants participent de leur composition (des analyses en témoignent).

 

Il faut bien différencier :

  • d’une part le problème de pollution grave causée par la circulation accrue et régulière des avions de ligne, dont les tarifs ridiculement bas encouragent le développement irresponsable (quand on a à l’esprit la dégradation et le réchauffement de notre climat) au dépend de la qualité de notre air. Il suffit d’observer la couche épaisse de pollution jaunâtre-marron sur l’horizon, que l’on distingue parfaitement du sol, ou vue d’avion, à laquelle s’ajoute la perte de transparence de l’air, pour s’inquiéter sérieusement de cette situation !
  • d’autre part, et c’est l’objet de mon courrier, celle d’un autre genre, dont la mission est liée à la géo ingéniérie, avec épandages réels, volontaires et abondants de particules (voire de nano particules) pour des raisons dont vous avez peut-être connaissance et dont nous aimerions être rapidement informés.

 

Pour cette deuxième catégorie, vous, votre famille, vos amis, peuvent aussi constater la présence de trop nombreux avions et de leurs traînées qui s’étalent à des heures irrégulières dans le ciel, de façon quotidienne (sauf exception), à la vue de tous, décrivant des formes jamais vues (des croix, des arcs de cercle, des quadrillages, des triangles ….). Parfois c’est un véritable feu d’artifice d’avions et de leurs longues traînées blanches qui, assez rapidement, s’élargissent, s’étalent, pour former une couverture ouateuse. J’ai pu compter jusqu’à 10 avions en même temps pulvérisant leurs particules dans notre magnifique ciel d’Azur qui bientôt n’aura d’azur plus que le nom ! (Vous trouverez ci-joint quelques photos  qui illustrent mon propos).

 

Du fait de ces particules en suspension dans l’air le soleil n’éclaire plus de la même façon. Il est devenu froid, son éclat est particulièrement aveuglant, il n’a plus la lumière douce et généreuse qu’il diffusait encore jusqu’autour des années 2000, le paysage lui-même n’est plus éclairé de la même façon. L’air est de plus saturé de particules et les montagnes sont souvent à peine visibles.

 

Cet état devrait alerter les pouvoirs publics qui ont en mains tous les outils d’observation et d’analyse dont la population assure le coût au travers de ses impôts. Il est donc impératif qu’elle puisse bénéficier de ces outils.  Les contrôleurs de la navigation aérienne et les pilotes des avions de l’aéroport de Nice peuvent apporter leurs témoignages …. . Cette insanité doit être dénoncée officiellement et doit cesser.

 

Des analyses ont été faites auprès de laboratoires indépendants qui mettent en évidence des taux élevés d’aluminium, baryum, fer, plomb, etc… pouvant provenir du carburant des avions mais aussi des particules composant ces trainées relevant de la géoingéniérie. Plus amples analyses pourraient être menées de l’air, de l’eau de pluie pour confirmer et compléter les résultats dont nous disposons.

 

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Ces éléments extrêmement toxiques expliquent que nos arbres tombent malades et ne peuvent plus lutter contre les parasites qui les envahissent (palmiers, marronniers, figuiers, acacias, buis, cyprès  ……..). Il en est de même des êtres humains où la maladie devient la règle et la bonne santé l’exception ! Y a-t-il une corrélation entre ce que nous respirons et notre état de santé ?

 

Des brevets prouvent l’existence et la dangerosité de ces mélanges épandus (comme par exemple le Brevet Welsbach n° US5003186 Hughes Aircraft Company -1991- contenant des particules d’oxyde de métal comme le dioxyde de thorium, l’oxyde d’aluminium).

 

Monsieur le Maire j’espère que vous aurez pris la mesure de ce qui précède et que vous voudrez bien y apporter une suite de la manière que vous estimerez la plus appropriée possible. Je vous demande de bien vouloir intervenir pour que notre ciel azur nous revienne …

 

Veuillez recevoir, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.

P.J. : quelques photos récentes du ciel de Nice

 

 

 

CC à : Nice Matin, ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques), Ciel Voilé.

Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas qu’ils se font asperger comme des insectes que l’on veut éliminer?

Pourquoi ne voient-ils pas l’incroyable quantité d’avions et leurs traînées anormales ?

Pourquoi ne comprennent-ils pas la guerre dont ils sont les victimes … et les acteurs  ignorants et zélés ?

La première condition pour que ça cesse, c’est de reconnaître que ça existe …

1.       Notre civilisation nous conditionne à être aveugle

Quand j’ai vu, pour la première fois de ma vie, des traînées persistantes produites par des avions volant manifestement beaucoup plus bas que l’altitude requise pour former une traînée de condensation (c’est-à-dire 8000 mètres comme je l’avais appris auparavant en étudiant la météorologie de montagne), c’était au Québec, le 26 décembre 1999, alors que la France subissait la double tempête la plus mémorable de son histoire (mais à ce moment-là, je n’en savais rien). Un frisson d’horreur m’a parcouru l’échine. «Ils» font ça! Ils vont jusque-là dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au non-respect de la vie! J’appris ensuite le même jour d’une habitante locale du petit village où je me trouvais, du nom charmant de Saint Adolphe (!), que le Canada subissait ces traînées depuis 1995. De retour en France, je l’ai oublié jusqu’à ce qu’un manège d’avions quadrillant le ciel en produisant le même type de traînées se déroule sous mes yeux, de ma fenêtre, le 16 mai 2002. Depuis, cela n’a pas cessé et n’a fait que s’intensifier.

L’horreur et la révolte qui m’ont saisie à la vue de ces premiers épandages manifestes de produits toxiques dans le ciel ont pourtant fait place en moi dans un premier temps à un formidable espoir: tout le monde allait vite s’en rendre compte et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, de la croyance naïve que les dirigeants du monde œuvrent pour le bien des peuples et que les armées nous protègent; la croyance naïve que la technique et la chimie de synthèse pouvaient résoudre les souffrances de l’humanité –alors qu’elles ne font que l’engendrer et l’infligent aux autres créatures. Ce n’était que le mal ou signal nécessaire à l’ouverture des yeux et du cœur des êtres humains, à leur prise en main de leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et tout simplement, au respect de la Vie. L’occasion de tourner la page de 5000 ans d’impérialismes, ayant engendré tant de souffrances humaines, de destructions de la Nature et de la Connaissance.

«Il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel»[1]. Pourtant, la plupart de ceux qui promeuvent ces phrases ne voient pas ces grands signes dans le ciel, tracés tous les jours par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.

Comment est-il possible de perdre à ce point son instinct de survie ?

Mais que se passe-t-il dans notre cerveau?

Nous sommes en 2017. Les chaines de montage de l’aérospatiale dans notre région de Toulouse, tournent à plein rendement et sans relâche pour produire des avions. Mais qui donc en achète autant? … Heureusement, le nombre de ceux qui constatent quelque chose d’anormal dans le nombre d’avions qui circulent, leur altitude, leurs traînées et leurs effets sur l’atmosphère, la météo et la santé, augmente de jour en jour. Un constat de fait est une priorité vitale ; il est  nécessaire que cela cesse au plus vite. C’est le point focal, celui qu’il faut viser pour démonter la clé de voûte de tout l’édifice de mensonge qui empoisonne aujourd’hui complètement notre santé, notre mental et l’environnement: la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et tous les domaines de notre vie quotidienne, la pharmacopée, les vaccins, les OGM, la cacophonie dans toutes les longueurs d’onde et tout le reste de la panoplie nucléaire, bactériologique, électromagnétique et climatique des apprentis sorciers qui tiennent les manettes des commandes du monde.

L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète, “Overcast”[2].

Cela a commencé parce que …

L’histoire récente est particulièrement bien étudiée par Claire Séverac dans son livre “La guerre secrète contre les peuples[3]”. Dans cette enquête, menée avec brio, elle remonte la trace juridique et évènementielle des tractations internes au complexe politico-militaro-industriel de ces 150 dernières années qui aboutissent aux épandages aériens et aux interventions électromagnétiques d’aujourd’hui. Mais pourquoi font-ils cela? – “parce que nous les laissons faire“ dit Muchael Murphy[4] Comment envisager une issue à cette situation dramatique ?

Comme j‘ai à cœur de réveiller la conscience de notre être primal, originel, « dont l’ignorance fatale couronne l’obscur règne »[5] », je me suis consacrée à approfondir d’une part les concepts qui soutendent les valeurs de nos sociétés actuelles, et d’autre part le fonctionnement  de notre cerveau.

“les êtres humains ne prêtent pratiquement pas attention aux causes fondamentales, premières, de chaque chose. C’est ce dont l’humanité ne veut pas se soucier, nous n’avons pas envie d’y penser.”[6]». Selon Noberto Keppe[7], cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui consiste à penser que l’énergie sort de la matière et non pas l’inverse. Certes, nous nous laissons bien souvent abuser à nos dépends mais n’avons-nous pas aussi une paresse fondamentale à réviser nos croyances ? A nous occuper du ménage au fond de l’âtre de notre vie, où les cendres s’accumulent si vite ?

Claudia Von Werlhof[8], elle, l’analyse comme étant la “haine de la vie”, concept fondamental de toutes nos civilisations impérialistes, jamais remis en question: il s’agit de détruire ce qui est, pour reconstruire selon un « idéal ».

Je vais donc commencer par retracer l’histoire évènementielle, puis j’exposerai brièvement quelques chapitres éclairant cette recherche des causes fondamentales :

  • la désescalade de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis les origines de l’Histoire.
  • la naissance et l’accouchement aujourd’hui, qui illustrent et conditionnent la perpétuation d’un protocole diamétralement opposé à la physiologie[9]
  • la scission de la “Mère des sciences“: Astronomie et Astrologie
  • le fonctionnement du cerveau humain

Histoire récente des compagnies industrielles, chimiques et pétrolières

Les scientifiques qui s’interrogent sur l’éthique de la science aujourd’hui constatent qu’elle n’est menée que par ceux qui la financent[10]. Or, ceux qui la financent sont depuis plusieurs siècles les détenteurs des richesses du sol et du sous-sol. Ils sont aujourd’hui, plus précisément depuis la fin du 19e siècle, les consortiums du pétrole, des produits chimiques et des médicaments. Ils interviennent soit directement, soit sous couvert d’institutions officielles, celles de l’Europe notamment. Comme en témoigne le Dr Rath[11], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, vite « blanchis » après la deuxième guerre mondiale, c’est à dire les promoteurs de ces sociétés (Bayer, IG Farben …) qui ont précédemment œuvré à leur montée au pouvoir en Allemagne dans les années 30[12].

Un amplificateur: La prohibition du chanvre

Petit encart sur un sujet corrélé, rarement, si ce n’est jamais, mentionné comme tel: la prohibition du chanvre/cannabis. C’était la plante la plus commune à la surface de la planète. Au 19e siècle, les citoyens américains étaient tenus de cultiver un arpent de chanvre et payaient leurs impôts en chanvre[13]. En Europe également, toute ferme avait sa chanvrière. Le chanvre a beaucoup de bienfaits pour la santé des gens et des sols et  beaucoup d’utilités communes. Mais il était trop concurrentiel pour les plastiques, les produits chimiques et pharmaceutiques, aussi il fut soudainement interdit. Cela s’est passé dans les années 1930, d’abord en France (1934), puis aux USA (1937), sous la pression des lobbies puritains et des sociétés chimiques. Depuis cette époque, la fleur de chanvre, le fameux “cannabis” ou “marijuana” a été rendu démoniaque et banni comme une drogue dangereuse, alors qu’elle est réellement efficace pour relier les deux hémisphères du cerveau et nettoyer la glande pinéale. Il est difficile de mesurer à quel point, sa consommation, très répandue et pourtant illicite, entretient le moral et la santé du peuple, mais il y fort à parier que sans elle, l’hécatombe serait encore plus prononcée. Aujourd’hui en France, la propagande et la désinformation concernant le cannabis s’amplifient dans les médias et auprès des responsables sociaux; la façon dont elles sont menées s’apparente à toutes les campagnes de dénigrement ciblées sur une catégorie de personnes, dont l’Histoire, regorge …

Les gouvernements perdent leur souveraineté

Ces consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques sont devenus très riches grâce aux produits toxiques qu’ils ont fabriqués et vendus pour les tranchées de la première guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement des Etats-Unis s’était ruiné en s’engageant dans la guerre. Alors ils l’ont acheté ! Donc, depuis un siècle, le gouvernement des Etats-Unis a perdu sa souveraineté: il est mené par ce cartel des compagnies industrielles et des banques. C’est expressément dit par Al Gore lui-même dans son dernier livre “The Future: Six Drivers of Global Change”: “le gouvernement des Etats-Unis a perdu de sa force et de sa liberté. Il semble sclérosé. Pour employer un terme habituellement utilisé en informatique, je dirais que la démocratie américaine a été piratée. Le Congrès, incarnation des corps législatifs élus démocratiquement, est à présent incapable de voter des lois sans l’accord des lobbies industriels ou d’autres intérêts particuliers qui participent au financement de leurs campagnes électorales”.

Grâce à la prohibition du chanvre, les produits de la chimie de synthèse purent être facilement introduits dans l’agriculture, le textile, les médicaments, la nourriture, et ces produits sont très actifs en toxicité en l’absence du chanvre pour réparer leurs dommages.

Puis il y eut l’horreur de la seconde guerre mondiale et des chambres à gaz pour lesquelles ces sociétés ont produit encore plus de produits toxiques et sont devenus encore plus riches… et où furent menées d’ignobles expériences sur des hommes et des femmes au nom de la “science” …

C’est là qu’a été introduit le fluor dans l’eau de boisson afin de rendre les prisonniers plus dociles. Cela s’est généralisé et se perpétue …  A l’inverse du chanvre, le fluor bloque la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Cette pratique se poursuit de nos jours; cela fait partie des entraves à la perception de ce qui se passe dans le ciel.

L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui perpétue aussi cet esprit nazi: de plus en plus d’examens, de moins en moins de diagnostic, de plus en plus de chimie, de moins en moins de santé…

“ Il y a pire que le bruit des bottes, il y a le silence feutré des pantoufles” Max Frisch

Après la seconde guerre mondiale, tous les pays d’Europe de l’Ouest durent se rallier à l’OTAN … pour aider le “grand frère” (big brother) et se placer sous sa “protection. Sans parler de toutes les guerres qui n’ont cessé depuis de par le monde, fomentées pour alimenter le marché …

Au moins deux chefs d’Etat de pays européens opposèrent une résistance sérieuse à l’expansion de l’OTAN: De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 fut utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, quand Tito, qui était le leader des pays non-alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves furent assassinés à l’étranger et la discorde fut activée au sein du peuple…

Durant les années 90, les autorités françaises n’ont probablement pas accepté spontanément de collaborer aux épandages dans notre ciel. Nous avons eu droit à ce qui s’apparente fort à une œuvre de HAARP avec les tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Alors nous fûmes OK et les épandages généralisés purent commencer, en 2001, 2002. Quasiment personne n’a rien vu …

Introduction en Europe de la géoingéniérie civle et d’un nouvel ennemi: le CO2

Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques au sujet de la “géoingéniérie“. Ce nouveau mot a été ensuite introduit dans les autres pays et les autres langues européennes par les séminaires et congrès de différents instituts avec l’induction d‘une forte croyance : le CO2 émis par les activités humaines est la cause du réchauffement climatique. Il n’est toujours question que du CO2 émis par les activités civiles ; les activités militaires, qui en émettent beaucoup plus, ne sont jamais évoquées …

La proportion de CO2 dans l’atmosphère terrestre est pourtant ridiculement faible (inférieure à 0,05%). En 10 ans, ce gaz est devenu le bouc émissaire, le faux problème sur lequel on détourne notre attention pour masquer le réchauffement provoqué par les armes électromagnétiques de type HAARP. En fait il y a bien d’une part énormément de pollution et d’autre part un réchauffement anthropogénique (dû à l’homme) mais ce dernier n’a pratiquement rien à voir avec le CO2 émis par nos activités civiles: il est dû aux armes qui font fondre la calotte polaire, dévient les jet-streams et créent le chaos climatique. Elles représentent la partie immergée de l’iceberg, les huit neuvièmes.

Les plantes sont avides de gaz carbonique et elles ont juste besoin de la lumière du Soleil pour le synthétiser et le restituer en oxygène. Au lieu de cela, les “doctes ignorants” cautionnent le principe d’empêcher  les rayons du Soleil de passer en créant une couverture nuageuse artificielle pour limiter le soi-disant réchauffement soi-disant dû au CO2.

Le CO2 est en train de prendre aujourd’hui la fonction ignoble endossée par la femme depuis des siècles alors que celle-ci semble finir de perdre ses véritables qualités féminines. Le genre féminin demeure la bête noire mais il est transposé à l’échelle globale, celle de la respiration de notre planète. La fonction masculine revient à l’oxygène, la fonction féminine au CO2[14]. Concevoir le monde à l’échelle planétaire nous fait passer d’une civilisation à un système[15]. Sans avoir remis en question le point fondamental : pourquoi un genre noble et l’autre ignoble si ce n’est pour nuire à la vie ?

La règle patriarcale mène à la scission entre les deux hémisphères du cerveau:

 

L’hémisphère droit -féminin et le gauche -masculin, aussi bien à l’échelle individuelle que  sociale, cette dernière s’exprimant par nos sciences et croyances.

La “haine de la vie” a d’abord été posée comme une règle[16]. C‘est clairement défini dans la civilisation grecque: le masculin est noble, le féminin est ignoble ! Selon cette règle se sont développées les civilisations impérialistes, occidentales comme orientales: en ce qui concerne la civilisation occidentale, ses empires, les trois religions monothéistes, nos références gréco-romaines pour l’éthique, les sciences et la politique, relèvent toutes de ce principe. Basées sur la croyance en un Dieu unique, innaccessible et extérieur à nous, dont le monarque est le représentant sur Terre, et sur les forces armées, elles ont étendu leur emprise sur le monde jusqu’à se fondre aujourd’hui en un système, alors même que toute la structure sociale des Etats-nations et des religions s’effondre.  De surcroît, nous pouvons remarquer que: premièrement, le déclin du statut de la femme est similaire et simultané au Japon et en Chine; deuxièmement, que ce déclin advint dans les Empires et troisièmement que les empires sont nés et se sont développés dans les zones de passage les plus peuplées: le long de la Route de la Soie en Eurasie et de part et d’autre de l’Isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). On observe, particulièrement dans les populations d’insectes, que le même phénomène d’organisation sociale en superstructures se retrouve en cas de confinement d’habitat. C’est semble-t-il, une loi universelle de rapport de proportion dans une population.

Les êtres humains, d’abord assujettis, soumis, convertis, par la force ou par la ruse à la volonté du plus fort, au nom de son idéal, ont été, et sont encore plus aujourd’hui, les acteurs zélés du système qui n’a de cesse de détraquer la planète entière, dont nous sommes, rappelons-le, les  créatures et dont dépend entièrement notre existence.

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Chacun d’entre nous, peu ou prou, est à la fois la victime et l’acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais été menée sur Terre, aussi loin que notre mémoire historique en atteste. Il ne faut toutefois pas oublier que cette Histoire a été écrite durant tous ces temps selon les dogmes imposés par les puissants et que de grands pans ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation se confirme par l’astronomie amènent à déduire que des civilisations précédentes ont pu  s’autodétruire comme nous le faisons actuellement.

Nous nous accrochons à nos croyances comme au mât de sauvetage d’un navire qui sombre et reproduisons aveuglément les erreurs, fatales à la vie, que nous véhiculons dans notre insconscient collectif: la Nature est mauvaise, la Terre est ingrate, il faut la dominer, en devenir le maître …

Les religions, qui sont ambivalentes, enseignent bien la valeur de la reconnaissance, de l’amour et de la gratitude mais elles véhiculent simultanément ce principe : détruire ce qui vit au nom d’un idéal mythique qui prétend faire mieux.

Le mythe grec

La civilisation grecque est la référence en ce qui concerne l’art, l’éthique, la politique et la science depuis des siècles. On célèbre en elle la naissance d’une explication du monde atomiste et objective. Le pendant social a été la dévaluation des fonctions féminines qui s’est traduit par la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et par le fait que les femmes aisées se sont délestées de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves[17].

Plus que toute autre, la mythologie grecque a peuplé le ciel : ses mythes relatent les œuvres de Zeus et de sa cour, qui sont essentiellement des rapts, des viols et des assassinats, dont les victimes sont projetées dans les constellations célestes pour l’absolution de ces actes criminels, toujours motivés par la jalousie. La créature féminine est un objet de possession sur lequel Zeus entend avoir tous les droits.

L’exaltation du noble masculin et la déchéance de l’ignoble féminin dans la société grecque antique est bien référencée par André Brahic[18], célèbre astrophysicien français, dans son livre “Enfants du Soleil” : « … les esclaves y accomplissaient les tâches matérielles, et les citoyens avaient tout le loisir de s’intéresser aux questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun pouvait s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser ainsi des questions philosophiques sans avoir besoin de recourir à un mythe. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. En fait le triomphe de la raison a été beaucoup plus long et beaucoup plus difficile à comprendre que ces rapides phrases le laisseraient croire. »

Chacun signifie pas de femmes, pas d’esclaves, rien que des “citoyens”, c’est à dire un cercle restreint particulier d’hommes qui avaient le temps de penser, complètement détachés des contraintes matérielles de la vie quotidienne, qui mettaient ainsi de côté la moitié de la réalité de la vie ! Ainsi le triomphe de la raison serait d’asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à sa nature !

Cette “merveilleuse science” n’a-t-elle pas un défaut ? On se félicite aujourd’hui de sa raison qui  évacue les mythes, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir une grosse mite insatiable qui dévore les tissus vivants!!! N’est-ce pas ainsi que la conscience finit par déserter la science ?

[ ] La «Science » aujourd’hui se glorifie de ne raisonner que sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale.

Au Moyen-Age, jusqu’à Copernic[19] et encore longtemps après, la logique des deux sphères d’Aristote a été l’unique référence cosmologique:

  • La sphère des cieux, fixe, immuable et parfaite, qui porte la noblesse du masculin
  • La sphère de la Terre, changeante et imparfaite, celle des manifestations concrètes, chargée de l’ignominie du féminin.

La Renaissance a beaucoup remis en question les concepts aristotéliciens. Nous avons presque oublié la cosmologie des deux sphères, mais n’avons pas remis en question, à la base,  ce qui est toujours le dogme: ne raisonner que sur les faits, trouver dans les faits eux-mêmes la cause de leur existence. Il manque quelque chose, il y a quelque chose de faux …

“En Physique, on se focalise sur comment extraire de l’énergie de la matière … comment casser un tout en particules pour libérer de l’énergie.  L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gênes sont la structure basique de l’être humain et que si on peut contrôler les gènes alors on peut contrôler tous les aspects de l’être humain. Une des ramifications de ce mode de pensée inversée est que les scientifiques pensent que la matière est la base de toute chose. Les généticiens disent que tout est 100%  génétique et que l’environnement nous affecte à 100%. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, pas seulement social. Cela signifie que notre pensée et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui pense que la matière est la base de toute chose et est aussi la source d’énergie. Nous devons voir que c’est le contraire qui est vrai: c’est l’énergie qui affecte la matière.[20]

Tu enfanteras dans la douleur

La santé primale[21], physique et mentale, de chaque être s’ancre dans sa naissance.

La condamnation biblique « tu enfanteras dans la douleur” est la règle qui a mené les femmes d’aujourd’hui à être pour la plupart – et avec leur consentement- totalement dépossédées de leur plénitude, de leur dignité et de leur santé dans l’acte sacré de mettre un enfant au monde. Accoucher en se pliant au protocole hospitalier, qui est point par point à l’opposé du processus physiologique, est cause de privation d’une joie fondamentale, de faiblesses ou de maladies mentales et physiques pour la mère et l’enfant.

Histoire de la perte des droits fondamentaux de la femme qui enfante

Au commencement de la désescalade des fonctions féminines dans nos sociétés patriarcales occidentales il y a simultanément la sentence biblique «tu enfanteras dans la douleur» et la déchéance du féminin dans la société grecque. Un survol de cette  désescalade illustre particulièrement bien comment une règle s’incarne dans une civilisation pour finalement former un système.

Auparavant, d’après les témoignages apportés par les tablettes sumériennes d’il y a environ trois mille ans, la femme jouissait du même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et les écrits bibliques, c’est à dire dans le courant du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines se sont ancrées comme nobles relativement au féminin auquel échut l’ignoble. Pour les femmes elles-mêmes, les fonctions féminines devinrent ignobles: les riches se délestaient de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves. Au 4e siècle après JC, la réunion de l’Empire de Rome avec l’Eglise sonna le glas pour beaucoup de femmes inspirées comme Sainte Foy, martyrisée par Rome pour sa foi en Christ ou savantes comme Hypathie d’Alexandrie, martyrisée 100 ans plus tard parce qu’elle ne portait pas allégeance à l’Eglise… A partir du 14e siècle, les bûchers au nom de l’Eglise qui s’érigeait en seule pourvoyeur de connaissance, emportèrent dans les flammes les hommes et les femmes savants, pour leur “sorcellerie”. Ainsi s’effacèrent de grands pans de la connaissance populaire, celle des plantes contraceptives entre autres[22], ce qui eut pour conséquence enfants non désirés et abandons, famine et épidémies, sur fond de guerre de Cent Ans.

Arriva Louis XIV qui imposa aux femmes d’accoucher allongée, pour satisfaire un caprice que l’on peut qualifier de voyeurisme. Cette “bonne manière” s’est répandue comme une traînée de poudre à la surface du globe … C’est la pire souffrance et c’est la ruine pour les mères et les nouveaux nés car c’est totalement anti-physiologique. De nos jours, beaucoup de sirènes font croire aux femmes qu’elles peuvent éviter d’affronter cette épreuve grâce à la chimie et à la chirurgie autrement dit qu’elles peuvent avoir leur bébé sans vivre sa venue au monde. Cela se paie en fait par la suite, non  seulement par un affaiblissement de la santé globale mais aussi par une immaturité, une irresponsabilité parentale de plus en plus grave. Le protocole hospitalier de naissance détruit des liens essentiels au démarrage de la vie. Pourquoi ?

Physiologie de l’accouchement et fonctionnement du cerveau

Pour mettre facilement un enfant au monde, la mère doit être en mesure de relâcher le contrôle néocortical[23], celui de l’identité, qualité masculine, pour laisser agir l’obscur cerveau reptilien au profit de la perpétuation de l’espèce, qualité féminine. Cela a été particulièrement démontré par, Michel Odent[24], chirurgien et obstétricien français qui s’est particulièrement consacré à l’étude de la physiologie de l’accouchement.

En résumé, dans l’accouchement, mais aussi dans la vie sexuelle en général et finalement dans toute notre vie hormonale, deux hormones antinomiques, l’ocytocine, typiquement féminine et l’adrénaline, typiquement masculine, accompagnées de leurs familles, entrent en jeu :

– l’ocytocine[25], ou « hormone de l’amour » a pour source le cerveau reptilien. Elle est, secrétée par l’hypothalamus, une structure ancienne du cerveau, et stockée dans la glande hypophyse postérieure. Elle est libérée dans le courant sanguin à l’occasion de circonstances particulières[26]. En interagissant avec la force contraire produite par l’adrénaline, qui a pour source le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsations : les contractions ; la fonction de l’ocytocine est d’ouvrir la porte à un autre référentiel.

– l’adrénaline : la phase finale de tout évènement de la vie sexuelle est déclenchée par l’adrénaline, « hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection, selon le cas: du sperme, du fœtus, du lait. Sa fonction est d’expulser pour protéger l’intégrité individuelle, générant ainsi une dissociation[27].

Séparation entre astronomie et astrologie

Sur le plan social, considérons l’astronomie et l’astrologie qui sont universellement reconnues comme étant, conjointement, la “Mère des Sciences” : elles sont aujourd’hui deux sœurs ennemies.

La scission advint en France  au solstice d’hiver 1666, quand Colbert fonda l’Académie des Sciences sous le règne de Louis XIV … bien que Rabelais ait dit, un peu plus de cent ans plus tôt, que “science sans conscience n’est que ruine de l’âme[28]”… L’abstraction délibérée de toute cosmologie est devenue la norme. En conséquence, une “docte ignorance”[29] s’est développée depuis lors. “La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si toute chose venait de nulle part et spécifiquement comme si l’énergie provenait de la matière. Si c’était le cas, d’où viendrait la matière, alors?[30]…“les principales influences philosophiques des scientifiques sont cachées. Et de plus, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais mises en question; en fait, elles sont maintenant retirées maintenant des livres scientifiques [31]”. Nous pouvons effectivement remarquer que depuis des décennies, les études ressemblent de plus en plus à du bachotage: elles sont de plus en plus spécialisées – ce qui est naturel dans une organisation sociale qui se complexifie mais, surtout, il y a un schisme avec les fondations métaphysiques de la Science. Les seuls autorisés à faire référence officiellement sur un sujet de nos jours sont de plus en plus ceux qui n’ont aucune expérience de ce sujet. C’est particulièrement vrai – et parfois carrément drôle- pour ces sujets fondamentaux « hors des clous » que sont l’Astrologie, la naissance, le climat et … le cannabis!

Bien que cette science idéaliste n’ait jamais cessé de pourfendre l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est encore bien vivante dans nos sociétés. Répondrait-elle à un besoin fondamental de l’être humain, à une fonction naturelle de la vie qui revient au galop quand on la chasse ? Depuis 350 ans, la science se bâtit sur le déni de la moitié de notre cerveau.

Comment fonctionne notre cerveau ?

La fonction de l’hémisphère gauche est de distinguer, identifier, dénombrer, développer. Elle consiste en une ouverture et produit du mouvement, de l’excitation. Dans cet hémisphère on part du néo-cortex et on va vers la complexité. C’est le « –nom-ique », il décode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui notre droite.

La fonction de l’hémisphère droit, elle, est d’unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer l’information. Il part de la complexité qui affecte notre cerveau reptilien pour en déduire quelque chose d’intelligible pour le système limbique et le néo-cortex. Ce faisant, il maintient la protection de l’individu face au milieu extérieur, fait masse et entretient l’homéostasie de l’organisme. C’est le «  –log-ique », il encode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre gauche.

Dans « logique » il y a « log », dans « nomique », il y a « nom ». En termes mathématiques, l’astronomie a la fonction « exponentielle », elle dénombre; en regard l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle structure en une formule assimilable par l’organisme.

En 1666 l’Académie des Sciences fut crée et elle est devenue le nouveau corps officiel de la représentation du savoir. Dans les siècles qui suivirent, elle prit la place dogmatique que l’Eglise avait tenue pendant les mille ans précédents. Et depuis cette époque,  les astrologues et les astronomes qui n’avaient jamais été différenciés jusque-là, se sont trouvés divisés en deux catégories distinctes, l’une recevant les honneurs au nom de la Science érigée en mythe, l’autre la misère humaine dont le prêtre n’a eu cure.  Depuis cette scission, tant les astronomes que les astrologues tournent en rond dans leur hémisphère respectif, comme les deux faces d’une même médaille, en s’écharpant sur la frontière du zodiaque, qui n’est autre que le plan de notre matrice Soleil-Terre.  C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun des partenaires se renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice-versa. Une majorité d’astrologues ignorent tout de l’astronomie tandis que certains astronomes font office de grand guru, sans aucune astro-logique et nous habituent à l’effroi du « silence glacé des espaces infinis »[32].

N’avons-nous pas encore intégré la relativité?

Le postulat de l’héliocentrisme, confirmé par Galilée cinquante ans après la scission de 1666, induit la relativité: la Terre n’est pas le centre de l’univers[33]. Tout corps est un centre. En conséquence, un phénomène peut être considéré de différents points de vue[34]. A partir de là, comment statuer qu’un point de vue est supérieur aux autres ou peut remplacer les autres ? Ne sont-ils pas tous vrais et précieux ? Autant vous-même, que la Terre, que le Soleil ? Et pourtant, notre psyché, conditionnée par l’impérialisme du Pater Arche[35], pense toujours qu’il n’en faut retenir qu’un, seul et unique.

La relativité n’est pas encore vraiment intégrée dans nos esprits ; l’Astrologie s’est trouvée coupée de l’Astronomie au moment où les dogmes (religieux) qui légitimaient la suprématie d’un point de vue sur les autres et l’esclavage de certains humains par les autres depuis de nombreux siècles, ont été fondamentalement remis en question par la Révolution copernicienne. Cette intégration est en cours ; c’est l’objet du SORI’Astres[36].

Comme l’Eglise n’est plus la référence ultime et a perdu une grande part de son influence, le pouvoir spirituel est devenu l’objet de la rivalité entre les deux disciplines. Pour asseoir sa dominance, le dogme de l’astronomie contemporaine renie la réalité physique du zodiaque des signes (dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre sur son plan de révolution) pour ne considérer comme réelles que les constellations (qui sont des arrangements visuels et culturels des étoiles). La négation du rythme notre environnement essentiel, notre matrice originelle Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), c’est-à-dire l’alternance d’éclairage de ses pôles que marquent équinoxes et solstices, n’est-elle pas une énorme erreur astronomique ? Quelle que soit la constellation devant laquelle il a lieu, le zéro degré du signe du Bélier demeure l’équinoxe de printemps Nord/automne Sud. C’est la base de la mécanique céleste, qui se trouve sapée. Dans cette chasse aux sorcières, le dogme scientiste scie la branche sur laquelle il est assis, et cette branche n’est pas la moindre car c’est celle de la Mère des Sciences.

Dans le cerveau divisé de la Mère des Sciences, la science officielle s’est développée en circuit fermé depuis 350 ans : elle a perdu de plus en plus la relation avec son cerveau droit, lequel renvoie l’observateur / expérimentateur à lui-même. De son côté, l’astrologie coupée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre, ses symboles de plus en plus creux ; il faut dire qu’elle était déjà sévèrement corrompue et soumise depuis des siècles au bon vouloir des puissants qui y ont imposé leurs maîtrises.

Le résultat, c’est que l’éthique scientifique aujourd’hui, c’est de savoir mettre sa conscience au congélateur … Cela ne serait-il pas l’essence même de l’esprit nazi ?

  1. cela peut changer …

Jeter l’astrologie, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain, un bain d’impérialisme, vieux de 5000 ans …

Cette fonction naturelle qui revient au galop quand on la chasse est la fonction du cerveau droit, la moitié féminine qui amène la sagesse, l’hémisphère de la con-naissance, absolument nécessaire à la vie pour se perpétuer, aveuglément combattue par la « haine de la vie ».

Elle est certainement beaucoup plus forte qu’on ne le croit car au vu de l’armada dont on dispose[37] et des fous qui sont aux commandes, sans elle, la Terre serait déjà pulvérisée. Entraînons-nous très vite à la re-connaître et ne nous dressons pas les uns contre les autres, mais tous ensemble pour la vérité !

[1] Evangile St Luc 21.11

[2]Film “Overcast“ Matthias Hancke 2015

[3]“La guerre secrète contre les peuples“, Claire Séverac, éditions Kontre Kulture 2015

[4]Film “Why in the world are they spraying ?“ Michael Murphy and Barry Kolski 2012

[5] Gilles Roy, devise de l’association « Rock Astres » 1993

[6] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[7] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[8] Claudia Von Werlhof,  http://www.pbme-online.org/ , Skyguards – Autriche

[9]Physiologie: étude du fonctionnement naturel d’un organisme vivant

[10]Colloque Science à très grande échelle – COMETS-CNRS Paris janvier 2014

[11]http://legacy.movement-of-life.org/index.php

[12]„“Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles“ Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk 2011

[13]Gabriel Luneau https://www.youtube.com/watch?v=VTRfViLgKoM

[14] Viktor Schauberger

[15] Claudia Von Werlhof

[16] Claudia Von Werlhof

[17] André Brahic “Enfants du Soleil“ 1999

[18] décédé en 2016

[19]Copernic, mort en 1549

[20]The ABCs of the NEW PHYSICS, a workbook based on the New Physics by Noberto R.Keppe. author : Claudia Bernhardt de Souza Pacheco and collaborators; Proton Editora 2008

[21]Michel Odent “La santé primale“ 1986

[22] Fruit d’une recherche personnelle: les peuples les plus récemment touchés par notre “civilisation“ connaissent et emploient des plantes contraceptives (Tibétains –confirmation écrite de l’Institut de médecine thibétaine de Daramsala-, Indiens d’Amazonie, Aborigènes …); dans l’Antiquité grecque et romaine et jusqu’au 13e siècle, il n’est pas particulièrement fait mention de trop nombreux enfants par femme. De nombreuses variétés de plantes, différentes selon les climats et les sols existent et sont bien simples: pour chez nous: calendula, safran … J’en conclus que les bûchers de l’Inquisition ont fait disparaître cette connaissance. De rares bribes de connaissance de plantes abortives ont perduré.

[23] Le néocortex, la partie la plus complexe du cerveau, particulièrement développée chez l’humain, la plus récente du point de vue de l’évolution.

[24]Michel Odent « L’amour scientifié » éd. Jouvence 2001 et autres ouvrages. Connu depuis sa direction de la maternité de Pithiviers de 1962 à 1985 où il a lancé le concept d’accouchement en salles de naissance « comme à la maison » ou en piscine.

[25]et ses consoeurs, prolactine et endorphine. Prolactine : hormone ancienne sur le plan de l’évolution, impliquée dans les comportements du maternage : construction des nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle qui allaite

[26]Cette libération se fait de manière discontinue,  par pulsations. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit la naissance, elle est libérée pendant l’orgasme et joue un rôle direct dans la reproduction. (Michel Odent « L’amour scientifié »).

[27] L’adrénaline et sa famille sont à l’origine les hormones secrétées d’urgence quant il faut soudain se protéger par la fuite ou le combat. A leur source, le néocortex. Elles sont mises en jeu quand la survie de l’individu devient la priorité et passe avant la survie de l’espèce, alors que la famille de l’ocytocine est impliquée dans le cas contraire.

Il en est également de même quant au fonctionnement de notre cœur  : le ventricule  gauche propulse le sang dans  l’organisme et le droit rappelle ce dernier pour être régénéré.

[28] Rabelais, « Pantagruel »

[29]“la docte ignorance” Merleau Ponty, philosophe français (1950)

[30]Noberto Keppe NEW PHYSICS

[31]idem

[32] Blaise Pascal

[33] Thomas S. Kuhn „La révolution copernicienne“

[34] En astronomie, il y a différents systèmes de coordonnées, définis par un centre, un plan et deux axes, qui décrivent: le point de vue topocentrique (vous en êtes le centre), le point de vue géocentrique (la Terre est le centre) et le point de vue héliocentrique (le Soleil est le centre); on peut aussi se projeter sur une autre planète ou en tout point de l‘univers

[35] Claudia Von Werlhof http://www.pbme-online.org/

[36] SORI’Astres, voir www.rockastres.org

[37]Rosalie Bertell “Planet Earth, the latest weapon of war“

Détracteurs et arguments de réponse

Détracteur, pilote -3 septembre 2016

Bonjour,
En tant que pilote et futur ingénieur je suis abasourdi par la quantité d’âneries qui se trouvent dans votre brochure de propagande !
Il est impossible que les avions de ligne aient la capacité de larguer des produits chimiques comme vous l’énoncé ! Demander à des pilotes plutôt qu’aux pouvoirs publics …
Ensuite les traînées ont augmenté simplement car la taille du réacteur a augmenté car ils ont un meilleur rendement !
Finalement, la traînée visible à l’œil nu est simplement de l’eau sous forme solide due aux -50 degrés celsius à cette altitude. Elle va ensuite s’étendre dans le ciel à cause des vents de haute altitude et former un nuage. Car oui bizarrement les Cirrus (nuages de haute altitude) c’est de l’eau.
Donc arrêtez de chercher des complots là où il n’y a rien…
Bonne journée en espérant ne plus voir une de vos brochure sur le pare brise de ma voiture!

Réponse

bonjour,
et merci de votre contact et de votre réaction !

Que faites-vous des innombrables avions bien au-dessous des couloirs civils que nous voyons évoluer entre 2000 et 8000 mètres d’altitude, c’est à dire dans les couloirs militaires … des moyens coucous en général … ceux-là n’ont pas de transpondeur – on ne les retrouve pas sur des sites comme Flight Radar.

Quels supports de condensation rejettent-ils pour que cela forme des traînées persistantes à ces altitudes (inférieures à 8000 mètres) où les lois de la physique ne permettaient pas, avant l’an 2000 que se forme une traînée de condensation à la sortie des réacteurs d’un avion -à réaction ?
Car, ô comble, on voit même, à ces altitudes modestes, des avions à hélice produire des traînées de condensation persistantes … !!!

Préférez vous répéter ce qu’on vous dit sans chercher à vérifier la contre proposition ?

Observez, comptez les avions, menez une enquête comme ces riverains de Roissy
https://www.youtube.com/watch?v=YmpXs6iG9z0

Cherchez le ciel bleu ! De plus en plus rare et de toute façon plus jamais aussi bleu, du beau bleu profond qu’on a pu lui connaître jusqu’à l’an 2000 à peu près. Cela ne vous gêne pas, ne vous choque pas, ne vous révolte pas qu’il soit si souvent lacéré, voilé, opacifié; et ces couleurs extravagantes que prennent les aubes et les crépuscules et qui révèlent à quel point l’atmosphère est saturée de particules, même dans les lieux les plus sauvages, loin de toute pollution, vous n’avez pas remarqué, semble t-il …

Vous vivez sur Terre et pour bénéficier du porte monnaie confortable que vous assurent vos fonctions d’ingénieur, il vaudrait mieux quand même pour vous être en vie et en bonne santé …

Évitez de prélever de l’eau de pluie et d’en faire analyser la teneur en Al, Ba, Sr …

Ci-joint un argumentaire que nous avons fourni au CNRS en janvier 2014, lors d’un congrès, ouvert à la société civile, auquel nous avons participé.

ARGUMENTAIRE CNAM

Meilleures salutations
Claire Henrion

 

 

Sciences et Vie, octobre 2016                                                               Avions et traînées toxiques, cherchez la preuve
Réponse

Navrant !

Votre encart à la page 115 du numéro d’octobre, intitulé « avions et traînées toxiques, cherchez la preuve » est franchement affligeant pour une revue  comme la vôtre qui s’intitule, faut-il vous le rappeler « Science et Vie ». Ni l’une, ni l’autre en fait.

Vous voulez des preuves ?

Faites de la science, de base, plutôt que de nous citer une soi-disant étude sans source qui prétend qu’ « il ne s’agit que des traînées de condensation des avions de ligne ». Il suffit, où que vous soyez en France comme dans de très nombreux autres pays, de vous octroyer des tranches horaires d’observation pour compter les avions que vous voyez passer dans votre champ de vision.

Observer et compter sont les bases de toute démarche scientifique, n’est-ce pas ?

Vous pourrez constater, comme tout un chacun qui s’y adonne, que certains jours –et nuits-, pour un même créneau horaire, il passe 10 fois plus d’avions que d’autres. 10 fois, 20 fois, 40, voire 100 fois plus !

Et que ceux-ci volent bien plus bas que les avions de ligne, lesquels, vous ne l’ignorez pas, volent de nos jours au-dessus de 10 000 mètres, généralement autour de 12 000. Si vous voyez la carlingue de l’avion à l’œil nu, c’est qu’il n’est pas dans les couloirs civils, mais bien en-dessous, dans l’espace aérien réservé aux militaires.

Et ces avions qui volent entre 2000 et 8000 mètres, qui sont ceux que l’on voit, laissent derrière eux des traînées persistantes qui finissent, certains jours (principalement lorsque la pression atmosphérique est en baisse) par couvrir entièrement le ciel. Il suffit de les suivre des yeux pour s’en rendre compte. Voir ce rapport http://www.acseipica.fr/trainees-davions-et-constat-du-trafic-aerien/

Il faut pourtant certaines conditions de température, pression et humidité pour que des traînées de condensation se forment dans le sillage des avions à réaction. Pour laisser de telles traînées à d’aussi  moyennes altitudes, il faut nécessairement, en vertu des lois de la physique, que des particules soient ajoutées, soit au carburant, soit directement aux rejets de l’avion, pour former des noyaux de condensation. Comble d’ironie, certains de ces avions sont à hélice !!! Mais « ce-ne-sont-que-les-traînées-de-condensation-des-avions-de-ligne » !!! Observez-les d’un peu plus près aux jumelles ou au télescope et vous ne pourrez plus en douter.

Outre ces avions clandestins, non équipés de transpondeurs, qui n’apparaissent pas sur les radars civils quoique bien visibles dans le ciel, une panoplie de particules toxiques est déjà incorporée dans le carburant des avions de ligne depuis bientôt 10 ans. Voir à ce sujet l’étude de Manuel Abegglen & al. de Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich (en PJ) et l’interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke https://www.youtube.com/watch?v=ic4dml5oUVk .

Voir également ce rapport de 2009 sur les phénomènes de condensation liés à la circulation aérienne civile ET militaire, établi par un collège de spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais : Case Orange http://www.acseipica.fr/786/

Quant à la toxicité des retombées, leurs teneurs en métaux lourds (aluminium, baryum, strontium) et en molécules de synthèse, certaines déstructurant l’ADN, les certes modestes analyses d’eau de pluie et de filaments aéroportés que nous avons pu mener, par des laboratoires, d’Etat comme indépendants, en atteste.

http://www.acseipica.fr/filaments-aeroportes-teneur-en-metaux-lourds-rapport-analytika-31-mai-2016/

http://www.acseipica.fr/analyses-de-filaments-tombes-du-ciel-2eme-rapport-analytica/

http://www.acseipica.fr/filaments-tombes-du-ciel-1er-rapport-analytika/

http://www.acseipica.fr/analyses-deau-de-pluie-dans-le-doubs-4e/

Vous avez certainement les moyens d’en mener davantage, à moins que la navrante désinvolture avec laquelle vous traitez ce sujet ne finisse par vous faire perdre votre lectorat.

Veuillez trouver en PJ l’argumentaire que nous avons présenté au CNRS lors du colloque « Science à très grande échelle » en janvier 2014

http://www.cnrs.fr/comets/spip.php?article93

http://www.acseipica.fr/sciences-tres-grande-echelle-colloque-cnrs/

En espérant que Science et Vie honore son titre et demeure une véritable revue de vulgarisation scientifique, indépendante et lucide,  au service de la vie et du bien commun, recevez nos meilleures salutations.

Claire Henrion

Astronome

Fondatrice de l’ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques)

Particulier irrité d’avoir reçu notre flyer dans sa boîte aux lettres -15 janvier 2017
Réponse

je suis absolument désolée qu’une personne ne vous ayant pas rencontré personnellement ait mis ce flyer dans votre boîte aux lettres. Toutefois, autant peut-on se scandaliser de voir tant de papier gaspillé pour des pubs commerciales, autant dites-vous que le précieux arbre qui a donné son bois pour faire le support de la précieuse information que vous avez eu entre les mains, se joint à nous pour tirer la sonnette d’alarme quant à l’empoisonnement constatable du ciel ; il suffit d’observer de manière un peu rigoureuse la circulation aérienne pour s’en convaincre – ceci n’étant que la partie, visible et constatable par tous, de l’arsenal de destruction totale, tenu sous le sceau du secret défense, auquel nous contribuons chaque jour grâce à notre travail et à nos taxes. Si nous nous sentons un tant soit peu respectueux et responsable de la planète que nous laissons derrière nous, il nous appartient à nous, citoyens, de dénombrer et dénoncer les avions dans le ciel (beaucoup plus nombreux que les avions de ligne censés circuler) et de constater les anomalies quotidiennes , en tant de lieux remarquables qu’ils produisent. Les arbres eux, ne demandent qu’à pousser et assainissent sans cesse l’atmosphère. Il leur faut juste les rayons du soleil, un sol suffisamment sain et de l’eau de même. C’est une matière (vivante) des plus renouvelables ! Un arbre abattu, un de replanté, c’est la sagesse du bon cultivateur. Nous n’en abusons pas. Soyez convaincu du respect que nous leur accordons ainsi qu’à vous-même.

OVERCAST à Rodez-25 nov et Montpellier-4 dec 2016

Actualisation: le film est maintenant disponible en ligne
https://www.youtube.com/watch?v=yoxMEbPp_7Y

 

Une enquête sur l’ingénierie climatique

un film de Matthias Hancke,
présenté en finale au Deauville Green Awards 2016
commander le DVD


overcast-broussy24nov16A RODEZ

vendredi 25 novembre 2016 à 18 heures

Au café « Le Broussy »

1, place d’Armes, 12000 RODEZ
projection suivie d’un débat avec Claire Henrion et les membres ACSEIPICA locaux
entrée libre


overcast-montpel4dec16A MONTPELLIER

dimanche 4 décembre 2016 à 15 h 

66 Cours Gambetta, 34000 MONTPELLIER
Tram 3, Station Plan Cabanes
Projection suivie d’un débat avec Selim Saou et les membres ACSEIPICA locaux
Elle s’inscrit dans la continuité du café climat du 29 novembre organisé par Happy Planet.
De 15h à 19h, entrée gratuite

GÉOINGÉNIERIE ENQUÊTE Chemtrails – Ondes – Polymères – Impacts

Chantal Dumas


À savoir si c’était des Lockheeds Martin F-22 Raptor, je n’y connais rien en matière d’aviation, une chose CERTAINE, c’est que c’était des avions de chasse de l’armée, couleur gris foncé sans aucune démarcation, sans signe particulier sur leur habitacle visible.
Ceci quelques heures avant la pluie de filaments du 07 novembre 2013 en Drôme Ardèche, phénomène ayant défrayé la chronique.

Le hasard a voulu que j’assiste de mes propres yeux au passage de ces chasseurs manœuvrant en vols parallèles, situés en basse altitude arrivant du Sud en direction du Nord.
Tous laissaient de grosses traînées blanches derrière eux. Visuellement, la distance entre chacun d’eux était identique. Sauf, l’un d’eux, plus en retrait, qui avant de s’aligner avec les autres, a fait un cercle complet. Celui-ci m’a particulièrement stupéfié après avoir fait un largage 2 à 3 fois plus important que le restant du groupe, entraînant derrière lui une épaisse fumée cotonneuse blanche qui s’étendait et s’étalait de façon spectaculaire !!!
J’ai besoin d’un éclaircissement : « Comment cela se fait-il que des opérations semi-dévoilées au grand public, censées être exercées exclusivement dans le cadre de la géoingénierie, ensemencement des nuages et création de bouclier nuageux artificiel, se fasse juste en dessus des habitations et en si basse altitude !??? Il m’est personnellement difficile de ne pas y voir là une toute autre expérimentation parallèle bien moins avouable….

Deux ans plus tard, les journalistes du secteur ont renouvelé un article au vu que cet événement soit porté définitivement aux oubliettes. Aussi, je remercie par avance les hommes de pouvoir qui voudront bien se risquer à me répondre. Je suis patiente, c’est quand vous voulez….

Bref, quelques heures après le passage des chasseurs, le ciel se voilait et dans l’après-midi commençait la chute des mystérieux filaments…
Dans notre Région (Drôme), depuis la pluie de filaments du 07  novembre 2013, qu’est ce qui a changé pour ce qui concerne les polymères organiques aéroportés ?
C’est aussi à partir de là que j’ai commencé à me poser des questions et à réagir activement en multipliant les observations de terrain, les recherches et les contacts cherchant à m’informer, presse, internet,… et contactai différents organismes.

Mon tout premier lien internet fût celui-ci, utile à ma compréhension et prise de conscience du phénomène :
AVRIL 2013 Claire Henrion présidente de l’ACSEIPICA à la conférence du 8 & 9 avril 2013 au parlement européen :
https://realinfos.wordpress.com/2013/04/20/chemtrails-skyguards-8-et-9-avril-2013-claire-henrion-au-parlement-europeen/

Personnellement ça fait bien longtemps depuis que je ne regarde pas la météo mais me fie à l’état anthropique du ciel…

À savoir, qu’avant cet événement très préoccupant, mon attention était orientée dans le cadre d’une maladie infectieuse appelée : la borréliose de Lyme et sa chronicité. Comme le nuage de Tchernobyl, cette maladie s’est arrêtée à nos frontières : « En France, 5 000 cas sont officiellement recensés en 2012, contre prêt de 1 000 000 de patients traités en Allemagne !!! ». Sous l’effet du réchauffement climatique et la déforestation, la Borréliose de Lyme est devenue la deuxième maladie infectieuse après le SIDA. (L’estimation réelle en France étant d’environ 65 000 nouveaux cas/an et 80 000 nouveaux cas/an pour les données allemandes, ce qui se tient. Ceci est égal à 1% atteint de cette maladie et donc « potentiellement » 1% des donneurs de sang !…). La Borréliose de Lyme est une réelle pandémie, plus dramatique encore que cette maladie grave, tenace et insidieuse, je reste sidérée de voir autant de victimes d’un système destructeur où les malades à leurs dépends sont utilisés comme source d’énergie faisant émerger un business financier fleurissant… Mais COMMENT POUVAIS-JE UN INSTANT IMAGINER RENCONTRER UNE SITUATION BIEN PIRE ENCORE !!!???…
En juin 2013 environ, je suis tombée par hasard sur des vidéos via internet exposant le déni orchestré autour d’une maladie appelée le Morgellon.
On ne sera d’ailleurs pas étonné, que des personnes atteintes de Morgellon, soient aussi positif à la Lyme en raison d’un système immunitaire affaibli…
Puis, le temps a passé et j’ai attendu le 07 novembre 2013 !!! BEN OUI !…QUE ÇA ME TOMBE SUR LA TÊTE POUR RÉAGIR !!!….

Synthèse sur les filaments aéroportés :
Au fils du temps et les mois qui ont suivi, la chute et leur présence sur les sols ont été quotidiennes et le sont toujours aujourd’hui (preuves clichés en vidéo), bien que moins visibles en raison d’une augmentation des vents anthropiques tout azimut, fragmentant la fibre des polymères.

Leur observation en amas devint moins courant. Quelques heures après les épandages chimiques, leur présence, en filament épar rend la prise d’un cliché en macro assurément compliquée, voire impossible.

Une fois à terre, selon les vents et températures, les polymères perdent rapidement de leur volume (- H2O), donc moins collants jusqu’à perdre leur propriété élastique.

Moins chargés en eau, au microscope, leur matière est plus dense, plus compacte, plus chargée en poussières et additifs polluants.
D’un blanc immaculé, certains filaments sont passés au gris, se fragmentent jusqu’à ne plus devenir visibles à l’œil nu.

Il existe plusieurs fibres et de différentes couleurs : rouge vif métallisé – jaunes doré – blanc – bleu….

Plusieurs mois après, je constatai que leur membrane interne devint plus cassante, soit, se désintégrant d’avantage en fines particules dans l’air.
Les polymères sont du coup beaucoup moins entremêlés, plus épars, moins de présence d’amas, donc moins perceptibles à l’ œil nu ainsi que stipulé ci-dessus.

Ils disparaissent plus rapidement par le système d’évaporation d’eau et par dilution : si l’air et les sols sont plus chargés en hygrométrie.

Une fois tombés au sol, les polymères semblent perdre de leur capacité adhésive. Il n’en demeure pas moins qu’ils conservent leur caractéristique électromagnétique. Soit, il reste courant d’en retrouver sur les carrosseries de véhicules, grillages de clôtures, fils d’étendage… mais surtout, le comble de l’ironie : ils se font piéger par les toiles d’araignées !!! (il ne suffisait pas d’avoir accusé à tort les aranéides, voilà que maintenant leur habitacle est devenu inhospitalier, littéralement infecté pour certains)…

Cette vidéo est une synthèse relatant des faits et documents réels, vécus depuis le 07 novembre 2013 jusqu’à ce jour.
Aujourd’hui, je reste seulement active dans l’envoi régulier des clichés du ciel anthropique de ma Région auprès de l’Association citoyenne ACSEIPICA. Il s’agit d’une enquête indépendante, personnelle, menée à la suite des filaments tombés du ciel le 07 novembre 2013 sur notre Région de Drôme-Ardèche. Par mesure de précaution, de respect et droit à la personne, aucun nom, ne sera divulgué.

Pourquoi ? Dès lors que je me suis mise à m’intéresser aux problématiques liées aux épandages aériens et que j’ai voulu en savoir plus sur les polymères organiques aéroportés, j’ai été confrontée à une forme de réticence de la part de certains interlocuteurs. Indéniablement, le simple fait d’évoquer le sujet « Filaments issus des Chemtrails » dérangeait grandement.

À noter quelques railleries ou on vous envoie vers d’autres interlocuteurs, histoire de se débarrasser plus vite du problème. Également des formes de déni orchestrées, genre : « jamais entendu parlé, non, je ne vois pas, non, pas au courant… », mais essentiellement des contrevérités, des formes d’hypocrisie cocasse, genre : « Ah, non ! Nous on ne fait pas ce type d’analyses ici, ou cela, vous coûterez quelques milliers d’Euros, etc… » (ça c’est pas mal non plus, histoire de dissuader…). Etc.

J’ai eu aussi un personnel qualifié dans les pollens et micro environnement et qui restait toujours sur sa position initiale (qu’en est-il aujourd’hui, je l’ignore) : « les polymères sont issus des fils de dispersion de la vierge liés à certaines espèces d’aranéides ! disait-il… ». Cette personne poussera le vis et la dérision en rajoutant ceci : « Vous savez, un jour, une personne m’a amené des échantillons en disant que ça ressemblait à de la peau humaine alors que c’était des résidus d’écorces de cyprès… ». Mais, bien sûuuuuur !!!! Pffff…..
Et, quand vous lui dites, qu’il y a eu des analyses qui ont été faites concernant les polymères et que vous lui annoncez ce que c’est en réalité, il vous dit : « désolé je n’ai pas le temps, là, j’ai du travail !… ».

Y’en a eu un, dans le lot, qui a été moins « langue de bois » que les autres et qui m’a dit : « nous privilégions la piste « anthropique » sans pouvoir la démontrer avec certitude, d’autres spécialistes dont c’est le domaine (biologie, chimie) doivent faire leur travail, pour confirmer cela ou pas, ce n’est pas le nôtre !!! » et il rajoutera entre autre : « pour moi il y a deux types de spécialistes à interroger :
– des spécialistes de l’environnement et en particulier des araignées ;
– des chimistes pour analyser chimiquement ces fils ;
J’ai été contacté par une chercheuse du CNRS qui travaille justement sur ce phénomène  des « fils de la vierge ». Elle semble formelle sur le côté « naturel » de la chose…et donc de ce que l’on a observé en Drôme ; l’ampleur du phénomène l’a seulement un peu intriguée et pourrait s’expliquer par des conditions météo particulières…. ».
Cette chercheuse du CNRS a été impossible à retrouver !!!!! : « inconnue au bataillon !!! », bien sûr ce sont des choses qui arrivent souvent !!! : Peut-être la retrouverais-je dans les  » FAITS DIVERS  » ??? avec un gros titre genre : « DISPARITION INEXPLIQUÉE DE PERSONNELS AU SEINS DU CNRS »… Mais restons sérieux…

Bref, de fils en aiguille, j’ai eu la chance qu’on me mette en relation, enfin, auprès d’une autre chercheuse du CNRS pour l’échange d’échantillons de polymères, piège à particules sèches, récolte d’eau de pluie. L’entretien suivi aura duré plusieurs mois. Je suppose que si cela aura pu se faire, c’est que je me serais contentée tout ce temps d’écouter et de suivre les instructions sans poser de questions ou presque ?
Par contre, bien qu’allant à l’encontre de l’avis de la chercheuse, jouant « cartes sur table », j’aurais pris la peine de l’informer, dès le départ, de mon point de vu « ferme et arrêté » sur l’origine des polymères.
Mon premier contact qui a été téléphonique, aura été pour le moins très surprenant mais malheureusement toujours dans le même état d’esprit !!!
Surtout avant de lire ce qui va suivre : pensez que cette scientifique ne fait que répéter les consignes et ordres qui lui ont été conférés et commandités…. :

Les points positifs :
1- La personne ne dénigre pas l’évidence même : aussi que ces filaments ne sont pas du tout de même nature que les toiles d’aranéides !!!
2- Elle est sensibilisée par le fait que la circulation croissante liée aux passages des avions peut également entraîner une perturbation climatique….

Le point négatif, (à savoir que je n’avais fait aucune demande particulière, ni posé aucune question) : Cette personne, d’une voie très calme, mélodieuse et de façon méthodique se met à me relater les faits du 15 février 2013, où une grosse météorite est entrée et a explosé dans l’atmosphère terrestre à plusieurs kilomètres d’altitude, provoquant ainsi cette pluie de météorites autour de la ville russe de Chelyabinsk (dans l’Oural). Elle m’informe que depuis la désintégration de cette météorite, on a pu remarquer une modification significative sur un dérèglement climatique, cela, sur l’ensemble du globe.
Nous suivons cela de très prés dit-elle ! La dernière fois qu’un tel événement s’est produit avec des dégâts encore plus importants, c’était le 30 juin 1908, en Sibérie, dans la région de la Toungouska….

Bref, cette personne fait le lien entre cet événement du 15 février 2013 et les filaments tombés du ciel le 7 novembre 2013 !!! Elle dit que ceux-ci font partis des mystères de la nature et que l’on est loin d’imaginer toutes ses merveilles… (le mots « merveilleux », par ailleurs, revient avec insistance et à plusieurs reprises).

Soit : cette matière se diluant dans les sols ne représenterait aucun danger pour l’Homme, voire au contraire : elle ferait partie des mystères fascinant de la vie au même titre que les traces d’ADN retrouvées dans certains météorites…

Cette personne se veut rassurante et me dirige ainsi par ses propos vers la théorie extraterrestre pour ce qui est à l’origine de ces filaments !!!

TOUS CES PROPOS QUI REPOSENT SUR DES FAITS RÉELS, SELON MOI, SONT, BIEN ENTENDU, PURES DIVAGATIONS ET PROPAGANDES HISTOIRE DE NOYER LE POISSON DANS L’EAU…

À noter que si une météorite similaire avait déjà frappé la terre en fin 2012 (date des premiers prélèvements d’échantillons analysés) ou même en 2007, lors des analyses du Docteur Zamengo de l’université Ca’ Foscari en Italie et bien cela se saurait !!!!!
C’est vraiment à se demander pourquoi autant de zèle et d’application dans une histoire comme celle-ci, à dormir debout ?

QUE VEULENT-ILS BIEN NOUS CACHER ?
– Que leurs essais d’épandages comportent des risques sur l’environnement, l’écosystème, la biodiversité, le monde animal et l’être humain et qu’ils ne sont pas en mesure réellement de quantifier exactement leurs impacts ? (Est-ce que ce sera 10, 20, 30% ou plus de la population qui sera affectée ?)
– Qu’exposer au monde de tels procédés en stade expérimental, ceux-ci n’auraient jamais pu voir le jour car jugés, par la population, trop risqués et peu viables, quelles qu’en soient les raisons exposées ?
– En gros, qu’ils ne maîtrisent, en fin de compte, pas grand-chose, qu’ils ne sont pas en mesure de dire si le jeu en vaut réellement la chandelle ?
– Que maintenant la machine lancée, ils ne peuvent plus faire marche arrière : trop d’investissements économiques, financiers sont en jeu ?
– Que spéculateurs et investisseurs tiennent les rênes et qu’eux-mêmes sont devenus les instruments d’autres marionnettistes bien plus avides et perfides ?
– Que sous-couvert d’une lutte contre le réchauffement climatiques, lutte hasardeuse et soumise à controverses entres scientifiques, mais soit disant utile et nécessaire, d’autres profitent de l’opportunité pour officier dans des buts (militaires, puisque ayant racheter les brevets scientifiques des géoingénieristes…) bien plus risqués et bien plus inavouables encore ? (Il ne suffirait certainement pas des 10 doigts de la main pour énoncer les toutes les raisons aux multiples facettes des épandages).
– Que nous sommes entrés dans une guerre silencieuse « légitime », sous forme de sélection naturelle, sans merci, évoquant une surpopulation mondiale engendrant une baisse critique des ressources terrestres ne pouvant assurer telle que la pérennité de l’existence humaine sur terre ? (Justement on en parle aujourd’hui à la télévision, y a-t-il vraiment de hasard, où suis-je Madame Irma !???LOL)…..

En fin de compte, la réalité ne dépasserait-elle pas la fiction ???
« Ne sommes nous pas les figurants, victimes d’un scénario catastrophe qui aurait pu être inspiré des plus grands chefs-d’œuvre de Stephen King avec une fin s’annonçant peu glorieuse ? »

N’en déplaise à certains, mais j’étais bien au premières loges lorsque des « Chasseurs » précédant cette pluie massives de filaments du 07 novembre 2013, sont passés au dessus de la maison . Ils laissaient s’échapper derrière eux des épandages d’épaisses fumées blanches s’étalant dans le ciel jusqu’à former un voile sur toute sa superficie.

J’ai pu remarquer que plus la pression atmosphérique est chargé en eau plus les filaments sont épais, collants & résistants (élastiques) et l’on peut alors apercevoir des amas qui se forment (filaments entremêlés). Ne pas les voir, ne veut pas dire qu’ils ne demeurent pas.

Tout me laisse à penser que les caractéristiques et propriétés des filaments, entrant en combinaison avec les quelques éléments de l’air auxquels ils s’associent (eau, hydrogène, oxygène, azote, etc.), auraient la capacité de se régénérer? Ceci m’a donné l’idée d’en faire une culture afin d’en étudier l’endurance, l’avancement et le comportement.

Intéressant de savoir que quelques morceaux de brindilles auxquels étaient agrippés les filaments ont été également déposés dans le liquide. Le bois des brindilles même coupé continue à travailler, c’est un matériau dit « hygroscopique ». Même constat pour les filaments, même après avoir hiberné pendant 2 mois au frigo, à l’abri de l’air, sous pli aluminium !!! Une sacrée résistance en somme !!!

Les filaments après s’être dissous littéralement se sont comportés comme un champignon parasitaire venant ensuite s’agglutiner autour des morceaux de brindilles et ont fabriqué ensuite des ramifications faisant comme une forme de cocon fibreux cotonneux.

Ensuite, une forme de mère jaunâtre, comme ce que l’on peut voir dans le vinaigre, se forma, mais d’aspect beaucoup, beaucoup, plus fluide, se dispensant dès qu’on agite le flacon et se reformant au repos !!!!….
D’après moi, ils peuvent se présenter sous différentes formes, donc, particulaires, dissoutes, volatiles ou non, en fonction des différents critères de situations (pression atmosphérique, hygrométrie, températures…).

Les filaments ne sont pas toujours perçus à l’œil nu.
Ce qui est de toute façon visible (par beau temps, de façon évidente), c’est la formation de voiles nuageux artificiels d’origine anthropique dans le ciel. Ciel aux couleurs dénaturées et/ou saturées, tellement chargé en particules polluantes après épandages chimiques (ou Chemtrails).

Mes observations complémentaires : La matière des polymères est capable de faire corps avec les éléments. La nature chimique des chemtrails crée artificiellement des zones dépressionnaires provoquant nuages et/ou pluies, vents….
La masse nuageuse anthropique crée un bouclier et empêche la pollution ascendante de se disperser de façon homogène dans l’atmosphère et rend l’air moins respirable et donc plus nocif (effet de serre), comme nous le savons.

Suivant les conditions, les différents critères de situation, les éléments, auxquels est soumis le polymère organique complexe (ou dit « non identifiable » après analyses, puisque fabriqué en laboratoire, non breveté pour éviter les fuites de divulgation), son aspect varie.

Une partie s’évapore (air), une partie se dilue dans l’eau (sol), une partie de dissout en fines particules (poussière) dans l’air et une partie n’est-elle pas directement ingérée par la matière organique vivante ? À l’échelle du nanomètre toutes les hypothèses sont envisageables….
Que maîtrisons-nous au juste? Dans le cadre de la nanotechnologie, créer une nouvelle forme de vie en combinant du vivant et du non-vivant, ça aujourd’hui, on sait le faire !!! Oui, créer ne semble plus poser de problème, mais, conscientiser, appréhender de façon concise et responsable, l’interaction et l’impact éventuelle auprès des formes de vie déjà naturellement présentes sur terre, là, la tâche devient plus compliquée !!!
Il n’y a aucun mérite, quel que soit l’enjeu, de créer une nouvelle forme de vie qui détruit ou déstabilise l’équilibre naturel de la vie sur terre…. La nature nous apprend de surcroît que toutes choses perdurent dans le temps à condition qu’elles vivent avec ses particularités propres en harmonie avec son environnement et non au détriment de celui-ci en se comportant comme un vulgaire parasite !!! Tout repose, dans l’Unité, intelligemment, en un subtil équilibre.

Le polymère est capable de rester longtemps en suspension dans l’air. Il remplit avec succès ses fonctions premières, orchestrée par nos apprentis sorciers, soit, entres autres : « servir de parachute pour diverses additifs créant ainsi une barrière pour les rayonnements du soleil afin de retarder les effets du « dit » réchauffement climatique ».

Personnellement, ce qui me pose problème par-dessus tout, c’est ma théorie exposée ci-dessus, concernant son adaptabilité aux éléments terrestres et son autorégulation dans notre atmosphère et notre environnement…

Différents critères me pousse à émettre l’hypothèse suivante : Après avoir été épandus, la formation des polymères s’auto-régule en partie, peut-on parler alors de régénérescence ?? Quoiqu’il en soit, ils ont une force d’adaptation spectaculaire !!!! Autonomes, sans qu’il soit besoin de les réalimenter constamment, ils semblent s’auto-alimenter grâce à la molécule d’eau présente dans l’air et le cycle de celle-ci.

Pour se faire des bactéries sont automatiquement utilisées, mais lesquelles sont-elles, E-Coli et leur effet glaçogène, etc… ???

J’ai lu plus tard que que le baryum absorbant fortement le dioxyde de carbone et l’eau, en combinaison avec l’aluminium, agiraient ensemble pour diffuser du courant dans le « dit » bouclier, ajoutés au nitrates, monoxyde, dioxydes de carbone, fluorocarbones, hydrocarbornes…. ainsi que nos fameux polymères électromagnétiques (pouvoir d’attraction, servant de véhicules), mélangés avec du matériel biologique, permettrait la suspension de tout ces mélanges de particules dans l’atmosphère pendant de plus longues périodes… avant de retomber sur terre ou de se dissoudre dans les pluies, les sols… bien évidemment rien ne se perd !!!

À l’époque j’avais fait un beau travail également auprès de la spécialiste en aranéologie maintes fois citée dans les média. J’ avais été la seule à comprendre qu’elle avait été plus ou moins dupée par les média et que ses propos avaient été coupés et utilisés à ses dépends, aussi je lui avais envoyé des filaments qu’elle aura pu étudier personnellement pour se faire son propre avis avec des bases solides, d’authentiques échantillons prélevés sur le terrain. Après quelques échanges elle s’était confiée que dorénavant elle se méfierait.

Bilan : lors des épandages intensifs devenus aujourd’hui récurrents avec d’avantage d’ondes ajoutées (HAARP) qu’il y a 2 ans, je peux remarquer une recrudescence de problèmes de santé divers et varié, allergies ORL & cutané, (yeux, nez, voies respiratoires, peau), fatigues, maux de têtes, difficulté de concentration… des maladies gastriques, cancers poumon, colon…, accidents de la route en augmentation également dus aux intempéries liées à la modification climatique engendrée par ces opérations d’épandages orchestrés et pas uniquement à une baisse de vigilance, dépression, Alzheimer, autisme…. Des gens meurent ou sont affectés à différents niveaux en raison des problèmes occasionnés par ces épandages chimiques… Nous, nous le savons !!!!

Pour terminer, ma petite attention aux plus sceptiques, pour vous aider à avaler la pilule rouge, j’ai quand-même pensé à vous mettre de la musique douce !! ;-)) Gardons, consciemment, la Foi et l’humour…
Amicalement Vôtre,

Chantal, alias « Fleur de Lotus » pour le microcosme et ce que la Nature a fait de plus beau & « The Mutant 26 », pour le reste et ce que l’homme a fait de pire, car quand je vois cela, je n’ai pas l’impression d’appartenir au même monde !!

Traînées d’avions et constat du trafic aérien

La Frette sur Seine analyse du trafic aérien

A la Frette sur Seine (95 – Oise, près de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle).

Observation rigoureuse et analyse chiffrée du trafic aérien qui démontre que le nombre d’avions nous survolant peut être plus que décuplé d’un jour sur l’autre.

 

et autres prises de vue de ciels quadrillés en Corse et ailleurs.

Un excellent travail que chacun peut effectuer là où il est. C’est de la science citoyenne à la portée de tous. C’est une des meilleures preuves. A vous !

Jesse Ventura, HAARP – le rayon de la mort

Sur un excellent mode polar américain, Jesse Ventura, ancien gouverneur, mène l’enquête sur le site de HAARP à Gakona en Alaska en 2011.
Il faut savoir que depuis, ce site a été fermé, car le but de ses recherches a été atteint. Ainsi a t-il été dit au Congrès US en mai 2014 lors de l’audition du responsable du projet par la sénatrice de l’Alaska.
Ce qui n’est pas dit dans la video de Jesse Ventura, c’est que déjà, à l’époque (en 2011) il y avait plusieurs stations et de nombreux relais HAARP à travers le monde, sans compter les installations similaires russes (SURA) et nippo-sino-européennes (EISCAT).
sspectre électromagnétiqueLe chauffage occasionné par l’émission des ondes ultra-hautes fréquences (UHF – rayons gamma, ondes très courtes) et très hautes fréquences (VHF – rayons X, ondes courtes), c’est cela le rayon de la mort et la cause numéro 1 (si ce n’est la seule) de la fonte de la calotte polaire arctique. Les émetteurs ne sont pas montrés car ils sont à la taille des ondes qu’ils émettent, c’est à dire, petits (le maillage est proportionnel à la longueur d’onde). On en voit un dans mon diaporama « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croît? » (à 11’01 »).
Les grands champs d’antennes spectaculaires sont les récepteurs, modulateurs, ré-émetteurs des ondes ultra basses fréquences (ULF) et basses fréquences (VLF) – ondes radio et micro-ondes, longues ondes- que renvoie la ionosphère. Entre les deux, le visible.

C’est vraiment l’outil de la destruction et de la manipulation totale. Il est maintenant disséminé partout sur la Terre. Notre incompréhension de son fonctionnement fait ses choux gras.

Il y a de quoi s’instruire en se consolant d’avoir loupé la dernière série américaine à la télé !

J’ajoute cette planche sur le spectre électromagnétique; c’est exactement la harpe avec laquelle ils jouent. Alors que cette connaissance est fondatrice de l’astrophysique et de la physique quantique, elle échappe quasiment à tout enseignement avant le bac – scientifique exclusivement. Idéal pour que nous ne prenions tout cela pour de la science fiction et le domaine exclusif de spécialistes hautement diplômés. Il est temps de renverser la vapeur, ce n’est pas plus compliqué qu’autre chose. La connaissance de la musique et des tonalités permet de le comprendre; il suffit d’élargir le spectre.

En revanche, le titre « Théorie du complot » est exactement ce qu’il faut pour discréditer l’affaire aux yeux de ceux qui sont encore au pays des bisounours. Mais stratégie américaine pour stratégie américaine … nous ne sommes peut être pas obligés de la reproduire. Claire Henrion

 

Où est passé le réchauffement climatique ?

Jean Paul Jody, auteur de la BD « La route de Gakona » – une fiction très bien documentée à propos de Haarp vient de publier sur son blog la partie 1 d’une rétrospective assez exhaustive sur les différents points de vue sur le climat et leur évolution.
Où est passé le réchauffement climatique ?

What in the world are they spraying ? DVD

Désolée c’est en anglais…

Couverture du DVD du film  « What in the World are They Spraying »
A commander sur https://realityzone.com/product/what-in-the-world-are-they-spraying/

LE FILM: https://www.acseipica.fr/le-film-what-in-the-world-are-they-spraying/

Voir aussi