un ancien Premier ministre de Colombie-Britannique condamne la géoingéniérie

Bill Vander Zalm, ancien Premier ministre de Colombie-Britannique, condamne la géoingéniérie et agit à son niveau pour faire connaître les faits au peuple. Entretien avec Dane Wigington.
 

sous-titres en anglais seulement en attendant une traduction. Appel aux bonnes volontés compétentes ! Merci d’avance.

Preuve de la production variable de chaleur terrestre …

Journal of Geography, Environment and Earth Science International

10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220

ISSN: 2454-7352

Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d’un changement climatique mondial non anthropique ainsi que d’un réchauffement planétaire et d’une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie

 

J.Marvin Herndon

Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA

Contribution de l’auteur

L’auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit

 

Référence de l’article

DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220

 

Editeur:

Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain

Revues :

(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA

.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya

.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania

.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada

.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA

.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland

Historique complet des revues par des pairs :

http://www.sciencedomain.org/review

Reçu le 15 février 2017

Accepté le 19 avril 2017

Publié le 21 avril 2017

Traduction française : Ciel voilé

http://www.nuclearplanet.com/variable_heat.pdf

Résumé

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d’une activité sismique variable et les preuves géologiques d’un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l’océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l’atmosphère. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d’affecter l’équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l’échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu’il s’agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d’accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l’autorité morale des Nations Unies.

1.INTRODUCTION

Le premier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu’un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l’ajout de dioxyde de carbone (CO2), d’origine anthropique, dans l’atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d’énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l’acidification des océans, et qu’elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l’aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz « à effet de serre ». Comme l’a souligné l’éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d’affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d’apporter à l’attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n’a pas prises en compte dans la construction et l’évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l’irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.

Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d’un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu’un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n’en parlait plus. Cette norme s’est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s’est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l’adoption anticipée d’une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n’a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l’anonymat des pairs[8]. En outre, l’apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu’ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d’origine anthropique) et qu’ ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres – un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.

La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l’ignorance systématique d’un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.

Dans les années 1970, lors de l’étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J’ai écrit un court document, résumé ainsi : d’après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j’ai reçu une lettre complémentaire d’Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés – l’habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale – par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu’à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j’ai démontré que: (1) 82% de l’intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l’uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu’ Hawaï et l’Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s’expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l’état fortement réduit de l’intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m’a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l’hypothèse d’une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j’ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l’origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l’origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l’origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?

Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L’idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.

2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE

Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu’ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l’océan, a d’abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l’océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l’océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l’océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l’océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l’échelle du temps humain, la chaleur émanant de l’intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).

Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n’ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d’un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l’impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.

Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d’une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.

Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie

 

Radionucléides

de longue vie

Demi-vie

(année)

235U

7.04 X 108

238U

4.47 X 109

232Th

1.41 X 1010

40K

1.25 X 109

3.PREUVE DE L’AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS

Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d’Hawaï et d’Islande. Lorsqu’elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s’étendent à l’interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l’Islande et des îles hawaïennes tout au long de l’ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.

Le lien entre les grands tremblements de terre et l’activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l’apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l’activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.

La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d’occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l’U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l’hypothèse d’une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu’au cours des 43 dernières années.

 

Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l’échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l’ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d’amplitude indiquées au cours de l’intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l’augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l’augmentation est de 74%.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l’activité géodynamique de l’énergie n’est pas constante. En outre, l’association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l’augmentation de l’activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l’hypothèse d’une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.

4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L’APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS

Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l’augmentation de la chaleur de l’océan que nous pouvons déduire de l’augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l’océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l’océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu’à la surface en Islande [ 52].

5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L’AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN

L’hypothèse d’une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l’océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l’eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:

[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)

Dans l’équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l’eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:

K0
CO2 (g) = [CO2] (2)

Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.

Weiss [54] a dérivé l’équation suivante pour K0 de l’équation intégrée Van’t Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:

Dans K0 = A1 + A2 (100 / T) + A3ln (T / 100) + S [B1 + B2 (T / 100) + B3 (T / 100) 2] (3)

Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.

La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l’eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.

Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l’équation (2). À partir de [54].

 

Unités de K0

moles/l●atm moles/kg●atm

A1

0.7

4.3

A2

0.73

4.4

A3

33

190

B1

2.4

6.3

B2

11

20

B3

1.02

1.81

Comme on le sait à partir d’enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l’éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l’atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s’échapper dans l’atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer.

Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d’autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l’eau de mer environnante [56,57]. En d’autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l’augmentation de l’acidification des océans observée dans le monde entier.

Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l’eau de mer. Ce chiffre montre qu’une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.

La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d’environ un tiers le taux d’augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d’énergie de l’activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d’événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.

Il existe d’autres preuves à l’appui de l’hypothèse de l’apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l’apport variable de chaleur dans l’eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l’eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l’apport variable de CO2 volcanique dans l’eau de mer et de l’apport de chaleur variable à l’eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l’eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l’eau de mer.

Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l’institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.

6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c’est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l’ionosphère – tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c’est-à-dire depuis plus d’un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].

Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d’un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l’air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l’autorisation de British Antarctic Survey.

Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages ​​avec des substances chimiques telles que l’iodure d’argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l’inhibition des précipitations [63].

La technique d’inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L’aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d’humidité de s’assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu’à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l’activité de géo- ingénierie troposphérique.

Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d’eau dans les gaz d’échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l’existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu’il s’agirait de traînées de condensation.

Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d’humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s’évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d’eau de leur échappement s’évaporent rapidement; la troisième traînée qui s’étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.

La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l’air une matière particulaire et qu’il ne s’agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s’interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d’approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.

Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s’étalent, formant parfois des nuages ​​artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d’ une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages ​​naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d’eau invisible.

Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d’Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.

Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l’atmosphère prétendent qu’aucun aérosol délibérément pulvérisé n’influence l’atmosphère qu’ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l’échelle régionale et très probablement à l’échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l’air que nous respirons et, d’après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].

Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d’énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].

Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu’à ce que les nuages ​​se surchargent tellement qu’ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l’humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l’atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l’albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].

Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l’air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l’évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n’est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l’aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.

 

Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l’une des pulvérisations s’interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d’eau se trouvant dans les gaz d’échappement du moteur. Photo de l’auteur.

Figure 8. Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages ​​naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.

7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu’il s’agissait du largage accidentel d’un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j’ai obtenu des échantillons de l’un des résidents pour analyse et j’ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.

La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle – poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes – absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m’a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d’aggraver le réchauffement climatique.

Beaucoup de temps et d’argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d’application cachée. C’est clairement l’indication d’une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu’il s’agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.

8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES

La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l’échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l’Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l’évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l’augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l’espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.

Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].

Figure 10. La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].

Les contributions anthropiques provenant de l’utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d’utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l’activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l’augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l’océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s’est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.

Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d’intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n’est qu’un épisode d’une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].

De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d’autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l’attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l’histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre2008 dans l’ensemble de données de température russes d’octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].

9. CONCLUSIONS

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre.

Les preuves géophysiques de l’activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, l’augmentation des apports de chaleur à l’océan diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l’atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.

La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l’équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l’atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel d’un matériau modifié indiquent qu’il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d’amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l’autorité morale des Nations Unies sont compromises.

On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l’activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l’air que nous respirons presque quotidiennement à l’échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l’opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l’intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d’aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d’autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l’économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu’a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n’est rien moins qu’une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu’ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?

 

Pour le bien de l’humanité, du biote et de l’environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.

REFERENCES

 

1. http://www.ipcc.ch/report/ar5/. Accessed March 21, 2017.

2. Vaughan, N.E.; Lenton, T.M. A review of climate geoengineering proposals.Climate Change 2011, 109, 748-790.

3. Goldblatt, C.; Watson, A.W. The runaway greenhouse: Implications for future climate change, geoengineering and planetary atmospheres. Phil. Trans. R. Soc. Lond. A 2012, 370, 4197-4216.

4. Box, G.E.P. Empirical model-building and response surfaces. Wiley: 1987.

5. Abdussamatov, H.I. The sun defines the climate. Russian journal « Nauka i Zhizn » (« Science and Life ») 2008, 1, 34-42.

6. Abdussamatov, H.I. Grand minimum of the total solar irradiance leads to the little ice age. Geol. Geosci. 2013, 2, 1-10.

7. Le Grand, H.E. Drifting continents and shifting theories. Cambridge University Press: Cambridge, UK, 1988.

8. Herndon, J.M. Corruption of Science in America. The Dot Connector 2011.http://www.nuclearplanet.com/corruption.pdf. Accessed March 21, 2017.

9. Oldham, R.D. The constitution of the interior of the earth as revealed by earthquakes. Q. T. Geol. Soc. Lond. 1906, 62, 456-476.

10. Lehmann, I. P’. Publ. Int. Geod. Geophys. Union, Assoc. Seismol., Ser. A, Trav. Sci. 1936, 14, 87-115.

11. Birch, F. The transformation of iron at high pressures, and the problem of the earth’s magnetism. Am. J. Sci. 1940, 238, 192-211.

12. Herndon, J.M. The nickel silicide inner core of the earth. Proc. R. Soc. Lond1979, A368, 495-500.

13. Hirose, K.; Morard, G.; Sinmyo, R.; Umemoto, K.; Hernlund, J.; Helffrich, G.; Labrosse, S. Crystallization of silicon dioxide and compositional evolution of the earth’s core. Nature 2017, 543, 99-102.

14. Herndon, J.M. The chemical composition of the interior shells of the earth. Proc. R. Soc. Lond 1980, A372, 149-154.

15. Herndon, J.M. The object at the centre of the earth. Naturwissenschaften 1982,69, 34-37.

16. Herndon, J.M. Composition of the deep interior of the earth: Divergent geophysical development with fundamentally different geophysical implications.Phys. Earth Plan. Inter 1998, 105, 1-4.

17. Herndon, J.M. Feasibility of a nuclear fission reactor at the center of the earth as the energy source for the geomagnetic field. J. Geomag. Geoelectr. 1993, 45, 423-437.

18. Herndon, J.M. Planetary and protostellar nuclear fission: Implications for planetary change, stellar ignition and dark matter. Proc. R. Soc. Lond 1994, A455, 453-461.

19. Herndon, J.M. Sub-structure of the inner core of the earth. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 1996, 93, 646-648.

20. Herndon, J.M. Terracentric nuclear fission georeactor: Background, basis, feasibility, structure, evidence and geophysical implications. Curr. Sci. 2014, 106, 528-541.

21. Hollenbach, D.F.; Herndon, J.M. Deep-earth reactor: Nuclear fission, helium, and the geomagnetic field. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2001, 98, 11085-11090.

22. Herndon, J.M. Nuclear georeactor origin of oceanic basalt 3He/4He, evidence, and implications. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2003, 100, 3047-3050.

23. Herndon, J.M. Nuclear georeactor generation of the earth’s geomagnetic field.Curr. Sci. 2007, 93, 1485-1487.

24. Herndon, J.M. Nature of planetary matter and magnetic field generation in the solar system. Curr. Sci. 2009, 96, 1033-1039.

25. Herndon, J.M. Geodynamic basis of heat transport in the earth. Curr. Sci. 2011,101, 1440-1450.

26. Herndon, J.M. Solar system processes underlying planetary formation, geodynamics, and the georeactor. Earth, Moon, and Planets 2006, 99, 53-99.

27. Herndon, J.M.; Suess, H.E. Can enstatite meteorites form from a nebula of solar composition? Geochim. Cosmochim. Acta 1976, 40, 395-399.

28. Herndon, J.M. New indivisible planetary science paradigm. Curr. Sci. 2013, 105, 450-460.

29. Herndon, J.M. Whole-earth decompression dynamics. Curr. Sci. 2005, 89, 1937-1941.

30. Herndon, J.M. Energy for geodynamics: Mantle decompression thermal tsunami.Curr. Sci. 2006, 90, 1605-1606.

31. Herndon, J.M. A new basis of geoscience: Whole-earth decompression dynamics.New Concepts in Global Tectonics 2013, 1, 81-95.

32. Herndon, J.M. Origin of mountains and primary initiation of submarine canyons: The consequences of earth’s early formation as a jupiter-like gas giant. Curr. Sci.2012, 102, 1370-1372.

33. Herndon, J.M. New concept for the origin of fjords and submarine canyons: Consequence of whole-earth decompression dynamics. Journal of Geography, Environment and Earth Science International 2016, 7, 1-10.

34. Herndon, J.M. New concept on the origin of petroleum and natural gas deposits. J Petrol Explor Prod Technol 2016, 6, 1-12.

35. Benfield, A.F. Terrestrial heat flow in great britain. Proc. R. Soc. Lond 1939, Ser A 173, 428-450.

36. Bullard, E.C. Heat flow in south africa. Proc. R. Soc. Lond 1939, Ser. A 173, 474-502.

37. Bullard, E. The flow of heat through the floor of the atlantic ocean. Proceedings of the Royal Society of London. Series A. Mathematical and Physical Sciences 1954,222, 408-429.

38. Korenaga, T.; Korenaga, J. Evolution of young oceanic lithosphere and the meaning of seafloor subsidence rate. Journal of Geophysical Research: Solid Earth2016, 121, 6315-6332.

39. Jaupart, C.; Mareschal, J.-C.; Iarotsky, L. Radiogenic heat production in the continental crust. Lithos 2016, 262, 398-427.

40. Kellogg, L.H.; Hager, B.H.; van der Hilst, R.D. Compositional stratification in the deep mantle. Science 1999, 283, 1881-1884.

41. Shearer, P.M.; Stark, P.B. Global risk of big earthquakes has not recently increased. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2012, 109, 717-721.

42. Bijwaard, H.; Spakman, W. Tomographic evidence for a narrow whole mantle plume below iceland. Earth Planet. Sci. Lett. 1999, 166, 121-126.

43. Nataf, H.-C. Seismic imaging of mantle plumes. Ann. Rev. Earth Planet. Sci.2000, 28, 391-417.

44. Mjelde, R.; Faleide, J.I. Variation of icelandic and hawaiian magmatism: Evidence for co-pulsation of mantle plumes? Mar. Geophys. Res. 2009, 30, 61-72.

45. Mjelde, R.; Wessel, P.; Müller, D. Global pulsations of intraplate magmatism through the cenozoic. Lithosphere 2010, 2, 361-376.

46. Darwin, C. On the connexion of certain volcanic phenomena in south america; and on the formation of mountain chains and volcanos, as the effect of the same power by which continents are elevated. Geol. Soc. Lond. Trans. 1840, 2, 601-632.

47. Walter, T.R.; Amelung, F. Volcano-earthquake interaction at mauna loa volcano, hawaii. J. Geophys. Res. 2006, 111.

48. Nostro, C.; Setein, R.S.; Cocco, M.; Belardinelli, M.E.; Marzocchi, W. Two-way coupling between vesuvius eruptions and southern apennine earthquakes, italy, by elastic stress transfer. J. Geophys. Res. 1998, 103, 24487-24504.

49. Lawson, C.; Lazarus, M.E. U.S. Geological survey open file report 98-507-b; U. S. Geological Survey: Menlo Park, CA, USA, 2002.

50. http://earthquake.usgs.gov/earthquakes/search/. Accessed March 21, 2017.

51. Cheng, L.; Trenberth, K.E.; Fasullo, J.; Boyer, T.; Abraham, J.; Zhu, J. Improved estimates of ocean heat content from 1960 to 2015. Science Advances 2017, 3.

52. Wilson, B.M. Igneous petrogenesis a global tectonic approach. Springer: The Netherlands, 2007.

53. Al-Anezi, K.; Hilal, N. Scale formation in desalination plants: Effect of carbon dioxide. Desalination 2007, 204, 385-402.

54. Weiss, R.F. Carbon dioxide in water and seawater: The solubility of a non-ideal gas. Mar. Chem. 1974, 2, 203-215.

55. Weiss, R.F. The solubility of nitrogen, oxygen and argon in water and seawater.Deep-Sea Res. 1970, 17, 735.

56. Resing, J.A.; Sansone, F.J. The chemistry of lava–seawater interactions: The generation of acidity. Geochem. Cosmochem. Acta 1999, 63, 2183-2198.

57. Santana-Casiano, J.M.; Gonza´lez-Da´vila, M.; Fraile-Nuez, E.; de Armas, D.; Gonza´lez, A.G.; Domı´nguez-Yanes, J.F.; Esca´ne, J. The natural ocean acidification and fertilization event caused by the submarine eruption of el hierro. Sci. Rep. 2013,3, 1140.

58. ftp://ftp.cmdl.noaa.gov/ccg/co2/trends/co2_annmean_mlo.txt. Accessed March 21, 2017.

59. Tolstoy, M. Mid-ocean ridge eruptions as a climate valve. Geophys. Res. Lett.2015, 42, 1346-1351.

60. Jouzel, J., et al. Orbital and millennial antarctic climate variability over the last 800,000 years. Sci. 2007, 317, 793-796.

61. Lüthi, D., et al. High-resolution carbon dioxide concentration record 650,000-800,000 years before present. Nature 2008, 453, 379-382.

62. Bruintjes, R.T. A review of cloud seeding experiments to enhance precipitation and some new prospects. Bull. Am. Meterol. Soc. 1999, 80, 805-820.

63. Herndon, J.M. Adverse agricultural consequences of weather modification.AGRIVITA Journal of agricultural science 2016, 38, 213-221.

64. http://www.nuclearplanet.com/websites.pdf. Accessed March 21, 2017.

65. http://www.nuclearplanet.com/USAF.pdf. Accessed April 17, 2017.

66. Herndon, J.M.; Whiteside, M. Further evidence of coal fly ash utilization in tropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. 2017, 9, 1-8.

67. Herndon, J.M. Aluminum poisoning of humanity and earth’s biota by clandestine geoengineering activity: Implications for india. Curr. Sci. 2015, 108, 2173-2177.

68. Herndon, J.M. Obtaining evidence of coal fly ash content in weather modification (geoengineering) through analyses of post-aerosol spraying rainwater and solid substances. Ind. J. Sci. Res. and Tech. 2016, 4, 30-36.

69. Bertell, R. Planet earth, the latest weapon of war: A critical study into the military and the environment. The Women’s Press: London, 2000.

70. Herndon, J.M. An indication of intentional efforts to cause global warming and glacier melting. J. Geography Environ. Earth Sci. Int. 2017, 9, 1-11.

71. Yan, X.-H.; Boyer, T.; Trenberth, K.; Karl, T.R.; Xie, S.-P.; Nieves, V.; Tung, K.-K.; Roemmich, D. The global warming hiatus: Slowdown or redistribution? Earth’s Future 2016, 4, 472-482.

72.http://www.Telegraph.Co.Uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html. Accessed March 21, 2017.

73. http://www.Washingtontimes.Com/news/2017/feb/5/climate-change-whistleblower-alleges-noaa-manipula/. Accessed March 21, 2017.

74. https://www.Forbes.Com/sites/larrybell/2011/07/19/nasas-inconvenient-ruse-the-goddard-institute-for-space-studies/#2b315d0a6963. Accessed March 21, 2017.

75. https://climateaudit.org/2010/12/26/nasa-giss-adjusting-the-adjustments/. Accessed March 21, 2017.

76. http://www.cnsnews.com/news/article/barbara-hollingsworth/german-scientist-accuses-nasa-massive-alteration-temperature. Accessed March 21, 2017.

77. https://wattsupwiththat.Com/2013/01/18/hansens-nasa-giss-cooling-the-past-warming-the-present/. Accessed March 21, 2017.

78. http://www.dailymail.co.uk/news/article-2915061/nasa-climate-scientists-said-2014-warmest-year-record-38-sure-right.html. Accessed March 21, 2017.

79. https://wattsupwiththat.com/2008/11/10/giss-releases-october-2008-data/. Accessed March 21, 2017.

80. Fleming, J.R. Fixing the sky: The checkered history of weathe and climate control. Columbia University Press: New York, 2010.

 

Détracteurs et arguments de réponse

Détracteur, pilote -3 septembre 2016

Bonjour,
En tant que pilote et futur ingénieur je suis abasourdi par la quantité d’âneries qui se trouvent dans votre brochure de propagande !
Il est impossible que les avions de ligne aient la capacité de larguer des produits chimiques comme vous l’énoncé ! Demander à des pilotes plutôt qu’aux pouvoirs publics …
Ensuite les traînées ont augmenté simplement car la taille du réacteur a augmenté car ils ont un meilleur rendement !
Finalement, la traînée visible à l’œil nu est simplement de l’eau sous forme solide due aux -50 degrés celsius à cette altitude. Elle va ensuite s’étendre dans le ciel à cause des vents de haute altitude et former un nuage. Car oui bizarrement les Cirrus (nuages de haute altitude) c’est de l’eau.
Donc arrêtez de chercher des complots là où il n’y a rien…
Bonne journée en espérant ne plus voir une de vos brochure sur le pare brise de ma voiture!

Réponse

bonjour,
et merci de votre contact et de votre réaction !

Que faites-vous des innombrables avions bien au-dessous des couloirs civils que nous voyons évoluer entre 2000 et 8000 mètres d’altitude, c’est à dire dans les couloirs militaires … des moyens coucous en général … ceux-là n’ont pas de transpondeur – on ne les retrouve pas sur des sites comme Flight Radar.

Quels supports de condensation rejettent-ils pour que cela forme des traînées persistantes à ces altitudes (inférieures à 8000 mètres) où les lois de la physique ne permettaient pas, avant l’an 2000 que se forme une traînée de condensation à la sortie des réacteurs d’un avion -à réaction ?
Car, ô comble, on voit même, à ces altitudes modestes, des avions à hélice produire des traînées de condensation persistantes … !!!

Préférez vous répéter ce qu’on vous dit sans chercher à vérifier la contre proposition ?

Observez, comptez les avions, menez une enquête comme ces riverains de Roissy
https://www.youtube.com/watch?v=YmpXs6iG9z0

Cherchez le ciel bleu ! De plus en plus rare et de toute façon plus jamais aussi bleu, du beau bleu profond qu’on a pu lui connaître jusqu’à l’an 2000 à peu près. Cela ne vous gêne pas, ne vous choque pas, ne vous révolte pas qu’il soit si souvent lacéré, voilé, opacifié; et ces couleurs extravagantes que prennent les aubes et les crépuscules et qui révèlent à quel point l’atmosphère est saturée de particules, même dans les lieux les plus sauvages, loin de toute pollution, vous n’avez pas remarqué, semble t-il …

Vous vivez sur Terre et pour bénéficier du porte monnaie confortable que vous assurent vos fonctions d’ingénieur, il vaudrait mieux quand même pour vous être en vie et en bonne santé …

Évitez de prélever de l’eau de pluie et d’en faire analyser la teneur en Al, Ba, Sr …

Ci-joint un argumentaire que nous avons fourni au CNRS en janvier 2014, lors d’un congrès, ouvert à la société civile, auquel nous avons participé.

ARGUMENTAIRE CNAM

Meilleures salutations
Claire Henrion

 

 

Sciences et Vie, octobre 2016                                                               Avions et traînées toxiques, cherchez la preuve
Réponse

Navrant !

Votre encart à la page 115 du numéro d’octobre, intitulé « avions et traînées toxiques, cherchez la preuve » est franchement affligeant pour une revue  comme la vôtre qui s’intitule, faut-il vous le rappeler « Science et Vie ». Ni l’une, ni l’autre en fait.

Vous voulez des preuves ?

Faites de la science, de base, plutôt que de nous citer une soi-disant étude sans source qui prétend qu’ « il ne s’agit que des traînées de condensation des avions de ligne ». Il suffit, où que vous soyez en France comme dans de très nombreux autres pays, de vous octroyer des tranches horaires d’observation pour compter les avions que vous voyez passer dans votre champ de vision.

Observer et compter sont les bases de toute démarche scientifique, n’est-ce pas ?

Vous pourrez constater, comme tout un chacun qui s’y adonne, que certains jours –et nuits-, pour un même créneau horaire, il passe 10 fois plus d’avions que d’autres. 10 fois, 20 fois, 40, voire 100 fois plus !

Et que ceux-ci volent bien plus bas que les avions de ligne, lesquels, vous ne l’ignorez pas, volent de nos jours au-dessus de 10 000 mètres, généralement autour de 12 000. Si vous voyez la carlingue de l’avion à l’œil nu, c’est qu’il n’est pas dans les couloirs civils, mais bien en-dessous, dans l’espace aérien réservé aux militaires.

Et ces avions qui volent entre 2000 et 8000 mètres, qui sont ceux que l’on voit, laissent derrière eux des traînées persistantes qui finissent, certains jours (principalement lorsque la pression atmosphérique est en baisse) par couvrir entièrement le ciel. Il suffit de les suivre des yeux pour s’en rendre compte. Voir ce rapport http://www.acseipica.fr/trainees-davions-et-constat-du-trafic-aerien/

Il faut pourtant certaines conditions de température, pression et humidité pour que des traînées de condensation se forment dans le sillage des avions à réaction. Pour laisser de telles traînées à d’aussi  moyennes altitudes, il faut nécessairement, en vertu des lois de la physique, que des particules soient ajoutées, soit au carburant, soit directement aux rejets de l’avion, pour former des noyaux de condensation. Comble d’ironie, certains de ces avions sont à hélice !!! Mais « ce-ne-sont-que-les-traînées-de-condensation-des-avions-de-ligne » !!! Observez-les d’un peu plus près aux jumelles ou au télescope et vous ne pourrez plus en douter.

Outre ces avions clandestins, non équipés de transpondeurs, qui n’apparaissent pas sur les radars civils quoique bien visibles dans le ciel, une panoplie de particules toxiques est déjà incorporée dans le carburant des avions de ligne depuis bientôt 10 ans. Voir à ce sujet l’étude de Manuel Abegglen & al. de Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich (en PJ) et l’interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke https://www.youtube.com/watch?v=ic4dml5oUVk .

Voir également ce rapport de 2009 sur les phénomènes de condensation liés à la circulation aérienne civile ET militaire, établi par un collège de spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais : Case Orange http://www.acseipica.fr/786/

Quant à la toxicité des retombées, leurs teneurs en métaux lourds (aluminium, baryum, strontium) et en molécules de synthèse, certaines déstructurant l’ADN, les certes modestes analyses d’eau de pluie et de filaments aéroportés que nous avons pu mener, par des laboratoires, d’Etat comme indépendants, en atteste.

http://www.acseipica.fr/filaments-aeroportes-teneur-en-metaux-lourds-rapport-analytika-31-mai-2016/

http://www.acseipica.fr/analyses-de-filaments-tombes-du-ciel-2eme-rapport-analytica/

http://www.acseipica.fr/filaments-tombes-du-ciel-1er-rapport-analytika/

http://www.acseipica.fr/analyses-deau-de-pluie-dans-le-doubs-4e/

Vous avez certainement les moyens d’en mener davantage, à moins que la navrante désinvolture avec laquelle vous traitez ce sujet ne finisse par vous faire perdre votre lectorat.

Veuillez trouver en PJ l’argumentaire que nous avons présenté au CNRS lors du colloque « Science à très grande échelle » en janvier 2014

http://www.cnrs.fr/comets/spip.php?article93

http://www.acseipica.fr/sciences-tres-grande-echelle-colloque-cnrs/

En espérant que Science et Vie honore son titre et demeure une véritable revue de vulgarisation scientifique, indépendante et lucide,  au service de la vie et du bien commun, recevez nos meilleures salutations.

Claire Henrion

Astronome

Fondatrice de l’ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques)

Particulier irrité d’avoir reçu notre flyer dans sa boîte aux lettres -15 janvier 2017
Réponse

je suis absolument désolée qu’une personne ne vous ayant pas rencontré personnellement ait mis ce flyer dans votre boîte aux lettres. Toutefois, autant peut-on se scandaliser de voir tant de papier gaspillé pour des pubs commerciales, autant dites-vous que le précieux arbre qui a donné son bois pour faire le support de la précieuse information que vous avez eu entre les mains, se joint à nous pour tirer la sonnette d’alarme quant à l’empoisonnement constatable du ciel ; il suffit d’observer de manière un peu rigoureuse la circulation aérienne pour s’en convaincre – ceci n’étant que la partie, visible et constatable par tous, de l’arsenal de destruction totale, tenu sous le sceau du secret défense, auquel nous contribuons chaque jour grâce à notre travail et à nos taxes. Si nous nous sentons un tant soit peu respectueux et responsable de la planète que nous laissons derrière nous, il nous appartient à nous, citoyens, de dénombrer et dénoncer les avions dans le ciel (beaucoup plus nombreux que les avions de ligne censés circuler) et de constater les anomalies quotidiennes , en tant de lieux remarquables qu’ils produisent. Les arbres eux, ne demandent qu’à pousser et assainissent sans cesse l’atmosphère. Il leur faut juste les rayons du soleil, un sol suffisamment sain et de l’eau de même. C’est une matière (vivante) des plus renouvelables ! Un arbre abattu, un de replanté, c’est la sagesse du bon cultivateur. Nous n’en abusons pas. Soyez convaincu du respect que nous leur accordons ainsi qu’à vous-même.

Compilation de documentation essentielle

Voici un récapitulatif des documents essentiels que nous vous invitons à référencer

actualisé septembre 2023.

DOCUMENTS

RAPPORTS D’ANALYSES

LIVRES

FILMS, VIDÉOS

ÉMISSIONS TV, RADIOS

Nous pouvons les fournir en brochures à prix coûtant (impression + frais de port) ou vous pouvez les imprimer vous-même.

DOCUMENTS

Constat factuel du trafic aérien
dans le Val d’Oise près de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle, présentation vidéo et texte d’accompagnement. 2016, 2 pages
https://www.youtube.com/watch?v=YmpXs6iG9z0

Articles de loi
223-6 et 223-7, 421-2 et 421-4

ARGUMENTAIRE CNAM
Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat, pourquoi non (colloque CNRS 21-22 nov 2014) 1page

Les mots sont des armes 
article de Maria Heibel 2014

Guerre climatique-M.Filterman Guerre climatique ou manipulation du climat
Conférence de Marc Filterman (ancien de l’Armée de l’Air, spécialiste des carburants d’avions) Saintes (17) 2015,  brochure 25 pages

Pr. Marvin Herndon

Empoisonnement à l’aluminium de l’humanité et du biote terrestre par la géo-ingéniérie clandestine: implications pour l’Inde, article de M. Herndon paru dans Current Science, revue officielle de l’Académie des Sciences de l’Inde (original en anglais) 5 pages

2e article, pas encore traduit :
EVIDENCE OF COAL FLY ASH CONTENT IN WEATHER MODIFICATION 
Fevrier 2016, 7 pages; en français. Voir aussi http://www.cielvoile.fr/2015/11/neige-et-cendre-volante-de-charbon-analyses-comparees.html

Preuve … d’un changement climatique mondial non anthropique ainsi que d’un réchauffement planétaire et d’une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie, article de J. M. Herndon paru dans Journal of Geography, Environment and Earth Science International 2018

———–

Conférence du collectif Skyguards au Parlement Européen Bruxelles 9 avril 2013
Rapport de la conférence « Skyguards » au Parlement européen 9 avril 2013 (17 pages) 17 pages + pétition au Parlement européen 3 pages
Épandages aériens clandestins en Europe, diaporama présenté par Claire Henrion

Rapport Case Orange
2010. Brochure 70 pages. Rapport exhaustif sur les traînées de condensation de tous les avions (pas seulement l’aviation civile) effectué par des spécialistes de l’aéronautique, belges et hollandais, présenté par le Pr Coen Vermoreen, de l’Université de Delft (Pays Bas).

La guerre environnementale globale a déjà commencé
par Fabio Mini, Général de l’Armée Italienne. Brochure 14 pages

Lois de la physique et valeurs des radiosondes
article du Pr Corrado Penna (Italie) – 4 pages

Effets sante environnement ISPerlingheri
deux études du Dr Ilya Sandra Perlingheri (USA, décédée en octobre 2013) –Dix années de guerre chimique par les épandages aériens, 2009 et – Mise à jour récente de nos connaissances sur les toxines contenues dans les aérosols, 2011 (brochure 10 pages)

DOSSIER AUX DEPUTES SENATEURS 18 DEC 2011
10 pages

Manuel sur la chimie des chemtrails de l’US Air Force Academy 1990
Première apparition du mot (brochure 202 pages) page de couverture en tête du présent article

Owning the weather 2025 US Air Force

Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ?
Diaporama de Claire Henrion présenté au Klimaforum de Copenhague le 12 décembre 2009

Déclaration sur la géoingéniérie de Wayne Hall
Grèce, août 2013, 2 pages

dossier de références 

RAPPORTS D’ANALYSES

AnAlytikA (analyse de filaments aéroportés)

Rapport analytika 20160528
2016, dépistage systématique portant sur 50 éléments inorganiques, 2 pages

Rapport_AnAlytikA 01 04 2014
2014, dépistage systématique éléments organiques (filaments prélevés devant huissier), 60 pages

Rapport d’analyses de filaments tombés du ciel
2013, 119 pages

Qualio, analyse d’eau de pluie
depuis 2012

Autres rapports d’analyses
taper « analyses » dans le formulaire de recherchedu site de l’ACSEIPICA et de ciel voilé

LIVRES

La planète Terre, ultime arme de guerre
Rosalie Bertell (« Planet Earth, the latest weapon of war -2000 USA) traduction 2018 éditions Talma Studio

L’arme climatique, la manipulation du climat par les militaires
Patrick Pasin 2017, éd. Talma Studio

La guerre secrète contre les peuples
Claire Séverac 2015 Éditions Elie et Mado

HAARP, and the “Full Spectrum Dominance of Planet Earth
Elana Freeland 2015 (USA)

Les tracés de la mort
Nenki 2003 éditions Louise Courteau (Canada)

Les armes de l’ombre
Marc Filterman 1999 éditions Carnot

Les anges ne jouent pas de cette HAARP
Nich Begich et Jeanne Manning 1995 éditions Louise Courteau (Canada)

L’arme environnementale, Opérations et programmes secrets des militaires
Patrick Pasin, 224 pages, parution le 24/06/2019

FILMS, VIDÉOS

Documentaires incontournables déjà disponibles :

Vers un climat artificiel
Jacqueline Roche 2017 https://www.filmsdocumentaires.com/films/5229-vers-un-climat-artificiel

OVERCAST
L’ Éxpérience Climatique (Documentaire Chemtrails et Geoingenierie) 2019 – 1:22mn

Overcast -Matthias Hancke 2016, primé à Deauville, en français, DVD à commander ici http://boutique-albrecht.com/produit/overcast-2/

THE DIMMING (L’Obscurcissement)
Film de 1h57mn de GeoengineeringWatch.org, doublé en francais

Bye Bye Blue Sky
Documentaire de Patrick Pasin (version française originale de 30′)

LES APPRENTIS SORCIERS DU CLIMAT
ARTE TV 2015

Bye Bye Blue Sky !  ( 30′ – Sous titres en Français) – avec la collaboration de l’Acseipica

TODO: mettre version longue

Chemtrails, idées reçues et conspiration

 Chemtrails : la guerre secrète

Chemtrails la peste chimique venant du ciel, un chaos mondial organisé

ÉMISSIONS TV, RADIOS

Le ciel nous tombe sur la tête sur Meta TV

ACSEIPICA sur Meta TV

Chemtrails/Géo-ingénierie sur Fréquence Evasion avec Claire Séverac

Géo-ingénierie Chemtrails Manipulation – Marc Filterman sur Fréquence Evasion 

Signez notre pétition contre les épandages aériens clandestins

Documentaires en projet :

An UNconventional Shade of Grey – Michael MURPHY

A savoir 

Géo-ingénierie dans la Convention ENMOD:
« Le terme « techniques de modifications environnementales » désigne toute technique pour changer par la manipulation délibérée des processus naturels la dynamique, la composition ou la structure de la Terre : biosphère, lithosphère, hydrosphère, atmosphère et environnement spatial. »

Rappelons qu’en 1977, la convention ENMOD, a limité les manipulations délibérées de l’atmosphère en cas de guerre ou de conflit (article 1) et les a autorisées dans un but «pacifique» (article 3).
La géo-ingénierie est une discipline étudiée depuis les années 1950-1960, avec une accentuation vers 1990, et une accélération en France depuis 2007/ 2008.

GEO-INGENIERIE DU CLIMAT – Gestion du Rayonnement Solaire – GRS
Climate Engineering – Solar Radiation Management – SRM

Certains scientifiques pensent que la redirection vers l’espace du rayonnement solaire pourrait être une solution afin de limiter les effets du réchauffement climatique. Le rejet dans l’atmosphère de micro-particules chimiques d’aluminium – soufre – baryum sous forme d’aérosols réfléchissant la lumière pourrait contribuer à diminuer l’absorption d’énergie solaire par la planète.

Une série d’applications futuristes, étudiées publiquement par la Royal Society de Londres, ou encore par l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), mais aussi par des scientifiques comme David Keith ou Ken Caldeira – programmes soutenus par des institutions telles que le Council on Foreign Relations (CFR), ou encore Bill Gates et suivies de près par l’ETC Group, visant à bloquer un pourcentage du rayonnement solaire par des interventions très risquées à grande échelle dans l’atmosphère, la stratosphère et l’espace extra-atmosphérique, sont déjà en vigueur et auraient pour effet de modifier les températures de la planète et la configuration des précipitations sans pour autant s’attaquer aux causes du «réchauffement climatique» tout en augmentant en fait, l’effet de serre, en détruisant un peu plus la couche d’ozone, l’ensemble de l’éco-système, en modifiant le ph des sols mais aussi en impactant notre Santé et celle de nos enfants ; ces micro-particules ne restent pas en suspension ; nous les inhalons et celles-ci se fixent dans nos poumons, nos muscles et notre cerveau.

Merci de prendre quelques minutes pour vous renseigner en consultant cette compilation de documents sous ces liens !

ACSEIPICA

Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques

Vidéo « traînées d’avions et constat du trafic aérien » à l’exposition « Bizarre » à Monaco 2-19 décembre 2016

145 avions en une heure

Quelques mots concernant l’exposition « Bizarre », dans cette galerie centrale située sur le port de MONACO. Exposition particulièrement intéressante car parmi les œuvres exposées, il y avait le montage vidéo « traînées d’avions et constat du trafic aérien » de Christine Stromboni (ACSEIPICA) en collaboration technique avec le C.I.M. et montage vidéo de l’artiste Christian Giordan.

Travail d’excellente qualité, bravo à Christine Stromboni ! Informations limitées mais suffisantes car essentielles et très pertinentes pour accrocher le regard et faire réagir. Dommage que les écrans vidéo sur le côté, de part et d’autre du panneau central, étaient  peut-être un peu petits et difficilement lisibles, sauf à s’en approcher de très près. Les extraits sélectionnées pour la vidéo, images que nous connaissons bien, étaient très parlants et exprimaient clairement la situation sur une durée qui ne pouvait qu’être très courte pour un public non informé.

Merci à Christine Stromboni pour ce travail important pour le réveil des consciences à cette situation dramatique pour notre terre, pour la vie sous ses formes multiples.

Je joins quelques photos du montage vidéo pour donner une idée mais mon appareil est tout à fait primaire !

Claire Gillespie

OVERCAST à Rodez-25 nov et Montpellier-4 dec 2016

Actualisation: le film est maintenant disponible en ligne
https://www.youtube.com/watch?v=yoxMEbPp_7Y

 

Une enquête sur l’ingénierie climatique

un film de Matthias Hancke,
présenté en finale au Deauville Green Awards 2016
commander le DVD


overcast-broussy24nov16A RODEZ

vendredi 25 novembre 2016 à 18 heures

Au café « Le Broussy »

1, place d’Armes, 12000 RODEZ
projection suivie d’un débat avec Claire Henrion et les membres ACSEIPICA locaux
entrée libre


overcast-montpel4dec16A MONTPELLIER

dimanche 4 décembre 2016 à 15 h 

66 Cours Gambetta, 34000 MONTPELLIER
Tram 3, Station Plan Cabanes
Projection suivie d’un débat avec Selim Saou et les membres ACSEIPICA locaux
Elle s’inscrit dans la continuité du café climat du 29 novembre organisé par Happy Planet.
De 15h à 19h, entrée gratuite

GÉOINGÉNIERIE ENQUÊTE Chemtrails – Ondes – Polymères – Impacts

Chantal Dumas


À savoir si c’était des Lockheeds Martin F-22 Raptor, je n’y connais rien en matière d’aviation, une chose CERTAINE, c’est que c’était des avions de chasse de l’armée, couleur gris foncé sans aucune démarcation, sans signe particulier sur leur habitacle visible.
Ceci quelques heures avant la pluie de filaments du 07 novembre 2013 en Drôme Ardèche, phénomène ayant défrayé la chronique.

Le hasard a voulu que j’assiste de mes propres yeux au passage de ces chasseurs manœuvrant en vols parallèles, situés en basse altitude arrivant du Sud en direction du Nord.
Tous laissaient de grosses traînées blanches derrière eux. Visuellement, la distance entre chacun d’eux était identique. Sauf, l’un d’eux, plus en retrait, qui avant de s’aligner avec les autres, a fait un cercle complet. Celui-ci m’a particulièrement stupéfié après avoir fait un largage 2 à 3 fois plus important que le restant du groupe, entraînant derrière lui une épaisse fumée cotonneuse blanche qui s’étendait et s’étalait de façon spectaculaire !!!
J’ai besoin d’un éclaircissement : « Comment cela se fait-il que des opérations semi-dévoilées au grand public, censées être exercées exclusivement dans le cadre de la géoingénierie, ensemencement des nuages et création de bouclier nuageux artificiel, se fasse juste en dessus des habitations et en si basse altitude !??? Il m’est personnellement difficile de ne pas y voir là une toute autre expérimentation parallèle bien moins avouable….

Deux ans plus tard, les journalistes du secteur ont renouvelé un article au vu que cet événement soit porté définitivement aux oubliettes. Aussi, je remercie par avance les hommes de pouvoir qui voudront bien se risquer à me répondre. Je suis patiente, c’est quand vous voulez….

Bref, quelques heures après le passage des chasseurs, le ciel se voilait et dans l’après-midi commençait la chute des mystérieux filaments…
Dans notre Région (Drôme), depuis la pluie de filaments du 07  novembre 2013, qu’est ce qui a changé pour ce qui concerne les polymères organiques aéroportés ?
C’est aussi à partir de là que j’ai commencé à me poser des questions et à réagir activement en multipliant les observations de terrain, les recherches et les contacts cherchant à m’informer, presse, internet,… et contactai différents organismes.

Mon tout premier lien internet fût celui-ci, utile à ma compréhension et prise de conscience du phénomène :
AVRIL 2013 Claire Henrion présidente de l’ACSEIPICA à la conférence du 8 & 9 avril 2013 au parlement européen :
https://realinfos.wordpress.com/2013/04/20/chemtrails-skyguards-8-et-9-avril-2013-claire-henrion-au-parlement-europeen/

Personnellement ça fait bien longtemps depuis que je ne regarde pas la météo mais me fie à l’état anthropique du ciel…

À savoir, qu’avant cet événement très préoccupant, mon attention était orientée dans le cadre d’une maladie infectieuse appelée : la borréliose de Lyme et sa chronicité. Comme le nuage de Tchernobyl, cette maladie s’est arrêtée à nos frontières : « En France, 5 000 cas sont officiellement recensés en 2012, contre prêt de 1 000 000 de patients traités en Allemagne !!! ». Sous l’effet du réchauffement climatique et la déforestation, la Borréliose de Lyme est devenue la deuxième maladie infectieuse après le SIDA. (L’estimation réelle en France étant d’environ 65 000 nouveaux cas/an et 80 000 nouveaux cas/an pour les données allemandes, ce qui se tient. Ceci est égal à 1% atteint de cette maladie et donc « potentiellement » 1% des donneurs de sang !…). La Borréliose de Lyme est une réelle pandémie, plus dramatique encore que cette maladie grave, tenace et insidieuse, je reste sidérée de voir autant de victimes d’un système destructeur où les malades à leurs dépends sont utilisés comme source d’énergie faisant émerger un business financier fleurissant… Mais COMMENT POUVAIS-JE UN INSTANT IMAGINER RENCONTRER UNE SITUATION BIEN PIRE ENCORE !!!???…
En juin 2013 environ, je suis tombée par hasard sur des vidéos via internet exposant le déni orchestré autour d’une maladie appelée le Morgellon.
On ne sera d’ailleurs pas étonné, que des personnes atteintes de Morgellon, soient aussi positif à la Lyme en raison d’un système immunitaire affaibli…
Puis, le temps a passé et j’ai attendu le 07 novembre 2013 !!! BEN OUI !…QUE ÇA ME TOMBE SUR LA TÊTE POUR RÉAGIR !!!….

Synthèse sur les filaments aéroportés :
Au fils du temps et les mois qui ont suivi, la chute et leur présence sur les sols ont été quotidiennes et le sont toujours aujourd’hui (preuves clichés en vidéo), bien que moins visibles en raison d’une augmentation des vents anthropiques tout azimut, fragmentant la fibre des polymères.

Leur observation en amas devint moins courant. Quelques heures après les épandages chimiques, leur présence, en filament épar rend la prise d’un cliché en macro assurément compliquée, voire impossible.

Une fois à terre, selon les vents et températures, les polymères perdent rapidement de leur volume (- H2O), donc moins collants jusqu’à perdre leur propriété élastique.

Moins chargés en eau, au microscope, leur matière est plus dense, plus compacte, plus chargée en poussières et additifs polluants.
D’un blanc immaculé, certains filaments sont passés au gris, se fragmentent jusqu’à ne plus devenir visibles à l’œil nu.

Il existe plusieurs fibres et de différentes couleurs : rouge vif métallisé – jaunes doré – blanc – bleu….

Plusieurs mois après, je constatai que leur membrane interne devint plus cassante, soit, se désintégrant d’avantage en fines particules dans l’air.
Les polymères sont du coup beaucoup moins entremêlés, plus épars, moins de présence d’amas, donc moins perceptibles à l’ œil nu ainsi que stipulé ci-dessus.

Ils disparaissent plus rapidement par le système d’évaporation d’eau et par dilution : si l’air et les sols sont plus chargés en hygrométrie.

Une fois tombés au sol, les polymères semblent perdre de leur capacité adhésive. Il n’en demeure pas moins qu’ils conservent leur caractéristique électromagnétique. Soit, il reste courant d’en retrouver sur les carrosseries de véhicules, grillages de clôtures, fils d’étendage… mais surtout, le comble de l’ironie : ils se font piéger par les toiles d’araignées !!! (il ne suffisait pas d’avoir accusé à tort les aranéides, voilà que maintenant leur habitacle est devenu inhospitalier, littéralement infecté pour certains)…

Cette vidéo est une synthèse relatant des faits et documents réels, vécus depuis le 07 novembre 2013 jusqu’à ce jour.
Aujourd’hui, je reste seulement active dans l’envoi régulier des clichés du ciel anthropique de ma Région auprès de l’Association citoyenne ACSEIPICA. Il s’agit d’une enquête indépendante, personnelle, menée à la suite des filaments tombés du ciel le 07 novembre 2013 sur notre Région de Drôme-Ardèche. Par mesure de précaution, de respect et droit à la personne, aucun nom, ne sera divulgué.

Pourquoi ? Dès lors que je me suis mise à m’intéresser aux problématiques liées aux épandages aériens et que j’ai voulu en savoir plus sur les polymères organiques aéroportés, j’ai été confrontée à une forme de réticence de la part de certains interlocuteurs. Indéniablement, le simple fait d’évoquer le sujet « Filaments issus des Chemtrails » dérangeait grandement.

À noter quelques railleries ou on vous envoie vers d’autres interlocuteurs, histoire de se débarrasser plus vite du problème. Également des formes de déni orchestrées, genre : « jamais entendu parlé, non, je ne vois pas, non, pas au courant… », mais essentiellement des contrevérités, des formes d’hypocrisie cocasse, genre : « Ah, non ! Nous on ne fait pas ce type d’analyses ici, ou cela, vous coûterez quelques milliers d’Euros, etc… » (ça c’est pas mal non plus, histoire de dissuader…). Etc.

J’ai eu aussi un personnel qualifié dans les pollens et micro environnement et qui restait toujours sur sa position initiale (qu’en est-il aujourd’hui, je l’ignore) : « les polymères sont issus des fils de dispersion de la vierge liés à certaines espèces d’aranéides ! disait-il… ». Cette personne poussera le vis et la dérision en rajoutant ceci : « Vous savez, un jour, une personne m’a amené des échantillons en disant que ça ressemblait à de la peau humaine alors que c’était des résidus d’écorces de cyprès… ». Mais, bien sûuuuuur !!!! Pffff…..
Et, quand vous lui dites, qu’il y a eu des analyses qui ont été faites concernant les polymères et que vous lui annoncez ce que c’est en réalité, il vous dit : « désolé je n’ai pas le temps, là, j’ai du travail !… ».

Y’en a eu un, dans le lot, qui a été moins « langue de bois » que les autres et qui m’a dit : « nous privilégions la piste « anthropique » sans pouvoir la démontrer avec certitude, d’autres spécialistes dont c’est le domaine (biologie, chimie) doivent faire leur travail, pour confirmer cela ou pas, ce n’est pas le nôtre !!! » et il rajoutera entre autre : « pour moi il y a deux types de spécialistes à interroger :
– des spécialistes de l’environnement et en particulier des araignées ;
– des chimistes pour analyser chimiquement ces fils ;
J’ai été contacté par une chercheuse du CNRS qui travaille justement sur ce phénomène  des « fils de la vierge ». Elle semble formelle sur le côté « naturel » de la chose…et donc de ce que l’on a observé en Drôme ; l’ampleur du phénomène l’a seulement un peu intriguée et pourrait s’expliquer par des conditions météo particulières…. ».
Cette chercheuse du CNRS a été impossible à retrouver !!!!! : « inconnue au bataillon !!! », bien sûr ce sont des choses qui arrivent souvent !!! : Peut-être la retrouverais-je dans les  » FAITS DIVERS  » ??? avec un gros titre genre : « DISPARITION INEXPLIQUÉE DE PERSONNELS AU SEINS DU CNRS »… Mais restons sérieux…

Bref, de fils en aiguille, j’ai eu la chance qu’on me mette en relation, enfin, auprès d’une autre chercheuse du CNRS pour l’échange d’échantillons de polymères, piège à particules sèches, récolte d’eau de pluie. L’entretien suivi aura duré plusieurs mois. Je suppose que si cela aura pu se faire, c’est que je me serais contentée tout ce temps d’écouter et de suivre les instructions sans poser de questions ou presque ?
Par contre, bien qu’allant à l’encontre de l’avis de la chercheuse, jouant « cartes sur table », j’aurais pris la peine de l’informer, dès le départ, de mon point de vu « ferme et arrêté » sur l’origine des polymères.
Mon premier contact qui a été téléphonique, aura été pour le moins très surprenant mais malheureusement toujours dans le même état d’esprit !!!
Surtout avant de lire ce qui va suivre : pensez que cette scientifique ne fait que répéter les consignes et ordres qui lui ont été conférés et commandités…. :

Les points positifs :
1- La personne ne dénigre pas l’évidence même : aussi que ces filaments ne sont pas du tout de même nature que les toiles d’aranéides !!!
2- Elle est sensibilisée par le fait que la circulation croissante liée aux passages des avions peut également entraîner une perturbation climatique….

Le point négatif, (à savoir que je n’avais fait aucune demande particulière, ni posé aucune question) : Cette personne, d’une voie très calme, mélodieuse et de façon méthodique se met à me relater les faits du 15 février 2013, où une grosse météorite est entrée et a explosé dans l’atmosphère terrestre à plusieurs kilomètres d’altitude, provoquant ainsi cette pluie de météorites autour de la ville russe de Chelyabinsk (dans l’Oural). Elle m’informe que depuis la désintégration de cette météorite, on a pu remarquer une modification significative sur un dérèglement climatique, cela, sur l’ensemble du globe.
Nous suivons cela de très prés dit-elle ! La dernière fois qu’un tel événement s’est produit avec des dégâts encore plus importants, c’était le 30 juin 1908, en Sibérie, dans la région de la Toungouska….

Bref, cette personne fait le lien entre cet événement du 15 février 2013 et les filaments tombés du ciel le 7 novembre 2013 !!! Elle dit que ceux-ci font partis des mystères de la nature et que l’on est loin d’imaginer toutes ses merveilles… (le mots « merveilleux », par ailleurs, revient avec insistance et à plusieurs reprises).

Soit : cette matière se diluant dans les sols ne représenterait aucun danger pour l’Homme, voire au contraire : elle ferait partie des mystères fascinant de la vie au même titre que les traces d’ADN retrouvées dans certains météorites…

Cette personne se veut rassurante et me dirige ainsi par ses propos vers la théorie extraterrestre pour ce qui est à l’origine de ces filaments !!!

TOUS CES PROPOS QUI REPOSENT SUR DES FAITS RÉELS, SELON MOI, SONT, BIEN ENTENDU, PURES DIVAGATIONS ET PROPAGANDES HISTOIRE DE NOYER LE POISSON DANS L’EAU…

À noter que si une météorite similaire avait déjà frappé la terre en fin 2012 (date des premiers prélèvements d’échantillons analysés) ou même en 2007, lors des analyses du Docteur Zamengo de l’université Ca’ Foscari en Italie et bien cela se saurait !!!!!
C’est vraiment à se demander pourquoi autant de zèle et d’application dans une histoire comme celle-ci, à dormir debout ?

QUE VEULENT-ILS BIEN NOUS CACHER ?
– Que leurs essais d’épandages comportent des risques sur l’environnement, l’écosystème, la biodiversité, le monde animal et l’être humain et qu’ils ne sont pas en mesure réellement de quantifier exactement leurs impacts ? (Est-ce que ce sera 10, 20, 30% ou plus de la population qui sera affectée ?)
– Qu’exposer au monde de tels procédés en stade expérimental, ceux-ci n’auraient jamais pu voir le jour car jugés, par la population, trop risqués et peu viables, quelles qu’en soient les raisons exposées ?
– En gros, qu’ils ne maîtrisent, en fin de compte, pas grand-chose, qu’ils ne sont pas en mesure de dire si le jeu en vaut réellement la chandelle ?
– Que maintenant la machine lancée, ils ne peuvent plus faire marche arrière : trop d’investissements économiques, financiers sont en jeu ?
– Que spéculateurs et investisseurs tiennent les rênes et qu’eux-mêmes sont devenus les instruments d’autres marionnettistes bien plus avides et perfides ?
– Que sous-couvert d’une lutte contre le réchauffement climatiques, lutte hasardeuse et soumise à controverses entres scientifiques, mais soit disant utile et nécessaire, d’autres profitent de l’opportunité pour officier dans des buts (militaires, puisque ayant racheter les brevets scientifiques des géoingénieristes…) bien plus risqués et bien plus inavouables encore ? (Il ne suffirait certainement pas des 10 doigts de la main pour énoncer les toutes les raisons aux multiples facettes des épandages).
– Que nous sommes entrés dans une guerre silencieuse « légitime », sous forme de sélection naturelle, sans merci, évoquant une surpopulation mondiale engendrant une baisse critique des ressources terrestres ne pouvant assurer telle que la pérennité de l’existence humaine sur terre ? (Justement on en parle aujourd’hui à la télévision, y a-t-il vraiment de hasard, où suis-je Madame Irma !???LOL)…..

En fin de compte, la réalité ne dépasserait-elle pas la fiction ???
« Ne sommes nous pas les figurants, victimes d’un scénario catastrophe qui aurait pu être inspiré des plus grands chefs-d’œuvre de Stephen King avec une fin s’annonçant peu glorieuse ? »

N’en déplaise à certains, mais j’étais bien au premières loges lorsque des « Chasseurs » précédant cette pluie massives de filaments du 07 novembre 2013, sont passés au dessus de la maison . Ils laissaient s’échapper derrière eux des épandages d’épaisses fumées blanches s’étalant dans le ciel jusqu’à former un voile sur toute sa superficie.

J’ai pu remarquer que plus la pression atmosphérique est chargé en eau plus les filaments sont épais, collants & résistants (élastiques) et l’on peut alors apercevoir des amas qui se forment (filaments entremêlés). Ne pas les voir, ne veut pas dire qu’ils ne demeurent pas.

Tout me laisse à penser que les caractéristiques et propriétés des filaments, entrant en combinaison avec les quelques éléments de l’air auxquels ils s’associent (eau, hydrogène, oxygène, azote, etc.), auraient la capacité de se régénérer? Ceci m’a donné l’idée d’en faire une culture afin d’en étudier l’endurance, l’avancement et le comportement.

Intéressant de savoir que quelques morceaux de brindilles auxquels étaient agrippés les filaments ont été également déposés dans le liquide. Le bois des brindilles même coupé continue à travailler, c’est un matériau dit « hygroscopique ». Même constat pour les filaments, même après avoir hiberné pendant 2 mois au frigo, à l’abri de l’air, sous pli aluminium !!! Une sacrée résistance en somme !!!

Les filaments après s’être dissous littéralement se sont comportés comme un champignon parasitaire venant ensuite s’agglutiner autour des morceaux de brindilles et ont fabriqué ensuite des ramifications faisant comme une forme de cocon fibreux cotonneux.

Ensuite, une forme de mère jaunâtre, comme ce que l’on peut voir dans le vinaigre, se forma, mais d’aspect beaucoup, beaucoup, plus fluide, se dispensant dès qu’on agite le flacon et se reformant au repos !!!!….
D’après moi, ils peuvent se présenter sous différentes formes, donc, particulaires, dissoutes, volatiles ou non, en fonction des différents critères de situations (pression atmosphérique, hygrométrie, températures…).

Les filaments ne sont pas toujours perçus à l’œil nu.
Ce qui est de toute façon visible (par beau temps, de façon évidente), c’est la formation de voiles nuageux artificiels d’origine anthropique dans le ciel. Ciel aux couleurs dénaturées et/ou saturées, tellement chargé en particules polluantes après épandages chimiques (ou Chemtrails).

Mes observations complémentaires : La matière des polymères est capable de faire corps avec les éléments. La nature chimique des chemtrails crée artificiellement des zones dépressionnaires provoquant nuages et/ou pluies, vents….
La masse nuageuse anthropique crée un bouclier et empêche la pollution ascendante de se disperser de façon homogène dans l’atmosphère et rend l’air moins respirable et donc plus nocif (effet de serre), comme nous le savons.

Suivant les conditions, les différents critères de situation, les éléments, auxquels est soumis le polymère organique complexe (ou dit « non identifiable » après analyses, puisque fabriqué en laboratoire, non breveté pour éviter les fuites de divulgation), son aspect varie.

Une partie s’évapore (air), une partie se dilue dans l’eau (sol), une partie de dissout en fines particules (poussière) dans l’air et une partie n’est-elle pas directement ingérée par la matière organique vivante ? À l’échelle du nanomètre toutes les hypothèses sont envisageables….
Que maîtrisons-nous au juste? Dans le cadre de la nanotechnologie, créer une nouvelle forme de vie en combinant du vivant et du non-vivant, ça aujourd’hui, on sait le faire !!! Oui, créer ne semble plus poser de problème, mais, conscientiser, appréhender de façon concise et responsable, l’interaction et l’impact éventuelle auprès des formes de vie déjà naturellement présentes sur terre, là, la tâche devient plus compliquée !!!
Il n’y a aucun mérite, quel que soit l’enjeu, de créer une nouvelle forme de vie qui détruit ou déstabilise l’équilibre naturel de la vie sur terre…. La nature nous apprend de surcroît que toutes choses perdurent dans le temps à condition qu’elles vivent avec ses particularités propres en harmonie avec son environnement et non au détriment de celui-ci en se comportant comme un vulgaire parasite !!! Tout repose, dans l’Unité, intelligemment, en un subtil équilibre.

Le polymère est capable de rester longtemps en suspension dans l’air. Il remplit avec succès ses fonctions premières, orchestrée par nos apprentis sorciers, soit, entres autres : « servir de parachute pour diverses additifs créant ainsi une barrière pour les rayonnements du soleil afin de retarder les effets du « dit » réchauffement climatique ».

Personnellement, ce qui me pose problème par-dessus tout, c’est ma théorie exposée ci-dessus, concernant son adaptabilité aux éléments terrestres et son autorégulation dans notre atmosphère et notre environnement…

Différents critères me pousse à émettre l’hypothèse suivante : Après avoir été épandus, la formation des polymères s’auto-régule en partie, peut-on parler alors de régénérescence ?? Quoiqu’il en soit, ils ont une force d’adaptation spectaculaire !!!! Autonomes, sans qu’il soit besoin de les réalimenter constamment, ils semblent s’auto-alimenter grâce à la molécule d’eau présente dans l’air et le cycle de celle-ci.

Pour se faire des bactéries sont automatiquement utilisées, mais lesquelles sont-elles, E-Coli et leur effet glaçogène, etc… ???

J’ai lu plus tard que que le baryum absorbant fortement le dioxyde de carbone et l’eau, en combinaison avec l’aluminium, agiraient ensemble pour diffuser du courant dans le « dit » bouclier, ajoutés au nitrates, monoxyde, dioxydes de carbone, fluorocarbones, hydrocarbornes…. ainsi que nos fameux polymères électromagnétiques (pouvoir d’attraction, servant de véhicules), mélangés avec du matériel biologique, permettrait la suspension de tout ces mélanges de particules dans l’atmosphère pendant de plus longues périodes… avant de retomber sur terre ou de se dissoudre dans les pluies, les sols… bien évidemment rien ne se perd !!!

À l’époque j’avais fait un beau travail également auprès de la spécialiste en aranéologie maintes fois citée dans les média. J’ avais été la seule à comprendre qu’elle avait été plus ou moins dupée par les média et que ses propos avaient été coupés et utilisés à ses dépends, aussi je lui avais envoyé des filaments qu’elle aura pu étudier personnellement pour se faire son propre avis avec des bases solides, d’authentiques échantillons prélevés sur le terrain. Après quelques échanges elle s’était confiée que dorénavant elle se méfierait.

Bilan : lors des épandages intensifs devenus aujourd’hui récurrents avec d’avantage d’ondes ajoutées (HAARP) qu’il y a 2 ans, je peux remarquer une recrudescence de problèmes de santé divers et varié, allergies ORL & cutané, (yeux, nez, voies respiratoires, peau), fatigues, maux de têtes, difficulté de concentration… des maladies gastriques, cancers poumon, colon…, accidents de la route en augmentation également dus aux intempéries liées à la modification climatique engendrée par ces opérations d’épandages orchestrés et pas uniquement à une baisse de vigilance, dépression, Alzheimer, autisme…. Des gens meurent ou sont affectés à différents niveaux en raison des problèmes occasionnés par ces épandages chimiques… Nous, nous le savons !!!!

Pour terminer, ma petite attention aux plus sceptiques, pour vous aider à avaler la pilule rouge, j’ai quand-même pensé à vous mettre de la musique douce !! ;-)) Gardons, consciemment, la Foi et l’humour…
Amicalement Vôtre,

Chantal, alias « Fleur de Lotus » pour le microcosme et ce que la Nature a fait de plus beau & « The Mutant 26 », pour le reste et ce que l’homme a fait de pire, car quand je vois cela, je n’ai pas l’impression d’appartenir au même monde !!

Traînées d’avions et constat du trafic aérien

La Frette sur Seine analyse du trafic aérien

A la Frette sur Seine (95 – Oise, près de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle).

Observation rigoureuse et analyse chiffrée du trafic aérien qui démontre que le nombre d’avions nous survolant peut être plus que décuplé d’un jour sur l’autre.

 

et autres prises de vue de ciels quadrillés en Corse et ailleurs.

Un excellent travail que chacun peut effectuer là où il est. C’est de la science citoyenne à la portée de tous. C’est une des meilleures preuves. A vous !