Association Citoyenne pour le Suivi, l'Étude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques
Preuves
Preuves de la réalité des programmes d’interventions climatiques et atmosphériques et de leur exécution à moyenne et grande échelle depuis une cinquantaine d’années
Documentaire de 2017 réalisée par Jacqueline Roche, journaliste & photographe et produit par l’association HDC. Ce documentaire aborde la question de la geo-ingénierie, l’obscurcissement de la planète, l’acidification de notre corps, les changements climatiques provoqués par cette nouvelle technologie, Haarp…
« Notre ciel est souvent voilé et nous perdons de la lumière ». C’est ce constat qui a d’abord intrigué Jacqueline Roche, photographe professionnelle et donc sensible à la lumière. Un constat qui l’a amené à étudier le sujet puis à mener une véritable enquête et à découvrir la Géo-ingénierie : la science de la modification du climat.
Après l’artificialisation des sols, nous assistons aujourd’hui à une artificialisation globale du climat. La géo-ingénierie regroupe l’ensemble des techniques qui visent à modifier le climat et l’environnement de la Terre à grande échelle. Dans le ciel, cette technologie industrielle, parmi d’autres que nous découvrirons, consiste à pulvériser des aérosols dans l’atmosphère pour créer un ensemencement de l’air et des nuages et filtrer le rayonnement solaire. Une enquête complète menée dès 2014 sur un phénomène qui ne fait l’objet d’aucun débat citoyen et qui reste ignoré du grand public.
Ce documentaire-évènement fut présenté par Jaqueline Roche en présence de Patrice Hernu LE LUNDI 6 NOVEMBRE 2017 à Lattes (près Montpellier).
Nous l’avons minutieusement préparée dans l’optique de marquer efficacement le plus grand nombre ainsi que nos élus.
Une telle action dans le chaos ambiant ?
Au point où l’on en est … tous les scandales se révèlent. Celui-ci est énormissime, mais son tour va venir, grâce à nous tous qui n’aurons pas lâché le morceau. C’est une affaire de longue haleine.
Tant qu’il nous reste du souffle !
Nous vous sollicitions vivement pour prendre rendez-vous auprès de votre député et de votre sénateur pour leur remettre en main propre une version papier de cette lettre. C’est ce qui fera le plus de poids et assurera la validité de l’action.
Les envois par mail sont en bonne voie. Vous pouvez désormais utililiser la version ci-dessous, récemment complétée d’une annexe « Géoingéniérie: Quel impact sur la santé publique ? » pour:
l’imprimer et la porter en main propre à votre député et vos sénateurs (téléchargez le pdf)
la diffuser dans votre entourage, dans vos réseaux, vos associations et les médias que vous avez envie de contacter (commentaires sur le web ou courrier des lecteurs pour les journaux/revues papier)
Faites-nous part des contacts auxquels vous avez fait suivre ici même en commentaire.
Pour toute question concernant votre participation à cette action, écrivez-nous à acseipica.association@gmail.com
Demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire sur les épandages aériens et les pratiques secrètes de géo ingénierie en France
En vertu de la Constitution1, notamment en son article 51-2 ;
« Pour l’exercice des missions de contrôle et d’évaluation définies au premier alinéa de l’article 24, des commissions d’enquête peuvent être créées au sein de chaque assemblée pour recueillir, dans les conditions prévues par la loi, des éléments d’information. La loi détermine leurs règles d’organisation et de fonctionnement. Leurs conditions de création sont fixées par le règlement de chaque assemblée »,
De la Charte de l’environnement2, notamment en son article 5;
« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertain en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage »,
de la loi n° 95-101 du 2 février 1995, relative au renforcement de la protection de l’environnement3,
du Code de l’environnement, notamment en son article 110-14,
de la Convention sur la diversité biologique, notamment en son article 145,
de la jurisprudence CEDH 25 sept. 2012, El Haski c/ Belgique, n° 649/08, § 83, RFDA 2013. 5767.
À Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs Français, Mesdames, Messieurs,
Nous, membres de l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA), vous alertons sur le danger sanitaire et environnemental sans précédent causé par des opérations secrètes de géoingénierie en France et, par conséquent, nous vous demandons la création d’une Commission d’Enquête parlementaire.
Aujourd’hui nul ne peut nier l’existence de la géo-ingénierie
Les médias abordent le sujet8. Dans sa version civile, la géo-ingénierie propose de réduire le « réchauffement climatique », notamment en dispersant dans le ciel des aérosols composés de particules pour réfléchir le rayonnement solaire et le renvoyer dans l’espace9.
Quelques faits reconnus et les dispositions légales internationales relatives
Militaires
Des essais de guerre bactériologique ont été menés en secret au Royaume-Uni entre 1940 et 1979 sur la population britannique10.
Durant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a empoisonné le terrain de l’ennemi en utilisant l’agent Orange11 et a provoqué des pluies diluviennes pour le rendre impraticable avec l’Opération Popeye12. « Dans le plus grand secret, des bombardiers larguent, entre 1967 et 1972, des tonnes d’iodure d’argent au-dessus de la piste Hô Chi Minh, par laquelle les Nord-Vietnamiens, communistes, ravitaillent la guérilla au sud en contournant la ligne de démarcation par les pays voisins. »13
Suite à ces événements, l’Assemblée Générale de l’ONU a adopté le 10 décembre 1976 la Convention Internationale ENMOD, qui porte sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, mais la France n’a jamais été partie de cette Convention14.
Le terme « géo-ingénierie » n’a été inventé qu’après l’an 2000 mais c’est déjà de cela que relèvent ces exactions, puisqu’il s’agit de manipulations de l’environnement à grande échelle.
Civils
L’opération Cirrus ou projet « Stormfury » était un programme expérimental américain de recherches sur la modification des cyclones, mené par les États-Unis entre 1962 et 198315.
La Chine n’a pas caché qu’elle utilisait des techniques de géoingénierie pour éviter les pluies pendant les Jeux Olympiques de 2008 à Pékin16 ou lors du 100ème anniversaire de la République populaire de Chine17. Elle dispose d’une administration météorologique, sur le site internet de laquelle il est mentionné que la Chine manipule le climat depuis 60 ans18. Et, d’après plusieurs articles publiés dans la presse, dont celui du journal TheGuardian datant du 3 décembre 2020 : « La Chine prévoit une expansion rapide de son programme de modification des conditions météorologiques … »19
La Fédération de Russie ne cache pas non plus qu’elle utilise de telles pratiques lors de grands événements comme les défilés militaires pour la fête nationale20.
Dispositions légales
Le 27 octobre 2010 à Nagoya, la dixième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB), a adopté la décision X/33, « moratoire de fait » concernant la géo ingénierie civile.21 La France a ratifié cette convention le 31 août 201622.
Aux États-Unis, l’État de Rhode Island a adopté, en janvier 2022, le « Clean Atmosphere Act ». Ce projet de loi est vaste et comprend la réglementation et l’interdiction d’activités allant de l’injection d’aérosols, du blocage du rayonnement solaire et de la manipulation météorologique à la séquestration du carbone et à la fertilisation des océans, en passant par l’élimination des rayonnements radiofréquences et micro-ondes inutiles. Le projet de loi propose que toutes les activités atmosphériques soient soumises à une autorisation de l’État. 23
Le Mexique a interdit explicitement la géo-ingénierie le 13 janvier 2023. Le Secrétariat à l’environnement et aux ressources naturelles précise alors dans un communiqué : « Il y a suffisamment d’études qui montrent qu’il y aurait des impacts négatifs et inégaux associés à la libération de ces aérosols »24.
Et, en 2023 aux USA, après l’état du Texas, le New Hampshire, l’état de Rhode Island, le Dakota du Sud, l’Illinois et le Kentucky viennent de promulguer une loi interdisant nommément: les épandages de produits chimiques, la géo ingénierie, l’ensemencement des nuages et l’injection d’aérosols dans la stratosphère25 .
Mais ces actes publics ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
En effet, hormis les opérations passées qui sont aujourd’hui déclassifiées, les pratiques de géo-ingénierie militaire et civile, clandestines, ne relèveraient-elles pas du secret défense ?
En France comme dans les autres pays membres de l’Union Européenne, l’acceptation forcée d’un programme d’épandages aériens ne nous serait-elle pas imposée par l’OTAN ? Sous le sceau du secret ? Depuis les années 1998-2000 ?
Faits clandestins, observations, témoignages et questions
Depuis 20 ans, nous compilons les relevés de nombreux observateurs en France. Cela met en évidence que deux jours sur trois en moyenne, le trafic aérien est anormalement dense, et que la plupart des avions ne sont pas identifiables26.
Les jours où la circulation aérienne est anormalement intense, si nous cherchons à identifier les aéronefs à l’aide de l’application en ligne « Flightradar » qui notifie en temps réel les avions équipés d’un transpondeur actif, tels que les avions civils, nous constatons qu’une grande majorité d’entre eux ne sont pas reconnus par l’application. Nous en déduisons que ces avions n’activent pas leur transpondeur et qu’ils ne sont donc pas civils. Sont-ils militaires ? Clandestins ? Il y en a de toutes sortes, c’est ce qui ressort à l’observation aux jumelles27.
Quels sont donc ces avions non identifiés que nous voyons se suivre à la queue leu leu sur la même trajectoire, ou en escadrille, dessinant des courbes, en-dessous des couloirs civils en laissant des traînées persistantes ?
Ils volent bas, bien plus bas que les avions de ligne, en dessous des couloirs civils, dans l’espace aérien réservé aux militaires. On entend le vrombissement de leurs moteurs, leur carlingue se distingue à l’œil nu ce qui trahit leur faible altitude, inférieure à celle des avions de ligne – qui doivent voler au minimum à 8 000 mètres, et croisent en pratique autour de 12 000 mètres. À 8 000 mètres, même le plus gros des avions, l’A380, ne se voit plus que sous la forme d’un point dans le ciel. Donc, aucun avion en croisière, visible à l’œil nu dans le ciel, ne peut être au-dessus de 8 000 mètres et ne peut par conséquent être un avion de ligne. Ces appareils se succèdent pourtant à des cadences surréalistes en comparaison de la circulation civile affichée en temps réel.
Avant l’an 2000, l’altitude minimale de croisière des avions civils était de 4 000 mètres. Cette année-là, elle a été élevée à 8 000 mètres, sous prétexte de moindre consommation de carburant en haute altitude. Corollaire non négligeable: l’espace aérien en-dessous revenait ainsi aux armées28.
Selon les lois de la physique, les traînées de condensation des avions à réaction se forment au-dessus de 8 000 mètres d’altitude dans certaines conditions de température, de pression et d’humidité29.
Or, il faut nécessairement des aérosols particuliers pour créer des noyaux de condensation permettant de former de la condensation persistante en-dessous de 8 000 mètres d’altitude.
Ces pratiques clandestines, et donc illégales, s’opèrent devant nos yeux dans le plus grand mutisme, sans aucune information des citoyens et, par conséquent, sans leur consentement. Elles échappent à tout contrôle démocratique quant à leur dangerosité pour la santé et l’environnement. En jargon militaire, on parle de « guerre non conventionnelle » pour désigner ces opérations.
Le ciel n’est quasiment plus jamais limpide : même par les plus belles journées, demeurent toujours à l’horizon des brumes opaques qui se teintent de gris violacé à l’aube et au crépuscule. Les traînées persistantes finissent par créer un voile30 qui va de pair avec un accroissement local de la température.
Nos alertes pour dénoncer cette catastrophe en cours sont jusqu’alors restées vaines. Il y a depuis le début de ces opérations menées de manière généralisée, soit depuis le début de ce siècle, un déni officiel absolu. Nous avons eu toutefois quelques échanges avec des élus31.
Dangers de la géoingéniérie
1- Les épandages aériens
Les quantités massives de ces particules pulvérisées quotidiennement dans l’atmosphère finissent par retomber au sol, d’autant plus vite qu’elles sont pulvérisées à basse altitude (quelques jours à 2 000 m), et d’autant moins vite qu’elles sont pulvérisées en haute altitude (4 ans à 10 000 mètres)32.
Nous sommes en droit de vous demander :
Quelles sont les particules pulvérisées ? De quelles matières sont-elles composées ?
Quelle est la quantité annuelle de ces particules dispersées dans le ciel français ?
Les particules sont-elles ajoutées au carburant ou sont-elles pulvérisées indépendamment ?
Quels sont les effets nocifs des épandages aériens sur le vivant et l’environnement ?
Un scientifique de haut niveau et 50 ans de carrière, J. Marvin Herndon Ph.D, sans surprise vilipendé sur Wikipedia, s’est penché sur le sujet et a produit de nombreux articles qui documentent déjà ces questions; nous vous serions gré de bien vouloir vous pencher dessus34
Nous remettons aussi, à l’appui de notre argumentaire et pour alimenter votre enquête, dix résultats d’un laboratoire agréé COFRAC d’analyses d’eaux de pluie, collectées depuis 2012 sur le même site, qui révèlent des taux anormalement élevés de métaux lourds (aluminium, baryum, strontium et autres). Nous constatons une augmentation très inquiétante des taux des produits recherchés, en particulier en ce qui concerne l’aluminium avec des pics qui ont déjà atteint 100 fois le taux normalement admis35.
Dangers pour la santé
Nous savons que le corps humain élimine l’aluminium lorsqu’il est dans des proportions naturelles dans l’environnement. Ce métal se trouve exclusivement dans le sol normalement et n’entre nullement dans la composition de l’atmosphère. Il est donc alarmant d’en trouver dans les eaux de pluie, tout comme dans les lacs de haute montagne36. Comment cela peut-il se faire autrement que par l’introduction de particules dans l’atmosphère ? Le taux d’aluminium recueilli dans nos échantillons d’eau de pluie, toujours collectés et analysés dans les mêmes conditions et au même endroit, ne cesse d’augmenter. Il est passé de moins de 10 microgrammes par litre en 2012 à 516 microgrammes par litre en 2021 ! Lorsque le taux d’aluminium inhalé ou ingéré est anormalement élevé, le corps humain ne peut plus l’éliminer ; il le laisse circuler jusqu’au cerveau, ce qui est une des causes avérées des maladies neurodégénératives comme les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson37. Voir notre document en annexe ci-dessous.
D’autre part, ces analyses ne portent que sur la chimie non organique mais en ce qui concerne la chimie organique d’autres analyses révèlent des virus, des bactéries, des fibres polymères38.
Il nous faut aussi mentionner la présence de graphène et d’oxyde de graphène dans l’eau de pluie telle qu’elle a été révélée dans des analyses menées aux États-Unis.39
Dangers pour les écosystèmes
Toute forme de vie sur la planète, tant dans sa chimie naturelle que dans son écosystème, est inévitablement impactée par ce facteur, bien anthropique quoique jamais évoqué40.
Assisterions-nous, sans le moindre recours, à une guerre totale contre le vivant ?
Dangers pour le climat et la planète
Effet recherché ou effet secondaire ? La géo-ingénierie peut déchaîner les éléments, provoquer des sécheresses continues, des pluies diluviennes, générer ou amplifier des catastrophes climatiques et telluriques dont la fréquence s’accroît indéniablement.
Toutesces pratiques, mises en œuvre depuis les années 1950, et généralisées depuis l’an 2000, ne seraient-elles pas en réalité, une, si ce n’est la, cause du dérèglement climatique ?41
Le CO2 qui représente toujours moins de 0,05 % des gaz de notre atmosphère ne servirait-il pas de leurre pour masquer les effets catastrophiques de la géo ingénierie militaire et clandestine ?
2- La manipulation de l’ionosphère
Nous n’avons parlé ici que des épandages aériens mais il faut tenir compte aussi des effets à grande échelle des stimulations de l’ionosphère par des installations de type HAARP, terme devenu aujourd’hui générique pour désigner ce type de procédé. Cela consiste à utiliser les propriétés réfléchissantes de l’ionosphère en pulsant des ondes électromagnétiques ultra haute fréquence et en modulant les ondes reçues en retour en basses fréquences. Cela s’apparente à des réchauffeurs agissant comme un four à micro-ondes42. L’Arctique est entouré de ces stations et il en existe aujourd’hui dans de nombreux pays dans le monde43.
Les aérosols métalliques présents dans l’atmosphère facilitent la propagation des ondes.
Cela n’aurait-il aucun rapport avec les dérèglements du climat ? La géo-ingénierie peut-elle prétendre être une solution salvatrice alors qu’elle en est plutôt très probablement une cause importante au vu de ce que nous exposons ici ?
La géo ingénierie est qualifiée de pratique d’apprentis sorciers par les médias qui en parlent, de plus en plus fréquemment44. Elle est reconnue comme dangereuse, voire mortifère, à l’échelle planétaire45. Certes, les promoteurs de la géo ingénierie civile mettent en avant des fins louables, pacifiques, favorables à l’agriculture et à certains intérêts ciblés. Certes, le moratoire de Nagoya interdit la fertilisation des océans à grande échelle. Mais pourquoi tant d’opérations aériennes secrètes menées sous nos yeux tous les jours n’ont pas d’existence officielle ? Pourquoi interdire la géo-ingénierie au-dessus des océans et des mers pour la protection du milieu marin, et l’autoriser secrètement au-dessus de nos têtes ?
Secret pour la défense de qui ? Au profit de qui ? Et comment le coût énorme de telles opérations échappe-t-il à la traçabilité dans le budget national ? Qu’en est-il des restrictions sur tous les services publics depuis 20 ans et des taxes croissantes ? Paierions-nous pour creuser notre tombe ?
Notre responsabilité en tant que citoyens et la vôtre en tant qu’élus représentants des Français
En 2011, nous avons déjà alerté l’ensemble de nos parlementaires sur les effets potentiellement graves des épandages aériens et de la géo-ingénierie en général sur la santé et sur l’environnement. Nous avons demandé la création d’une commission d’enquête parlementaire46. Deux députés ont eu le courage de soulever la question devant l’Assemblée Nationale, en 2012 et en 201347 ; leur voix a été vite étouffée.
En 2015, nous avons remis à l’Assemblée Nationale une pétition « STOP aux épandages aériens », qui est toujours en ligne et recueille, le 4 février 2024, 46 097 signatures48.
Pour toutes ces raisons et en vertu des textes susvisés49,
nous formulons ici notre demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire pour lever en toute probité, le voile sur l’évidence et le financement des opérations clandestines de géo ingénierie en France,
et, au sujet desdites opérations qui seraient sous commandements militaires, nous demandons la saisine de la Commission du secret de la défense nationale (C.S.D.N.).
Le 5 février 2024
Le Collège Directeur de l’ACSEIPICA
Claire HENRION, Rémy Cahen, Bruno Kleb, Romuald Raveau, Séverine Felt
Nagoya : La géo-ingénierie, arme de manipulation massive, article L’humanité 28oct2010 https://www.humanite.fr/27_10_2010-la-géo-ingénierie-arme-de-manipulation-massive-456567
26Traînées d’avions et analyse du trafic aérien, vidéo
27 Présentation ACSEIPICA (Claire Henrion) à la conférence « Au-delà des théories de modification climatique – la société civile contre la géoingéniérie » au Parlement européen à Bruxelles le 9 avril 2013 : https://fr.slideshare.net/clairehenri12/pandages-ariens-clandestins-en-europe-18749571
Lettre à Madame Ségolène ROYAL, Ministre de l’Écologie suite à sa réponse à la question de novembre 2013 du député des Hautes Alpes, Monsieur Joël Giraud : https://www.acseipica.fr/lettre-segolene-royal/
Réponse du Ministère de l’Écologie à la question du député de la Haute Garonne Gérard BAPT, du 16 octobre 2012 au sujet des « mystérieuses traînées dans le ciel » plus connues sous le nom de « chemtrails » : https://www.acseipica.fr/sacre-poisson-davril/
Épandages aériens clandestins, effets sur la santé de la guerre du ciel toxique sur les humains, les animaux et les plantes, présentation de Desiree Röver à la conférence « Au-delà des théories de modification climatique – la société civile contre la géoingéniérie » au Parlement européen à Bruxelles le 9 avril 2013 : https://www.slideshare.net/LovingTruth/chemtrails-hearing-eu-parliament
43 Liste partielle des réchauffeurs ionosphériques (transmetteurs) et des observatoires (receveurs) dans Chemtrails, Haarp, and the Full Spectrum Dominance of Planet Earth -Elana Freeland , Feral House, 2014 – pages 54 à 59.
Géoingéniérie: Quel impact sur la santé publique ?
Quels sont les risques potentiels d’ une exposition prolongée aux produits chimiques utilisés lors des épandages ?
La géoingéniérie ne fait plus partie des « théories du complot », les médias ( ARTE, TF1, Presse écrite) diffusent de plus en plus d’informations sur « la bonne » utilisation de la géoingéniérie, considérée comme l’outil miracle contre le réchauffement climatique.
Mais quel est l’impact de la pulvérisation de particules dans l’atmosphère pour les êtres humains et l’écosystème?
Il n’y a eu aucune divulgation publique sur la totalité des substances pulvérisées, aucun consentement éclairé et aucune enquête sérieuse sur les conséquences néfastes pour notre santé. Un débat public et scientifique doit avoir enfin lieu!
Actuellement, la pollution atmosphérique est la principale cause environnementale de maladies et décès dans le monde et elle augmente à un rythme alarmant( WHO). Rajouter une pollution volontaire et surtout incontrôlée dans l’atmosphère par la géoingéniérie pour un but plus que douteux doit être considéré comme criminel. L’ ACSEIPICA ne cesse d’alerter depuis des années sur les risques, rassemble des documents scientifiques et surveille la qualité de l’air et de l’ eau de pluie. La présence de plus en plus de particules de métaux dans l’air, prouvée par l’analyse des filtres à air par les organismes compétents et ce dans le monde entier (tableau), est en fait non contestée.
L’exposition aux particules de pollution de l’air inférieures à PM 2,5 est particulièrement préjudiciable à la santé humaine. Depuis 2012 les analyses d’eau de pluie prélevés par l’ ACSEIPICA confirment une augmentation très importante de métaux dans l’eau de pluie, ce qui prouve une pollution croissante de l’air et de l’eau (documents d’analyses joints). La présence de métaux comme Aluminium, Baryum, Strontium, Manganèse, Fer, Plomb, Titane, Arsenic, Cadmium etc. dans une concentration au dessus des normes en microgramme/litre inquiète de plus en plus de médecins et de scientifiques.
Il se rajoute alors à la pollution de l’air la pollution de l’eau de pluie qui contamine par la suite les nappes d’eau souterraines, les sources et notre eau potable, sans oublier la pollution des terres et des végétaux.
De nombreuses affections physiques et mentales sont provoquées par une intoxication chronique aux métaux lourds. En termes d’effets secondaires, ils sont susceptibles d’activer les lymphocytes T et donc d’induire une auto-immunité par un fonctionnement anormal de l’organisme par des maladies pulmonaires, cardio-vasculaires, neurologiques, le diabète, les AVC, cancers, la mortalité prématurée et l’épuisement chronique (Dr JP. Willem). Les états membres du Conseil de l’ Europe sont appelés à mettre en pratique les résultats des recherches les plus récentes et à restreindre l’usage de métaux lourds dans l’agriculture, l’industrie ainsi que dans le secteur médical, afin de limiter leur bio accumulation continue dans la nature, la chaîne alimentaire et, enfin, dans le corps humain ( Document 12613 du 12 mai 2011). Mais en ce qui concerne les émissions par la géoingéniérie … pas de réponse.
En 2017 le Haut Conseil de la Santé HCSP demande une politique limitant l’exposition de la population aux facteurs de risques de maladies neurologiques telle que l’aluminium dans l’eau du robinet. Certaines études selon la HCSP mettent en évidence un lien entre l’aluminium et le développement de maladies neurodégénératives comme Alzheimer et la maladie de Parkinson.
Selon ces études la consommation de 100mg/L d’aluminium était associée à un risque accru de développer la maladie d’Alzheimer. Selon le rapport Qualio pour l’ ACSEIPICA du 20 04 2021 la concentration de l’aluminium dans l’eau de pluie était de 526mg/L. Pas étonnant que l’eau de pluie a été déclarée impropre à la consommation! Des prélèvements dans de nombreux pays et des régions souvent éloignées de l’activité industrielle montrent des résultats très inquiétants.
Les populations sont de plus en plus malades, à un âge de plus en plus précoce. Des bébés naissent avec des cancers, des jeunes en meurent, une personne sur deux va avoir un cancer dans sa vie. Nous constatons également une croissance significative des allergies, de l’asthme et des maladies de la peau. Bien sûr, les causes sont multifactorielles! Mais pour les maladies neurodégénératives le lien avec les métaux lourds est scientifiquement prouvé. Selon l’institut du Cerveau à Paris il existe 500 000 cas d’autisme en France. Cet institut confirme l’origine d’un accroissement spectaculaire de cette maladie par les composantes environnementales comme les pesticides et les métaux lourds. En France on compte 200 000 nouveaux cas d’ Alzheimer par an ce qui représente un coût très important pour la santé publique et tant de souffrance pour les familles … Ceci concerne évidemment une grosse partie de la population mondiale et en particulier des pays ou la géoingéniérie est pratiquée depuis de nombreuses années, voir la différence avec le continent africain jusqu’ici peu concerné.
Le Dr. Russel Blaylock, neurologue, publiait déjà le 12 Avril 2013 « L’Aluminium des chemtrails pourrait entraîner une explosion des maladies neurodégénératives »! Il existe des preuves que des tonnes de composés d’aluminium de taille nanométrique sont pulvérisées. L’effet de ces nanoparticules sur le cerveau et la moelle épinière est particulièrement inquiétant, comme en atteste le nombre croissant de maladies neurodégénératives. Des études ont montré que ces particules traversent les voies olfactives reliées directement à la zone du cerveau qui est la plus touchée par l’ Alzheimer. C’est aussi dans cette maladie que l’on retrouve le taux le plus élevé d’ aluminium dans le cerveau. Et il conclut: « Je prie pour que les pilotes qui pulvérisent ces substances dangereuses comprennent bien qu’ils détruisent la vie et la santé de leurs familles. Cela est également vrai de nos responsables politiques. Une fois que le sol, les plantes et les sources d’eau sont fortement contaminés il n’y aura plus moyen de réparer les dommages provoqués. »
Un autre fait inquiétant doit être abordé : les filaments aéroportés. Partout en France des personnes ont observé des filaments qui tombent du ciel ou qui recouvrent massivement les sols, des plantes ou des balcons. Le Laboratoire Analytica a eu plusieurs échantillons de filaments à analyser et le chef du laboratoire Bernard Taillez a affirmé qu’ils étaient d’origine synthétique et en aucun cas naturelle. Les filaments contiennent des perturbateurs endocriniens, des phtalates, des composants de lubrifiants et carburants, produits courants pour des moteurs thermique d’avions à réaction. Il conclut: « La nature n’y est pour rien. La main de l’homme est responsable. »
L’inhalation de ces filaments dans les voies respiratoires va provoquer une forte réaction inflammatoire dont on ne connaît pas les effets à long terme. Par les animaux qui broutent l’herbe et ingurgitent ces filaments, la chaîne alimentaire va être également contaminée!
En effet, il reste beaucoup de questions et d’inquiétudes mais les résultats de recherches présentés ici et ailleurs fournissent des preuves de plus en plus solides en faveur de notre hypothèse de la dangerosité des particules d’aérosols dispersés dans l’atmosphère, pour la santé humaine et de l’environnement.
Nous demandons l’application du principe constitutionnel de « Précaution » par l’état français.
Si l’on considère que le critère axial du politique[14] est constitué par la désignation de l’ennemi, nous sommes ici confrontés à un ennemi qui se dérobe à notre prise ; car les globalistes politiques refusent de se présenter comme guidés par une volonté de puissance et de domination. Il n’existe dès lors selon nous qu’un seul moyen efficace pour identifier clairement l’ennemi mondialiste : analyser et scruter ses actions et ses méthodes pour comprendre (et peut-être anticiper) ses actions. C’est ce que nous faisons à nouveau dans cette étude avec la question de la guerre climatique comme nous l’avons précédemment fait avec celle du néo-malthusianisme, des « armes d’immigration massive », de la manipulation des droits de l’homme ou encore des « révolutions de couleurs ».
Nous allons voir qu’en matière de guerre climatique, comme pour les autres pans de l’action métapolitique globaliste, l’accusation de complotisme ne constitue qu’une façade bien fragile qui ne résiste pas à l’analyse. Cette diversion sémantique martelée de manière orwellienne, constitue l’habituelle barrière psychopolitique que les globalistes politiques tentent d’ériger entre le grand public et la réalité de l’existence des technologies de géo-ingénierie et de contrôle climatique.
Ces technologies relèvent pour nous de cette nouvelle norme sociopolitique qui accompagne la montée en puissance de la forme globalitaire (globaliste et totalitaire) : l’extension de la guerre à toutes choses et la fin de la limite, de la frontière, entre guerre et paix, entre civil et militaire, entre géopolitique et « métropolitique ».
OVERCAST, film de Matthias Hancke et Tristan Albrecht (Suisse), à été présenté au Green Awards de Deauville ( rubrique 10, santé et cadre de vie).
Matthias HANCKE a fait un travail formidable, il a du vaincre de nombreux écueils, il a été, et est toujours soutenu par notre amie Saskia MEYER tout au long de cette aventure.
Bien qu’il n’ait pas été sélectionné (juste compétition cinématographique ou sujet trop dérangeant ?)*, c’est déjà formidable que ce film ait déjà fait tout ce parcours.
un livre de Patrick Pasin (auteur du film Bye bye blue sky)
aux éditions Talma Studios
en librairie ou sur internet (FNAC, Amazon …)
Quatrième de couverture: « Les premières tentatives de modification du climat par les militaires ont commencé il y a plus d’un siècle. Pourtant le public ignore presque tout de ces pratiques censées être interdites.
Alors bienvenue au cœur d’un des secrets militaires les mieux gardés, où l’on suit au cours des décennies l’évolution de ces armes de destruction massive, où l’on apprend qu’elles ont été utilisées en temps de guerre et en temps de paix avec de nombreuses victimes, où l’on étudie une douzaine de catastrophes « naturelles » peut-être pas si naturelles … «
Signalons également, chez Talma Studios « Vaccins, oui ou non », de Serge Rader, Stefano Montanari et Antonietta Gatti, paru en septembre 2017.
Les auteurs versent aux débats les résultats de leurs recherches au sein de leur laboratoire de nanodiagnostics. Grâce à une technologie spécifique de microscopie électronique, ils prouvent la présence de nanoparticules de métaux toxiques dans les vaccins, dont on se demande ce qi peut bien la justifier. Quelles en sont les conséquences pour le corps humain ? …
Italie – Ont été récemment effectués les premiers prélèvements en altitude au moyen d’un drone semi professionnel.
Les prélèvements ont été faits par un « DJ Drone Phantom 4 » équipé d’une caméra vidéo à haute résolution (12MP/4K) et d’un système de contrôle GPS.
A bord de l’engin radio commandé, est installé un kit (réalisé à cet effet) qui aspire l’air en altitude et le dépose sur un filtre 3M.
Le drone a recueilli, en plusieurs sessions, les résidus des poussières dans un espace non urbanisé, mais traversé constamment par les couloirs aériens de descente empruntés par l’aviation civile de la zone aéroportuaire de Nice.
Un protocole rigoureux a donc été mis en place afin de prélever des échantillons utiles pour relever les composants chimiques présents dans l’atmosphère, en relation avec l’activité de bio ingénierie criminelle.
Comme site a été choisi un lieu dans l’arrière-pays ligure adapté à l’expérience.
Les prélèvements ont été exécutés en plusieurs fois, aussi le filtre a été démonté et les poussières accumulées ont été soumises à la procédure adaptée pour les analyser avec les réactifs d’Osumex comme indiqué par le producteur du kit.
Les résultats sont irrévocables : les échantillons mettent en évidence, une fois encore, la présence de manganèse, de cadmium, de cobalt, de cuivre et de mercure.
La couleur du révélateur, en fait, va du vert olive à l’orange, ce qui, en rapport au tableau de référence confirme que, dans l’atmosphère étudiée, se révèlent de fortes concentrations de métaux déjà trouvés dans le carburant Jet A1 par la scientifique suisse Ulrike Lohmann[1], professeur de physique de l’atmosphère auprès de l’ETH de Zurich.
Dans les carburants aériens (donc l’air que nous respirons), sont aussi présents les deux métaux tueurs déjà notés que sont l’aluminium et le baryum. (1)
Malheureusement, les réactifs fournis par Osumex ne permettent pas de retracer ces éléments neurotoxiques.
Si c’est possible, d’autres échantillonnages seront effectués, toujours sur la base d’une procédure précise et rationnelle.
Nous profitons de l’occasion pour remercier tous ceux qui, par leur contribution, ont permis la réalisation de ce projet.
Nous nous promettons d’organiser d’autres initiatives corollaires à celle-ci/similaires, en ligne/lien avec toutes les autres faites dans ces années.
Aussi, nous procédons à une collecte de fonds afin de faire face, si possible, aux coûteuses analyses spectrales et à celles, relativement plus économiques telles que le kit Osumex.
Ces analyses seront suivies avec la méthode des réactifs, comme dans cet exemple.
En alternative, on peut effectuer un virement bancaire (IBAN : IT4810617522700000001977280 –cause : campagne de prélèvement en altitude) ou par carte bancaire (4023 6009 4336 4051- code fiscal : MRCRSR61C19I469R).
Ci-dessous, le film relatif à quelques vols exécutés avec le DJL Phantom 4.
[1] Manuel Abegglen & al. , Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich, télécharger le document
Caractérisation chimique par spectrométrie de masse des rejets d’échappement des avions – 2016
Ce sont les premières mesures sur les rejets d’échappement des avions qui utilisent la spectrométrie de masse pour l’analyse de particules simples.
Elles ont été effectuées sur l’aéroport de Zurich (Suisse) et ont porté sur des avions équipés de trois types de moteurs différents.
Ce qui en ressort :
! La majorité des particules examinées contiennent un ou plusieurs composants métalliques. ! Les métaux et la suie s’avèrent mélangés dans les particules émises. ! Les sources potentielles des métaux détectés (le carburant, les huiles et les protections de moteur) ont été discutées.
Nous savons que les rejets des avions dégagent des suies et des particules et donc nous voulons savoir quelle est la composition chimique des rejets.
Ces mesures ont été faites peu de fois.
En 2013, nous avons eu l’occasion de mesurer les émissions des turbines à l’aéroport de Zurich, avec « l’office fédéral de l’aviation » et nous avons pratiquement pu examiner la composition chimique des gaz d’échappement de quelques turbines.
Des suies essentiellement de carbone pur ont été trouvées, donc des particules de suie, comme dans les gaz d’échappement des voitures.
Mais nous trouvons également des métaux dans les gaz d’échappement aéronautique, seize métaux différents et entre autre, de l’aluminium et du baryum comme déjà cité, qui proviennent du kérosène et de l’huile, et de l’aluminium qui pourrait venir des turbines.
Nous avons aussi fait des mesures sur le combustible même : nous y avons relevé la présence d’aluminium et de baryum dans le combustible; leur concentration est mesurée en parties par million (PPM).
Journal of Geography, Environment and Earth Science International
10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220
ISSN: 2454-7352
Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d’un changement climatique mondial non anthropique ainsi que d’un réchauffement planétaire et d’une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie
J.Marvin Herndon
Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA
Contribution de l’auteur
L’auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit
Référence de l’article
DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220
Editeur:
Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain
Revues :
(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA
.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya
.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania
.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada
.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA
.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland
Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d’une activité sismique variable et les preuves géologiques d’un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l’océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l’atmosphère. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d’affecter l’équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l’échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu’il s’agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d’accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l’autorité morale des Nations Unies.
1.INTRODUCTION
Le premier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu’un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l’ajout de dioxyde de carbone (CO2), d’origine anthropique, dans l’atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d’énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l’acidification des océans, et qu’elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l’aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz « à effet de serre ». Comme l’a souligné l’éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d’affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d’apporter à l’attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n’a pas prises en compte dans la construction et l’évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l’irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.
Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d’un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu’un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n’en parlait plus. Cette norme s’est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s’est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l’adoption anticipée d’une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n’a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l’anonymat des pairs[8]. En outre, l’apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu’ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d’origine anthropique) et qu’ ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres – un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.
La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l’ignorance systématique d’un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.
Dans les années 1970, lors de l’étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J’ai écrit un court document, résumé ainsi : d’après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j’ai reçu une lettre complémentaire d’Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés – l’habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale – par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu’à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j’ai démontré que: (1) 82% de l’intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l’uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu’ Hawaï et l’Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s’expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l’état fortement réduit de l’intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m’a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l’hypothèse d’une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j’ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l’origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l’origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l’origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?
Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L’idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.
2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE
Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu’ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l’océan, a d’abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l’océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l’océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l’océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l’océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l’échelle du temps humain, la chaleur émanant de l’intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).
Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n’ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d’un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l’impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.
Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d’une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.
Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie
Radionucléides
de longue vie
Demi-vie
(année)
235U
7.04 X 108
238U
4.47 X 109
232Th
1.41 X 1010
40K
1.25 X 109
3.PREUVE DE L’AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS
Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d’Hawaï et d’Islande. Lorsqu’elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s’étendent à l’interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l’Islande et des îles hawaïennes tout au long de l’ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.
Le lien entre les grands tremblements de terre et l’activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l’apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l’activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.
La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d’occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l’U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l’hypothèse d’une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu’au cours des 43 dernières années.
Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l’échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l’ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d’amplitude indiquées au cours de l’intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l’augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l’augmentation est de 74%.
L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l’activité géodynamique de l’énergie n’est pas constante. En outre, l’association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l’augmentation de l’activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l’hypothèse d’une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.
4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L’APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS
Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l’augmentation de la chaleur de l’océan que nous pouvons déduire de l’augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l’océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l’océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu’à la surface en Islande [ 52].
5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L’AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN
L’hypothèse d’une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l’océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l’eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:
[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)
Dans l’équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l’eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:
K0
CO2 (g) = [CO2] (2)
Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.
Weiss [54] a dérivé l’équation suivante pour K0 de l’équation intégrée Van’t Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:
Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.
La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l’eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.
Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l’équation (2). À partir de [54].
Unités de K0
moles/l●atm
moles/kg●atm
A1
0.7
4.3
A2
0.73
4.4
A3
33
190
B1
2.4
6.3
B2
11
20
B3
1.02
1.81
Comme on le sait à partir d’enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l’éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l’atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s’échapper dans l’atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer.
Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d’autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l’eau de mer environnante [56,57]. En d’autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l’augmentation de l’acidification des océans observée dans le monde entier.
Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l’eau de mer. Ce chiffre montre qu’une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.
La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d’environ un tiers le taux d’augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.
L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d’énergie de l’activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d’événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.
Il existe d’autres preuves à l’appui de l’hypothèse de l’apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l’apport variable de chaleur dans l’eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l’eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l’apport variable de CO2 volcanique dans l’eau de mer et de l’apport de chaleur variable à l’eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l’eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l’eau de mer.
Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l’institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.
6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE
Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c’est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l’ionosphère – tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c’est-à-dire depuis plus d’un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].
Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d’un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l’air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l’autorisation de British Antarctic Survey.
Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages avec des substances chimiques telles que l’iodure d’argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l’inhibition des précipitations [63].
La technique d’inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L’aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d’humidité de s’assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu’à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l’activité de géo- ingénierie troposphérique.
Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d’eau dans les gaz d’échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l’existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu’il s’agirait de traînées de condensation.
Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d’humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s’évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d’eau de leur échappement s’évaporent rapidement; la troisième traînée qui s’étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.
La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l’air une matière particulaire et qu’il ne s’agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s’interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d’approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.
Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s’étalent, formant parfois des nuages artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d’ une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d’eau invisible.
Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d’Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.
Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l’atmosphère prétendent qu’aucun aérosol délibérément pulvérisé n’influence l’atmosphère qu’ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l’échelle régionale et très probablement à l’échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l’air que nous respirons et, d’après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].
Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d’énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].
Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu’à ce que les nuages se surchargent tellement qu’ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l’humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l’atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l’albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].
Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l’air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l’évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n’est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l’aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.
Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l’une des pulvérisations s’interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d’eau se trouvant dans les gaz d’échappement du moteur. Photo de l’auteur.
Figure 8.Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.
7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE
Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu’il s’agissait du largage accidentel d’un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j’ai obtenu des échantillons de l’un des résidents pour analyse et j’ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.
La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle – poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes – absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m’a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d’aggraver le réchauffement climatique.
Beaucoup de temps et d’argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d’application cachée. C’est clairement l’indication d’une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu’il s’agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.
8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES
La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l’échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l’Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l’évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l’augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l’espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.
Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].
Figure 10.La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].
Les contributions anthropiques provenant de l’utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d’utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l’activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l’augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l’océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s’est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.
Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d’intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n’est qu’un épisode d’une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].
De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d’autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l’attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l’histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre2008 dans l’ensemble de données de température russes d’octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].
9. CONCLUSIONS
Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre.
Les preuves géophysiques de l’activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, l’augmentation des apports de chaleur à l’océan diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l’atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.
La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l’équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l’atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel d’un matériau modifié indiquent qu’il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d’amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l’autorité morale des Nations Unies sont compromises.
On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l’activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l’air que nous respirons presque quotidiennement à l’échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l’opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l’intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d’aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d’autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l’économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu’a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n’est rien moins qu’une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu’ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?
Pour le bien de l’humanité, du biote et de l’environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.
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Bonjour,
En tant que pilote et futur ingénieur je suis abasourdi par la quantité d’âneries qui se trouvent dans votre brochure de propagande !
Il est impossible que les avions de ligne aient la capacité de larguer des produits chimiques comme vous l’énoncé ! Demander à des pilotes plutôt qu’aux pouvoirs publics …
Ensuite les traînées ont augmenté simplement car la taille du réacteur a augmenté car ils ont un meilleur rendement !
Finalement, la traînée visible à l’œil nu est simplement de l’eau sous forme solide due aux -50 degrés celsius à cette altitude. Elle va ensuite s’étendre dans le ciel à cause des vents de haute altitude et former un nuage. Car oui bizarrement les Cirrus (nuages de haute altitude) c’est de l’eau.
Donc arrêtez de chercher des complots là où il n’y a rien…
Bonne journée en espérant ne plus voir une de vos brochure sur le pare brise de ma voiture!
Réponse
bonjour,
et merci de votre contact et de votre réaction !
Que faites-vous des innombrables avions bien au-dessous des couloirs civils que nous voyons évoluer entre 2000 et 8000 mètres d’altitude, c’est à dire dans les couloirs militaires … des moyens coucous en général … ceux-là n’ont pas de transpondeur – on ne les retrouve pas sur des sites comme Flight Radar.
Quels supports de condensation rejettent-ils pour que cela forme des traînées persistantes à ces altitudes (inférieures à 8000 mètres) où les lois de la physique ne permettaient pas, avant l’an 2000 que se forme une traînée de condensation à la sortie des réacteurs d’un avion -à réaction ?
Car, ô comble, on voit même, à ces altitudes modestes, des avions à hélice produire des traînées de condensation persistantes … !!!
Préférez vous répéter ce qu’on vous dit sans chercher à vérifier la contre proposition ?
Cherchez le ciel bleu ! De plus en plus rare et de toute façon plus jamais aussi bleu, du beau bleu profond qu’on a pu lui connaître jusqu’à l’an 2000 à peu près. Cela ne vous gêne pas, ne vous choque pas, ne vous révolte pas qu’il soit si souvent lacéré, voilé, opacifié; et ces couleurs extravagantes que prennent les aubes et les crépuscules et qui révèlent à quel point l’atmosphère est saturée de particules, même dans les lieux les plus sauvages, loin de toute pollution, vous n’avez pas remarqué, semble t-il …
Vous vivez sur Terre et pour bénéficier du porte monnaie confortable que vous assurent vos fonctions d’ingénieur, il vaudrait mieux quand même pour vous être en vie et en bonne santé …
Évitez de prélever de l’eau de pluie et d’en faire analyser la teneur en Al, Ba, Sr …
Ci-joint un argumentaire que nous avons fourni au CNRS en janvier 2014, lors d’un congrès, ouvert à la société civile, auquel nous avons participé.
Sciences et Vie, octobre 2016 Avions et traînées toxiques, cherchez la preuve
Réponse
Navrant !
Votre encart à la page 115 du numéro d’octobre, intitulé « avions et traînées toxiques, cherchez la preuve » est franchement affligeant pour une revue comme la vôtre qui s’intitule, faut-il vous le rappeler « Science et Vie ». Ni l’une, ni l’autre en fait.
Vous voulez des preuves ?
Faites de la science, de base, plutôt que de nous citer une soi-disant étude sans source qui prétend qu’ « il ne s’agit que des traînées de condensation des avions de ligne ». Il suffit, où que vous soyez en France comme dans de très nombreux autres pays, de vous octroyer des tranches horaires d’observation pour compter les avions que vous voyez passer dans votre champ de vision.
Observer et compter sont les bases de toute démarche scientifique, n’est-ce pas ?
Vous pourrez constater, comme tout un chacun qui s’y adonne, que certains jours –et nuits-, pour un même créneau horaire, il passe 10 fois plus d’avions que d’autres. 10 fois, 20 fois, 40, voire 100 fois plus !
Et que ceux-ci volent bien plus bas que les avions de ligne, lesquels, vous ne l’ignorez pas, volent de nos jours au-dessus de 10 000 mètres, généralement autour de 12 000. Si vous voyez la carlingue de l’avion à l’œil nu, c’est qu’il n’est pas dans les couloirs civils, mais bien en-dessous, dans l’espace aérien réservé aux militaires.
Et ces avions qui volent entre 2000 et 8000 mètres, qui sont ceux que l’on voit, laissent derrière eux des traînées persistantes qui finissent, certains jours (principalement lorsque la pression atmosphérique est en baisse) par couvrir entièrement le ciel. Il suffit de les suivre des yeux pour s’en rendre compte. Voir ce rapport http://www.acseipica.fr/trainees-davions-et-constat-du-trafic-aerien/
Il faut pourtant certaines conditions de température, pression et humidité pour que des traînées de condensation se forment dans le sillage des avions à réaction. Pour laisser de telles traînées à d’aussi moyennes altitudes, il faut nécessairement, en vertu des lois de la physique, que des particules soient ajoutées, soit au carburant, soit directement aux rejets de l’avion, pour former des noyaux de condensation. Comble d’ironie, certains de ces avions sont à hélice !!! Mais « ce-ne-sont-que-les-traînées-de-condensation-des-avions-de-ligne » !!! Observez-les d’un peu plus près aux jumelles ou au télescope et vous ne pourrez plus en douter.
Outre ces avions clandestins, non équipés de transpondeurs, qui n’apparaissent pas sur les radars civils quoique bien visibles dans le ciel, une panoplie de particules toxiques est déjà incorporée dans le carburant des avions de ligne depuis bientôt 10 ans. Voir à ce sujet l’étude de Manuel Abegglen & al. de Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich (en PJ) et l’interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke https://www.youtube.com/watch?v=ic4dml5oUVk .
Voir également ce rapport de 2009 sur les phénomènes de condensation liés à la circulation aérienne civile ET militaire, établi par un collège de spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais : Case Orange http://www.acseipica.fr/786/
Quant à la toxicité des retombées, leurs teneurs en métaux lourds (aluminium, baryum, strontium) et en molécules de synthèse, certaines déstructurant l’ADN, les certes modestes analyses d’eau de pluie et de filaments aéroportés que nous avons pu mener, par des laboratoires, d’Etat comme indépendants, en atteste.
Vous avez certainement les moyens d’en mener davantage, à moins que la navrante désinvolture avec laquelle vous traitez ce sujet ne finisse par vous faire perdre votre lectorat.
Veuillez trouver en PJ l’argumentaire que nous avons présenté au CNRS lors du colloque « Science à très grande échelle » en janvier 2014
En espérant que Science et Vie honore son titre et demeure une véritable revue de vulgarisation scientifique, indépendante et lucide, au service de la vie et du bien commun, recevez nos meilleures salutations.
Claire Henrion
Astronome
Fondatrice de l’ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques)
Particulier irrité d’avoir reçu notre flyer dans sa boîte aux lettres -15 janvier 2017
Réponse
je suis absolument désolée qu’une personne ne vous ayant pas rencontré personnellement ait mis ce flyer dans votre boîte aux lettres. Toutefois, autant peut-on se scandaliser de voir tant de papier gaspillé pour des pubs commerciales, autant dites-vous que le précieux arbre qui a donné son bois pour faire le support de la précieuse information que vous avez eu entre les mains, se joint à nous pour tirer la sonnette d’alarme quant à l’empoisonnement constatable du ciel ; il suffit d’observer de manière un peu rigoureuse la circulation aérienne pour s’en convaincre – ceci n’étant que la partie, visible et constatable par tous, de l’arsenal de destruction totale, tenu sous le sceau du secret défense, auquel nous contribuons chaque jour grâce à notre travail et à nos taxes. Si nous nous sentons un tant soit peu respectueux et responsable de la planète que nous laissons derrière nous, il nous appartient à nous, citoyens, de dénombrer et dénoncer les avions dans le ciel (beaucoup plus nombreux que les avions de ligne censés circuler) et de constater les anomalies quotidiennes , en tant de lieux remarquables qu’ils produisent. Les arbres eux, ne demandent qu’à pousser et assainissent sans cesse l’atmosphère. Il leur faut juste les rayons du soleil, un sol suffisamment sain et de l’eau de même. C’est une matière (vivante) des plus renouvelables ! Un arbre abattu, un de replanté, c’est la sagesse du bon cultivateur. Nous n’en abusons pas. Soyez convaincu du respect que nous leur accordons ainsi qu’à vous-même.