Après les chemtrails, les chembombs ! [VIDEO 3:10]

Les chemtrails, c’est maintenant l’ancienne école. Les bombes chimiques (chembombs) sont la dernière évolution de la géoingéniérie. Ce sont des explosions aériennes d’aérosols tirées dans la stratosphère à partir de vaisseaux et du sol en créant de grands nuages chimiques artificiels. Cette vidéo montre l’évidence à partir des images satellites infrarouges et de Google Earth d’explosions de bombes chimiques d’aérosols partout dans le monde. Les gens voient moins de chemtrails dans le ciel, mais plus de nuages chimiques. C’en est la raison.

C’est le genre de figures que l’on voit maintenant régulièrement dans le ciel d’Hawaï, témoigne Michael Murphy (l’auteur de What et de Why in the world are they spraying ?)

Les explosions de bombes chimiques sont faites loin des centres de population et ensuite dérivent sur les cités. Elles ne sont pas évidentes comme les traditionnels chemtrails, mais sont faciles à détecter sur les images satellites infrarouge et même sur les cartes météo de Google Earth. Les particules d’aluminium, baryum et strontium de la taille du nanomètre (10 exp -9) de ces aérosols de la géoingéniérie sont très réfléchissants et par conséquent dominent dans les images infrarouge.
Cette video vous enseigne aussi comment faire votre propre recherche. Aller sur: http://www.ssd.noaa.gov/goes/west

ensuite choisissez votre region et sélectionner le funktop flash loop. (Il vous faut Adobe Flash gratuit). Cela montre une vue en infrarouge aux couleurs rehaussées, en temps reel, sur les dernières 6-8 heures. Le bombes chimiques sont rouge brillant. Au fur et à mesure qu’elles se dispersent, elles virent au bleu, puis jaunissent le blanc brillant. Dans le ciel ces nuages chimiques artificiels ressemblent à des fils, des plumes, du coton, comme des nuages non-naturels dans la stratosphère, au-dessus des couches normales de nuages. Ces nuages stratosphériques artificiels suivent les jet-streams et se déplacent généralement dans une direction différente que les nuages naturels de la troposphère.
On peut voir ces nuages chimiques aussi sur Google Earth. Sélectionner la vue « météo ». On y voit des images satellite infrarouge recouvrant Google Earth. A nouveau les métaux fortement réféchissants de ces nuages d’aérosols fabriqués par l’homme dominent l’image en blanc brillant. Les nuages naturels ne sont pas réfléchissants et se voient en gris clair. Remarquez les explosions en rond de nuages blanc brillant surtout au-dessus de l’océan. Ce sont les bombes chimiques qui créent ces massifs nuages chimiques autour du monde.
La video s’achève sur de bonnes nouvelles. A Maui il y a une proposition de loi, la “Maui Clean Sky Ordinance” (Ordonnance de Maui pour le Ciel Propre) qui régule l’activité de géoingéniérie qui affecte le Comté de Maui. Elle demande un Statut d’Impact Environnemental et de consentement informé du Conseil du Comté de Maui avant qu’un quelconque épandage aérien autour de Maui ait lieu. Pour plus d’info http://www.MauiSkyWatch.org
C’est la vidéo d’une présentation faite par Bruce Douglas, résident de Maui, à la Consciousness Beyond Chemtrails Conference à Los Angeles du 17 au 19 août 2012. Plus de 20 présentateurs ont partagé leurs informations au sujet des chemtrails, de la géoingéniérie et sujets relatifs. Le DVD de l’évènement complet est en vente sur http://www.ConsciousnessBeyondChemtra…

Ceci est la traduction de la présentation de la vidéo sur YouTube

Pour la vidéo en elle-même, merci d’avance aux traducteurs / sous-titreurs

Film OVERCAST – dernières nouvelles – nouvel et dernier appel à contribution

Chers tous
 
Après des mois de travail intensif, de recherches, d’entretiens, de tournage et d’heures de montage, nous sommes pratiquement parvenu à la fin.
 
En juillet 2013, grâce à notre campagne indiegogo, grâce à vous, nous avons pu continuer la réalisation d’OVERCAST et nous avons pu atteindre bon nombre des buts que nous avions encore sur notre liste. En fait cette campagne et l’argent récolté nous ont permis de (d’):
 
1) assurer un nouveau voyage aux Etats-Unis pour rencontrer et interviewer des scientifiques et des activistes de la Californie à Houston au Texas.
2) de voler une nouvelle fois pour récolter des échantillons d’air à plus de 9000 m d’altitude (29000 feet)
3) de continuer le tournage autour de l’enquête de Matthias en Allemagne, en France, en Suisse.
4) de filmer et d’insérer les « cover shots » prévues avec un drone.
5) de continuer et de finir le montage et d’amorcer les processus d’animation, de corrections finales de sons et d’image, de mixage, de composition musicale.
 
Bien qu’une telle production coûte très cher sur le papier, nous sommes sur le point de terminer, avec très peu de moyens, un film ambitieux et extrêmement bien documenté, qui donne la parole à beaucoup de scientifiques et d’activistes dans le monde entier. Mais la réalité est la réalité et après 5 années de travail et malgré notre souci constant d’efficacité, nous sommes parvenus à la conclusion qu’un budget plus large est indispensable pour obtenir les conclusions et le film que nous désirons présenter.
 
Beaucoup d’entre vous m’ont demandé des nouvelles du film, des analyses, des dates de sorties etc et je serais heureux de pouvoir répondre dès aujourd’hui à vos questions mais pour cela nous devons franchir encore ces deux étapes principales:
 
1) Confirmer nos premières analyses ICP-MS
2) Financer une partie de la postproduction montage exclu (particulièrement le mixage son et les différents masters image/son)
 
Afin de parvenir à cela pour juillet, nous avons décidé de lancer une dernière campagne , qui commence maintenant et durera 30 jours. Comme à notre habitude, nous ne demandons pas beaucoup, mais ce qui est demandé est essentiel pour atteindre notre but. Je sais que la plupart nous ont soutenu dans le passé en contribuant à la réalisation d’OVERCAST. Aujourd’hui nous revenons vers vous et nous espérons que vous pourrez répondre positivement à cette nouvelle campagne. Peu importe la somme que vous désirez dépenser, car les petits montants additionnés forment les montants plus importants.
Si le sujet vous intéresse, s’il vous intrigue, si vous n’avez jamais entendu parler du mot « chemtrails » et si vous désirez apprendre plus à ce sujet, alors soutenez nous. Contribuez avec 10, 20 ou 100 ou toute autre somme et aidez nous à terminer ce qui a été amorcé il y a 5 ans avec courage et passion.
 
Pendant que vous êtes en face de votre ordinateur, prenez également le temps de diffuser cette nouvelle, de transférer ce message et le lien vers notre campagne. Utilisez Facebook, Twitter et tout autre réseau social existant aujourd’hui pour faire passer le mot et pour que les gens sachent que nous sommes présents, en train de travailler sur un film mais également sur une thématique d’intérêt public global.
 
Ne soyez pas timides, cliquez ici : OVERCAST THE MOVIE et soutenez nous et si vous préférez le faire à travers notre site, vous pouvez également contribuer directement ici: DEDAL FILMS (❌ le lien http://www.dedalfilms.com/documentaire/overcast n’est plus disponible).
 
Si vous ne le faites pas déjà, suivez nous sur  facebook. Des nouvelles vont arriver dans les mois à venir.
 
Nous espérons que vous serez avec nous une nouvelle fois et n’hésitez pas à prendre contact avec nous pour toutes informations supplémentaires ou/et toutes questions.
 
Merci
 
Tristan Albrecht
Producteur d’OVERCAST
 
 
 
FACELESS LE FILM

Manuel de cours de l’US Air Force Academy intitulé « chemtrails »

 

Manuel sur la chimie des chemtrails

de l’US Air Force Academy 1990

 

Manuel de cours dispensé à l’US Air Force Academy en 1990.
Trouvé dans une bibliothèque universitaire de l’US Air Force d’Alamosa
chemtrails-chemistry-manual-usaf-academy-1999
Voir
http://www.acseipica.fr/le-manuel-de-cours-chemtrails-dispense-dans-les-universites-de-lus-air-force-dans-les-annees-90/
http://www.acseipica.fr/un-scoop-un-cours-de-lus-air-force-sur-la-science-des-chemtrails-datant-de-1990/

cours_chemtrails_USAF

GEO-ENGINERIE EN LIGNE SUR LE SITE DE L’ACMG

Pluies et grêles

Observations et expérimentations

La grêle, le vent et les inondations causent régulièrement de graves dommages aux productions agricoles avec des conséquences importantes sur l’économie de la région. En partenariat avec des scientifiques du monde entier, l’ACMG poursuit des travaux d’observations et de recherche. Des moyens modernes d’enregistrement de la pluie, de la grêle et du vent sont disponibles pour prévoir, alerter et tester de nouvelles hypothèses afin d’atténuer les conséquences négatives de ces aléas. Nous proposons • fourniture d’informations en temps réel sur la position et l’intensité des précipitations et des phénomènes annexes (coups de vent, éclairs, cumul de précipitations, …),
recherche sur les sels hygroscopiques afin d’atténuer les risques de grêle et d’augmenter le rendement de précipitation,
optimisation des systèmes de lutte passifs : filets para-grêle, …
études fréquentielles des aléas climatiques. A quels prix ?
Etudes sur devis.
Observation radar d’orages violents
sur le Lot-et-Garonne,
les Landes, la Gironde et la Dordogne.
Grèle sur les Landes et le Lot-et-Garonne.
Source: http://acmg.asso.fr/txt/service.html – cette page n’est plus en ligne

UN MOT SEULEMENT : SELS HYGROSCOPIQUES sur ce site de vigie et d’intervention climatique a suffi à nous mettre sur la piste de la geo-enginerie!!!
On peut noter egalement l’adresse de site qui fait travailler 200 personnes et forme de nombreux stagiaires etrangers: AERODROME D’AGEN (bien pratique pour les missions d’epandages!)
source le journal du Sud ouest du 27 aout 2007

Tout commence dans les années 90 avec Jean François BOURTHOUMIEU qui demarre un programme d’ensemmencement des nuages . Son experience la plus riche se fait au contact des chinois qui lui permettent d’affiner son modèle.
En gros on va à l’encontre du modèle classique de congelation des couches eclevées des nuages par la dissemination de iodure d’argent qui ne fonctionne pas quand les nuages sont pollués par des sulfates qui empêchent en effet la dissemination des gouttelettes d’eau condensées de haut en bas .En introduisant des sels hygroscopiques qui absorbent au contraire l’eau dans la partie inferieurs du nuage apparement sans action negative sur l’environnement et permettent aussi de transformer la grêle en pluie!!!
Attention on ne fait pas pleuvoir en l’absence de nuages et on ne pique les nuages de personne!!!Les nuages se forment localement et n’eclatent que dans un perimetre proche de leur zone de formation!

TOUT CELA PARAIT BIEN INNOCENT COMPARE AUX CHEMTRAILS DE L’ARMEE QUI EUX N’ONT PAS DES OBJECTIFS AUSSI ECOLOGISTES ET DELICATS ET A PRIORI DU MOINS POUR CE QUI CONCERNE LES SELS DE BARYUM SONT PLUTOT RETARDATEURS DE PLUIE!!! Jacques CLERET

VOUS N’Y CROYEZ PAS ? VERIFIEZ PAR VOUS-MEME !

Les vols civils aériens se font en très haute altitude, 8000 m au moins, même les trajets nationaux les plus courts. Ceci depuis l’an 2 000, car auparavant, pour les petits vols, l’altitude minimum était de 4 000 mètres. J’ai obtenu cette information de trois sources différentes, pilotes de l’aviation civile rencontrés à diverses occasions.
Entraînez vous à vérifiez à quelle altitude volent les avions qui émettent ces traînées, bien différentes des traînées de condensation d’avant l’an 2000.

La présentation des calculs ci-dessous a été améliorée au fil des ans par l’apport de quelques contributeurs (voir commentaires, merci à eux)

Le profil de votre index, bras tendu, vous donne grosso modo la mesure de 1° d’arc. Cela fait partie du B.A.BA de l’astronome amateur. Or, beaucoup d’avions épandeurs ont pour taille apparente  peu près la moitié, soit 30 minutes d’arc = 0,5°
.
Nous avons ici une nomenclature des avions qui peut nous permettre de les identifier http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_avions_civils

Nous voyons que beaucoup font autour de 25 m de long. Connaissant leur taille réelle et estimant leur taille apparente grâce à notre index, il existe une formule mathématique permettant d’en déduire la distance  :
theta (en radians) = d/D  

– Theta, c’est la la taille apparente de l’avion que vous mesurez avec votre index, en degrés d’arc (0,5° degré, par exemple, comme nous pouvons l’évaluer vraiment très souvent);

– d c’est la taille réelle de l’avion (prenons 25 m)
– et D sa distance (l’inconnue). Si vous ne prenez pas votre mesure pile à la verticale, il faut tenir compte de l’angle que fait l’avion avec le zénith pour obtenir l’altitude.

Nous connaissons theta et d, il nous faut trouver D

La formule sera donc:
D= theta / d

Avec theta = 0,5°
et d = 25 mètres

Il nous faut convertir theta en radians:

360° = 2pi radians
donc 1° = 2pi / 360 (radians)
et 0,5° (soit 1/2°) = 2pi / 360 / 2 (radians) = 0,008 726 …
maintenant je divise la taille réelle de mon avion (nous avons dit 25m) par cette taille apparente exprimée en radians
25 / 0,008 726 = 2 864 m
Donc, si l’avion que je vois a pour taille apparente la moitié du profil de mon index bras tendu , en supposant qu’il mesure 25 m de long, on peut en déduire qu’il se trouve à 2 800 m de nous.
Pour obtenir son altitude, il faut tenir compte de l’angle qu’il forme avec le zénith (à la verticale de vous); il faut multiplier par le sinus de l’angle,donc pour 45° par exemple: 2864 x sin45 = 2025m .
S’il fait plus de 25 m de long pour la même taille apparente, c’est qu’il est alors plus loin/haut :
Pour 30 m, je le trouve à 3 437 m de distance soit pour un angle de 45° : 2976 mètres d’altitude
Et s’il est plus petit (20 m), il est plus près/ bas : 2 291 m de distance, soit pour un angle de 45°, 1 984 mètres d’altitude.
S’il occupe plus d’un demi-degré apparent dans le ciel, c’est aussi qu’il est plus bas, toujours relativement à sa taille apparente.
Admettons qu’il occupe 1° (ça c’est carrément gros),
s’il mesure 25m, il est à 1 432 m (de distance)
s’il mesure 30 m, il est à 1 718 m
et s’il mesure 20 m il est à 1 145 m.

Nul doute qu’il ne peut s’agir d’un avion civil puisque ceux-ci circulent obligatoirement au-dessus de 8000 mètres. Sauf évidemment au décollage et à l’atterrissage mais dans ce cas là ils ne croisent pas à l’horizontale.

Il s’agit donc d’un avion militaire. CQFD

Faudra t-il encore respecter longtemps le secret militaire ?
Qui protège t-il ?
Ne nous met-il pas en grave danger ?

Le rapport CASE ORANGE nous apprend que même s’ils n’épandent pas spécifiquement de produit chimique, leur kérosène est beaucoup plus polluant que celui des avions civils et les nombreuses particules émises provoquent donc de la condensation.
… sans compter les épandages délibérés d’autres produits toxiques

Mais ce même rapport, ainsi que nos récentes enquêtes, nous apprennent également que des compagnies low-cost contribuent à « l’effort d’épandage ». Leurs avions, eux, croisent beaucoup plus haut, comme tous les avions civils, au dessus de 10 000 m et là, ils épandent aussi.

Double couche, merci !!!
Si vous avez pris l’avion récemment, vous avez peut être pu remarquer ce voile de haute altitude.

Claire

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