Rapport du Général Fabio Mini traduit en français.
PDF, 23 pages.
Merci Salim !
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Merci Salim !
16 mai 2020: vient de paraître
Il apparaît sur le site de la Fnac : https://livre.fnac.com/a14745467/Rosalie-Bertell-La-Planete-Terre-ultime-arme-de-guerre-tome-2#ficheResume
Voir aussi l’article suivant sur le site mondialisation.ca
https://www.mondialisation.ca/la-terre-une-arme-la-geo-ingenierie-une-guerre/5621597
Claudia von Werlhof (1)
PBME
PLANETARE BEWEGUNG FÜR MUTTER ERDE
PMME – PLANETARY MOVEMENT FOR MOTHER EARTH
MPPM – MOVIMIENTO PLANETARIO POR LA PACHAMAMA
Depuis le 4.4.2018, il n’y a plus de doute. Par-delà toutes les déclarations officielles et les spéculations sur l’augmentation du CO2 considéré comme menace pour la vie sur terre, il y a maintenant la preuve du contraire. Le rayonnement cosmique ultraviolet constitue la véritable menace pour la vie, il a déjà atteint la surface de la Terre parce que la couche d’ozone ne l’empêche plus d’entrer.
Cela signifie qu’une partie de l‘atmosphère, ce fameux et unique bleu de la planète Terre pour lequel tous les cosmonautes s’emballent, est en train de se dissoudre. L’atmosphère ne nous offre plus la protection qu’elle a élaborée au cours de la vie de la Terre. C’est en particulier la couche d’ozone, qui assure cette protection, qui est en train de disparaître. Déjà, à la fin du Permien, il y a 250 millions d’années, presque toute la vie sur Terre a disparu parce que plus rien ne poussait. L’extinction dite «la grande extinction » est probablement due à la même cause (Gabattis 2018).
Aujourd’hui, le problème consiste non seulement dans l’existence des fameux trous de la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique et de l’Arctique aussi, lesquels malgré les attentes ne se referment pas (Titze 2018) mais aussi dans le fait qu’en même temps la couche d’ozone dans son ensemble est devenue tellement faible qu’elle laisse passer le rayonnement cosmique partout. Jusqu’à présent, on avait toujours nié que cela soit possible.
L’auteur de ce terrible message est le Dr. Marvin Herndon, avec Raymond Hoisington et Mark Whiteside ; ils viennent de publier leurs résultats respectifs de recherche scientifique dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, 14 (2): 1-11, 2018, Article no. JGEESI.40245, sous le titre suivant: „Deadly Ultraviolet UV-C and UV-B Penetration to Earth´s Surface: Human and Environmental Health Implications”, en français:
Dans l’article, les auteurs expliquent que le rayonnement UV-B est “un facteur de stress“ ayant d’importants effets négatifs sur la survie et la croissance des organismes marins et d’eau douce, comme par exemple le plancton dans sa forme végétale ainsi qu’animale. Cela réduit et menace la source d’approvisionnement de la vie marine. D’ailleurs, le rayonnement UV-B peut nuire à la photosynthèse, empêcher la croissance et endommager les taux métaboliques du monde sous-marin ; il peut perturber les communautés de récifs coralliens et les détruire en les blanchissant et causer l’instabilité du génome chez les plantes. Cependant, le rayonnement UV est nocif aussi pour les sols, pour les arbres dont il modifie l’environnement biologique et chimique. Les conifères peuvent développer des pollens appauvris, leur reproduction peut être perturbée et ils peuvent même devenir stériles. La toxicité des UV-B est bien connue. Elle s’applique également à d’autres êtres vivants.
Le rayonnement UV-C, à son tour, a des effets létaux sur les insectes et les micro-organismes. Il mène les plantes à une mort cellulaire programmée. Il suscite des dommages cellulaires chez les rats et pour le moins des lésions de la peau chez l’homme selon la durée de l’exposition au rayonnement UV-C.
Dans l’annonce de la publication il y a un résumé – (début de citation) :
Dernière nouvelle
La Trans dyne Corporation révèle
“Des rayons ultraviolets mortels atteignent maintenant la surface de la Terre”
San Diego, 2 avril 2018
“On croit généralement que l’ozone atmosphérique bloque la partie mortelle du rayonnement solaire, les UV-C et la plupart des UV-B, et l’empêche d’atteindre la surface de la Terre. Une publication scientifique récente remet cette hypothèse en question.
mnb
Publié cette semaine dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, l’article de J. Marvin Herndon, PhD, de la Transdyne Corporation, Raymond D. Hoisington de iRay SpectraMetrics, et Mark Whiteside, MD, MPH, médecin du Ministère de la Santé de Floride, confirme la preuve publiée par la NASA en 2007 mais dont elle n’a pas assuré le suivi. »
La NASA était informée depuis des années
Il y a onze ans, des scientifiques de la NASA ont publié la première preuve que le rayonnement UV-C et UV-B pénétrait la couche d’ozone et atteignait la surface de la Terre. Cette preuve est maintenant confirmée par Herndon et al. Après l’article de D’Antoni et al. en 2007 qui montrait que les UV-C et UV-B atteignaient la surface de la Terre, la NASA n’a mené, contrairement aux protocoles éthiques, aucun suivi dans la recherche, malgré les graves implications de ses propres résultats.
Il est dit dans cet article : « En science lorsqu’on fait une découverte qui contredit la compréhension actuelle, les scientifiques ont la responsabilité de tenter de réfuter cette découverte au-delà de tout doute raisonnable. S’il est impossible de le faire, les implications de cette nouvelle découverte devraient être discutées dans la littérature scientifique. L’article de 2007 D’Antoni et al démontrant que le rayonnement UV-C atteignait la surface de la Terre aurait dû faire l’objet d’intenses recherches de la part de la NASA pour deux raisons, l’une scientifique et l’autre éthique. »
En dépit de l’implication des découvertes de la NASA en 2007 pour la science atmosphérique et malgré leurs profondes implications pour la santé humaine et l’environnement, la NASA s’est abstenue de mener plus loin la recherche. Cette non-action soulève la question : la NASA est-elle complice d’une activité mondiale secrète telle que de la « défense nationale » militaire sous forme de pulvérisation aérienne de cendres volantes de charbon toxiques, ce qui pose de sérieux risques pour la vie sur Terre?
Depuis au moins 20 ans, avec une augmentation continue en quantité et en durée, les militaires ont commencé à pulvériser des particules dans la zone où les nuages se forment pour manipuler et transformer l’atmosphère et les conditions météorologiques en armes de guerre. Les résultats d’analyses d’échantillons de pluie et de neige correspondent à la composition des cendres volantes de charbon toxiques, celles-ci constituant la principale substance utilisée dans les aérosols. Depuis environ 2010, ces pulvérisations aériennes sont devenues des opérations quasi quotidiennes et planétairement généralisées.
Comme le révèle cet article, les pulvérisations aériennes déposent d’énormes quantités de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphère ; tous ces éléments ont le pouvoir de détruire la couche d’ozone… D’autres substances contenues dans les aérosols de cendres de charbon volantes, y compris les nanoparticules, pourraient nuire à l’ozone atmosphérique.’
L’affaiblissement de la couche d’ozone est maintenant mondial et permet à des rayons ultraviolets mortels d’atteindre le sol. L’article note aussi : ‘Le rayonnement ultraviolet est le composant le plus nocif et génotoxique du spectre solaire. Les effets mutagènes et létaux du rayonnement solaire présentent deux maximums, et les deux se trouvent dans la zone UV du spectre.’
En introduction, les auteurs « fournissent des informations sur les effets dévastateurs des UV-B et UVC sur les humains, le phytoplancton, le corail, les insectes et les plantes. »
Les militaires pourraient considérer tout cela comme des ‘dommages collatéraux’, mais cela est beaucoup plus grave car cela menace virtuellement toute la vie sur Terre”.
Informations et pdf: http://www.nuclearplanet.com/uv.html
Source: J. Marvin Herndon, Ph.D. Transdyne Corporation Email: mherndon@san.rr.com
Site Web: http://NuclearPlanet.com
Figure 1, Traînées de particules de cendres volantes toxiques pulvérisées par avion au-dessus de Soddy-Daisy, TN (USA) avec la permission de David Tulis.
Figure 2, Mesures spectrométriques solaires. Notez la mesure de 2002 qui illustre la fausse idée communément admise, de l’absence de rayonnement UV-C à la surface de la Terre.
Voilà pour ce qui concerne Herndon et al. Si nous revenons à l’étude de Rosalie Bertell “Planète Terre, la dernière arme de la guerre“, il devient clair que la pulvérisation de nanoparticules dans l’atmosphère (que l’on appelle « gestion du rayonnement solaire – « solar radiation management » ou SRM), que visent aujourd’hui également les géo-ingénieurs civils, a contribué à la destruction de la couche d’ozone, et continue d’y contribuer, de plus en plus:
Il y eu 2.200 essais nucléaires, y compris ceux des bombes à hydrogènes, en particulier dans l’atmosphère entre 1958 et 1998 dont les deux tiers furent menés par les États-Unis et l’autre tiers par l’Union soviétique ; à cela s’ajoutent les dommages causés par des accidents des centrales nucléaires, de Harrisburg et Tchernobyl à Fukushima laquelle, depuis 2011, doit être considérée comme une catastrophe nucléaire majeure qu’on ne peut stopper, et qui est responsable de l’apparition du trou de la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique ; en outre, il y a la nano poussière d’innombrables tonnes de munitions à uranium (UA – l’Uranium appauvri) qui proviennent pour la plupart des déchets de l’industrie nucléaire) et dont on a fait usage dans toutes les guerres depuis la première Guerre du Golfe, dans les Balkans et au Moyen-Orient ainsi qu’en Afghanistan (récemment Hänsel 2017) ; de plus, il y a certainement de la contamination radioactive dont on ne sait rien (secret militaire), et de la contamination non comptée comme celle de l’activité normale des centrales nucléaires. Wilhelm Reich a déjà prouvé dans les années 50 que la radioactivité détruit l’énergie vitale qu’il appelait «l’Orgone » principalement celle de l’air (voir Senf 2003).
Tout ce programme est mis en œuvre par la géoingénierie militaire en cours du CMI, le complexe militaro-industriel (voir Werlhof 2018).
Nous expérimentons un processus de destruction en continu. Il a apparemment atteint maintenant un point de changement radical, autrement dit, il a commencé à devenir irréversible. Il n’a pas fallu plus de 50 ans pour cela si l’on compte à partir de la découverte non reconnue des rayonnements UV-B et UV-C sur Terre par la NASA en 2007. Ce n’est pas long si on considère que ce processus a déclenché des effets planétaires qui ne font rien d’autre que menacer notre vie sur Terre et qui vont même y mettre fin si nous, les êtres humains – ne faisons pas ce qu’il faut maintenant.
Or, la catastrophe a déjà commencé il y a longtemps: le « printemps silencieux » que Rachel Carson a prédit dans les années 60 (Carson 1962) est déjà là. On remarque une baisse de la population d’oiseaux et d’insectes de 40 à 70 %, le blanchissement des coraux dans les mers, des vides dans l’Océan Pacifique depuis Fukushima et l’extinction quotidienne d’ espèces d’animaux et de plantes (WWF 2008).
Il est évident qu’il faudrait mettre fin presque immédiatement au processus de destruction de l’atmosphère par la géoingénierie militaire afin que la Terre ait une chance de guérir les blessures qui lui ont été infligées, en particulier l’affaiblissement de la couche d’ozone. Combien de temps cela prendrait-il ? Et : Y aurait-il assez de temps pour sauver la vie terrestre et la renouveler ? Ou bien avons-nous déjà laissé passer cette chance ? Cela serait le cas si les effets ressentis aujourd’hui n’étaient que la première étape d’une série dont certains ont besoin de 40 à 60 ans pour être perçus. Ainsi, tout le reste suivrait et nous ne serions qu’au début de ce qui est déjà en marche …
On estime en général qu’il faut 50 ans à la couche d’ozone pour se reconstituer (cf. Ozon). Or, cela ne s’est pas encore réalisé parce que les conditions n’étaient pas du tout réunies. Il y a même eu des tentatives pour attaquer la couche d’ozone directement et y faire des expériences qui s’apparentent à l’ingéniérie climatique, comme par exemple produire un trou dans la couche d’ozone au-dessus d’un territoire ennemi. Néanmoins, le responsable Harry Wexler a expressément lancé un avertissement avant sa mort (Wexler 1962, voir Fleming 2018). Cependant, aujourd’hui, on est étonné que la couche d’ozone soit aussi mince que jamais et cela juste au-dessus nos têtes (Läubli 2018), donc loin des trous de la couche d’ozone!
Quelle que soit la façon dont on comprend les choses, nous devons agir sur les causes de la disparition de l’ozone dont nous n’avons généralement pas eu connaissance jusqu’à présent et/ou qu’on nous a cachées. Il n’y a aucune autre alternative. Ne faire rien n’est pas une option et signifierait que nous consentons au suicide de l’humanité et à la mort de toute la vie terrestre en général.
Cependant, la thèse précédemment défendue par la communauté scientifique, prétend toujours que ce sont les substances CFC des réfrigérateurs qui seraient la cause des trous dans la couche d’ozone. Ayant interdit les CFC, on a espéré une diminution de ces trous. Or, ce n’est pas arrivé (Titze 2018, voir Ozon). La radioactivité et d’autres substances ou d’autres procédés n’ont jamais, en aucun cas, fait partie du débat parce que le militaire est tabou et peut faire tout ce qu’il veut. C’est ce que finalement nous avons appris récemment par la Commission Européenne lorsque nous, groupe de militants européens, les « Skyguards », avons demandé au Parlement Européen au moyen d’une pétition, de vérifier la géoingénierie et ses effets pour la deuxième fois (1999 puis 2013 -Fraile 2018). La réponse d’en haut fut que les activités militaires ne concernaient pas le Parlement.
Cependant, si ces activités même sans guerre, menacent toute la vie sur Terre et sont en train de la détruire, alors quoi ?
Jusqu’à présent, un tel point de vue n’avait pas du tout sa place dans la discussion publique et en cas de doute, on le considérait comme un fatalisme minable ou une théorie de conspiration. Or, maintenant on a la preuve que c’est vrai et de quelle façon c’est effectivement le cas. Même ceux qui le savaient déjà ont maintenant la preuve en main. Cela change tout.
Pour la première fois et pour tous les habitants de la Terre il n’existe pas de message plus important. Maintenant tout le monde peut le savoir et personne ne peut prétendre n’en avoir rien su. Cela n’aiderait en rien. Il ne s’agit plus de justifications éventuelles mais de la question suivante: sommes-nous capables, nous, prétendument « Homo Sapiens » de sauver, dans les faits, la vie terrestre ou pas ? Étant donné qu’éventuellement nous avons permis à quelques-uns d’entre nous de prendre ce risque sciemment ou à notre insu. Toutefois, qui comprend cette nouvelle parmi toutes les effroyables nouvelles qui nous inondent constamment? Qui « l’entend » et entend son « appel »? Qui la laisse pénétrer sa carapace ? Qui s’en effraye ? Qui tombe des nues ? Qui reconnaît la vérité crue, indicible qu’elle nous annonce ?
Or, malgré nos réactions ou notre refus de réaction, cette nouvelle a déjà changé le monde. Il y a un Avant et un Après, quoi que nous en pensions. Objectivement, à partir de maintenant, tout prend une signification différente, quoi que nous fassions ou que nous évitions de faire, et quoi que nous en pensions: pour la première fois dans l’histoire, nous avons la preuve que nous, humains, avons ont déjà mis la planète elle-même en danger, que nous parvenions à la sauver ou pas – avec la vie dans, sur et au-dessus, la nôtre incluse.
Il est clair que le tabou autour du militaire doit tomber. Cependant, les mouvements sociaux et les politiciens qui plaident pour « la justice climatique » et la fin de l’émission civile du CO2 doivent s’occuper immédiatement du fait qu’ils croyaient, sciemment ou pas, à un mythe et que le problème est tout à fait différent. Repenser les choses de manière radicale va être nécessaire …
En d’autres termes, maintenant que la preuve de ce vrai problème est immanquablement sur la table, il faut un soulèvement mondial, suivi d’un mouvement également mondial qui ne se laisse pas déconcerter ni entraîner dans la confusion. Cependant les militaires n’arrêteront pas d’eux-mêmes de faire ce qu’ils font – il y a au moins onze ans qu’ils savent ce qu’ils font ! Et ceci ne doit pas être la seule chose qu’ils savent sans que nous le sachions. Actuellement ils essaient de transférer leurs programmes à la vie civile dans les universités du monde, au moyen de la soi-disant géoingénierie civile, une stratégie qu’ils poursuivent depuis toujours, parce qu’il devient de plus en plus difficile pour les militaires de se débarrasser de leurs « réussites ».
Donc, nous devons garantir ce changement. En fait, nous n’avons pas d’autre choix et avant tout, pas le temps. Cela est vrai pour chacun d’entre nous, c’est-à-dire « l’humanité » elle-même. Cela paraît incroyable mais du point de vue d’une appréciation objective, « nous » devons objectivement parvenir à ce que :
Il ne semble pas qu’il y ait la moindre chance de gagner sur un seul de ces points, où que ce soit. Et pourtant, c’est ce qui est au programme, que cela fonctionne ou pas et que nous le voulions ou pas.
Ou bien est-ce que nous, humains, voulons perdre, ensemble les animaux, les plantes de la Terre et les bases élémentaires de notre propre vie, sans même avoir résisté, sans même comprendre ce qui se passe parce que, parce que nous n’avions pas connaissance de notre propre technologie et donc, ne pouvions pas nous y opposer, sans parler des machinations qui se trament par derrière… ? (voir BUMERANG 3/2018).
Il en est ainsi, subitement. Tout se révèle complètement différent de ce que nous avons l’habitude de penser. Il n’y a pas d’erreur ; il n’y a plus de doutes. C’est une nouvelle époque. L’heure de vérité a sonné. Maintenant c’est à nous de jouer, que cela nous plaise ou pas, que nous soyons préparés ou pas et que nous en soyons capables ou pas. Que la vie terrestre s’arrête ou non dépend de nous – et ceci très rapidement car les causes persistent et se développent continuellement.
Rosalie Bertell a déjà dit en 2000 que si le trou de la couche d’ozone doublait, il n’y aurait plus d’agriculture sur Terre. Or c’est sur le point de devenir encore pire que cela.
Nous ne pouvons pas attendre que plus rien ne pousse avant de commencer à faire quelque chose. C’est évident, n’est-ce pas ?
Ça va être un sacré réveil !
Traduction: Denise et Claire Henrion (à partir de la version anglaise)
Bibliographie:
Begich, Nick und Manning, Jeane: Löcher im Himmel, Michaels Verlag, Peiting 2001
Bertell, Rosalie: Planet Earth. The Latest Weapon of War, London 2000, The Women´s Press
___: Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausen 2013 und 2016, J.K. Fischer
BUMERANG 3, www.fipaz.at/bumerang, 2018
Carson, Rachel: Der Stumme Frühling, Beck, München 1962
Dönges, Jan: Ozonloch wirkt offenbar bis in die Tropen.
Das Ozonloch zieht nicht nur Flora und Fauna in Mitleidenschaft, sondern ändert auch das Klimagefüge der Erde. Der Effekt erstreckt sich bis in den tropischen Pazifik, News 14.6.2017
Fleming, James Roger: http://www.nogeoingegneria.com/news-eng/was-harry-wexler-the-man-who-caused-the-ozone-hole/, 2018
Fraile, Josefina: Geoengineering: The truth hidden in the Paris’ Climate Agreements or the moral incapacity of the United Nations to defend the common good, in Werlhof, C.v. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)
Freeland, Elana: Under an Ionized Sky, Feral House, Port Townsend WA 2018
Gabbattis, Josh: The Great Dying’: World’s worst-ever extinction event ’caused by UV radiation’, News, 8.2.2018
Hänsel, Rudolf: Der Krieg, der nicht zu Ende geht, in: Neue Rheinische Zeitung, NRhZ, Köln, v. 16.10.2017
Herndon, Marvin: http://www.NuclearPlanet.com/uv.html, 2018
Läubli, Martin: http://www.sueddeutsche.de/wissen/atmosphaere-die-ozonschicht-ist-so-duenn-wie-noch-nie-1.3856013. SZ, 7.2.2018
Loppow, Bernd: Himmelfahrtskommando Luftverkehr? Zeit-online, 5.3.1993, http://www.zeit.de/1993/10/himmelfahrtskommando-luftverkehr
Ozon: http://www.ozonelayer.noaa.gov/science/basics.htm
Senf, Bernd: Die Wiederentdeckung des Lebendigen, Omega, Aachen 2003
Titze, Sven: Die Ozonschicht erholt sich nicht wie erwartet, NZZ, 6.2.2018
Werlhof, Claudia von: Geoengineering: From Geo-Weaponry to Geo-Warfare, in dies. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)
Wexler, Harry: http://www.colby.edu/sts/wexlerozone.pdf, 1962
WWF: Abschied der Arten, Frankfurt 2008
Les auteurs versent aux débats les résultats de leurs recherches au sein de leur laboratoire de nanodiagnostics. Grâce à une technologie spécifique de microscopie électronique, ils prouvent la présence de nanoparticules de métaux toxiques dans les vaccins, dont on se demande ce qi peut bien la justifier. Quelles en sont les conséquences pour le corps humain ? …
Claire Gillespie
24 rue Alphonse Karr
06000 Nice
Nice, le 25 janvier 2018
à Monsieur Christian Estrosi,
Maire de Nice
06000 MAIRIE DE NICE
Objet : Épandages inquiétants dans notre notre ciel (géo-ingénierie ?)
Monsieur le Maire,
Avez-vous pris le temps de regarder notre ciel ? Il s’y passe des phénomènes perturbants….
Où est passé le bleu profond de notre ciel d’azur qui durait pendant des jours ….. et sa luminosité ? … et les couleurs douces des paysages de notre région ? Ou sont passé les orages qui éclataient au printemps et en automne ? Prenez le temps Monsieur le Maire de regarder notre ciel …. et ce qu’il devient ….
Depuis plusieurs années, je suis témoin (et je ne suis pas la seule !) d’ épandages d’avions probablement civils et militaires (les couloirs de ces avions étant différents et les pulvérisations proviennent de ces différentes hauteurs), à fréquence quasi quotidienne, de manière importante et avec une conséquence effrayante sur la qualité de notre ciel, de notre air et des rayonnements du soleil.
Ces perturbations se sont étonnamment accentuées depuis la COP21 (fin 2016). Les traînées que tracent les avions sont parfois assez basses (pas toujours), très longues, elles quadrillent le ciel et s’étalent, particulièrement devant le soleil, transformant rapidement un ciel bleu d’origine en un ciel laiteux, en le recouvrant d’un voile ou de nuages jamais vus auparavant. Très souvent une couche cotonneuse opaque s’installe dans le ciel au lieu des nuages que nous avions l’habitude d’y voir circuler. D’ailleurs, ce ne sont plus des nuages mais des formations artificielles. Je ne pense pas vous étonner en portant à votre connaissance ma protestation et ma colère qui sont aussi celles de nombreux citoyens.
En qualité de maire, vous êtes responsable envers vos administrés, en matière de Santé-Environnement des pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article 1.2212-2 du Code Général des collectivités territoriales), je ne peux donc, que me tourner vers vous, dans un premier temps, pour exprimer mes craintes et mon questionnement quant aux risques d’une dégradation irrémédiable de notre atmosphère et par conséquent de la santé des êtres (humains, animaux, insectes, végétaux) qui en dépendent.
1/3
Que sont ces épandages incessants dans notre ciel ? Quelle en est l’origine ? Quelles sont les particules contenues dans ces traînées qui retombent forcément vers le sol portant un préjudice certain et grave à tout être vivant lorsqu’on sait que certains métaux lourds et autres éléments inquiétants participent de leur composition (des analyses en témoignent).
Il faut bien différencier :
Pour cette deuxième catégorie, vous, votre famille, vos amis, peuvent aussi constater la présence de trop nombreux avions et de leurs traînées qui s’étalent à des heures irrégulières dans le ciel, de façon quotidienne (sauf exception), à la vue de tous, décrivant des formes jamais vues (des croix, des arcs de cercle, des quadrillages, des triangles ….). Parfois c’est un véritable feu d’artifice d’avions et de leurs longues traînées blanches qui, assez rapidement, s’élargissent, s’étalent, pour former une couverture ouateuse. J’ai pu compter jusqu’à 10 avions en même temps pulvérisant leurs particules dans notre magnifique ciel d’Azur qui bientôt n’aura d’azur plus que le nom ! (Vous trouverez ci-joint quelques photos qui illustrent mon propos).
Du fait de ces particules en suspension dans l’air le soleil n’éclaire plus de la même façon. Il est devenu froid, son éclat est particulièrement aveuglant, il n’a plus la lumière douce et généreuse qu’il diffusait encore jusqu’autour des années 2000, le paysage lui-même n’est plus éclairé de la même façon. L’air est de plus saturé de particules et les montagnes sont souvent à peine visibles.
Cet état devrait alerter les pouvoirs publics qui ont en mains tous les outils d’observation et d’analyse dont la population assure le coût au travers de ses impôts. Il est donc impératif qu’elle puisse bénéficier de ces outils. Les contrôleurs de la navigation aérienne et les pilotes des avions de l’aéroport de Nice peuvent apporter leurs témoignages …. . Cette insanité doit être dénoncée officiellement et doit cesser.
Des analyses ont été faites auprès de laboratoires indépendants qui mettent en évidence des taux élevés d’aluminium, baryum, fer, plomb, etc… pouvant provenir du carburant des avions mais aussi des particules composant ces trainées relevant de la géoingéniérie. Plus amples analyses pourraient être menées de l’air, de l’eau de pluie pour confirmer et compléter les résultats dont nous disposons.
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Ces éléments extrêmement toxiques expliquent que nos arbres tombent malades et ne peuvent plus lutter contre les parasites qui les envahissent (palmiers, marronniers, figuiers, acacias, buis, cyprès ……..). Il en est de même des êtres humains où la maladie devient la règle et la bonne santé l’exception ! Y a-t-il une corrélation entre ce que nous respirons et notre état de santé ?
Des brevets prouvent l’existence et la dangerosité de ces mélanges épandus (comme par exemple le Brevet Welsbach n° US5003186 Hughes Aircraft Company -1991- contenant des particules d’oxyde de métal comme le dioxyde de thorium, l’oxyde d’aluminium).
Monsieur le Maire j’espère que vous aurez pris la mesure de ce qui précède et que vous voudrez bien y apporter une suite de la manière que vous estimerez la plus appropriée possible. Je vous demande de bien vouloir intervenir pour que notre ciel azur nous revienne …
Veuillez recevoir, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.
P.J. : quelques photos récentes du ciel de Nice
CC à : Nice Matin, ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques), Ciel Voilé.
sous-titres en anglais seulement en attendant une traduction. Appel aux bonnes volontés compétentes ! Merci d’avance.
sur YouTube https://www.youtube.com/watch?
Chantal Dumas
À savoir si c’était des Lockheeds Martin F-22 Raptor, je n’y connais rien en matière d’aviation, une chose CERTAINE, c’est que c’était des avions de chasse de l’armée, couleur gris foncé sans aucune démarcation, sans signe particulier sur leur habitacle visible.
Ceci quelques heures avant la pluie de filaments du 07 novembre 2013 en Drôme Ardèche, phénomène ayant défrayé la chronique.
Le hasard a voulu que j’assiste de mes propres yeux au passage de ces chasseurs manœuvrant en vols parallèles, situés en basse altitude arrivant du Sud en direction du Nord.
Tous laissaient de grosses traînées blanches derrière eux. Visuellement, la distance entre chacun d’eux était identique. Sauf, l’un d’eux, plus en retrait, qui avant de s’aligner avec les autres, a fait un cercle complet. Celui-ci m’a particulièrement stupéfié après avoir fait un largage 2 à 3 fois plus important que le restant du groupe, entraînant derrière lui une épaisse fumée cotonneuse blanche qui s’étendait et s’étalait de façon spectaculaire !!!
J’ai besoin d’un éclaircissement : « Comment cela se fait-il que des opérations semi-dévoilées au grand public, censées être exercées exclusivement dans le cadre de la géoingénierie, ensemencement des nuages et création de bouclier nuageux artificiel, se fasse juste en dessus des habitations et en si basse altitude !??? Il m’est personnellement difficile de ne pas y voir là une toute autre expérimentation parallèle bien moins avouable….
Deux ans plus tard, les journalistes du secteur ont renouvelé un article au vu que cet événement soit porté définitivement aux oubliettes. Aussi, je remercie par avance les hommes de pouvoir qui voudront bien se risquer à me répondre. Je suis patiente, c’est quand vous voulez….
Bref, quelques heures après le passage des chasseurs, le ciel se voilait et dans l’après-midi commençait la chute des mystérieux filaments…
Dans notre Région (Drôme), depuis la pluie de filaments du 07 novembre 2013, qu’est ce qui a changé pour ce qui concerne les polymères organiques aéroportés ?
C’est aussi à partir de là que j’ai commencé à me poser des questions et à réagir activement en multipliant les observations de terrain, les recherches et les contacts cherchant à m’informer, presse, internet,… et contactai différents organismes.
Mon tout premier lien internet fût celui-ci, utile à ma compréhension et prise de conscience du phénomène :
AVRIL 2013 Claire Henrion présidente de l’ACSEIPICA à la conférence du 8 & 9 avril 2013 au parlement européen :
https://realinfos.wordpress.
Personnellement ça fait bien longtemps depuis que je ne regarde pas la météo mais me fie à l’état anthropique du ciel…
À savoir, qu’avant cet événement très préoccupant, mon attention était orientée dans le cadre d’une maladie infectieuse appelée : la borréliose de Lyme et sa chronicité. Comme le nuage de Tchernobyl, cette maladie s’est arrêtée à nos frontières : « En France, 5 000 cas sont officiellement recensés en 2012, contre prêt de 1 000 000 de patients traités en Allemagne !!! ». Sous l’effet du réchauffement climatique et la déforestation, la Borréliose de Lyme est devenue la deuxième maladie infectieuse après le SIDA. (L’estimation réelle en France étant d’environ 65 000 nouveaux cas/an et 80 000 nouveaux cas/an pour les données allemandes, ce qui se tient. Ceci est égal à 1% atteint de cette maladie et donc « potentiellement » 1% des donneurs de sang !…). La Borréliose de Lyme est une réelle pandémie, plus dramatique encore que cette maladie grave, tenace et insidieuse, je reste sidérée de voir autant de victimes d’un système destructeur où les malades à leurs dépends sont utilisés comme source d’énergie faisant émerger un business financier fleurissant… Mais COMMENT POUVAIS-JE UN INSTANT IMAGINER RENCONTRER UNE SITUATION BIEN PIRE ENCORE !!!???…
En juin 2013 environ, je suis tombée par hasard sur des vidéos via internet exposant le déni orchestré autour d’une maladie appelée le Morgellon.
On ne sera d’ailleurs pas étonné, que des personnes atteintes de Morgellon, soient aussi positif à la Lyme en raison d’un système immunitaire affaibli…
Puis, le temps a passé et j’ai attendu le 07 novembre 2013 !!! BEN OUI !…QUE ÇA ME TOMBE SUR LA TÊTE POUR RÉAGIR !!!….
Synthèse sur les filaments aéroportés :
Au fils du temps et les mois qui ont suivi, la chute et leur présence sur les sols ont été quotidiennes et le sont toujours aujourd’hui (preuves clichés en vidéo), bien que moins visibles en raison d’une augmentation des vents anthropiques tout azimut, fragmentant la fibre des polymères.
Leur observation en amas devint moins courant. Quelques heures après les épandages chimiques, leur présence, en filament épar rend la prise d’un cliché en macro assurément compliquée, voire impossible.
Une fois à terre, selon les vents et températures, les polymères perdent rapidement de leur volume (- H2O), donc moins collants jusqu’à perdre leur propriété élastique.
Moins chargés en eau, au microscope, leur matière est plus dense, plus compacte, plus chargée en poussières et additifs polluants.
D’un blanc immaculé, certains filaments sont passés au gris, se fragmentent jusqu’à ne plus devenir visibles à l’œil nu.
Il existe plusieurs fibres et de différentes couleurs : rouge vif métallisé – jaunes doré – blanc – bleu….
Plusieurs mois après, je constatai que leur membrane interne devint plus cassante, soit, se désintégrant d’avantage en fines particules dans l’air.
Les polymères sont du coup beaucoup moins entremêlés, plus épars, moins de présence d’amas, donc moins perceptibles à l’ œil nu ainsi que stipulé ci-dessus.
Ils disparaissent plus rapidement par le système d’évaporation d’eau et par dilution : si l’air et les sols sont plus chargés en hygrométrie.
Une fois tombés au sol, les polymères semblent perdre de leur capacité adhésive. Il n’en demeure pas moins qu’ils conservent leur caractéristique électromagnétique. Soit, il reste courant d’en retrouver sur les carrosseries de véhicules, grillages de clôtures, fils d’étendage… mais surtout, le comble de l’ironie : ils se font piéger par les toiles d’araignées !!! (il ne suffisait pas d’avoir accusé à tort les aranéides, voilà que maintenant leur habitacle est devenu inhospitalier, littéralement infecté pour certains)…
Cette vidéo est une synthèse relatant des faits et documents réels, vécus depuis le 07 novembre 2013 jusqu’à ce jour.
Aujourd’hui, je reste seulement active dans l’envoi régulier des clichés du ciel anthropique de ma Région auprès de l’Association citoyenne ACSEIPICA. Il s’agit d’une enquête indépendante, personnelle, menée à la suite des filaments tombés du ciel le 07 novembre 2013 sur notre Région de Drôme-Ardèche. Par mesure de précaution, de respect et droit à la personne, aucun nom, ne sera divulgué.
Pourquoi ? Dès lors que je me suis mise à m’intéresser aux problématiques liées aux épandages aériens et que j’ai voulu en savoir plus sur les polymères organiques aéroportés, j’ai été confrontée à une forme de réticence de la part de certains interlocuteurs. Indéniablement, le simple fait d’évoquer le sujet « Filaments issus des Chemtrails » dérangeait grandement.
À noter quelques railleries ou on vous envoie vers d’autres interlocuteurs, histoire de se débarrasser plus vite du problème. Également des formes de déni orchestrées, genre : « jamais entendu parlé, non, je ne vois pas, non, pas au courant… », mais essentiellement des contrevérités, des formes d’hypocrisie cocasse, genre : « Ah, non ! Nous on ne fait pas ce type d’analyses ici, ou cela, vous coûterez quelques milliers d’Euros, etc… » (ça c’est pas mal non plus, histoire de dissuader…). Etc.
J’ai eu aussi un personnel qualifié dans les pollens et micro environnement et qui restait toujours sur sa position initiale (qu’en est-il aujourd’hui, je l’ignore) : « les polymères sont issus des fils de dispersion de la vierge liés à certaines espèces d’aranéides ! disait-il… ». Cette personne poussera le vis et la dérision en rajoutant ceci : « Vous savez, un jour, une personne m’a amené des échantillons en disant que ça ressemblait à de la peau humaine alors que c’était des résidus d’écorces de cyprès… ». Mais, bien sûuuuuur !!!! Pffff…..
Et, quand vous lui dites, qu’il y a eu des analyses qui ont été faites concernant les polymères et que vous lui annoncez ce que c’est en réalité, il vous dit : « désolé je n’ai pas le temps, là, j’ai du travail !… ».
Y’en a eu un, dans le lot, qui a été moins « langue de bois » que les autres et qui m’a dit : « nous privilégions la piste « anthropique » sans pouvoir la démontrer avec certitude, d’autres spécialistes dont c’est le domaine (biologie, chimie) doivent faire leur travail, pour confirmer cela ou pas, ce n’est pas le nôtre !!! » et il rajoutera entre autre : « pour moi il y a deux types de spécialistes à interroger :
– des spécialistes de l’environnement et en particulier des araignées ;
– des chimistes pour analyser chimiquement ces fils ;
J’ai été contacté par une chercheuse du CNRS qui travaille justement sur ce phénomène des « fils de la vierge ». Elle semble formelle sur le côté « naturel » de la chose…et donc de ce que l’on a observé en Drôme ; l’ampleur du phénomène l’a seulement un peu intriguée et pourrait s’expliquer par des conditions météo particulières…. ».
Cette chercheuse du CNRS a été impossible à retrouver !!!!! : « inconnue au bataillon !!! », bien sûr ce sont des choses qui arrivent souvent !!! : Peut-être la retrouverais-je dans les » FAITS DIVERS » ??? avec un gros titre genre : « DISPARITION INEXPLIQUÉE DE PERSONNELS AU SEINS DU CNRS »… Mais restons sérieux…
Bref, de fils en aiguille, j’ai eu la chance qu’on me mette en relation, enfin, auprès d’une autre chercheuse du CNRS pour l’échange d’échantillons de polymères, piège à particules sèches, récolte d’eau de pluie. L’entretien suivi aura duré plusieurs mois. Je suppose que si cela aura pu se faire, c’est que je me serais contentée tout ce temps d’écouter et de suivre les instructions sans poser de questions ou presque ?
Par contre, bien qu’allant à l’encontre de l’avis de la chercheuse, jouant « cartes sur table », j’aurais pris la peine de l’informer, dès le départ, de mon point de vu « ferme et arrêté » sur l’origine des polymères.
Mon premier contact qui a été téléphonique, aura été pour le moins très surprenant mais malheureusement toujours dans le même état d’esprit !!!
Surtout avant de lire ce qui va suivre : pensez que cette scientifique ne fait que répéter les consignes et ordres qui lui ont été conférés et commandités…. :
Les points positifs :
1- La personne ne dénigre pas l’évidence même : aussi que ces filaments ne sont pas du tout de même nature que les toiles d’aranéides !!!
2- Elle est sensibilisée par le fait que la circulation croissante liée aux passages des avions peut également entraîner une perturbation climatique….
Le point négatif, (à savoir que je n’avais fait aucune demande particulière, ni posé aucune question) : Cette personne, d’une voie très calme, mélodieuse et de façon méthodique se met à me relater les faits du 15 février 2013, où une grosse météorite est entrée et a explosé dans l’atmosphère terrestre à plusieurs kilomètres d’altitude, provoquant ainsi cette pluie de météorites autour de la ville russe de Chelyabinsk (dans l’Oural). Elle m’informe que depuis la désintégration de cette météorite, on a pu remarquer une modification significative sur un dérèglement climatique, cela, sur l’ensemble du globe.
Nous suivons cela de très prés dit-elle ! La dernière fois qu’un tel événement s’est produit avec des dégâts encore plus importants, c’était le 30 juin 1908, en Sibérie, dans la région de la Toungouska….
Bref, cette personne fait le lien entre cet événement du 15 février 2013 et les filaments tombés du ciel le 7 novembre 2013 !!! Elle dit que ceux-ci font partis des mystères de la nature et que l’on est loin d’imaginer toutes ses merveilles… (le mots « merveilleux », par ailleurs, revient avec insistance et à plusieurs reprises).
Soit : cette matière se diluant dans les sols ne représenterait aucun danger pour l’Homme, voire au contraire : elle ferait partie des mystères fascinant de la vie au même titre que les traces d’ADN retrouvées dans certains météorites…
Cette personne se veut rassurante et me dirige ainsi par ses propos vers la théorie extraterrestre pour ce qui est à l’origine de ces filaments !!!
TOUS CES PROPOS QUI REPOSENT SUR DES FAITS RÉELS, SELON MOI, SONT, BIEN ENTENDU, PURES DIVAGATIONS ET PROPAGANDES HISTOIRE DE NOYER LE POISSON DANS L’EAU…
À noter que si une météorite similaire avait déjà frappé la terre en fin 2012 (date des premiers prélèvements d’échantillons analysés) ou même en 2007, lors des analyses du Docteur Zamengo de l’université Ca’ Foscari en Italie et bien cela se saurait !!!!!
C’est vraiment à se demander pourquoi autant de zèle et d’application dans une histoire comme celle-ci, à dormir debout ?
QUE VEULENT-ILS BIEN NOUS CACHER ?
– Que leurs essais d’épandages comportent des risques sur l’environnement, l’écosystème, la biodiversité, le monde animal et l’être humain et qu’ils ne sont pas en mesure réellement de quantifier exactement leurs impacts ? (Est-ce que ce sera 10, 20, 30% ou plus de la population qui sera affectée ?)
– Qu’exposer au monde de tels procédés en stade expérimental, ceux-ci n’auraient jamais pu voir le jour car jugés, par la population, trop risqués et peu viables, quelles qu’en soient les raisons exposées ?
– En gros, qu’ils ne maîtrisent, en fin de compte, pas grand-chose, qu’ils ne sont pas en mesure de dire si le jeu en vaut réellement la chandelle ?
– Que maintenant la machine lancée, ils ne peuvent plus faire marche arrière : trop d’investissements économiques, financiers sont en jeu ?
– Que spéculateurs et investisseurs tiennent les rênes et qu’eux-mêmes sont devenus les instruments d’autres marionnettistes bien plus avides et perfides ?
– Que sous-couvert d’une lutte contre le réchauffement climatiques, lutte hasardeuse et soumise à controverses entres scientifiques, mais soit disant utile et nécessaire, d’autres profitent de l’opportunité pour officier dans des buts (militaires, puisque ayant racheter les brevets scientifiques des géoingénieristes…) bien plus risqués et bien plus inavouables encore ? (Il ne suffirait certainement pas des 10 doigts de la main pour énoncer les toutes les raisons aux multiples facettes des épandages).
– Que nous sommes entrés dans une guerre silencieuse « légitime », sous forme de sélection naturelle, sans merci, évoquant une surpopulation mondiale engendrant une baisse critique des ressources terrestres ne pouvant assurer telle que la pérennité de l’existence humaine sur terre ? (Justement on en parle aujourd’hui à la télévision, y a-t-il vraiment de hasard, où suis-je Madame Irma !???LOL)…..
En fin de compte, la réalité ne dépasserait-elle pas la fiction ???
« Ne sommes nous pas les figurants, victimes d’un scénario catastrophe qui aurait pu être inspiré des plus grands chefs-d’œuvre de Stephen King avec une fin s’annonçant peu glorieuse ? »
N’en déplaise à certains, mais j’étais bien au premières loges lorsque des « Chasseurs » précédant cette pluie massives de filaments du 07 novembre 2013, sont passés au dessus de la maison . Ils laissaient s’échapper derrière eux des épandages d’épaisses fumées blanches s’étalant dans le ciel jusqu’à former un voile sur toute sa superficie.
J’ai pu remarquer que plus la pression atmosphérique est chargé en eau plus les filaments sont épais, collants & résistants (élastiques) et l’on peut alors apercevoir des amas qui se forment (filaments entremêlés). Ne pas les voir, ne veut pas dire qu’ils ne demeurent pas.
Tout me laisse à penser que les caractéristiques et propriétés des filaments, entrant en combinaison avec les quelques éléments de l’air auxquels ils s’associent (eau, hydrogène, oxygène, azote, etc.), auraient la capacité de se régénérer? Ceci m’a donné l’idée d’en faire une culture afin d’en étudier l’endurance, l’avancement et le comportement.
Intéressant de savoir que quelques morceaux de brindilles auxquels étaient agrippés les filaments ont été également déposés dans le liquide. Le bois des brindilles même coupé continue à travailler, c’est un matériau dit « hygroscopique ». Même constat pour les filaments, même après avoir hiberné pendant 2 mois au frigo, à l’abri de l’air, sous pli aluminium !!! Une sacrée résistance en somme !!!
Les filaments après s’être dissous littéralement se sont comportés comme un champignon parasitaire venant ensuite s’agglutiner autour des morceaux de brindilles et ont fabriqué ensuite des ramifications faisant comme une forme de cocon fibreux cotonneux.
Ensuite, une forme de mère jaunâtre, comme ce que l’on peut voir dans le vinaigre, se forma, mais d’aspect beaucoup, beaucoup, plus fluide, se dispensant dès qu’on agite le flacon et se reformant au repos !!!!….
D’après moi, ils peuvent se présenter sous différentes formes, donc, particulaires, dissoutes, volatiles ou non, en fonction des différents critères de situations (pression atmosphérique, hygrométrie, températures…).
Les filaments ne sont pas toujours perçus à l’œil nu.
Ce qui est de toute façon visible (par beau temps, de façon évidente), c’est la formation de voiles nuageux artificiels d’origine anthropique dans le ciel. Ciel aux couleurs dénaturées et/ou saturées, tellement chargé en particules polluantes après épandages chimiques (ou Chemtrails).
Mes observations complémentaires : La matière des polymères est capable de faire corps avec les éléments. La nature chimique des chemtrails crée artificiellement des zones dépressionnaires provoquant nuages et/ou pluies, vents….
La masse nuageuse anthropique crée un bouclier et empêche la pollution ascendante de se disperser de façon homogène dans l’atmosphère et rend l’air moins respirable et donc plus nocif (effet de serre), comme nous le savons.
Suivant les conditions, les différents critères de situation, les éléments, auxquels est soumis le polymère organique complexe (ou dit « non identifiable » après analyses, puisque fabriqué en laboratoire, non breveté pour éviter les fuites de divulgation), son aspect varie.
Une partie s’évapore (air), une partie se dilue dans l’eau (sol), une partie de dissout en fines particules (poussière) dans l’air et une partie n’est-elle pas directement ingérée par la matière organique vivante ? À l’échelle du nanomètre toutes les hypothèses sont envisageables….
Que maîtrisons-nous au juste? Dans le cadre de la nanotechnologie, créer une nouvelle forme de vie en combinant du vivant et du non-vivant, ça aujourd’hui, on sait le faire !!! Oui, créer ne semble plus poser de problème, mais, conscientiser, appréhender de façon concise et responsable, l’interaction et l’impact éventuelle auprès des formes de vie déjà naturellement présentes sur terre, là, la tâche devient plus compliquée !!!
Il n’y a aucun mérite, quel que soit l’enjeu, de créer une nouvelle forme de vie qui détruit ou déstabilise l’équilibre naturel de la vie sur terre…. La nature nous apprend de surcroît que toutes choses perdurent dans le temps à condition qu’elles vivent avec ses particularités propres en harmonie avec son environnement et non au détriment de celui-ci en se comportant comme un vulgaire parasite !!! Tout repose, dans l’Unité, intelligemment, en un subtil équilibre.
Le polymère est capable de rester longtemps en suspension dans l’air. Il remplit avec succès ses fonctions premières, orchestrée par nos apprentis sorciers, soit, entres autres : « servir de parachute pour diverses additifs créant ainsi une barrière pour les rayonnements du soleil afin de retarder les effets du « dit » réchauffement climatique ».
Personnellement, ce qui me pose problème par-dessus tout, c’est ma théorie exposée ci-dessus, concernant son adaptabilité aux éléments terrestres et son autorégulation dans notre atmosphère et notre environnement…
Différents critères me pousse à émettre l’hypothèse suivante : Après avoir été épandus, la formation des polymères s’auto-régule en partie, peut-on parler alors de régénérescence ?? Quoiqu’il en soit, ils ont une force d’adaptation spectaculaire !!!! Autonomes, sans qu’il soit besoin de les réalimenter constamment, ils semblent s’auto-alimenter grâce à la molécule d’eau présente dans l’air et le cycle de celle-ci.
Pour se faire des bactéries sont automatiquement utilisées, mais lesquelles sont-elles, E-Coli et leur effet glaçogène, etc… ???
J’ai lu plus tard que que le baryum absorbant fortement le dioxyde de carbone et l’eau, en combinaison avec l’aluminium, agiraient ensemble pour diffuser du courant dans le « dit » bouclier, ajoutés au nitrates, monoxyde, dioxydes de carbone, fluorocarbones, hydrocarbornes…. ainsi que nos fameux polymères électromagnétiques (pouvoir d’attraction, servant de véhicules), mélangés avec du matériel biologique, permettrait la suspension de tout ces mélanges de particules dans l’atmosphère pendant de plus longues périodes… avant de retomber sur terre ou de se dissoudre dans les pluies, les sols… bien évidemment rien ne se perd !!!
À l’époque j’avais fait un beau travail également auprès de la spécialiste en aranéologie maintes fois citée dans les média. J’ avais été la seule à comprendre qu’elle avait été plus ou moins dupée par les média et que ses propos avaient été coupés et utilisés à ses dépends, aussi je lui avais envoyé des filaments qu’elle aura pu étudier personnellement pour se faire son propre avis avec des bases solides, d’authentiques échantillons prélevés sur le terrain. Après quelques échanges elle s’était confiée que dorénavant elle se méfierait.
Bilan : lors des épandages intensifs devenus aujourd’hui récurrents avec d’avantage d’ondes ajoutées (HAARP) qu’il y a 2 ans, je peux remarquer une recrudescence de problèmes de santé divers et varié, allergies ORL & cutané, (yeux, nez, voies respiratoires, peau), fatigues, maux de têtes, difficulté de concentration… des maladies gastriques, cancers poumon, colon…, accidents de la route en augmentation également dus aux intempéries liées à la modification climatique engendrée par ces opérations d’épandages orchestrés et pas uniquement à une baisse de vigilance, dépression, Alzheimer, autisme…. Des gens meurent ou sont affectés à différents niveaux en raison des problèmes occasionnés par ces épandages chimiques… Nous, nous le savons !!!!
Pour terminer, ma petite attention aux plus sceptiques, pour vous aider à avaler la pilule rouge, j’ai quand-même pensé à vous mettre de la musique douce !! ;-)) Gardons, consciemment, la Foi et l’humour…
Amicalement Vôtre,
Chantal, alias « Fleur de Lotus » pour le microcosme et ce que la Nature a fait de plus beau & « The Mutant 26 », pour le reste et ce que l’homme a fait de pire, car quand je vois cela, je n’ai pas l’impression d’appartenir au même monde !!
(prononcer « en ouranis », ce qui veut dire : « dans le ciel ») en grec.
Vous y trouverez entre autres une rétrospective de l’histoire et de la pré-histoire des Skyguards, depuis 2009.