Bonjour,
En tant que pilote et futur ingénieur je suis abasourdi par la quantité d’âneries qui se trouvent dans votre brochure de propagande !
Il est impossible que les avions de ligne aient la capacité de larguer des produits chimiques comme vous l’énoncé ! Demander à des pilotes plutôt qu’aux pouvoirs publics …
Ensuite les traînées ont augmenté simplement car la taille du réacteur a augmenté car ils ont un meilleur rendement !
Finalement, la traînée visible à l’œil nu est simplement de l’eau sous forme solide due aux -50 degrés celsius à cette altitude. Elle va ensuite s’étendre dans le ciel à cause des vents de haute altitude et former un nuage. Car oui bizarrement les Cirrus (nuages de haute altitude) c’est de l’eau.
Donc arrêtez de chercher des complots là où il n’y a rien…
Bonne journée en espérant ne plus voir une de vos brochure sur le pare brise de ma voiture!
Réponse
bonjour,
et merci de votre contact et de votre réaction !
Que faites-vous des innombrables avions bien au-dessous des couloirs civils que nous voyons évoluer entre 2000 et 8000 mètres d’altitude, c’est à dire dans les couloirs militaires … des moyens coucous en général … ceux-là n’ont pas de transpondeur – on ne les retrouve pas sur des sites comme Flight Radar.
Quels supports de condensation rejettent-ils pour que cela forme des traînées persistantes à ces altitudes (inférieures à 8000 mètres) où les lois de la physique ne permettaient pas, avant l’an 2000 que se forme une traînée de condensation à la sortie des réacteurs d’un avion -à réaction ?
Car, ô comble, on voit même, à ces altitudes modestes, des avions à hélice produire des traînées de condensation persistantes … !!!
Préférez vous répéter ce qu’on vous dit sans chercher à vérifier la contre proposition ?
Cherchez le ciel bleu ! De plus en plus rare et de toute façon plus jamais aussi bleu, du beau bleu profond qu’on a pu lui connaître jusqu’à l’an 2000 à peu près. Cela ne vous gêne pas, ne vous choque pas, ne vous révolte pas qu’il soit si souvent lacéré, voilé, opacifié; et ces couleurs extravagantes que prennent les aubes et les crépuscules et qui révèlent à quel point l’atmosphère est saturée de particules, même dans les lieux les plus sauvages, loin de toute pollution, vous n’avez pas remarqué, semble t-il …
Vous vivez sur Terre et pour bénéficier du porte monnaie confortable que vous assurent vos fonctions d’ingénieur, il vaudrait mieux quand même pour vous être en vie et en bonne santé …
Évitez de prélever de l’eau de pluie et d’en faire analyser la teneur en Al, Ba, Sr …
Ci-joint un argumentaire que nous avons fourni au CNRS en janvier 2014, lors d’un congrès, ouvert à la société civile, auquel nous avons participé.
Sciences et Vie, octobre 2016 Avions et traînées toxiques, cherchez la preuve
Réponse
Navrant !
Votre encart à la page 115 du numéro d’octobre, intitulé « avions et traînées toxiques, cherchez la preuve » est franchement affligeant pour une revue comme la vôtre qui s’intitule, faut-il vous le rappeler « Science et Vie ». Ni l’une, ni l’autre en fait.
Vous voulez des preuves ?
Faites de la science, de base, plutôt que de nous citer une soi-disant étude sans source qui prétend qu’ « il ne s’agit que des traînées de condensation des avions de ligne ». Il suffit, où que vous soyez en France comme dans de très nombreux autres pays, de vous octroyer des tranches horaires d’observation pour compter les avions que vous voyez passer dans votre champ de vision.
Observer et compter sont les bases de toute démarche scientifique, n’est-ce pas ?
Vous pourrez constater, comme tout un chacun qui s’y adonne, que certains jours –et nuits-, pour un même créneau horaire, il passe 10 fois plus d’avions que d’autres. 10 fois, 20 fois, 40, voire 100 fois plus !
Et que ceux-ci volent bien plus bas que les avions de ligne, lesquels, vous ne l’ignorez pas, volent de nos jours au-dessus de 10 000 mètres, généralement autour de 12 000. Si vous voyez la carlingue de l’avion à l’œil nu, c’est qu’il n’est pas dans les couloirs civils, mais bien en-dessous, dans l’espace aérien réservé aux militaires.
Et ces avions qui volent entre 2000 et 8000 mètres, qui sont ceux que l’on voit, laissent derrière eux des traînées persistantes qui finissent, certains jours (principalement lorsque la pression atmosphérique est en baisse) par couvrir entièrement le ciel. Il suffit de les suivre des yeux pour s’en rendre compte. Voir ce rapport http://www.acseipica.fr/trainees-davions-et-constat-du-trafic-aerien/
Il faut pourtant certaines conditions de température, pression et humidité pour que des traînées de condensation se forment dans le sillage des avions à réaction. Pour laisser de telles traînées à d’aussi moyennes altitudes, il faut nécessairement, en vertu des lois de la physique, que des particules soient ajoutées, soit au carburant, soit directement aux rejets de l’avion, pour former des noyaux de condensation. Comble d’ironie, certains de ces avions sont à hélice !!! Mais « ce-ne-sont-que-les-traînées-de-condensation-des-avions-de-ligne » !!! Observez-les d’un peu plus près aux jumelles ou au télescope et vous ne pourrez plus en douter.
Outre ces avions clandestins, non équipés de transpondeurs, qui n’apparaissent pas sur les radars civils quoique bien visibles dans le ciel, une panoplie de particules toxiques est déjà incorporée dans le carburant des avions de ligne depuis bientôt 10 ans. Voir à ce sujet l’étude de Manuel Abegglen & al. de Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich (en PJ) et l’interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke https://www.youtube.com/watch?v=ic4dml5oUVk .
Voir également ce rapport de 2009 sur les phénomènes de condensation liés à la circulation aérienne civile ET militaire, établi par un collège de spécialistes de l’aéronautique belges et hollandais : Case Orange http://www.acseipica.fr/786/
Quant à la toxicité des retombées, leurs teneurs en métaux lourds (aluminium, baryum, strontium) et en molécules de synthèse, certaines déstructurant l’ADN, les certes modestes analyses d’eau de pluie et de filaments aéroportés que nous avons pu mener, par des laboratoires, d’Etat comme indépendants, en atteste.
Vous avez certainement les moyens d’en mener davantage, à moins que la navrante désinvolture avec laquelle vous traitez ce sujet ne finisse par vous faire perdre votre lectorat.
Veuillez trouver en PJ l’argumentaire que nous avons présenté au CNRS lors du colloque « Science à très grande échelle » en janvier 2014
En espérant que Science et Vie honore son titre et demeure une véritable revue de vulgarisation scientifique, indépendante et lucide, au service de la vie et du bien commun, recevez nos meilleures salutations.
Claire Henrion
Astronome
Fondatrice de l’ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques)
Particulier irrité d’avoir reçu notre flyer dans sa boîte aux lettres -15 janvier 2017
Réponse
je suis absolument désolée qu’une personne ne vous ayant pas rencontré personnellement ait mis ce flyer dans votre boîte aux lettres. Toutefois, autant peut-on se scandaliser de voir tant de papier gaspillé pour des pubs commerciales, autant dites-vous que le précieux arbre qui a donné son bois pour faire le support de la précieuse information que vous avez eu entre les mains, se joint à nous pour tirer la sonnette d’alarme quant à l’empoisonnement constatable du ciel ; il suffit d’observer de manière un peu rigoureuse la circulation aérienne pour s’en convaincre – ceci n’étant que la partie, visible et constatable par tous, de l’arsenal de destruction totale, tenu sous le sceau du secret défense, auquel nous contribuons chaque jour grâce à notre travail et à nos taxes. Si nous nous sentons un tant soit peu respectueux et responsable de la planète que nous laissons derrière nous, il nous appartient à nous, citoyens, de dénombrer et dénoncer les avions dans le ciel (beaucoup plus nombreux que les avions de ligne censés circuler) et de constater les anomalies quotidiennes , en tant de lieux remarquables qu’ils produisent. Les arbres eux, ne demandent qu’à pousser et assainissent sans cesse l’atmosphère. Il leur faut juste les rayons du soleil, un sol suffisamment sain et de l’eau de même. C’est une matière (vivante) des plus renouvelables ! Un arbre abattu, un de replanté, c’est la sagesse du bon cultivateur. Nous n’en abusons pas. Soyez convaincu du respect que nous leur accordons ainsi qu’à vous-même.
Le présentateur météo Joël Collado est invité à donner une conférence sur les techniques de prévision météo par le Musée Vetter de Decazeville, le canton du siège de l’ACSEIPICA, le 20 mars à 20h30
Dans le cadre de sa programmation culturelle et en partenariat avec la Société Météorologique de France, le Musée de Decazeville a le plaisir et l’honneur d’accueillir la voix météo la plus connue sur les ondes radiophoniques, Joël Collado, pour une conférence sur le thème de la prévision météorologique.
« La prévision météorologique sous tous ses aspects »
nous nous réjouissons de vous rencontrer à l’occasion de votre conférence sur les méthodes de prévision météo à Decazeville le 20 mars prochain, sujet qui retient particulièrement notre attention. Nous sommes l’ ACSEIPICA , Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques, une association nationale dont le siège se trouve dans le canton de Decazeville.
Nous ne manquerons pas de vous interpeller sur la réalité des épandages aériens quasi journaliers de produits toxiques qui défigurent ostensiblement le ciel et perturbent manifestement la météo.
Dans l’espoir d’un dialogue fructueux, merci de l’intérêt que vous saurez porter à nos préoccupations.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de nos meilleures salutations.
Un débat s’est engagé sur le site « Le dormeur doit se réveiller » suite à la publication d’une interview de Dominique Pélissier, de l’ACSEIPICA par le cercle des volontaires.
Il y a eu quelques échanges argumentés intéressants mais ma dernière réponse, en date du 25 février n’avait toujours pas été publiée dans ce fil de discussion. Au final cela n’est dû qu’à une fausse manip de ma part.
En attendant de le renvoyer sur le forum du dormeur, je vous invite à lire le début de cet échange sur le site du Dormeur-qui-doit-se-réveiller et la fin ci-dessous.
Merci à lui d’avoir poussé l’exposé des arguments de manière aussi approfondie.
Cet échange devrait constituer une bonne ressource d’argumentation pour tous nos militants.
Non, le survol de Paris est toujours interdit. Il s’agit de la zone Prohibited 23 qui s’étend sur les 2000 premiers mètres:
Oui c’est ça, les avions sont juste au-dessus de 2000 mètres comme ça ils ne sont pas interdits !
Il est donc tout à fait normal de voir des avions passer au dessus de paris à une altitude proche ou supérieure. Si vos adhérents de la région parisienne disent la même chose que moi et confirment le fait que presque tous les avions sont répertoriés sur flightradar j’en suis heureux.
L’ennui c’est que ceux signalés sur Flight radar sont donnés pour voler à 10 ou 12 000 mètres … Et ceux qu’on voit sont entre 2 et 4000 … Presque 10 km les séparent en altitude …
Dans la région parisienne Il y a aussi évidemment très régulièrement des avions qui passent aussi bas voir plus bas (hors P23 de Paris intra-muros) dans les couloirs aériens du fait des aéroports proches. Il n’y a rien d’étrange pour ceux comme moi qui n’ont que trop l’occasion de voir les allez et retour de tous ces avions qui décollent et atterrissent.
On peut justement faire la distinction entre ceux qui décollent, ceux qui atterrissent ainsi que ceux qui tournent en rond en attendant d’atterrir : tous ceux-là de font pas de traînée ; et les autres qui passent en long, en large et en travers, entre 2000 et 6000 mètres selon les jours, tartinant le ciel de leurs traînées si naturelles !
clairehenri12 a écrit:
Est-ce que vous voyez à l’œil nu le fuselage des avions que vous dites être à 12000 mètres d’altitude ?
Cela dépend des conditions de luminosité et l’orientation du soleil par rapport à l’avion, puisque vous savez qu’à distance et sous certaines conditions l’avion peut se confondre avec le ciel et sembler quasiment invisible (de là est sorti une théorie foldingue d’avions hologrammes du 11 septembre). Cela dit d’ordinaire j’observe avec de bonnes jumelles que j’utilise aussi pour l’observation des étoiles.
Je vous parle de mesurer la taille de la carlingue en longueur d’arc. Je ne vous parle pas du reflet d’un avion invisible car trop haut (10 ou 12 000 mètres) quand le soleil l’éclaire, comme les satellites la nuit. Voyez vous la carlingue à l’œil nu ? C’est qu’il est en dessous des couloirs civils. Si ce n’est qu’il est effectivement en train de décoller ou d’atterrir (en cas sa trajectoire n’est pas horizontale) ni en train d’attendre son tour d’atterrir –et ceux-là ne font pas de traînée – c’est que ce ne peut être qu’un militaire ou un avion privé. Ne vous privez pas de les observer avec vos bonnes jumelles ; vous pourrez constater qu’il y en a qui sont franchement militaires. Quant aux autres, dites vous bien que tout objet volant est réquisitionné, même des avions à hélices…
Jusqu’à 3 ou 4 ans en arrière, il était de notoriété publique que les avions à hélice ne faisaient pas de traînée. Depuis on commence à trouver des justifications scientifiques prétendant le contraire…
Vous lui faites encore confiance à cette « science » ?
Ce n’est que la science du mensonge, et vous ne semblez toujours pas vous en rendre compte !
Et comme vous le dites, les traînées persistantes sont généralement en haute altitude.
Je ne sais pas comment vous avez ou comprendre ça alors que je m’évertue à vous faire prendre conscience qu’il y en a à TOUTES les altitudes et en particulier aux basses altitudes où les conditions normales de formation de la condensation ne sont pas réunies. Ce qui prouve qu’il y a nécessairement des adjuvants au carburant ou des produits expulsés de l’avion.
Pour les invisibles j’ai commencé à répondre précédemment. Ils ne sont évidemment pas invisibles, c’est juste la relative opacité de l’atmosphère qui en l’absence de différence de luminosité entre celle renvoyée par leurs ailes et fuselage d’une part et la luminosité du ciel d’autre part ne nous permet plus de bien les distinguer. Pareillement dans certaines conditions on peut les voir noir ou sombres parce que les faces qui nous sont visibles sont à l’ombre d’elles-mêmes, en contrejour.
Je dirais plutôt « différemment » : les reflets d’un avion en haute altitude qui signalent sa présence alors qu’il est indétectable à l’œil nu ne sont pas assimilables à l’ombre produite par un objet visible à l’œil nu, passant devant une source lumineuse.
clairehenri12 : Les formes et les couleurs des nuages actuels traduisent la présence de particules
adzo: Pourriez vous me donner des photos d’exemples que je me rende compte de ce dont vous parlez ?
L’accentuation des rouges, l’apparition de violet et de gris foncé dans les cumulus humilis, les stratus de plus en plus sombres, tout cela a été manifeste dès les premiers épandages. C’est incroyable comme les gens sont peu attentifs ! C’est pourtant une horreur, une injure sans nom à la beauté naturelle, comment peut-on ne pas faire la différence ?
Un autre lever de soleil vu de chez moi ; c’est un belvédère que j’habite depuis 1998. Jusqu’en 2002, j’ai contemplé un ciel propre, parfois couvert des nuages naturels que j’avais toujours vu. Et depuis le 16 mai 2002 que les premiers avions épandeurs sont apparus, l’horizon est devenu encombré, même les jours de très beau temps, de ces strates rouges à violet foncé qui l’obstruent. Les levers de soleil dans un ciel vraiment propre deviennent rarissimes.
Si beaucoup d’avions militaires passent dans votre région c’est regrettable, mais quel est le rapport avec les supposés chemtrails ? Ce qui nous intéresse ce n’est pas de trouver suspicieux qu’il existe des avions militaires ou non qui volent
Ah bon ? Comprendre que nos armées sont impliquées là dedans est sans intérêt ?
C’est pourtant la clé du problème !
mais de savoir ce qui permet à l’ACSEIPICA de déterminer que des trainées de condensation persistantes puissent être comme on dit des chemtrails ou non. Puisque c’est le sujet ici, quels éléments sérieux l’ACSEIPICA a-t-elle à donner là dessus ? Comme je l’ai déjà dit, l’argument de l’altitude supposément trop faible pour que des trainées puissent se produire n’a pas de valeur puisque des nuages peuvent se former à n’importe quelle altitude et que le passage d’un avion a tendance à favoriser la condensation
Êtes-vous vraiment sérieux ? Comment expliquez vous que la condensation puisse se former du jour au lendemain à des températures entre -5° et 0°C alors qu’il a été de notoriété publique durant des décennies qu’elle se formait à -40°C ? Comment faire si on ajoute rien pour la provoquer ? Il n’est pas difficile, en l’état actuel de l’ignorance générale de publier de nouveaux articles estampillés « scientifiques » pour nous faire gober le contraire. Faut-il être naïf et s’abstenir d’observation rigoureuse et d’expérience pour les croire !
Je veux bien discuter et répondre à ce que vous relevez mais je crains que tel que l’on est en train d’orienter la conversation (en parlant d’estimations et de jugements sur la normalité ou non de la présence d’avions à différentes altitudes et de leurs effets sur la condensation dans leur trajectoire) cela n’apporte pas grand chose d’utile au débat.
C’est le cœur même du débat. Peut-on, pour quelque raison que ce soit, admettre de détruire à petit feu notre environnement en l’empoisonnant ? Vous pouvez les nier, mais les preuves par les analyses sont là. Les premiers malades des conséquences de l’empoisonnement global par les airs, combiné à celui des aliments et des médicaments, accusent les produits analysés des retombées de ces traînées. La hausse des maladies impliquant le baryum et l’aluminium, composants de base des épandages, a été vertigineuse dès les premières années d’épandages généralisés, c’est-à-dire à partir de 2002 en France.
claire: On voit ce que les neo « spécialistes » appellent « cirrus » parfois à 2000 mètres, sous des cumulus !!! Ces soit-disant cirrus n’ont rien à voir avec les vrais, nécessairement au-dessus de 8000.
adzo: Il y a certainement une confusion par exemple avec les différents stratus, et altostratus, nuages diffus qui voilent le ciel.
Les « officiels » appellent ça des « cirrus » mais je suis d’accord avec vous ça ressemble plus à des stratus ; toutefois ils n’existaient pas avant l’apparition des épandages. Ce ne sont que des résidus de traînées, que l’atmosphère modèle en ces nouveaux nuages. Ce sont des nuages de poison !
Puisqu’on en est à évoquer les types de nuages, sur la présentation du slide j’ai quelques remarques:
je ne vois pas ce qu’il y a d’artificiel aux nuages de la troisième diapositive.
Effectivement … ce n’est pas une image particulièrement typique. Je me souviens de ciels de ce genre. Un plafond de stratocumulus. Toutefois on peut remarquer les stries et le gris tirent fort sur une teinte aluminium gris foncé …
On peut aussi rapprocher les nuages de la diapositive 12 de cirrocumulus,
Effectivement mais un peu trop effilochés pour être honnêtes ; et le petit cumulus rose violet à droite, vachement normal aussi, hum !
ceux de la 19 d’un stratus,
avec des voiles violets, c’est nouveau comme couleur !
la 26 d’une forme spéciale de lenticularis duplicatus
il s’agit de cercles concentriques tracés par deux avions sous les yeux du photographe.
et la 55 d’un altocumulus stratiformis ou undulatus.
Magnifique : double couche de poison, la chaîne et la trame. Que de l’artificiel, ça saute à mes yeux sensibles à la pureté du ciel depuis mon enfance.
Non, mais vous aviez déjà vu ça où avant 2002 en France ?
En tout cas ces nuages me paraissent tout à fait naturels.
Au secours !
clairehenri12 a écrit:Vous savez sans doute que l’espace aérien a été remodelé en 1997 (déréglementation du trafic aérien) ? À partir de l’an 2000, les avions civils ont du voler au-dessus de 8000 mètres, alors que jusque là, c’était 4000. En dessous, ce sont les couloirs militaires, ouverts à l’OTAN …
Pourriez vous donner les textes sources qui fondent ce que vous dites ? Parce que pour les vols à vue par exemple, il n’y a qu’une recommandation de voler au dessus de 1500 pieds (450m), en dessous opérant régulièrement les avions militaires français en entraînement.
Vous voulez parler des 300 mirages qui rasent parfois nos plateaux à une vitesse supersonique ? Ils sont très désagréables, même terrifiants, mais ce n’est pas d’eux dont je parle.
Et en France, l’espace aérien supérieur (UTA) davantage « réservé aux aéronefs en régime de vol aux instruments » (bien qu’il soit accessible aux vols à vue avec contact radio et délivrance d’une clairance) commence au niveau 195 correspondant à 5800m.
Tout est clean sur les devantures, tant de l’aviation civile que militaire…
Je tiens les informations concernant l’altitude minima de vol pour des avions civils de 3 pilotes civils professionnels ne se connaissant pas entre eux, que j’ai rencontré en différentes occasions en 2003-2004.
La dérèglementation (en anglais deregulation) , c’est l’ouverture de l’espace aérien aux compagnies privées ; elle a commencé dans les années 1970 aux Etats-Unis et s’est achevée en 1997. Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9r%C3%A9glementation
claire: Maintenant, trafic local ou international, depuis l’an 2000, tous les vols civils doivent se faire au-dessus de 8 000 m, altitude à partir de laquelle peut se former naturellement la condensation …
adzo: Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. Dites vous que les avions n’aient plus le droit de se trouver en dessous de 8000 mètres hors des CRT et TMA ?
Je dis qu’il y a des escadrilles entières d’avions qui ne cessent de passer et de repasser au-dessus de toute la France (et des autres pays européens, de l’OTAN et du Commonwealth). Que ce sont des avions militaires -ou tout avion réquisitionné- des différents pays de l’OTAN et des avions civils; et qu’ils lâchent des produits dans l’atmosphère, lesquels produits provoquent de la condensation persistante même à des altitudes auxquelles sans produits (bactéries spécifiques, sels de baryum …) elle n’a aucun lieu de se produire. Pour quelle raison passent-ils à votre avis ?
Doit-on tolérer une telle circulation aérienne, sachant la proportion militaire manifeste (ce qui se passe en dessous des couloirs civils) et cachée (les avions civils affrétés par les armées – vérifiable sur Flight radar) ?
De toute évidence, nous sommes en guerre, une guerre qui ne se dit pas. Nous sommes au 21ème siècle. Après le bruit des bottes, le silence feutré des pantoufles …
En puisant un petit peu dans la documentation de l’US Air Force, on comprend que c’est une arme environnementale aujourd’hui tout à fait banalisée.
– Il faut connaître aussi le livre de Rosalie Bertell (qui fut entre autres témoin expert pour les Nations Unies, en charge du dossier Bhopal) « Planet Earth, the latest weapon of war » publié en 2000 (en cours de traduction en français), qui alerte sur l’arsenal climatique, son usage déjà à l’époque et les développements à prévenir, ce qui n’a encore jamais été fait.
Les trainées de condensation persistantes existent depuis bien avant les années 2000. ça n’est pas apparu du jour au lendemain, ça a suivi le développement du trafic aérien. Elles occupaient déjà le ciel aux Etats-Unis en 1955:
Bien entendu ! Il y a eu des tas d’essais localisés auparavant. Mais ces rapports concernant les traînées persistantes sont anecdotiques alors que ce à quoi on assiste aujourd’hui est la généralisation à outrance du phénomène. De 1965, âge auquel j’ai commencé à y prêter attention aux traînées d’avions jusqu’à 2002, je n’ai vu en France que de véritables traînées de condensation, émises au-dessus de 8000 mètres, courtes, fines et éphémères. J’ai vu en revanche pour la première fois de ma vie, au Québec en 1999, deux avions – entre 2 et 4000 mètres – tracer chacun une large traînée blanchâtre d’un bout à l’autre de l’horizon. Cela m’a fait très froid dans le dos. Effectivement les épandages systématiques ont commencé en Amérique du Nord en 1995.
Si vous voulez être honnête il est surtout dit que HAARP ne peut pas modifier le climat et qu’en ce qui concerne ce qu’il envoie pour exciter l’ionosphère, c’est sans commune mesure en dessous de ce qui est naturellement apporté par le soleil:
« The intensity of the HF signal in the ionosphere is less than 3 microwatts per cm2, tens of thousands of times less than the Sun’s natural electromagnetic radiation reaching the earth and hundreds of times less than even the normal random variations in intensity of the Sun’s natural ultraviolet (UV) energy which creates the ionosphere. »
Certes il dit ça mais il dit aussi ce que je dis ! C’est quoi les « heating facilities » à votre avis ?
Le rapport case orange a pourtant prétendu que la densité de puissance envoyée dans l’ionosphère serait d’un Watt par cm² alors que les sources sérieuses indiquent seulement quelques microWatts par cm²… (je peux même préciser qu’à la fréquence la plus favorable et avec la plus haute concentration du faisceau, cela atteint théoriquement 4.1379 µw/cm²).
Envoyée oui, vous n’avez pas remarqué qu’ils nous parlent de la fréquence qui atteint la ionosphère ? Ce n’est pas pareil, la puissance au départ et à l’arrivée… 350 km plus loin.
Ensuite, ils comparent le rayonnement global du Soleil aux émissions spécifiques de HAARP dans certaines longueurs d’onde. C’est un peu gros, non ? Et ensuite ils omettent de dire à cet endroit là que la ionosphère renvoie des ondes beaucoup plus basse fréquence, et que ces ondes sont modulées par les grands champs d’antennes (basse fréquence=grande longueur d’onde). Et ils oublient soigneusement de vous dire que la ionosphère réagit à 300% aux variations du rayonnement naturel – et artificiel –c’est l’objet de HAARP, de faire joujou avec notre enveloppe protectrice. Ce serait le moindre des principes de précaution que d’être transparent sur la question. En apparence sur le site c’est transparent, mais il faut lire entre les lignes. Pourquoi un contrôle exclusivement militaire à ce projet ? Pourquoi une absence de réponse aux questions posées par les parlementaires européens depuis 1998 ? Il n’y aurait pas de visée guerrière derrière ?
HAARP est un bouc émissaire alors que nombre d’objets de la vie quotidienne, téléphones portables, téléphones fixes sans fil, wifi, donnent des densités de puissance qui peuvent parfois atteindre des dizaines de microWatts par cm².
Pour la puissance de ces objets de la vie quotidienne, certes, vous avez raison. Mais il y a une très grosse différence: ces objets sont à notre échelle et la nuisance est locale, simplement autour de nous. Alors qu’en faisant joujou avec la ionosphère, certes pas besoin de très gros impact pour que celle-ci l’amplifie à l’échelle de la planète. C’est le but de HAARP de tester cet amplificateur naturel et de le soumettre aux caprices … de qui au fait ? Vous et moi avons-nous donné notre avis pour que cela ait lieu ? Mesurez-vous la différence de taille entre vous et la planète ? Ce n’est pas la même échelle et la planète est notre maison : elle nous englobe.
Ce que fait HAARP et les autres chauffeurs ionosphériques que sont SURA et EISCAT, ça s’appelle la gégène à notre échelle. Trop sympa pour notre maman commune !
Qui plus est les réchauffeurs ionosphériques ne peuvent qu’irradier au dessus de la station et il est physiquement impossible que la station de Gakona soit pour quelque chose dans ce qu’il se passe en Europe vu qu’on est au delà de sa portée si on doit considérer un fonctionnement en radar transhorizon avec réflexion sur la ionosphère.
Gakona était la station initiale, ouverte en 1993. L’US Air Force a annoncé qu’elle fermait cette station au mois de mai dernier. Info ou intox, quoi qu’il en soit il y a maintenant beaucoup de stations HAARP sur le globe. Avec SURA et EISCAT, elles entourent l’océan arctique, ce qui produit ce qui semblait très juteux jusqu’aux années 80 : la fonte de la calotte polaire Arctique. Il y a tant de richesses là-dessous ! En Antarctique, il n’y a qu’un lieu où la calotte polaire fond : c’est autour de la péninsule où se trouve la base américaine. Il y a là une station HAARP depuis 1999.
Vous dites au sujet de l’ionosphère qu’elle « nous protège des rayons gamma (UHF) et X (VHF) venus de l’extérieur ».
Or, les ondes UHF et VHF n’ont rien à voir avec les fréquences et longueurs d’onde des rayonnements gamma et X. Voyez sur wikipédia
Ah bon ! Ultra Haute Fréquence et Très Haute Fréquence sont les longueurs d’ondes les plus courtes : ce sont bien celles des rayons gamma et des rayons X. C’est même clair sur le diagramme que vous me signalez. Mais si vous préférez celui-ci pour comprendre un peu mieux
Qui plus est, si les installations tel qu’EISCAT ou HAARP ont par ailleurs à coté des antennes UHF et VHF, les antennes qui agissent en réchauffeur ionosphérique fonctionnent en HF.
En UHF et VHF – de ce que j’en ai compris – ce sont des radars émetteurs ; leur maillage est d’autant plus serré que la longueur d’onde est courte.
page 9 du Compte rendu de la conférence du collectif « Skyguards » le 9 avril 2013, HAARP est accusé de provoquer: « tremblements de terre, sécheresse, inondations, ouragans »
Je le disais, tout cela est fantasme, comme les écrits qui prétendent qu’il s’agirait de technologie de contrôle mental. Si l’ACSEIPICA prend au sérieux et utilise comme référence les délires de benjamin fulford ou des articles de nexus, il n’est pas étonnant que ses membres soient raillés.
De tous temps, ceux qui se sont élevés pour dénoncer les scandales de leur époque ont été d’abord raillés, puis combattus et enfin reconnus et encensés – souvent après leur mort ! Rien de nouveau sous le soleil ! L’histoire tranchera.
Pour ce qui est des taux de baryum et métaux relevés dans les eaux de pluies (ce qui ne fait donc pas de lien direct avec ce que rejettent les avions et peut venir de nombreuses industries),
Oui surtout dans les endroits déserts et au-dessus des vallées !
Les méfaits de l’industrie restent plus ou moins localisés même s’il y a une dispersion dans l’atmosphère. Encore une fois c’est une question d’échelle : avec HAARP et les autres réchauffeurs ionosphériques d’un côté et les épandages aériens généralisés de l’autre, le mal est généralisé et énormément plus important.
la confusion et méprise des unités de mesure dans un rapport qui en réalité montrait des taux tout à fait naturels a beaucoup tourné sur internet. Si ils avaient réellement été présent en quantité mortelle comme certains l’affirment il serait étrange que l’on soit encore en vie et qui plus est, ma foi en relativement bonne santé.
Il est bien stipulé dans tous les articles, émis par l’US Air Force elle-même et tous ceux qui traitent des nouvelles armes qu’elles sont envisagées à dose non létale. Juste en dessous de ce qui tue, comme ça cette guerre n’a pas à se nommer. Mais en continu et au-dessus de grandes régions de la planète ça finit par tout empoisonner quand même.
Ça ne vous dérange pas d’être le cobaye de telles opérations ?
clairehenri12 a écrit: Et vous trouvez ça normal ? Beau, même, peut-être ?
Pour la dernière photo que j’ai posté oui, c’était beau et extraordinaire l’effet que ça faisait ! J’ai remercié le ciel pour ce spectacle et l’avion qui était passé par là. Pourquoi refuser de voir la beauté là où elle est lorsqu’elle se présente à nous ? ça ne change rien au monde.
Si vous appréciez le spectacle de suppliciés, évidemment ! Je vous avoue que je bannis totalement de tels spectacles et l’infliger à notre ciel est le pire des tous les crimes jamais commis contre l’humanité et la Vie.
L’accentuation des rouges, l’apparition de violet et de gris foncé dans les cumulus humilis, les stratus de plus en plus sombres, tout cela a été manifeste dès les premiers épandages. C’est incroyable comme les gens sont peu attentifs ! C’est pourtant une horreur, une injure sans nom à la beauté naturelle, comment peut-on ne pas faire la différence ?