En Nouvelle Zélande aussi, il y a des chemtrails et des gens qui les dénoncent
Excellente video, avec Betty Hooper, la Rosalie Bertell néo-zélandaise
http://www.youtube.com/watch?v=PTaZRLbKB8o
1er mai: Manifestation pour informer au sujet des chemtrails et dénoncer cette pratique
L’ACSEIPICA participe au défilé du 1er mai à Paris
sera présente également à Toulouse.
Venez nous rejoindre !
Pour Paris rendez-vous à 9h00, place Denfert-Rochereau – plus exactement à l’angle du Boulevard Arago et de l’Avenue Denfert-Rochereau – sur le trottoir où se trouve la Pharmacie.
Dominique
Consulter régulièrement cette annonce – si évolutions :
Métro Ligne 6
RER Ligne B
Descendre à la Station Denfert-Rochereau
Pause déjeuner de 12h à 12h30.
Départ prévu de la Place Denfert-Rochereau à 14h en direction de Bastille en suivant les axes suivants :
Boulevard Saint Michel,
Boulevard Saint Germain,
Pont de Sully,
Boulevard Henri IV,
Arrivée Place de la Bastille
Métro Lignes 1 – 5 – 8
Des députés répondent à notre demande de création d’une Commission d’Enquête Parlementaire
Voir sur la page « Lettres officielles«
Le Blablablah parle des chemtrails
Initiative de loi interdisant les épandages à Long Island – besoin de notre soutien
Puisqu’on peut faire quelque chose par le simple fait de se connecter…
Soutenons l’initiative du comté de Suffolk-Long Island, près de New York
Texte original en anglais à la fin
Claire
Spraying
Please post far and wide as this is finally coming to fruition. There is a public hearing for a law to ban geoengineering on Suffolk County, LongIsland, scheduled for December 6, 2011. The location and time will be posted on www.longislandskywatch.com this week. Please post on your websites and make public aware to inform as many people as possible to attend even if you don’t live on Long Island. For those of you who have extensive email contacts, please forward this information. It is imperative that we PACK the hearing so our officials know we are serious. Without support at the hearing, this law proposal will be tabled indefinitely. As always, I appreciate all of your help…..I also gratefully add that Rosalind Peterson’s time, knowledge, guidance and grace made this all possible……..
Cindy, Jim, Siobhan
LongIslandSkywatch
http://www.longislandskywatch.com/
PROPOSAL IS BEING LAID ON TABLE 11/22/11
Legislator Ed Romaine who is a member of the First Legislative District of Long Island and is on the Environment, Planning & Agriculture Committee of Suffolk County Legislature is putting forth a proposal to create a law to stop anyone/anything from dispursing ALUMINUM OXIDE, BARIUM, SULFUR, AND SALTS into the air over Suffolk County. In order for this proposal to become law, the assigned committee must vote for it to have a public hearing on December 6th, 2011. This hearing would take place in Riverhead (address to follow) at 2:30 pm. Please start calling your local legislators NOW and inform them of the proposal that is being submitted on November 22, and that you expect them to vote for a public hearing on December 6th. Here is a link to our Suffolk County Legislators and their contact info: http://legis.suffolkcountyny.gov/legislators.html
If this proposal becomes law in Suffolk County, LongIsland, it would be the first in the nation. It would be a starting point for others to follow. Eventually, our governments would have to investigate why our trees are dying in record numbers; why our waters contain toxic levels of aluminum, barium and strontium; why 90% of us are vitamin d deficient; why our crops are failing; and where all of this crazy weather is coming from. As weather modification is now traded on the stock exchange and you can buy and sell snow, there are many questions that our officials need to investigate and answer. NOW IS THE TIME GET OFF OUR KNEES!!!!!
Moratoire de Nagoya
où il est question, entre autres de géoingéniérie:
16 signatures depuis le 20 Septembre dont la France.
http://www.cbd.int/abs/nagoya-
Lettre ouverte à l’intention du GIEC concernant la géoingénierie
Une initiative de l’ETC Group
» Les organisations signataires de cette lettre aimeraient exprimer leurs inquiétudes concernant la prochaine rencontre d’experts du groupe de travail conjoint du GIEC portant sur la géo-ingénierie, qui se tiendra à Lima (Pérou) du 20 au 22 juin 2011… suite (http://www.etcgroup.org/en/node/5269 )
Mise à jour du 21 juin 2011
Nous en sommes co-signataires,
ainsi que, pour la France: la Fédération Sciences Citoyennes, Helio-France et Supahuman dignity
Télécharger le pdf avec la liste des signataires
GEO-INGENIERIE. En attendant qu’ils se RAND !
Transmis par Les Lucindas.
http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html
Vu sur http://www.
Publié le 27 avril 2011.
L’armée américaine s’intéresse depuis longtemps à la modification de la météo et à la géoingénierie, mais nous pouvons maintenant jeter un œil à ses réflexions sur la gouvernance de la recherche dans le domaine de la géoingénierie.
En effet, la RAND Corporation (note shd: pour en savoir plus sur le plus vieux think-tank militaro-industriel mondial, voir aussi la page fr.wikipedia.org sur la RAND) vient de publier un rapport de 93 pages qui tente de déterminer quels scénarios serviraient le mieux les intérêts des Etats-Unis, que ce soit l’interdiction totale, l’absence de normes ou la présence de normes très contraignantes. ( http://www.rand.org/pubs/
technical_reports/TR846.html )Voici une preuve additionnelle que le gouvernement américain ainsi que le Département de la défense prennent la géoingénierie très au sérieux. Rien de rassurant.
Télécharger directement le rapport complet / rapport résumé en anglais.
Lire en ligne le rapport résumé en anglais.
Traduction du résumé du rapport de la RAND-LIRE EN PLEIN ECRAN-
Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6
Source : http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html
Traduit par Les Lucindas.
La géoingénierie – la modification délibérée du climat planétaire – représente une proposition risquée, et effrayante pour certains. Mais le concept a attiré de plus en plus l’intérêt ces dernières années de part son habilité potentielle à changer de façon significative l’éventail des options pour limiter l’ampleur des futurs changements climatiques. Comparées à la plupart des approches visant à réduire les gaz à effet de serre, certaines approches en géoingénierie pourraient faire preuve d’une action plus rapide, moins onéreuse, et être déployées par une seule ou un petit nombre de nations sans coopération globale. Ces caractéristiques offrent un défi significatif pour la gestions des risques, la sécurité nationale, et la gouvernance internationale qui commence juste à faire l’objet de réflexion.
Ce rapport fournit tout d’abord un examen et une comparaison des risques associés aux approches alternatives internationales que les Etats Unis pourraient mener pour gouverner la géoingénierie SRM (gestion du rayonnement solaire). Pour traiter un vaste champ d’incertitudes, nous employons un cadre décisionnel analytique cooptant vulnérabilité et réaction. Plus spécifiquement, nous identifions des scénarios dans lesquels les alternatives des politiques américaines concernant la gouvernance de la géoingénierie pourraient échouer à atteindre leurs objectifs et suggèrent comment elles pourraient réduire ces vulnérabilités. Ce rapport exécute cette approche en utilisant une simple simulation afin de diriger les premières étapes d’une analyse de prises de décisions robuste (RDM, Robust decision Making). L’analyse identifie certains des risques des trois approches les plus communément débattues concernant la gestion des recherches en géoingénierie : établir des normes imposantes à cette recherche, bannir totalement toute recherche, ou laisser cette recherche déréglementée.
Ce rapport a pour but de servir trois objectifs. Premièrement il démontre l’habilité potentielle d’une analyse des risques basée sur un cadre analytique cooptant vulnérabilité et réponse à informer le débat sur la géoingénierie. Deuxièmement, il aide à définir les étapes nécessaires à la conduite d’une analyse complète pour une prise de décision robuste (RDM) concernant ces questions de gouvernance. Troisièmement, il fournit des résultats politiques très intéressants, bien qu’à titre purement suggestif.
Cette analyse a comparé trois alternatives de politiques que le gouvernement américain pourrait mener concernant une gouvernance à court terme. Le rapport cible les technologies SRM parce que ce technologies offre un éventail complet de caractéristiques qui font que la géoingénierie apparaît à la fois attrayante et dangereuse : une action rapide, relativement peu onéreuse, et qui est passible d’avoir des conséquences globales, même s’il s’agit d’une action unilatérale.
Sous une régulation imposante, le gouvernement américain encouragerait l’établissement de normes internationales pour réglementer les recherches en géoingénierie. Si elles sont bannies, les Etats Unis auraient à promouvoir une prohibition sur toute recherche en géoingénierie. En cas de déréglementation, les Etats Unis auraient à décourager activement toute tentative de réglementation. Une comparaison des performances de ces trois stratégies, à travers plusieurs états possibles du monde futur suggère que, si les dirigeants américains croient que certains types de technologies SRM sont possibles, ils auront à choisir une politique de réglementation stricte. Sous de telles conditions, cette option surpasse les alternatives parce que cela augmente la probabilité d’un déploiement réussi dans les cas où la géoingénierie prouverait sa faisabilité. Cela réduit également les probabilités d’échec dans les déploiements des nations luttant contre les impacts climatiques graves.
Si les dirigeants américains croient que les technologies SRM ne pourront pas réussir, ils auront à choisir de bannir toute recherche ou de les laisser sans réglementation. La politique de bannissement apparaît préférable si les dirigeants croient que les changements climatiques ne seront pas catastrophiques. Dans de telles conditions, cette option réduit les risques d’un excès de confiance dans le déploiement d’un système d’ingénierie qui aurait passé les tests mais échouerait en pratique. Cette option augmenteraient également la probabilité d’un accord international pour la réduction des gaz à effets de serre.
Pour comparer, les dirigeants pourraient choisi l’absence de réglementation s’ils croient que les technologies SRM ne sont pas fiables mais que le changement climatique peut être catastrophique. Sous de telles conditions, et en cas de bannissement de la géoingénierie, d’autres nations pourraient défier la prohibition et déployer une technologie SRM qui échouerait. L’absence de réglementation des recherches pourrait aboutir à des tests faits par des nations chacune de leur côté, sans communiquer leurs résultats. Ainsi, dans ce cas, une politique de déréglementation éviterait un déploiement secret de la géoingénierie.
Il y a beaucoup de mises en garde dans ces premiers résultats. L’analyse ne considère qu’un petit éventail des options possibles pour le gouvernement américain. Le rapport ne traite que les décisions des gouvernements nationaux et ne considère pas explicitement les choix des entreprises privées ou autres organisations non gouvernementales qui peuvent influer sur l’évolution politique en ce qui concerne la géoingénierie. Une analyse RDM plus complète avec une simulation plus complexe pourraient probablement ajouter d’autres vulnérabilités que celles identifiées précédemment et identifierait les directions à prendre pour en améliorer au moins quelques unes. Toutefois, ce rapport démontre que cette analyse des risques se fait sous des conditions de grande incertitude, ce qui pourrait aider les dirigeants américains à développer et évaluer des politiques robustes envers la gouvernance de la géoingénierie. L’étude offre également un aperçu des conditions futures sous lesquelles les approches de gouvernance des recherches en géoingénierie pourraient ne pas marcher comme prévu, et fournit quelques suggestions concernant l’arbitrage de telles stratégies, et décrit les étapes d’après qui pourrait se résoudre avec une estimation plus complète des arbitrages entre les politiques à court terme de gestion des risques et opportunités de la géoingénierie.
Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6
Source : http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html
Traduit par Les Lucindas.
http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html
« La Géoingénierie – prendre le contrôle du climat de notre planète » à la Royal Society de Londres 8-9 novembre 2010
– Discussion meeting : « Geoengineering, taking control of our planet’s climate »
Organisateurs: M. Andy Ridgwell, le professeur Chris Freeman, professeur Richard Lampitt
Lieu: Royal Society, 6-9 Carlton House Terrace, Londres, UK
Dates: 8 et 9 Novembre 2010
Ci-dessous nos observations et un court rapport concernant nos interventions à ce meeting