LE « SABLE » ROUGE SUR VOTRE VOITURE (qui ne part pas) 🎬6mn

Mirnes Ajanovic, avocat et parlementaire bosniaque de la Fédération de Bosnie-Herzégovine

Un institut d’ingénierie chimique a analysé le fameux « sable du Sahara » qui pleut du ciel. Ils ont trouvé: nickel, baryum aluminium et arsenic (métaux qui n’existent PAS dans le désert du Sahara) en quantités dépassant les limites autorisées jusqu’à 700 fois.

Arsenic 44 fois, baryum 660, nickel 2500, zinc 64 et fer 23 fois plus. En outre, il a été établi que les échantillons contenaient 14,2 mg/kg d’aluminium dans le sable du Sahara alors que le « sable de pluie » contenait 10,342 mg/ kg, soit 728 fois plus d’aluminium !
Sur la région de Perpignan, ce samedi 08 Juin 2024, une pluie avec des résidus de métaux lourds toxiques (strontium, aluminium, baryum…) s’est propagée sous forme de boue de couleur marron !

Source: Ciel Voilé sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=V9IzqKeTBtA
et la vidéo est marquée de « alcyonpleyades.com » mais le lien débouche sur une page « Le blog a été supprimé ».

Analyses d’eau de pluie – DEC 2019 et MAI 2020 – ⚠️ Aluminium 156 et 78,6 µg / L

Analyses d'eau de pluie

avant et après confinement

Décembre 2019. En µg / L

  • Aluminium 156
  • Baryum <10
  • Fer 87,7
  • Strontium 11
  • Zinc 5,2

Mai 2020. En µg / L

  • Aluminium 78,6
  • Baryum <20
  • Fer 74,2
  • Strontium 11
  • Zinc 49,4
  • Faites par le laboratoire Qualio de Besançon (agréé COFRAC) depuis 2012; échantillons recueillis par Laurent Bernard: recherche de métaux lourds dans l’eau de pluie par analyse de l’échantillon liquide et des particules de fond de bassine (résidu sec) dans des échantillons relevés toujours au même endroit.
    • Laurent a fait analyser un échantillon prélevé en décembre 2019 ; puis un nouvel échantillon en mai, après 2 mois de confinement, sans circulation aérienne ni épandages ou si peu…
  • Voilà les comparaisons pour l’échatillon liquide (mesures en microgrammes ou miligrammes) :
    • sensiblement égal pour le magnésium, le potassium, cérium, gadolinum, titane, lanthane,
    • 2 fois moins d’aluminium,
    • un peu moins de fer,
    • environ 2 fois plus d’argent, d’arsenic, de barium, de cadmium, de chrome, cobalt, plomb, lithium, manganèse, nickel, strontium, calcium, gallium.
    • 6 fois plus de cuivre,
    • 9 fois plus de zinc

L’augmentation de ces taux nous interpelle … Pourquoi y a t-il davantage de baryum, strontium, etc … dans cet échantillon liquide alors qu’il y a eu moins de circulation aérienne et moins d’épandages ?

  • Mais voilà les comparaisons pour le résidu sec (mesures en miligrammes ou grammes ; il faut toutefois noter que le laboratoire déclare avoir une trop faible masse d’échantillon et donc un fort taux d’incertitude ; mais le poids de résidu sec  n’est pas mentionné) :
    • 150 fois moins de cobalt
    • 130 fois moins de cadmium
    • 60 fois moins d’argent, de bismuth
    • 40 fois moins d’arsenic, de nickel,
    • 30 fois moins de lithium
    • 3 fois moins de calcium
    • environ 2 fois moins de baryum, de manganèse, potassium
    • un peu moins de magnésium
    • 1,5 fois plus de zinc, de fer, de titane
    • environ 4 fois plus de cuivre
  • On constate avec l’analyse du résidu sec qu’il y a beaucoup moins de métaux lourds après ces deux mois de calme …

A comparer avec les taux donnés dans l’article de l’Institut d’astrophysique de Zurich (metionné dans le film Overcast) pour les résidus de combustion des avions de ligne (sachant que le carburant qui les alimente est enrichi en métaux lourds -depuis 2008 afin qu’ils contribuent à « l’effort d’épandage » même s’ils n’en font pas délibérément) http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et ceux de ces analyses d’échantillons prélevés en vol en Italie http://www.acseipica.fr/analyses-dechantillons-de-poussieres-fines-prelevees-en-altitude/

In fine, pour comprendre la chimie qui s’opère dans les épandages, il faudrait se pencher sérieusement sur le manuel de cours pour les pilotes de l’US Air Force datant de 1991, intitulé « chemtrails », origine du nom. Qui aura le courage de mettre ce pain sur sa planche de travail (200 pages en anglais mais surtout des formules) ? http://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2013/11/chemtrails-chemistry-manual-usaf-academy-1999.pdf

Autres analyses

Une analyse de poils de chien dans le Cantal par une association paysanne révèle la présence de baryum mais contact difficile avec cette association qui ne veut pas que cela s’ébruite.

D’autres analyses avaient été menées sur des poils de chèvre en Haute-Loire en 2009-2010 par notre regretté Jean Claude Bourdon, vétérinaire et membre de l’ACSEIPICA, décédé en 2013, qui avaient également révélé la présence de baryum dans le poil de ces chèvres qui vivaient à l’air libre sur des causses déserts.


Filaments aéroportés: teneur en métaux lourds – 3e rapport AnAlytikA – mai 2016

Filaments. Tombés du ciel ?

A la demande conjointe de l’ACSEIPICA et du Collectif pour notre Terre le laboratoire AnAlytikA a fait effectuer un dépistage systématique des métaux lourds contenus dans un échantillon de filaments aéroportés recueillis en novembre  2012 à Thenioux (Cher).

Cet échantillon a été déjà analysé du point de vue de la chimie organique par le même laboratoire et a fait l’objet de 2 rapports

Ce nouveau rapport concerne la chimie minérale.

Conclusions de Bernard Tailliez

Les trois éléments chimiques inorganiques dont la présence est le plus généralement suspectée dans la composition des « chemtrails » :

  • aluminium (339 000 ppb = 339 ppm)
  • barium (19820 ppb = 19.82 ppm)
  • strontium (21010 ppb = 21.01 ppm)

sont effectivement présents en fortes teneurs dans cet échantillon de « filaments aéroportés ».


A noter aussi les teneurs élevées de cet échantillon en métaux lourds :
zinc (31340 ppb = 31.34 ppm)
nickel (22900 ppb = 22.9 ppm)
cuivre (8370 ppb= 8.37 ppm)
chrome (2810 ppb = 2.81 ppm)
plomb (2780 ppb = 2.78 ppm)

Voir aussi sur le Dossier : Filaments aéroportés de AnAlytikA.