PATHOLOGIES ET REMEDES

Quatre parutions médicales que nous avons le plaisir de communiquer

  • MALADIE DE LYME

auteur Dr Jean PIerre Willem – source La Revue de la MTRL – septembre 2014 – numéro 83
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  • FIBROMYALGIE, MALADIES DES ONDES

extrait du livre « Les maladies des ondes, comment s’en préserver? » du Dr Gérard Dieuzaide chapitre 8
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  • MORGELLONS

Etiologie des morgellons: un nouvel organisme infectieux semblable à une plante du Brésil et ses manifestations cutanées – en anglais
Etiology of Yan (Morgellons) Disease: A new plant-Like Infectious Organism from Brazil and Its skin Manifestations
auteur Chun-Yeung Yan – publié dans Clinical Medicine Insights: Dermatology 2012:5 – téléchargeable en ligne sur http://insights.sagepub.com//journal_homepage.php 
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  • LES CONSÉQUENCES DES MÉTAUX TOXIQUES ET DES AÉROSOLS CHIMIQUES SUR LA SANTE HUMAINE

article du Dr Sandra Ilya Perlingheri – déjà en ligne sur ce site
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la « grande nouvelle » du 21ème siècle

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique

La vie terrestre est en péril

En voici la preuve et les raisons clarifiées

Claudia von Werlhof (1)

PBME

PLANETARE BEWEGUNG FÜR MUTTER ERDE

PMME – PLANETARY MOVEMENT FOR MOTHER EARTH

MPPM – MOVIMIENTO PLANETARIO POR LA PACHAMAMA

  1. Info-Brief, April 2018

L’heure de vérité est venue:

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique – La vie terrestre est en péril. En voici la preuve et les raisons clarifiées.

Et maintenant ?

 

Du rayonnement cosmique létal atteint la surface de la Terre

Depuis le 4.4.2018, il n’y a plus de doute. Par-delà toutes les déclarations officielles et les spéculations sur l’augmentation du CO2 considéré comme menace pour la vie sur terre, il y a maintenant la preuve du contraire. Le rayonnement cosmique ultraviolet constitue la véritable menace pour la vie, il a déjà atteint la surface de la Terre parce que la couche d’ozone ne l’empêche plus d’entrer.

Cela signifie qu’une partie de l‘atmosphère, ce fameux et unique bleu de la planète Terre pour lequel tous les cosmonautes s’emballent, est en train de se dissoudre. L’atmosphère ne nous offre plus la protection qu’elle a élaborée au cours de la vie de la Terre. C’est en particulier la couche d’ozone, qui assure cette protection, qui est en train de disparaître. Déjà, à la fin du Permien, il y a  250 millions d’années, presque toute la vie sur Terre a disparu parce que plus rien ne poussait. L’extinction dite «la grande extinction » est probablement due à la même cause (Gabattis 2018).

Aujourd’hui, le problème consiste non seulement dans l’existence des fameux trous de la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique et de l’Arctique aussi, lesquels  malgré les attentes ne se referment pas (Titze 2018) mais aussi dans le fait qu’en même temps la couche d’ozone dans son ensemble est devenue tellement faible qu’elle laisse passer le rayonnement cosmique partout. Jusqu’à présent, on avait toujours nié que cela soit possible.

L’auteur de ce terrible message est le Dr. Marvin Herndon, avec Raymond Hoisington et Mark Whiteside ; ils viennent de publier leurs résultats respectifs de recherche scientifique dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, 14 (2): 1-11, 2018, Article no. JGEESI.40245, sous le titre suivant: „Deadly Ultraviolet UV-C and UV-B Penetration to Earth´s Surface: Human and Environmental Health Implications”, en français:

Pénétration mortelle des rayons ultraviolets UV-C et UV-B à la surface de la Terre: implications pour la santé humaine et l’environnement

Dans l’article, les auteurs expliquent que le rayonnement UV-B est “un facteur de stress“ ayant d’importants effets négatifs sur la survie et la croissance des organismes marins et d’eau douce, comme par exemple le plancton dans sa forme végétale ainsi qu’animale. Cela réduit et menace la source d’approvisionnement de la vie marine. D’ailleurs, le rayonnement UV-B peut nuire à la photosynthèse, empêcher la croissance et endommager les taux métaboliques du monde sous-marin ; il peut perturber les communautés de récifs coralliens et les détruire en les blanchissant et causer l’instabilité du génome chez les plantes. Cependant, le rayonnement UV est nocif aussi pour les sols,  pour les arbres dont il modifie l’environnement biologique et chimique. Les conifères peuvent développer des pollens appauvris, leur reproduction peut être perturbée et ils peuvent même devenir stériles. La toxicité des UV-B est bien connue. Elle s’applique également à d’autres êtres vivants.

Le rayonnement UV-C, à son tour, a des effets létaux sur les insectes et les micro-organismes. Il mène les plantes à une mort cellulaire programmée. Il suscite des dommages cellulaires chez les rats et pour le moins des lésions de la peau chez l’homme selon la durée de l’exposition au rayonnement UV-C.

Dans l’annonce de la publication il y a un résumé – (début de citation) :

Dernière nouvelle

La Trans dyne Corporation révèle

Des rayons ultraviolets mortels atteignent maintenant la surface de la Terre

San Diego, 2 avril 2018

“On croit généralement que l’ozone atmosphérique bloque la partie mortelle du rayonnement solaire, les UV-C et la plupart des UV-B, et l’empêche d’atteindre la surface de la Terre. Une publication scientifique récente remet cette hypothèse en question.

mnb

Publié cette semaine dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, l’article de J. Marvin Herndon, PhD, de la Transdyne Corporation, Raymond D. Hoisington de iRay SpectraMetrics, et Mark Whiteside, MD, MPH, médecin du Ministère de la Santé de Floride, confirme la preuve publiée par la NASA en 2007 mais dont elle n’a  pas assuré le suivi. »

La NASA était informée depuis des années

Il y a onze ans, des scientifiques de la NASA ont publié la première preuve que le rayonnement UV-C et UV-B pénétrait la couche d’ozone et atteignait la surface de la Terre. Cette preuve est maintenant confirmée par Herndon et al. Après l’article de D’Antoni et al. en 2007 qui montrait que les UV-C et UV-B atteignaient la surface de la Terre, la NASA n’a mené, contrairement aux protocoles éthiques,  aucun suivi dans la recherche, malgré les graves implications de ses propres résultats.

Il est dit dans cet article : « En science lorsqu’on fait une découverte qui contredit la compréhension actuelle, les scientifiques ont la responsabilité de tenter de réfuter cette découverte au-delà de tout doute raisonnable. S’il est impossible de le faire, les implications de cette nouvelle découverte devraient être discutées dans la littérature scientifique. L’article de 2007 D’Antoni et al démontrant que le rayonnement UV-C atteignait la surface de la Terre aurait dû faire l’objet d’intenses recherches de la part de la NASA pour deux raisons, l’une scientifique et l’autre éthique. »

En dépit de l’implication des découvertes de la NASA en 2007 pour la science atmosphérique et malgré leurs profondes implications pour la santé humaine et l’environnement, la NASA s’est abstenue de mener plus loin la recherche. Cette non-action soulève la question : la NASA est-elle complice d’une activité mondiale secrète telle que de la « défense nationale » militaire sous forme de pulvérisation aérienne de cendres volantes de charbon toxiques, ce qui pose de sérieux risques pour la vie sur Terre?

Depuis au moins 20 ans, avec une augmentation continue en quantité et en durée, les militaires ont commencé à pulvériser des particules dans la zone où les nuages se forment pour manipuler et transformer l’atmosphère et les conditions météorologiques en armes de guerre. Les résultats d’analyses d’échantillons de pluie et de neige correspondent à la composition des cendres volantes de charbon toxiques, celles-ci constituant la principale substance utilisée dans les aérosols. Depuis environ 2010, ces pulvérisations aériennes sont devenues des opérations quasi quotidiennes et planétairement généralisées.

Comme le révèle cet article, les pulvérisations aériennes déposent d’énormes quantités de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphère ; tous ces éléments ont le pouvoir de détruire la couche d’ozone… D’autres substances contenues dans les aérosols de cendres de charbon volantes, y compris les nanoparticules, pourraient nuire à l’ozone atmosphérique.’

L’affaiblissement de la couche d’ozone est maintenant mondial et permet à des rayons ultraviolets mortels d’atteindre le sol. L’article note aussi : ‘Le rayonnement ultraviolet est le composant le plus nocif et génotoxique du spectre solaire. Les effets mutagènes et létaux du rayonnement solaire présentent deux maximums, et les deux se trouvent dans la zone UV du spectre.’

En introduction, les auteurs « fournissent des informations sur les effets dévastateurs des UV-B et UVC sur les humains, le phytoplancton, le corail, les insectes et les plantes. »

Les militaires pourraient considérer tout cela comme des ‘dommages collatéraux’, mais cela est beaucoup plus grave car cela menace virtuellement toute la vie sur Terre”.

(Fin de la citation)

Informations et pdf: http://www.nuclearplanet.com/uv.html

Source: J. Marvin Herndon, Ph.D. Transdyne Corporation Email: mherndon@san.rr.com

Site Web: http://NuclearPlanet.com

Figure 1, Traînées de particules de cendres volantes toxiques pulvérisées par avion au-dessus de Soddy-Daisy, TN (USA) avec la permission de David Tulis.

Figure 2, Mesures spectrométriques solaires. Notez la mesure de 2002 qui illustre la fausse idée communément admise, de l’absence de rayonnement UV-C à la surface de la Terre.

D’autres raisons pour la mort de l’ozone: La géo-ingénierie militaire dans son ensemble

Voilà pour ce qui concerne Herndon et al. Si nous revenons à l’étude de Rosalie Bertell “Planète Terre, la dernière arme de la guerre“, il devient clair que la pulvérisation de nanoparticules dans l’atmosphère (que l’on appelle « gestion du rayonnement solaire – « solar radiation management » ou SRM), que visent aujourd’hui également les géo-ingénieurs civils, a contribué à la destruction de la couche d’ozone, et continue d’y contribuer, de plus en plus:

  1. La radioactivité:

Il y eu 2.200 essais nucléaires, y compris ceux des bombes à hydrogènes, en particulier dans l’atmosphère entre 1958 et 1998 dont les deux tiers furent menés par les États-Unis et l’autre tiers par l’Union soviétique ; à cela s’ajoutent les dommages causés par des accidents des centrales nucléaires, de Harrisburg et Tchernobyl à Fukushima laquelle, depuis 2011,  doit être considérée comme une catastrophe nucléaire majeure qu’on ne peut stopper, et qui est responsable de l’apparition du trou de la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique ; en outre, il y a la nano poussière d’innombrables tonnes de munitions à uranium (UA – l’Uranium appauvri) qui proviennent pour la plupart des déchets de l’industrie nucléaire) et dont on a fait usage dans toutes les guerres depuis la première Guerre du Golfe, dans les Balkans et au Moyen-Orient ainsi qu’en Afghanistan (récemment Hänsel 2017) ; de plus, il y a certainement de la contamination radioactive dont on ne sait rien (secret militaire),  et de la contamination non comptée comme celle de l’activité normale des centrales nucléaires. Wilhelm Reich a déjà prouvé dans les années 50 que la radioactivité détruit l’énergie vitale qu’il appelait «l’Orgone » principalement celle de l’air (voir Senf 2003).

  1. Les vols supersoniques contribuent à la destruction de la couche d’ozone dans l’atmosphère (c’est pourquoi le projet du Concorde qui visait à introduire le vol supersonique dans le trafic aérien civil a été abandonné).
  2. Le lancement d’une fusée contribue à la destruction de l’atmosphère en raison des propulseurs de la fusée, dont certains comme ceux de la sonde Cassini en 1997, fonctionnent au plutonium.
  3. L’irradiation de la ionosphère avec des milliards d’ondes artificielles pulsées, à grand coups de watts, par les « réchauffeurs ionosphériques », ces installations dispersées dans le monde entier, du type « HAARP » en Alaska réchauffe l’ionosphère et la charge fortement, ce qui la coupe et y fait des trous (voir Begich/Manning 2001). Les ondes traversent toujours la couche d’ozone sous-jacente.
  4. Les activités « Star Wars » des militaires depuis l’espace, l’utilisation de satellites et la formation de quadrillages électroniques qui visent à surveiller, contrôler et influencer énergétiquement l’espace aérien de toute la Terre (Freeland 2018) sous la forme d’un verrouillage planétaire sont à l’image des activités militaires terrestres.
  5. Les micro-ondes, la transmission d’énergie sans fil, les antennes relais et en général la production terrestre d’ondes électromagnétiques comme la radiographie en médecine, dans l’industrie alimentaire et au quotidien.
  6. Même le trafic aérien « normal » est devenu un agent malfaisant de l’affaiblissement de la couche d’ozone (Herndon 2017, Loppow déjà en 1993), sans parler de l’émission de métaux lourds et autres substances toxiques dans la troposphère et dans la stratosphère, ce que Herndon a notamment mentionné.

Tout ce programme est mis en œuvre par la géoingénierie militaire en cours du CMI, le complexe militaro-industriel (voir Werlhof 2018).

Que faire?

Nous expérimentons un processus de destruction en continu. Il a apparemment atteint maintenant un point de changement radical, autrement dit, il a commencé à devenir irréversible. Il n’a pas fallu plus de 50 ans pour cela si l’on compte à partir de la découverte non reconnue des rayonnements UV-B et UV-C sur Terre par la NASA en 2007. Ce n’est pas long si on considère que ce processus a déclenché des effets planétaires qui ne font rien d’autre que menacer notre vie sur Terre et qui vont même y mettre fin si nous,  les êtres humains – ne faisons pas ce qu’il faut maintenant.

Or, la catastrophe a déjà commencé il y a longtemps: le « printemps silencieux » que Rachel Carson a prédit dans les années 60 (Carson 1962) est déjà là. On remarque une baisse de la population d’oiseaux et d’insectes de 40 à 70 %, le blanchissement des coraux dans les mers, des vides dans l’Océan Pacifique depuis Fukushima et l’extinction quotidienne d’ espèces d’animaux et de plantes (WWF 2008).

Il est évident qu’il faudrait mettre fin presque immédiatement au processus de destruction de l’atmosphère par la géoingénierie  militaire afin que la Terre ait une chance de guérir les blessures qui lui ont été infligées, en particulier l’affaiblissement de la couche d’ozone. Combien de temps cela prendrait-il ? Et : Y aurait-il assez de temps pour sauver la vie terrestre et la renouveler ? Ou bien avons-nous déjà laissé passer cette chance ? Cela serait le cas si les effets ressentis aujourd’hui n’étaient que la première étape d’une série dont certains ont besoin de 40 à 60 ans pour être perçus. Ainsi, tout le reste suivrait et nous ne serions qu’au début de ce qui est déjà en marche …

On estime en général qu’il faut 50 ans à la couche d’ozone pour se reconstituer (cf. Ozon). Or, cela ne s’est pas encore réalisé parce que les conditions n’étaient pas du tout réunies. Il y a même eu des tentatives pour attaquer la couche d’ozone directement et y faire des expériences qui s’apparentent à l’ingéniérie climatique, comme par exemple produire un trou dans la couche d’ozone au-dessus d’un territoire ennemi. Néanmoins, le responsable Harry Wexler a expressément lancé un avertissement avant sa mort (Wexler 1962, voir Fleming 2018). Cependant,  aujourd’hui, on est étonné que la couche d’ozone soit aussi mince que jamais et cela juste au-dessus nos têtes (Läubli 2018), donc loin des trous de la couche d’ozone!

Quelle que soit la façon dont on comprend les choses, nous devons agir sur les causes de la disparition de l’ozone dont nous n’avons généralement pas eu connaissance jusqu’à présent et/ou qu’on nous a cachées. Il n’y a aucune autre alternative. Ne faire rien n’est pas une option et signifierait que nous consentons au suicide de l’humanité et à la mort de toute la vie terrestre en général.

Cependant, la thèse précédemment défendue par la communauté scientifique, prétend toujours que ce sont les substances CFC des réfrigérateurs qui seraient la cause des trous dans la couche d’ozone. Ayant interdit les CFC, on a espéré une diminution de ces trous. Or, ce n’est pas arrivé (Titze 2018, voir Ozon). La radioactivité et d’autres substances ou d’autres procédés n’ont jamais, en aucun cas, fait partie du débat parce que le militaire est tabou et peut faire tout ce qu’il veut. C’est ce que finalement nous avons appris récemment par la Commission Européenne lorsque nous, groupe de militants européens, les « Skyguards », avons demandé au Parlement Européen au moyen d’une pétition, de vérifier la géoingénierie et ses effets pour la deuxième fois (1999 puis 2013 -Fraile 2018). La réponse d’en haut fut que les activités militaires ne concernaient pas le Parlement.

Cependant, si ces activités même sans guerre, menacent toute la vie sur Terre et sont en train de la détruire, alors quoi ?

Jusqu’à présent, un tel point de vue n’avait pas du tout sa place dans la discussion publique et en cas de doute, on le considérait comme un fatalisme minable ou une théorie de conspiration. Or, maintenant on a la preuve que c’est vrai et de quelle façon c’est effectivement le cas. Même ceux qui le  savaient déjà ont maintenant la preuve en main. Cela change tout.

Cette preuve est « la grande nouvelle»  du 21ième siècle.

Pour la première fois et pour tous les habitants de la Terre il n’existe pas de message plus important. Maintenant tout le monde peut le savoir et personne ne peut prétendre n’en avoir rien su. Cela n’aiderait en rien. Il ne s’agit plus de justifications éventuelles mais de la question suivante: sommes-nous capables, nous, prétendument « Homo Sapiens » de sauver, dans les faits, la vie terrestre ou pas ? Étant donné qu’éventuellement nous avons permis à quelques-uns d’entre nous de prendre ce risque sciemment ou à notre insu. Toutefois, qui comprend cette nouvelle parmi toutes les effroyables nouvelles qui nous inondent constamment? Qui « l’entend » et entend son « appel »? Qui la laisse pénétrer sa carapace ? Qui s’en effraye ? Qui tombe des nues ? Qui reconnaît la vérité crue, indicible qu’elle nous annonce ?

Or, malgré nos réactions ou notre refus de réaction, cette nouvelle a déjà changé le monde. Il y a un Avant et un Après, quoi que nous en pensions. Objectivement, à partir de maintenant, tout prend une signification différente, quoi que nous fassions ou que nous évitions de faire, et quoi que nous en pensions: pour la première fois dans l’histoire, nous avons la preuve que nous, humains, avons ont déjà mis la planète elle-même en danger, que nous parvenions à la sauver ou pas – avec la vie dans, sur et au-dessus, la nôtre incluse.

Il est clair que le tabou autour du militaire doit tomber. Cependant, les mouvements sociaux et les politiciens qui plaident pour « la justice climatique » et la fin de l’émission civile du CO2 doivent s’occuper immédiatement du fait qu’ils croyaient, sciemment ou pas, à un mythe et que le problème est tout à fait différent. Repenser les choses de manière radicale va être nécessaire …

Un sursaut mondial est nécessaire

En d’autres termes, maintenant que la preuve de ce vrai problème est immanquablement sur la table, il faut un soulèvement mondial, suivi d’un mouvement également mondial qui ne se laisse pas déconcerter ni entraîner dans la confusion. Cependant les militaires n’arrêteront pas d’eux-mêmes de faire ce qu’ils font – il y a au moins onze ans qu’ils savent ce qu’ils font ! Et ceci ne doit pas être la seule chose qu’ils savent sans que nous le sachions. Actuellement ils essaient de transférer leurs programmes à la vie civile dans les universités du monde, au moyen de la soi-disant géoingénierie civile,  une stratégie qu’ils poursuivent depuis toujours, parce qu’il devient de plus en plus difficile pour les militaires de se débarrasser de leurs « réussites ».

Donc, nous devons garantir ce changement. En fait, nous n’avons pas d’autre choix et avant tout, pas le temps. Cela est vrai pour chacun d’entre nous, c’est-à-dire « l’humanité » elle-même. Cela paraît incroyable mais du point de vue d’une appréciation objective, « nous » devons objectivement parvenir à ce que :

  1. Aucune nouvelle radioactivité ne soit produite
  2. Les militaires cessent le vol supersonique
  3. Aucune fusée lancée dans l’espace
  4. Tous les réchauffeurs ionosphériques fermés
  5. Les satellites mis à l‘arrêt et aucun nouveau installé
  6. la transmission d’énergie sans fil et
  7. le trafic aérien largement ralentis

Il ne semble pas qu’il y ait la moindre chance de gagner sur un seul de ces points, où que ce soit. Et pourtant, c’est ce qui est au programme, que cela fonctionne ou pas et que nous le voulions ou pas.

Ou bien est-ce que nous, humains, voulons perdre, ensemble les animaux, les plantes de la Terre et les bases élémentaires de notre propre vie, sans même avoir résisté, sans même comprendre ce qui se passe parce que, parce que nous n’avions pas connaissance de notre propre technologie et donc, ne pouvions pas nous y opposer, sans parler des machinations qui se trament par derrière… ? (voir BUMERANG 3/2018).

Il en est ainsi, subitement. Tout se révèle complètement différent de ce que nous avons l’habitude de penser. Il n’y a pas d’erreur ; il n’y a plus de doutes. C’est une nouvelle époque. L’heure de vérité a sonné. Maintenant c’est à nous de jouer, que cela nous plaise ou pas, que nous soyons préparés ou pas et que nous en soyons capables ou pas. Que la vie terrestre s’arrête ou non dépend de nous – et ceci très rapidement car les causes persistent et se développent continuellement.

Rosalie Bertell a déjà dit en 2000 que si le trou de la couche d’ozone doublait, il n’y aurait plus d’agriculture sur Terre. Or c’est sur le point de devenir encore pire que cela.

Nous ne pouvons pas attendre que plus rien ne pousse avant de commencer à faire quelque chose. C’est évident, n’est-ce pas ?

Ça va être un sacré réveil !

  • Je remercie Maria Heibel pour ses informations et références

Traduction: Denise et Claire Henrion (à partir de la version anglaise)

Bibliographie:

Begich, Nick und Manning, Jeane: Löcher im Himmel, Michaels Verlag, Peiting 2001

Bertell, Rosalie: Planet Earth. The Latest Weapon of War, London 2000, The Women´s Press

___: Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausen 2013 und 2016, J.K. Fischer

BUMERANG 3, www.fipaz.at/bumerang, 2018

Carson, Rachel: Der Stumme Frühling, Beck, München 1962

Dönges, Jan: Ozonloch wirkt offenbar bis in die Tropen.

Das Ozonloch zieht nicht nur Flora und Fauna in Mitleidenschaft, sondern ändert auch das Klimagefüge der Erde. Der Effekt erstreckt sich bis in den tropischen Pazifik, News 14.6.2017

Fleming, James Roger: http://www.nogeoingegneria.com/news-eng/was-harry-wexler-the-man-who-caused-the-ozone-hole/, 2018

Fraile, Josefina: Geoengineering: The truth hidden in the Paris’ Climate Agreements or the moral incapacity of the United Nations to defend the common good, in Werlhof, C.v. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Freeland, Elana: Under an Ionized Sky, Feral House, Port Townsend WA 2018

Gabbattis, Josh: The Great Dying’: World’s worst-ever extinction event ’caused by UV radiation’, News, 8.2.2018

Hänsel, Rudolf: Der Krieg, der nicht zu Ende geht, in: Neue Rheinische Zeitung, NRhZ, Köln, v. 16.10.2017

Herndon, Marvin: http://www.NuclearPlanet.com/uv.html, 2018

____: http://www.thehindu.com/sci-tech/energy-and-environment/aeroplanes-may-be-affecting-ozone-monsoon/article19498497.ece, 2017

Läubli, Martin: http://www.sueddeutsche.de/wissen/atmosphaere-die-ozonschicht-ist-so-duenn-wie-noch-nie-1.3856013. SZ, 7.2.2018

Loppow, Bernd: Himmelfahrtskommando Luftverkehr? Zeit-online, 5.3.1993, http://www.zeit.de/1993/10/himmelfahrtskommando-luftverkehr

Ozon: http://www.ozonelayer.noaa.gov/science/basics.htm

Senf, Bernd: Die Wiederentdeckung des Lebendigen, Omega, Aachen 2003

Titze, Sven: Die Ozonschicht erholt sich nicht wie erwartet, NZZ, 6.2.2018

Werlhof, Claudia von: Geoengineering: From Geo-Weaponry to Geo-Warfare, in dies. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Wexler, Harry: http://www.colby.edu/sts/wexlerozone.pdf, 1962
WWF: Abschied der Arten, Frankfurt 2008

Observation du ciel

StGeorgesdeRex29mars2018

au-dessus de St Georges de Rex (Deux-Sèvres)

40 km à l’est de La Rochelle (Charente Maritime)

du 22 mars au 4 avril 2018 , soit sur une période de 2 semaines

 

un  exemple de rapport d’observation que nous vous invitons tous à reproduire

Merci de votre attention et de votre précision

 

ciel particulièrement couvert et pluies abondantes qui limitent les observations.

Cependant des éclaircies entre les nuages permettent une meilleure visualisation.

 

-22 mars – ciel dégagé + cumulus –

– 23 mars – ciel plombé uniformément – 2 ou 3 très fines traînées en cours –

– 24 mars – restes d’épandages antérieurs – pas de traînées en cours –

– 25 mars – des restes d’épandages antérieurs – pas de nouveaux épandages –

– 26 mars – ciel nuageux + quelques fenêtres bleues – restent de grandes écharpes

                   d’épandages – 18 h – avions en cours d’épandages

-27 mars – pluie / ciel bouché

– 28 mars – pluie / ciel bouché –

                   soirée / fenêtres bleues / nuages en tôle ondulée

                   pas d’avions ou épandages

– 29 mars – pluie / ciel bouché

                   mi-journée – fenêtre bleue – pas d’épandages

– 30 mars – pluie

                   mi-journée – éclaircies – cumulus normaux – pas d’épandages

– 31 mars – pluie – puis éclaircies et cumulus –

                   2 ou 3 traînées récentes en basse altitude – pas observé d’avions

                   fin de soirée – ciel clair – entièrement propre

– 1er avril – ciel nuageux et éclaircies –

                  quelques avions en épandage en haute altitude

2 avril – éclaircies – pas d’épandages

– 3 avril – pluie – ciel bouché

Conclusion

Sur 14 jours, nous avons pu observer 4 jours avec avions en épandage, ce qui est peu comparé aux épandages quasi quotidiens habituels.

D’autre part, ces épandages moins nombreux m’ont également paru moins denses.

StGeorgedeRex25oct17Pour cela consulter cette photo prise au-dessus de chez moi le 25/10/2017 (ci-dessus)

et les photos prises ces derniers jours (ci-dessous).

une société exploitant l’aluminium assignée en Justice au Brésil

Carlos Xerfan, enquêteur privé officiel sur l’affaire AZF http://livreazf.e-monsite.com/, et sympathisant de notre mouvement depuis déjà longtemps, nous a contacté récemment au sujet d’une affaire qui pourrait être un début fort intéressant d’enquête judiciaire.

En effet, bien au courant des nouvelles du Brésil car il est franco-brésilien, Carlos nous a appris que la société gestionnaire d’un site d’extraction d’aluminium – le plus grand du monde – situé à Barcarena, état de Para (nord Brésil), la société norvégienne Hydro, avait été mise en examen judiciaire au niveau fédéral fin février et tenue dès lors de ne produire au maximum que 27% de sa production la plus basse habituellement. Ceci suite aux catastrophes écologiques provoquées par cette exploitation qui ont mobilisé le peuple et ses élus. Un leader de la lutte locale vient d’être assassiné, voir cet article de presse locale:  https://g1.globo.com/pa/para/noticia/lider-comunitario-que-denunciava-crimes-ambientais-em-barcarena-e-morto-a-tiros.ghtml

Les clients principaux de cette société sont/étaient des armées et des sociétés secrètes et l’aluminium part/partait pour être transformé en nanoparticules… Reste à poursuivre l’enquête sur ce sujet.

Nous avons mené un petit sondage duquel il ressort qu’une majorité d’observateurs ont constaté une trêve dans les épandages fin février et une fréquence moyenne un peu moindre depuis …
Faute de matière ?
Certes, il n’y a pas que l’aluminium et de celui-ci il y a d’autres sources de production – autre enquête à mener ; les nanoparticules peuvent être ajoutées au substrat de base des épandages que sont les cendres de charbon volantes ou ajoutées au carburant courant des avions … Ou partir dans des vaccins ou autres …

A suivre …

Devenez plus vigilant dans vos observations ! Nous pouvons apporter une contribution au procès de cette société et remonter la piste de l’aluminium.

Nous avons envoyé cette attestation

MARCHE MONDIALE DU 21 AVRIL 2018

OPÉRATION AFFICHAGE

A l’occasion de la Marche Mondiale pour dénoncer la géoingéniérie du 21 avril 2018, voici une idée d’action:

Nous avons en stock des affiches du modèle ci-dessus que nous nous proposons de vous envoyer GRATUITEMENT pour cette occasion contre votre ENGAGEMENT de respecter les règles de l’affichage public (une notice sera jointe).

Nous avons ce modèle en format A2 pour les bords de routes, en format A3 et A4 pour les lieux publics et en format A7 (petits flyers recto français-verso anglais). CES MODÈLES SONT GRATUITS POUR CETTE OCCASION contre votre ENGAGEMENT à respecter les règles de l’affichage public. Stock limité. Dépêchez-vous ! Voir nos autres supports d’info http://www.acseipica.fr/boutique/ 

Passer votre commande ici acseipica.association@gmail.com avec en titre de message « Marche Mondiale »

téléphone 09 74 62 34 77

Communiquez votre action sur la page mondiale

 

nos autres supports d’info 

http://www.acseipica.fr/boutique/ 

L’arme climatique, la manipulation du climat par les militaires 

l'arme climatique

Nous saluons la parution de

L’arme climatique,

la manipulation du climat par les militaires

un livre de Patrick Pasin (auteur du film Bye bye blue sky)

aux éditions Talma Studios

en librairie ou sur internet (FNAC, Amazon …)

Quatrième de couverture: « Les premières tentatives de modification du climat par les militaires ont commencé il y a plus d’un siècle. Pourtant le public ignore presque tout de ces pratiques censées être interdites.

Alors bienvenue au cœur d’un des secrets militaires les mieux gardés, où l’on suit au cours des décennies l’évolution de ces armes de destruction massive, où l’on apprend qu’elles ont été utilisées en temps de guerre et en temps de paix avec de nombreuses victimes, où l’on étudie une douzaine de catastrophes « naturelles » peut-être pas si naturelles … « 



Signalons également, chez Talma Studios « Vaccins, oui ou non », de Serge Rader, Stefano Montanari et Antonietta Gatti, paru en septembre 2017.
vaccins oui ou non

Les auteurs versent aux débats les résultats de leurs recherches au sein de leur laboratoire de nanodiagnostics. Grâce à une technologie spécifique de microscopie électronique, ils prouvent la présence de nanoparticules de métaux toxiques dans les vaccins, dont on se demande ce qi peut bien la justifier. Quelles en sont les conséquences pour le corps humain ? …

 

MARCHE MONDIALE 21 AVRIL 2018

Global March Against Geoengineering 2018

POUR DÉNONCER LA GÉO-INGÉNIERIE

 
 

Partout en France et francophonie, formons nos bataillons !

Si vous avez l’âme d’un leader, n’hésitez pas, créez l’événement dans votre cité (marche ou stand ou conférence … ) et sur facebook et diffusez le sur notre page Facebook afin que les proches vous rejoignent. Inscrivez le aussi sur la page mondiale.

NOTA BENE: si vous organisez une manifestation, n’oubliez pas d’en informer la préfecture ou la police municipale.

Même si vous êtes tout(e) seul(e) et que vous ne pouvez pas bouger, vous pouvez:

  • faire de l’affichage sur votre porte, votre véhicule …
  • distribuer des flyers informatifs à votre entourage (on en a en stock )
  • faire signer notre pétition …

Préparons-nous dès maintenant à faire de cette journée une journée inoubliable et décisive !

Global March Against Geoengineering 

page FaceBook

l’événement

Les mots sont des armes

Maria Heibel 

Article paru dans NoGeoingegneria en décembre 2014

traduction Monique Fontana

https://www.nogeoingegneria.com/motivazioni/sociale/la-parola-come-arma-le-scie-chimiche/

«Concentrez-vous sur leur sens, et les mots trouveront d’eux-mêmes leur place»

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Les mots peuvent ouvrir des fenêtres, ou dresser des murs. Pour communiquer de façon efficace, il faut transmettre un contenu, des idées, des concepts, faire part d’événements, en utilisant les termes appropriés. Selon le langage utilisé, on peut attirer l’attention et faciliter la compréhension. Chaque mot a sa signification, est une « unité logique d’information » et met en valeur une question ou un problème.

Cette brève introduction est indispensable si nous voulons examiner un terme qui s’est répandu jusqu’à prendre une dimension stratégique ; un stratège démontre qu’il en est conscient en faisant une description délibérément vague d’un certain phénomène : « Je ne sais pas de quoi il s’agit, je ne sais pas si ça peut aider. Je me pose la question suivante : comment se fait-il que ces types soient là et qu’ils le refassent avec une fréquence quasi bestiale … cette chose est là tous les jours … » a déclaré le Général Fabio MINI, parlant des traînées que des avions épandent dans le ciel: des traînées de condensation longues ou courtes, fines ou massives, qui prennent les formes et les couleurs les plus variées, et que nous n’avons jamais vues par le passé. Que faire d’autre que de nous poser des questions au sujet de « cette chose » dans le ciel. Alors, que sont donc ces « contrails », ces traînées de condensation dans le ciel ?

« C’est simplement de la vapeur d’eau, ce sont des traînées de condensation  tout à fait normales », nous assurent ceux qui sont censés savoir. Mais ceux qui ne leur font pas confiance parlent de « chemtrails », de traînées chimiques, un terme qui est devenu endémique dans le monde entier, qui a pris la dimension d’un mot clé. Oui, mais ces mots clés ont une double fonction : on peut les utiliser pour libérer ou pour emprisonner. Et quelle est la fonction dans ce cas précis ? De qui ou de quoi s’agit-il ? Quelle intention l’inventeur de ce terme avait-il en tête ? La composition du mot est-elle tout à fait fortuite ? Car il s’est propagé immédiatement comme un virus. Joue-t-il vraiment le rôle efficace et adéquat d’un messager ?

Mais partons de là : Que veut dire l’expression « chemical trail » ?

 

A « wake », un sillage, est ce que vous laissez derrière vous. Le terme : « composé chimique » (chemical composition) peut décrire un état naturel ou artificiel. Depuis des années le débat tourne autour de cette question essentielle : les traînées que nous voyons dans le ciel sont-elles des « contrails » ou des « chemtrails » ? des traînées de condensation ou des traînées chimiques ? La communauté scientifique définit les « contrails » comme des traînées ou nuages de cristaux de glace. Cependant certains des scientifiques qui alimentent le débat, affirment que, du point de vue linguistique, cette distinction n’a pas de sens. En fait …

Toutes les traînées d’avions sont des « chemtrails » !

La combustion du carburant dans les moteurs d’avions est une réaction chimique. C’est à dire le passage d’une substance d’un état liquide à un état gazeux, qui se transforme en vapeur sous certaines conditions et forme une traînée visible. Les traînées de condensation  sont donc véritablement des « traînées chimiques » ! Alors quoi ? Sont-elles bonnes ou mauvaises ?

Tous ceux qui utilisent le terme « chemtrails » pour dénoncer ces sillages anormaux, lui donne une valeur négative, utilisant le mot « chimique » comme un synonyme de toxique, empoisonné, nocif. Mais il est évident que les réactions chimiques ne sont pas toutes toxiques. Alors dans quel but mettre les deux termes en opposition, opposition qui est créée et voulue, et basée sur une expression géniale ? Qui donc a intérêt à ce que le débat concernant la manipulation climatique (manipulation en cours depuis des décennies), soit réduit à une chamaille stérile pour ou contre l’innocuité ou la malignité des traînées de condensation (contrails).

Au regard des résultats obtenus après des années de discussions, ne voir dans les contrails/chemtrails que d’« insignifiantes traînées dans le sillage » des avions, pourrait être jugé comme une opération de marketing particulièrement réussie. Tout le monde aujourd’hui, ou presque, voit dans le ciel des traînées de condensation (contrails) on ne peut plus normales, qui l’embellissent et que beaucoup qualifient de « magnifiques ». Voyez les innombrables photos et vidéos sur internet.

« Magnifique coucher de soleil »

Depuis fort longtemps, on a laissé s’engager dans le débat des factions opposées (créées ou non à dessein?). Les tenants des « théories de la conspiration » disent que les traînées ne sont PAS naturelles, ne sont PAS  inoffensives et sont précisément des « chemtrails », ce terme impliquant le fait que ce sont des traînées de condensation « maléfiques ». Une grande majorité des scientifiques reconnus, certains hommes politiques et les détracteurs répliquent : les traînées de condensation sont normales, elles sont sans danger, ce sont des « contrails », en bref elles sont « bonnes ».

Si on analyse ces affirmations, on en arrive à penser que le débat est aussi fallacieux que la définition, fallacieux et tout simplement erroné.

Au-delà des composés des traînées de condensation en question, ce que nous voyons dans le ciel n’est A  AUCUN  MOMENT un fait sans danger.  Les traînées de condensation des avions ne sont PAS sans danger.  Les résidus de la combustion du carburant que les avions rejettent, souillent l’atmosphère et interviennent sur le climat de multiples façons. La multiplication des transports aériens qui s’est accélérée ces dernières années, suite à la prolifération des compagnies aériennes à bas prix (low cost), affecte la plupart des pays et augmente de façon exponentielle. Les appareils pour autant que je sache, ne consomment pas de l’eau ! Ils consomment  du kérosène, un carburant fossile. Guy Dauncey et Patrick Mazza expliquent : « Les avions commerciaux génèrent 600 millions de tonnes de CO2 par an. Ils libèrent de l’oxyde d’azote directement dans la troposphère (la partie inférieure de l’atmosphère, là où se produisent les phénomènes météorologiques). C’est là qu’ils oxydent l’ozone troposphérique qui, à cette altitude, agit comme un puissant gaz à effet de serre ». (1)

Les traînées de condensation très denses provoquent la formation de cirrus et bloquent la chaleur au niveau de l’atmosphère. En 1999, le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), exprimait de nouveau son inquiétude au sujet des gaz émis par le trafic aérien. Curieusement, pourtant, ce trafic a été dispensé de tout protocole (Kyoto) et des statistiques gouvernementales. Le ciel demeure un espace libre de toute contrainte, et tout particulièrement pour les militaires.

Le terme de « chemtrails », cependant, n’est pas utilisé pour les émissions habituelles du trafic aérien (qui sont un effet secondaire), mais ce que nous voulons mettre en accusation, ce sont les émissions délibérées de substances dangereuses.

D’où vient le terme « chemtrails» et quand est-il apparu ?

 

C’est dans le langage militaire que le terme « chemtrails » (contraction de « chemical trails », traînées chimiques) a fait sa première apparition. En 1990, il y avait un cours intitulé  « chemtrails », à l’Académie des Forces Aériennes des Etats Unis – Département de Chimie USAFA. Le texte de ce document ne donne pas d’explications pour le choix de ce mot, clairement souligné sur la page de couverture. On dit que le terme « chemtrails » a été utilisé pour la première fois par le journaliste d’investigation William Thomas en 1999. Des traces fréquentes et de plus en plus persistantes ont commencé à alarmer les citoyens américains et canadiens en 1998, et Thomas, spécialiste de la publication de nouvelles non divulguées par la presse officielle, était du nombre. Pendant et après la guerre du Golfe, il était en service à Bahraïn, en Arabie Saoudite et au Koweït comme membre d’une équipe des situations d’urgence environnementale. Il est l’auteur de plusieurs livres, certains au sujet des téléphones mobiles et autres dangers électromagnétiques.

En 1998, le terme de « chemtrails » n’avait pas encore était mentionné publiquement et s’il est vrai que William Thomas a été le premier à utiliser cette définition, il faut noter qu’un article de janvier 1999, dont il est l’auteur, ne comporte aucune mention  du terme. Cet article titrait : « Contrails: les poisons nous tombent du ciel ». Immédiatement après la publication de ce texte, Thomas fut interviewé à plusieurs reprises sur la chaîne radio Art Bell Radio par son fondateur et animateur William Arthur Bell, la première fois en Février, puis de nouveau en mars 1999. L’émission obtint l’écoute de 15 millions d’auditeurs.

William Arthur Bell III mérite une attention toute particulière. Fils de Arthur Bell junior II, Capitaine du Corps de Marine US, et de Jane Bell, instructeur dans la Marine, Bell III, après avoir quitté l’armée, a vécu à Okinawa, une île japonaise connue pour la présence de bases américaines sur 18 % de son territoire. Il a travaillé comme disque-jockey pour KSBK, l’unique station de radio non-militaire en anglais, au Japon. C’est grâce au radiodiffuseur Bell, bien connu pour ses émissions sur les faits paranormaux et les sujets traitant de complot que le terme « chemtrails » s’est répandu comme une traînée de poudre.

Très vite, d’autres pays ont suivi en diffusant des émissions sur les « contrails dans le ciel ». L’augmentation rapide et graduelle des traînées persistantes sur l’ensemble du globe a été accompagnée par la diffusion de programmes identiques à ceux de Art Bell Radio, insérant chaque fois le thème des traînées de condensation dans un contexte de « mystères paranormaux et de complot. » Grâce au soutien particulier des médias de masse, on a pu contrôler la diffusion d’un terme sans histoire, parce qu’il introduisait des éléments faciles à discréditer.

Le terme « chemtrails » : de quoi s’agit-il ?

On utilise ce terme comme mot-clé pour repérer ceux qui sont impliqués dans la question des « traînées de condensation dans le ciel ». Il sert à créer un ghetto. Ce terme n’est pas officiel, il n’a pas d’histoire ou de références, il est en quelque sorte « répulsif » et n’aide pas à créer des liens entre les différents mouvements. Ce qui se passe dans le ciel est significatif dans beaucoup de domaines : la météo, le changement climatique, l’agriculture, les OGM, la gestion de l’eau (ensemencement des nuages et digues), la géologie, la science nucléaire, la protection de la biodiversité, la pollution de l’air (les particules fines et la pollution électromagnétique), les maladies environnementales, la gestion des catastrophes naturelles, la militarisation … en fait, pour tous les groupes ou mouvements qui luttent pour résoudre des questions connectées d’une façon ou d’une autre avec l’atmosphère terrestre.

 

Dans tous ces domaines on utilise, sans exception, des termes dont le sens étymologique est clair et sans équivoque. A l’inverse d’une organisation dont le but est de lever des fonds, une organisation aux prises avec les « chemtrails » qui utilise un terme dont l’origine incertaine est teintée d’une signification très particulière, se voit immédiatement disqualifiée. C’est un mot qui tend à créer des blocages. Le simple fait de le prononcer dresse immédiatement un mur. Il a un arrière-goût de bêtise et d’imbécillité.

Les « chemtrails » : un « phénomène » de persuasion

 

Les médias ont montré son pouvoir de persuasion habituel et ont réussi à développer autour de ceux qui, à différents niveaux, utilisent cette expression, une aura particulière. La réaction est quasi automatique : « c’est une conspiration brandie par des ignorants et des paranoïaques ».

Si les activistes ont tant de mal à trouver des plates-formes appropriées pour présenter des analyses et des documents en termes corrects, cela est dû bien sûr à l’engagement massif de campagnes de dénigrement à tous les niveaux, mais aussi tout particulièrement à un véritable mur de plomb entretenu par ce terme rédhibitoire et à la curieuse obstination des activistes qui utilisent ce terme controversé comme s’il n’en existait aucun de plus exact et de plus crédible.

L’expression « chemical trail » est-elle vraiment un bon outil, un terme ingénieux qui aide à informer et à éduquer les gens ?

NON, décidément non.

L’introduction du terme « chemtrails » a une saveur de « PSYOPS » (action psychologique), utilisée comme appât et comme piège.

Une chose est sûre, le terme « chemical trail » (traînée chimique) n’ouvre pas les tiroirs de documents, ne facilite pas la recherche des brevets et rapports militaires qui ont une assise légale et scientifique. L’usage de ce terme n’ouvrira pas les yeux et n’éclaircira pas les idées de qui que ce soit, mais construira une cage confortable pour ceux qui se contentent de simplifications.

Mais quels sont les termes corrects qui nous « ouvrent le ciel » ?

L’expression officielle qui recouvre les concepts de : « modification climatique délibérée » ou de « géo-ingénierie stratosphérique » est la géo-ingénierie des aérosols stratosphériques, en abrégé : SAG.

La dispersion d’aérosols dans l’atmosphère par avion, a une longue histoire.

Dans les années 1950 par exemple, il y a eu l’Opération LAC (Large Area Coverage – couverture d’une grande étendue), opération de dispersion aérienne de poudre de sulfure de zinc et de cadmium, à grande échelle, sur les Etats Unis d’Amérique et le Canada.

En plus des largages de substances par avion, on utilise aussi des fusées pour projeter des substances dans l’atmosphère. Un exemple particulièrement impressionnant est celui de 1963, quand l’Armée de l’Air américaine a lancé une fusée, créant autour de la planète un anneau formé de minuscules aiguilles de cuivre (dipôles). Ils voulaient ainsi établir un champ magnétique artificiel pour la transmission des ondes radio.

Les années de rêves délirants de Teller et de Wood, marquées par les expérimentations atomiques (plus de 2200 explosions au sol et des centaines dans l’atmosphère), ont marqué le début de la manipulation délibérée de la planète,  et particulièrement de l’atmosphère terrestre.

Le terme « épandage aérien » ouvre un nouveau chapitre. La plupart du temps ces actions ne sont pas dévoilées au public et restent semi-clandestines, mais les militaires ont leurs raisons pour agir de la sorte. Albert Gore, le père de Al Gore vainqueur du prix Nobel de la paix, a incité le Congrès américain en 1951, à créer une zone tampon avec du plutonium dégradé. Les conseillers américains ont examiné la suggestion du député de pulvériser du plutonium radioactif retraité pour former une « ceinture mortelle » au-dessus de la Corée.

En « ensemençant les nuages » par avion ou avec des fusées, on peut détruire ou créer de nouveaux nuages, on peut faire pleuvoir ou neiger, prévenir ou susciter des tempêtes de grêle, manipuler les courants, les orages, les ouragans, etc. En Italie et dans de nombreux autres pays, ce type d’expérimentations a débuté dans les années 1940.

Les « contrails » et les cirrus font l’objet d’études de la part des agences et des instituts gouvernementaux. Ils disent que les « simples traînées de condensation » sont un gros problème. Et la NASA déclare que les nuages créés par les tuyaux d’échappement des avions peuvent réchauffer le climat des Etats Unis. Comment réagissons-nous devant ces affirmations de nuages inoffensifs ?

Les chercheurs et les scientifiques les plus en vue parlent de nuages artificiels.

Depuis des décennies, la « nucléation de la glace artificielle » est utilisée pour manipuler le climat : manipulations du brouillard, de la neige, de la pluie, qui se sont accompagnées de dommages collatéraux et de dévastations.

Les expressions « CHAFF » (l’ivraie), nuages de plasma, nuages d’ondes, nuages bizarres, dévoilent de nouveaux champs de manipulation climatique.

Le blanchiment de nuages / ou du ciel signale que la géo-ingénierie projette de pulvériser (« tirer ») des particules dans la stratosphère. Les experts nous avertissent que le bleu du ciel n’est plus aussi profond qu’autrefois. (3)

 

Bien sûr, l’anglais est la langue la plus utilisée dans les brevets et les rapports.

 

La puissance des mots

 

Pour découvrir la nature exacte des expérimentations qui se déroulent dans le ciel, il est essentiel d’utiliser des mots précis.   

Les opérations entreprises de façon permanente, utilisent de multiples outils et ont de multiples objectifs, comme le montrent les exemples cités. La première règle à observer est d’EMPLOYER  LES  TERMES  EXACTS  et  ETRE CLAIR. Les mots précis fournissent une information rigoureuse et apportent des outils pour la compréhension et l’action.

On ne peut débattre avec les experts des différents domaines impliqués (et ils sont nombreux), que si on utilise la terminologie adéquate. Les entrées illégales et dangereuses dans notre écosphère sont nombreuses dans beaucoup de domaines. Le fait de construire des ponts et de trouver les connections qui relient ceux qui travaillent sur ces problèmes, permet d’échapper à cette ambiance de folie et pourra éventuellement arrêter un véritable « écocide ». Les mots sont importants. Le choix du vocabulaire utilisé est crucial. Il s’agit d’un choix stratégique qui « détermine le positionnement » du sujet en question. Les spécialistes des mass media le savent et ils savent très bien qui a tout intérêt à ce que le problème soit relégué dans la sphère de la « conspiration ».

Nous sommes enfermés dans la cage de nos mots, de ceux que nous utilisons et de ceux que nous omettons d’utiliser.

Seuls les mots justes nous offrent des clés.    

lettre ouverte au Maire de Paris

Mme Anne HIDALGO

 

Christine Riche

323, rue de Belleville

75019 Paris

Mail : christineriche@noos.fr

Madame Anne Hidalgo,

Maire de Paris

Place de l’Hôtel de Ville

75196 Paris cedex 04

Paris, 12 décembre 2017

OBJET : épandages aériens au-dessus de Paris

Madame le Maire,

Depuis de nombreux mois nous observons dans le ciel de Paris un phénomène qui nous inquiète.

Des avions vont et viennent dans le ciel en volant en dessous des avions de ligne. Ils passent, repassent, font demi-tour, se croisent, cela toute la journée parfois même de nuit plusieurs jours par semaine (photos). Ces avions créent des traînées blanches derrière eux sur une très longue distance ce qui est anormal car une traînée de condensation ne persiste pas* ; on voit d’autres avions passant à la même altitude qui n’ont pas de traînées blanches (photos). D’autre part une traînée de condensation ne se défait pas en dentelles d’un seul côté (photos).

Etroites et denses au début, ces traînées s’élargissent, évoluent en d’étranges formes (voir nos photos) qui ensuite se propagent. Ces lignes qui s’élargissent installentune opacité du ciel visible à l’œil nu. Avec ces épandages, le ciel qui est bleu à sept heures est devenu laiteux et opaque à midi et le reste la journée entière. Certaines traînées blanches descendent visiblement très près des toitures de Paris (photos). Avec cet écran entre le soleil et eux, les Parisiens et leurs enfants reçoivent moins le soleil ainsi que nos parcs et jardins.

Ces traînées ne sont pas dues à vous mais le fait est qu’elles touchent votre fonction. Vous avez une responsabilité directe au sujet de ce qui peut porter atteinte à la santé de vos administrés. Ces épandages tombent sur Paris, se diffusent et retombent sur vos administrés, même quand ils proviennent de la périphérie.

Etant donné votre responsabilité en tant que maire en matière de Santé-Environnement, notamment les pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article L2212-2 du Code général des collectivités territoriales), nous aimerions vous poser quelques questions qui nous paraissent légitimes au regard de l’absence de communication et d’information sur ce sujet :

Avez-vous été informée de ce phénomène par vos services de surveillance de l’environnement ? Avez-vous observé, enquêté sur ce phénomène ? Avez-vous cherché à savoir quels sont les produits qui sont épandus si régulièrement au-dessus de Paris et sa périphérie ? Avez-vous cherché à connaître leur spécificité, leur éventuelle toxicité et leur effet potentiellement délétère ? Connaissez-vous la raison de ces épandages ? Sommes-nous dans une alerte bactériologique au sol qui justifie des épandages aériens de ce genre ?

Nous joignons une clef usb en appui de notre demande. Elle contient des photos et des vidéos des avions épandeurs dans le ciel de Paris que nous avons réalisées nous-mêmes. Il y en a beaucoup, nous sollicitons votre plus grande considération pour les regarder attentivement.

Dans l’attente d’une réponse exhaustive de votre part, et vous remerciant par avance de la diligente attention que vous voudrez bien porter à cette requête, nous vous prions d’agréer, Madame Anne Hidalgo, Maire de Paris, l’expression de nos salutations les plus distinguées.

 

Christine Riche et les 44 cosignataires à ce jour (7 février 2018)

 

* De plus, pour qu’il y ait traînée de condensation derrière un avion il faut que soit réunies trois conditions : + de 70 % d’humidité dans l’air, – de 40 degrés de température, au-moins 8 000 m d’altitude.

P.J. : Article L2212-2 du Code général des collectivités territoriales et Extrait du Guide de Gestion territoriale des risques liés à l’environnement à l’usage des Collectivités territoriales. Clef USB.

Paris 23 janvier 2018 à 10h23

Paris 23 janvier 2018 à 10h38

Paris 23 janvier 2018 à 10h52

Analyses d’eau de pluie – NOV 2017 – ⚠️ Aluminium 476 µg / L

Analyses d'eau de pluie

Rapport du 18 janvier 2018 du laboratoire QUALIO de Besançon

Recherche de 27 métaux dans l’eau de pluie par analyse d’échantillons récoltés du 27 au 30 novembre 2017 à Miserey Salines (25- Doubs):

1) eaux propres 

En µg / L

  • Aluminium 20,9
  • Baryum <20
  • Fer 20,9
  • Strontium <10
  • Zinc <20

2) sédiments de fond de bassine

Commentaires (Claire Henrion) : En comparant avec les analyses précédentes débutées en 2012, on peut noter que la valeur moyenne de l’aluminium (ici 20,9 µg – microgrammes – par litre) est en constante augmentation. Elle était autour de 10 microgrammes par litre en moyenne dans les premières analyses de Miserey et d’ailleurs.

En comparant les mêmes analyses, la valeur moyenne du baryum est elle aussi passée d’inférieure à 10 microgrammes par litre à 20 microgrammes par litre environ.