Entretien avec Claire Séverac : la Guerre Secrète Contre les Peuples (Médias Presse Info). VIDEO 46mn.
On nous dit que ce sont de simples avions de ligne…Dormez bien, braves gens, il ne se passe rien ! De ces traînées blanches laissées par des avions qui pulvérisent sur nos têtes des produits toxiques, transformant nos beaux ciels bleus en plafonds laiteux, au programme Haarp, officiellement destiné à permettre les communications longue distance, mais qui sert à bien d’autres fins… on nous ment sur tout. Le temps qui se détraque, les catastrophes météorologiques à répétition, dus au CO2 vraiment ? Des documents déclassifiés de l’armée, des experts repentis, des scientifiques intègres parlent, eux, de guerre climatique. Quelles meilleures armes que celles qui se dissimulent sous des phénomènes naturels ! Beaucoup d’entre nous ont entendu parler des diverses expériences de la CIA, toutes plus horrifiantes les unes que les autres…
Épandages aériens clandestins en Europe – DIAPORAMA COMPLET présentation de Claire Henrion (ACSEIPICA – France) à la conférence « Au delà des théories de modification climatique – la société civile contre la géoingéniérie » au Parlement européen de Bruxelles le 9 avril 2013.
Merci à la voix du nord pour cette enquête approfondie.
Pour le fond: le lien derrière le mot « chemtrails » mène à un texte ressassant le mot « complot », sans plus-value informative1 – alors qu’il devait mener au site d’information de l’ACSEIPICA. Ce faux pas nous indique d’emblée une enquête peu sérieuse.
Cette introduction fort malheureuse jette le doute, voire le discrédit sur le reste de l’article, qui d’ailleurs tire ensuite ses conclusions lapidaires sur le seul avis d’une unique personne consultée, qui ne parle que de son sujet de prédilection, dans ce cas: les araignées.
Une analyse chimique de ces filaments revient relativement cher – et encore faut-il trouver un laboratoire. Cependant, le test d’un échantillon à la flamme était à la portée du journal.
Lettre de Matt Andersson au journal britanique The Guardian en réaction à un article du 06 février 2012 évoquant la possibilité de voiler le soleil pour rafraichir la température. Sa réaction fut publiée par The Guardian le 09 février 2012.
Matt Andersson est ancien conseiller exécutif, aérospatiale et défense chez Booz Allen Hamilton, Chicago. La société Booz Allen Hamilton travaille étroitement avec le Pentagon aux Etats-Unis.
Peu de gens dans le secteur civil comprennent que la géoingénierie est avant tout une science militaire et qu’elle n’a rien à voir avec le refroidissement de la planète ou la réduction des émissions de carbone (Rapport, 6 février). Bien que cela puisse paraître fantaisiste, la météo a été militarisée. Au moins quatre pays – les États-Unis, la Russie, la Chine et Israël – possèdent la technologie et l’organisation nécessaires pour modifier régulièrement les phénomènes météorologiques et géologiques dans le cadre de diverses opérations militaires et secrètes, liées à des objectifs secondaires, notamment la gestion de la démographie, de l’énergie et des ressources agricoles.
En effet, la guerre inclut désormais la capacité technologique d’induire, de renforcer ou de diriger des événements cycloniques, des tremblements de terre, des sécheresses et des inondations, y compris l’utilisation d’agents viraux sous forme d’aérosols polymérisés et de particules radioactives transportées par les systèmes météorologiques mondiaux. Plusieurs thèmes du débat public, dont le réchauffement climatique, ont malheureusement été intégrés dans des objectifs militaires et commerciaux beaucoup plus vastes qui n’ont rien à voir avec les préoccupations environnementales du grand public. Il s’agit notamment du réchauffement progressif des régions polaires pour faciliter la navigation navale et l’extraction des ressources. Matt Andersson Ancien conseiller exécutif, aérospatiale et défense, Booz Allen Hamilton, Chicago
Few in the civil sector fully understand that geoengineering is primarily a military science and has nothing to do with either cooling the planet or lowering carbon emissions (Report, 6 February). While seemingly fantastical, weather has been weaponised. At least four countries – the US, Russia, China and Israel – possess the technology and organisation to regularly alter weather and geologic events for various military and black operations, which are tied to secondary objectives, including demographic, energy and agricultural resource management.
Indeed, warfare now includes the technological ability to induce, enhance or direct cyclonic events, earthquakes, draught and flooding, including the use of polymerised aerosol viral agents and radioactive particulates carried through global weather systems. Various themes in public debate, including global warming, have unfortunately been subsumed into much larger military and commercial objectives that have nothing to do with broad public environmental concerns. These include the gradual warming of polar regions to facilitate naval navigation and resource extraction. Matt Andersson Former executive adviser, aerospace & defence, Booz Allen Hamilton, Chicago
Les objectifs indiqués vont de l’augmentation des précipitations/de la neige à la suppression du brouillard et de la grêle
Outre les programmes de géo-ingénierie « déclarés », il faut prendre en compte que tous ceux à vocation militaire, ou réalisés sous couvert de secret défense, de sécurité nationale (par exemple, avec l’excuse de l’urgence climatique) ou les programmes expérimentaux menés par des universités, ne figurent pas dans cette liste
Extrait de la page 5: « Tout type de guerre est devenu environnemental … ».
Extrait de la page 11: « Il n’est pas dû au hasard qu’un des programmes les plus modernes de recherche militaire s’appelle justement Owning the Weather in 2025, date jusqu’à laquelle on escompte avoir réussi à posséder la météo, et donc le climat, en augmentant la capacité militaire … ».
Video de 6mn en anglais avec sous-titres en francais. Dans cette vidéo il retourne du 11 09 car les autres vidéos que j’ai trouvé sur ce sujet sont en anglais seulement.
Nous les humains, conformons au groupe. L’opinion des autres est extrêmement importante pour nous. Nous nous conformons, même dans le cas ou nous ne croyons pas ce qui est avancé.
La dynamique de groupe est extrêmement puissante dans le domaine de la psychologie humaine. L’expérience de Asch montre que la contrainte de groupe peut être manipulée par des acteurs rémunérés pour affirmer une « vérité ». On pourra faire le lien ici avec les personnes autorisées à parler à la TV, qui ne sont finalement que des acteurs payés pour réciter et répéter encore et encore un laïus donné.
75 % des sujets se conforment au moins une fois et donneront la même réponse – très clairement fausse – que les autres personnes du groupe (des acteurs complices de l’expérience donnant des réponses erronées à dessein). Nous les humains préférons être comme tout le monde plutôt que d’être tout seuls à designer « C » comme étant de même longueur que la ligne de référence.
REMARQUE de l’ACSEIPICA: historienne et spécialiste de la géo-ingénierie, Amy Dahan reconnait la géo-ingénierie comme une réalité passée et une possibilité pour le futur. Or nous (l’ACSEIPICA) voyons bien que toutes ces techniques sont dors et déjà mises en oeuvre depuis un bon moment et sont bien en cours.
La géo-ingénierie rassemble les techniques émergentes qui visent à contrôler le climat planétaire afin de pallier les effets des dérèglements climatiques. En réponse à l’impasse des négociations climatiques des dernières années, elle a commencé à s’installer dans le débat international comme un plan B de plus en plus séduisant pour beaucoup d’acteurs. En effet, contrebalancer les aléas climatiques permet de ne pas remettre en question les émissions actuelles de gaz à effet de serre et, plus globalement, un système arrivant en bout de course. Pour la présenter sous un meilleur jour, ses promoteurs passent bien souvent sous silence tous les risques et les incertitudes – scientifiques, environnementales, diplomatiques et éthiques – que soulèvent lesdites techniques.