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Les mots sont des armes

Maria Heibel 

Article paru dans NoGeoingegneria en décembre 2014

traduction Monique Fontana

https://www.nogeoingegneria.com/motivazioni/sociale/la-parola-come-arma-le-scie-chimiche/

«Concentrez-vous sur leur sens, et les mots trouveront d’eux-mêmes leur place»

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Les mots peuvent ouvrir des fenêtres, ou dresser des murs. Pour communiquer de façon efficace, il faut transmettre un contenu, des idées, des concepts, faire part d’événements, en utilisant les termes appropriés. Selon le langage utilisé, on peut attirer l’attention et faciliter la compréhension. Chaque mot a sa signification, est une « unité logique d’information » et met en valeur une question ou un problème.

Cette brève introduction est indispensable si nous voulons examiner un terme qui s’est répandu jusqu’à prendre une dimension stratégique ; un stratège démontre qu’il en est conscient en faisant une description délibérément vague d’un certain phénomène : « Je ne sais pas de quoi il s’agit, je ne sais pas si ça peut aider. Je me pose la question suivante : comment se fait-il que ces types soient là et qu’ils le refassent avec une fréquence quasi bestiale … cette chose est là tous les jours … » a déclaré le Général Fabio MINI, parlant des traînées que des avions épandent dans le ciel: des traînées de condensation longues ou courtes, fines ou massives, qui prennent les formes et les couleurs les plus variées, et que nous n’avons jamais vues par le passé. Que faire d’autre que de nous poser des questions au sujet de « cette chose » dans le ciel. Alors, que sont donc ces « contrails », ces traînées de condensation dans le ciel ?

« C’est simplement de la vapeur d’eau, ce sont des traînées de condensation  tout à fait normales », nous assurent ceux qui sont censés savoir. Mais ceux qui ne leur font pas confiance parlent de « chemtrails », de traînées chimiques, un terme qui est devenu endémique dans le monde entier, qui a pris la dimension d’un mot clé. Oui, mais ces mots clés ont une double fonction : on peut les utiliser pour libérer ou pour emprisonner. Et quelle est la fonction dans ce cas précis ? De qui ou de quoi s’agit-il ? Quelle intention l’inventeur de ce terme avait-il en tête ? La composition du mot est-elle tout à fait fortuite ? Car il s’est propagé immédiatement comme un virus. Joue-t-il vraiment le rôle efficace et adéquat d’un messager ?

Mais partons de là : Que veut dire l’expression « chemical trail » ?

 

A « wake », un sillage, est ce que vous laissez derrière vous. Le terme : « composé chimique » (chemical composition) peut décrire un état naturel ou artificiel. Depuis des années le débat tourne autour de cette question essentielle : les traînées que nous voyons dans le ciel sont-elles des « contrails » ou des « chemtrails » ? des traînées de condensation ou des traînées chimiques ? La communauté scientifique définit les « contrails » comme des traînées ou nuages de cristaux de glace. Cependant certains des scientifiques qui alimentent le débat, affirment que, du point de vue linguistique, cette distinction n’a pas de sens. En fait …

Toutes les traînées d’avions sont des « chemtrails » !

La combustion du carburant dans les moteurs d’avions est une réaction chimique. C’est à dire le passage d’une substance d’un état liquide à un état gazeux, qui se transforme en vapeur sous certaines conditions et forme une traînée visible. Les traînées de condensation  sont donc véritablement des « traînées chimiques » ! Alors quoi ? Sont-elles bonnes ou mauvaises ?

Tous ceux qui utilisent le terme « chemtrails » pour dénoncer ces sillages anormaux, lui donne une valeur négative, utilisant le mot « chimique » comme un synonyme de toxique, empoisonné, nocif. Mais il est évident que les réactions chimiques ne sont pas toutes toxiques. Alors dans quel but mettre les deux termes en opposition, opposition qui est créée et voulue, et basée sur une expression géniale ? Qui donc a intérêt à ce que le débat concernant la manipulation climatique (manipulation en cours depuis des décennies), soit réduit à une chamaille stérile pour ou contre l’innocuité ou la malignité des traînées de condensation (contrails).

Au regard des résultats obtenus après des années de discussions, ne voir dans les contrails/chemtrails que d’« insignifiantes traînées dans le sillage » des avions, pourrait être jugé comme une opération de marketing particulièrement réussie. Tout le monde aujourd’hui, ou presque, voit dans le ciel des traînées de condensation (contrails) on ne peut plus normales, qui l’embellissent et que beaucoup qualifient de « magnifiques ». Voyez les innombrables photos et vidéos sur internet.

« Magnifique coucher de soleil »

Depuis fort longtemps, on a laissé s’engager dans le débat des factions opposées (créées ou non à dessein?). Les tenants des « théories de la conspiration » disent que les traînées ne sont PAS naturelles, ne sont PAS  inoffensives et sont précisément des « chemtrails », ce terme impliquant le fait que ce sont des traînées de condensation « maléfiques ». Une grande majorité des scientifiques reconnus, certains hommes politiques et les détracteurs répliquent : les traînées de condensation sont normales, elles sont sans danger, ce sont des « contrails », en bref elles sont « bonnes ».

Si on analyse ces affirmations, on en arrive à penser que le débat est aussi fallacieux que la définition, fallacieux et tout simplement erroné.

Au-delà des composés des traînées de condensation en question, ce que nous voyons dans le ciel n’est A  AUCUN  MOMENT un fait sans danger.  Les traînées de condensation des avions ne sont PAS sans danger.  Les résidus de la combustion du carburant que les avions rejettent, souillent l’atmosphère et interviennent sur le climat de multiples façons. La multiplication des transports aériens qui s’est accélérée ces dernières années, suite à la prolifération des compagnies aériennes à bas prix (low cost), affecte la plupart des pays et augmente de façon exponentielle. Les appareils pour autant que je sache, ne consomment pas de l’eau ! Ils consomment  du kérosène, un carburant fossile. Guy Dauncey et Patrick Mazza expliquent : « Les avions commerciaux génèrent 600 millions de tonnes de CO2 par an. Ils libèrent de l’oxyde d’azote directement dans la troposphère (la partie inférieure de l’atmosphère, là où se produisent les phénomènes météorologiques). C’est là qu’ils oxydent l’ozone troposphérique qui, à cette altitude, agit comme un puissant gaz à effet de serre ». (1)

Les traînées de condensation très denses provoquent la formation de cirrus et bloquent la chaleur au niveau de l’atmosphère. En 1999, le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), exprimait de nouveau son inquiétude au sujet des gaz émis par le trafic aérien. Curieusement, pourtant, ce trafic a été dispensé de tout protocole (Kyoto) et des statistiques gouvernementales. Le ciel demeure un espace libre de toute contrainte, et tout particulièrement pour les militaires.

Le terme de « chemtrails », cependant, n’est pas utilisé pour les émissions habituelles du trafic aérien (qui sont un effet secondaire), mais ce que nous voulons mettre en accusation, ce sont les émissions délibérées de substances dangereuses.

D’où vient le terme « chemtrails» et quand est-il apparu ?

 

C’est dans le langage militaire que le terme « chemtrails » (contraction de « chemical trails », traînées chimiques) a fait sa première apparition. En 1990, il y avait un cours intitulé  « chemtrails », à l’Académie des Forces Aériennes des Etats Unis – Département de Chimie USAFA. Le texte de ce document ne donne pas d’explications pour le choix de ce mot, clairement souligné sur la page de couverture. On dit que le terme « chemtrails » a été utilisé pour la première fois par le journaliste d’investigation William Thomas en 1999. Des traces fréquentes et de plus en plus persistantes ont commencé à alarmer les citoyens américains et canadiens en 1998, et Thomas, spécialiste de la publication de nouvelles non divulguées par la presse officielle, était du nombre. Pendant et après la guerre du Golfe, il était en service à Bahraïn, en Arabie Saoudite et au Koweït comme membre d’une équipe des situations d’urgence environnementale. Il est l’auteur de plusieurs livres, certains au sujet des téléphones mobiles et autres dangers électromagnétiques.

En 1998, le terme de « chemtrails » n’avait pas encore était mentionné publiquement et s’il est vrai que William Thomas a été le premier à utiliser cette définition, il faut noter qu’un article de janvier 1999, dont il est l’auteur, ne comporte aucune mention  du terme. Cet article titrait : « Contrails: les poisons nous tombent du ciel ». Immédiatement après la publication de ce texte, Thomas fut interviewé à plusieurs reprises sur la chaîne radio Art Bell Radio par son fondateur et animateur William Arthur Bell, la première fois en Février, puis de nouveau en mars 1999. L’émission obtint l’écoute de 15 millions d’auditeurs.

William Arthur Bell III mérite une attention toute particulière. Fils de Arthur Bell junior II, Capitaine du Corps de Marine US, et de Jane Bell, instructeur dans la Marine, Bell III, après avoir quitté l’armée, a vécu à Okinawa, une île japonaise connue pour la présence de bases américaines sur 18 % de son territoire. Il a travaillé comme disque-jockey pour KSBK, l’unique station de radio non-militaire en anglais, au Japon. C’est grâce au radiodiffuseur Bell, bien connu pour ses émissions sur les faits paranormaux et les sujets traitant de complot que le terme « chemtrails » s’est répandu comme une traînée de poudre.

Très vite, d’autres pays ont suivi en diffusant des émissions sur les « contrails dans le ciel ». L’augmentation rapide et graduelle des traînées persistantes sur l’ensemble du globe a été accompagnée par la diffusion de programmes identiques à ceux de Art Bell Radio, insérant chaque fois le thème des traînées de condensation dans un contexte de « mystères paranormaux et de complot. » Grâce au soutien particulier des médias de masse, on a pu contrôler la diffusion d’un terme sans histoire, parce qu’il introduisait des éléments faciles à discréditer.

Le terme « chemtrails » : de quoi s’agit-il ?

On utilise ce terme comme mot-clé pour repérer ceux qui sont impliqués dans la question des « traînées de condensation dans le ciel ». Il sert à créer un ghetto. Ce terme n’est pas officiel, il n’a pas d’histoire ou de références, il est en quelque sorte « répulsif » et n’aide pas à créer des liens entre les différents mouvements. Ce qui se passe dans le ciel est significatif dans beaucoup de domaines : la météo, le changement climatique, l’agriculture, les OGM, la gestion de l’eau (ensemencement des nuages et digues), la géologie, la science nucléaire, la protection de la biodiversité, la pollution de l’air (les particules fines et la pollution électromagnétique), les maladies environnementales, la gestion des catastrophes naturelles, la militarisation … en fait, pour tous les groupes ou mouvements qui luttent pour résoudre des questions connectées d’une façon ou d’une autre avec l’atmosphère terrestre.

 

Dans tous ces domaines on utilise, sans exception, des termes dont le sens étymologique est clair et sans équivoque. A l’inverse d’une organisation dont le but est de lever des fonds, une organisation aux prises avec les « chemtrails » qui utilise un terme dont l’origine incertaine est teintée d’une signification très particulière, se voit immédiatement disqualifiée. C’est un mot qui tend à créer des blocages. Le simple fait de le prononcer dresse immédiatement un mur. Il a un arrière-goût de bêtise et d’imbécillité.

Les « chemtrails » : un « phénomène » de persuasion

 

Les médias ont montré son pouvoir de persuasion habituel et ont réussi à développer autour de ceux qui, à différents niveaux, utilisent cette expression, une aura particulière. La réaction est quasi automatique : « c’est une conspiration brandie par des ignorants et des paranoïaques ».

Si les activistes ont tant de mal à trouver des plates-formes appropriées pour présenter des analyses et des documents en termes corrects, cela est dû bien sûr à l’engagement massif de campagnes de dénigrement à tous les niveaux, mais aussi tout particulièrement à un véritable mur de plomb entretenu par ce terme rédhibitoire et à la curieuse obstination des activistes qui utilisent ce terme controversé comme s’il n’en existait aucun de plus exact et de plus crédible.

L’expression « chemical trail » est-elle vraiment un bon outil, un terme ingénieux qui aide à informer et à éduquer les gens ?

NON, décidément non.

L’introduction du terme « chemtrails » a une saveur de « PSYOPS » (action psychologique), utilisée comme appât et comme piège.

Une chose est sûre, le terme « chemical trail » (traînée chimique) n’ouvre pas les tiroirs de documents, ne facilite pas la recherche des brevets et rapports militaires qui ont une assise légale et scientifique. L’usage de ce terme n’ouvrira pas les yeux et n’éclaircira pas les idées de qui que ce soit, mais construira une cage confortable pour ceux qui se contentent de simplifications.

Mais quels sont les termes corrects qui nous « ouvrent le ciel » ?

L’expression officielle qui recouvre les concepts de : « modification climatique délibérée » ou de « géo-ingénierie stratosphérique » est la géo-ingénierie des aérosols stratosphériques, en abrégé : SAG.

La dispersion d’aérosols dans l’atmosphère par avion, a une longue histoire.

Dans les années 1950 par exemple, il y a eu l’Opération LAC (Large Area Coverage – couverture d’une grande étendue), opération de dispersion aérienne de poudre de sulfure de zinc et de cadmium, à grande échelle, sur les Etats Unis d’Amérique et le Canada.

En plus des largages de substances par avion, on utilise aussi des fusées pour projeter des substances dans l’atmosphère. Un exemple particulièrement impressionnant est celui de 1963, quand l’Armée de l’Air américaine a lancé une fusée, créant autour de la planète un anneau formé de minuscules aiguilles de cuivre (dipôles). Ils voulaient ainsi établir un champ magnétique artificiel pour la transmission des ondes radio.

Les années de rêves délirants de Teller et de Wood, marquées par les expérimentations atomiques (plus de 2200 explosions au sol et des centaines dans l’atmosphère), ont marqué le début de la manipulation délibérée de la planète,  et particulièrement de l’atmosphère terrestre.

Le terme « épandage aérien » ouvre un nouveau chapitre. La plupart du temps ces actions ne sont pas dévoilées au public et restent semi-clandestines, mais les militaires ont leurs raisons pour agir de la sorte. Albert Gore, le père de Al Gore vainqueur du prix Nobel de la paix, a incité le Congrès américain en 1951, à créer une zone tampon avec du plutonium dégradé. Les conseillers américains ont examiné la suggestion du député de pulvériser du plutonium radioactif retraité pour former une « ceinture mortelle » au-dessus de la Corée.

En « ensemençant les nuages » par avion ou avec des fusées, on peut détruire ou créer de nouveaux nuages, on peut faire pleuvoir ou neiger, prévenir ou susciter des tempêtes de grêle, manipuler les courants, les orages, les ouragans, etc. En Italie et dans de nombreux autres pays, ce type d’expérimentations a débuté dans les années 1940.

Les « contrails » et les cirrus font l’objet d’études de la part des agences et des instituts gouvernementaux. Ils disent que les « simples traînées de condensation » sont un gros problème. Et la NASA déclare que les nuages créés par les tuyaux d’échappement des avions peuvent réchauffer le climat des Etats Unis. Comment réagissons-nous devant ces affirmations de nuages inoffensifs ?

Les chercheurs et les scientifiques les plus en vue parlent de nuages artificiels.

Depuis des décennies, la « nucléation de la glace artificielle » est utilisée pour manipuler le climat : manipulations du brouillard, de la neige, de la pluie, qui se sont accompagnées de dommages collatéraux et de dévastations.

Les expressions « CHAFF » (l’ivraie), nuages de plasma, nuages d’ondes, nuages bizarres, dévoilent de nouveaux champs de manipulation climatique.

Le blanchiment de nuages / ou du ciel signale que la géo-ingénierie projette de pulvériser (« tirer ») des particules dans la stratosphère. Les experts nous avertissent que le bleu du ciel n’est plus aussi profond qu’autrefois. (3)

 

Bien sûr, l’anglais est la langue la plus utilisée dans les brevets et les rapports.

 

La puissance des mots

 

Pour découvrir la nature exacte des expérimentations qui se déroulent dans le ciel, il est essentiel d’utiliser des mots précis.   

Les opérations entreprises de façon permanente, utilisent de multiples outils et ont de multiples objectifs, comme le montrent les exemples cités. La première règle à observer est d’EMPLOYER  LES  TERMES  EXACTS  et  ETRE CLAIR. Les mots précis fournissent une information rigoureuse et apportent des outils pour la compréhension et l’action.

On ne peut débattre avec les experts des différents domaines impliqués (et ils sont nombreux), que si on utilise la terminologie adéquate. Les entrées illégales et dangereuses dans notre écosphère sont nombreuses dans beaucoup de domaines. Le fait de construire des ponts et de trouver les connections qui relient ceux qui travaillent sur ces problèmes, permet d’échapper à cette ambiance de folie et pourra éventuellement arrêter un véritable « écocide ». Les mots sont importants. Le choix du vocabulaire utilisé est crucial. Il s’agit d’un choix stratégique qui « détermine le positionnement » du sujet en question. Les spécialistes des mass media le savent et ils savent très bien qui a tout intérêt à ce que le problème soit relégué dans la sphère de la « conspiration ».

Nous sommes enfermés dans la cage de nos mots, de ceux que nous utilisons et de ceux que nous omettons d’utiliser.

Seuls les mots justes nous offrent des clés.    

lettre ouverte au Maire de Paris

Mme Anne HIDALGO

 

Christine Riche

323, rue de Belleville

75019 Paris

Mail : christineriche@noos.fr

Madame Anne Hidalgo,

Maire de Paris

Place de l’Hôtel de Ville

75196 Paris cedex 04

Paris, 12 décembre 2017

OBJET : épandages aériens au-dessus de Paris

Madame le Maire,

Depuis de nombreux mois nous observons dans le ciel de Paris un phénomène qui nous inquiète.

Des avions vont et viennent dans le ciel en volant en dessous des avions de ligne. Ils passent, repassent, font demi-tour, se croisent, cela toute la journée parfois même de nuit plusieurs jours par semaine (photos). Ces avions créent des traînées blanches derrière eux sur une très longue distance ce qui est anormal car une traînée de condensation ne persiste pas* ; on voit d’autres avions passant à la même altitude qui n’ont pas de traînées blanches (photos). D’autre part une traînée de condensation ne se défait pas en dentelles d’un seul côté (photos).

Etroites et denses au début, ces traînées s’élargissent, évoluent en d’étranges formes (voir nos photos) qui ensuite se propagent. Ces lignes qui s’élargissent installentune opacité du ciel visible à l’œil nu. Avec ces épandages, le ciel qui est bleu à sept heures est devenu laiteux et opaque à midi et le reste la journée entière. Certaines traînées blanches descendent visiblement très près des toitures de Paris (photos). Avec cet écran entre le soleil et eux, les Parisiens et leurs enfants reçoivent moins le soleil ainsi que nos parcs et jardins.

Ces traînées ne sont pas dues à vous mais le fait est qu’elles touchent votre fonction. Vous avez une responsabilité directe au sujet de ce qui peut porter atteinte à la santé de vos administrés. Ces épandages tombent sur Paris, se diffusent et retombent sur vos administrés, même quand ils proviennent de la périphérie.

Etant donné votre responsabilité en tant que maire en matière de Santé-Environnement, notamment les pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article L2212-2 du Code général des collectivités territoriales), nous aimerions vous poser quelques questions qui nous paraissent légitimes au regard de l’absence de communication et d’information sur ce sujet :

Avez-vous été informée de ce phénomène par vos services de surveillance de l’environnement ? Avez-vous observé, enquêté sur ce phénomène ? Avez-vous cherché à savoir quels sont les produits qui sont épandus si régulièrement au-dessus de Paris et sa périphérie ? Avez-vous cherché à connaître leur spécificité, leur éventuelle toxicité et leur effet potentiellement délétère ? Connaissez-vous la raison de ces épandages ? Sommes-nous dans une alerte bactériologique au sol qui justifie des épandages aériens de ce genre ?

Nous joignons une clef usb en appui de notre demande. Elle contient des photos et des vidéos des avions épandeurs dans le ciel de Paris que nous avons réalisées nous-mêmes. Il y en a beaucoup, nous sollicitons votre plus grande considération pour les regarder attentivement.

Dans l’attente d’une réponse exhaustive de votre part, et vous remerciant par avance de la diligente attention que vous voudrez bien porter à cette requête, nous vous prions d’agréer, Madame Anne Hidalgo, Maire de Paris, l’expression de nos salutations les plus distinguées.

 

Christine Riche et les 44 cosignataires à ce jour (7 février 2018)

 

* De plus, pour qu’il y ait traînée de condensation derrière un avion il faut que soit réunies trois conditions : + de 70 % d’humidité dans l’air, – de 40 degrés de température, au-moins 8 000 m d’altitude.

P.J. : Article L2212-2 du Code général des collectivités territoriales et Extrait du Guide de Gestion territoriale des risques liés à l’environnement à l’usage des Collectivités territoriales. Clef USB.

Paris 23 janvier 2018 à 10h23
Paris 23 janvier 2018 à 10h38
Paris 23 janvier 2018 à 10h52

Analyses d’eau de pluie – NOV 2017 – ⚠️ Aluminium 476 µg / L

Analyses d'eau de pluie

Rapport du 18 janvier 2018 du laboratoire QUALIO de Besançon

Recherche de 27 métaux dans l’eau de pluie par analyse d’échantillons récoltés du 27 au 30 novembre 2017 à Miserey Salines (25- Doubs):

1) eaux propres 

En µg / L

  • Aluminium 20,9
  • Baryum <20
  • Fer 20,9
  • Strontium <10
  • Zinc <20

2) sédiments de fond de bassine

Commentaires (Claire Henrion) : En comparant avec les analyses précédentes débutées en 2012, on peut noter que la valeur moyenne de l’aluminium (ici 20,9 µg – microgrammes – par litre) est en constante augmentation. Elle était autour de 10 microgrammes par litre en moyenne dans les premières analyses de Miserey et d’ailleurs.

En comparant les mêmes analyses, la valeur moyenne du baryum est elle aussi passée d’inférieure à 10 microgrammes par litre à 20 microgrammes par litre environ.


Lettre ouverte au Maire de Nice

Monsieur Christian Estrosi

 

Claire Gillespie

24 rue Alphonse Karr

06000 Nice

 

Nice, le 25 janvier 2018

à Monsieur Christian Estrosi,

Maire de Nice

06000 MAIRIE DE NICE

LETTRE OUVERTE

Objet : Épandages inquiétants dans notre notre ciel (géo-ingénierie ?)

Monsieur le Maire,

Avez-vous pris le temps de regarder notre ciel ? Il s’y passe des phénomènes perturbants….

Où est passé le bleu profond de notre ciel d’azur qui durait pendant des jours ….. et sa luminosité ? … et les couleurs douces des paysages de notre région ? Ou sont passé les orages qui éclataient au printemps et en automne ? Prenez le temps Monsieur le Maire de regarder notre ciel …. et ce qu’il devient ….

 

Depuis plusieurs années, je suis témoin (et je ne suis pas la seule !) d’ épandages d’avions probablement civils et militaires (les couloirs de ces avions étant différents et les pulvérisations proviennent de ces différentes hauteurs), à fréquence quasi quotidienne, de manière importante et avec une conséquence effrayante sur la qualité de notre ciel, de notre air et des rayonnements du soleil.

 

Ces perturbations se sont étonnamment accentuées depuis la COP21 (fin 2016). Les traînées que tracent les avions sont parfois assez basses (pas toujours), très longues, elles quadrillent le ciel et s’étalent, particulièrement devant le soleil, transformant rapidement un ciel bleu d’origine en un ciel laiteux, en le recouvrant d’un voile ou de nuages jamais vus auparavant. Très souvent une couche cotonneuse opaque s’installe dans le ciel au lieu des nuages que nous avions l’habitude d’y voir circuler. D’ailleurs, ce ne sont plus des nuages mais des formations artificielles. Je ne pense pas vous étonner en portant à votre connaissance ma protestation et ma colère qui sont aussi celles de nombreux citoyens.

 

En qualité de maire, vous êtes responsable envers vos administrés, en matière de Santé-Environnement des pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article 1.2212-2 du Code Général des collectivités territoriales), je ne peux donc, que me tourner vers vous, dans un premier temps, pour exprimer mes craintes et mon questionnement quant aux risques d’une dégradation irrémédiable de notre atmosphère et par conséquent de la santé des êtres (humains, animaux, insectes, végétaux) qui en dépendent.

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Que sont ces épandages incessants dans notre ciel ? Quelle en est l’origine ? Quelles sont les particules contenues dans ces traînées qui retombent forcément vers le sol portant un préjudice certain et grave à tout être vivant lorsqu’on sait que certains métaux lourds et autres éléments inquiétants participent de leur composition (des analyses en témoignent).

 

Il faut bien différencier :

  • d’une part le problème de pollution grave causée par la circulation accrue et régulière des avions de ligne, dont les tarifs ridiculement bas encouragent le développement irresponsable (quand on a à l’esprit la dégradation et le réchauffement de notre climat) au dépend de la qualité de notre air. Il suffit d’observer la couche épaisse de pollution jaunâtre-marron sur l’horizon, que l’on distingue parfaitement du sol, ou vue d’avion, à laquelle s’ajoute la perte de transparence de l’air, pour s’inquiéter sérieusement de cette situation !
  • d’autre part, et c’est l’objet de mon courrier, celle d’un autre genre, dont la mission est liée à la géo ingéniérie, avec épandages réels, volontaires et abondants de particules (voire de nano particules) pour des raisons dont vous avez peut-être connaissance et dont nous aimerions être rapidement informés.

 

Pour cette deuxième catégorie, vous, votre famille, vos amis, peuvent aussi constater la présence de trop nombreux avions et de leurs traînées qui s’étalent à des heures irrégulières dans le ciel, de façon quotidienne (sauf exception), à la vue de tous, décrivant des formes jamais vues (des croix, des arcs de cercle, des quadrillages, des triangles ….). Parfois c’est un véritable feu d’artifice d’avions et de leurs longues traînées blanches qui, assez rapidement, s’élargissent, s’étalent, pour former une couverture ouateuse. J’ai pu compter jusqu’à 10 avions en même temps pulvérisant leurs particules dans notre magnifique ciel d’Azur qui bientôt n’aura d’azur plus que le nom ! (Vous trouverez ci-joint quelques photos  qui illustrent mon propos).

 

Du fait de ces particules en suspension dans l’air le soleil n’éclaire plus de la même façon. Il est devenu froid, son éclat est particulièrement aveuglant, il n’a plus la lumière douce et généreuse qu’il diffusait encore jusqu’autour des années 2000, le paysage lui-même n’est plus éclairé de la même façon. L’air est de plus saturé de particules et les montagnes sont souvent à peine visibles.

 

Cet état devrait alerter les pouvoirs publics qui ont en mains tous les outils d’observation et d’analyse dont la population assure le coût au travers de ses impôts. Il est donc impératif qu’elle puisse bénéficier de ces outils.  Les contrôleurs de la navigation aérienne et les pilotes des avions de l’aéroport de Nice peuvent apporter leurs témoignages …. . Cette insanité doit être dénoncée officiellement et doit cesser.

 

Des analyses ont été faites auprès de laboratoires indépendants qui mettent en évidence des taux élevés d’aluminium, baryum, fer, plomb, etc… pouvant provenir du carburant des avions mais aussi des particules composant ces trainées relevant de la géoingéniérie. Plus amples analyses pourraient être menées de l’air, de l’eau de pluie pour confirmer et compléter les résultats dont nous disposons.

 

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Ces éléments extrêmement toxiques expliquent que nos arbres tombent malades et ne peuvent plus lutter contre les parasites qui les envahissent (palmiers, marronniers, figuiers, acacias, buis, cyprès  ……..). Il en est de même des êtres humains où la maladie devient la règle et la bonne santé l’exception ! Y a-t-il une corrélation entre ce que nous respirons et notre état de santé ?

 

Des brevets prouvent l’existence et la dangerosité de ces mélanges épandus (comme par exemple le Brevet Welsbach n° US5003186 Hughes Aircraft Company -1991- contenant des particules d’oxyde de métal comme le dioxyde de thorium, l’oxyde d’aluminium).

 

Monsieur le Maire j’espère que vous aurez pris la mesure de ce qui précède et que vous voudrez bien y apporter une suite de la manière que vous estimerez la plus appropriée possible. Je vous demande de bien vouloir intervenir pour que notre ciel azur nous revienne …

 

Veuillez recevoir, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.

P.J. : quelques photos récentes du ciel de Nice

 

 

 

CC à : Nice Matin, ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques), Ciel Voilé.

Analyses d’échantillons de poussières fines prélevées en altitude – ⚠️ manganèse, cadmium, cobalt, cuivre et mercure

Confirmation de la présence de métaux toxiques

article original

http://www.tankerenemy.com/2017/05/analisi-dei-campioni-di-pulviscolo_88.html#.WnsL7K7ibIU

traduction Dominique Datwyler

Italie – Ont été récemment effectués les premiers prélèvements en altitude au moyen d’un drone semi professionnel.

Les prélèvements ont été faits par un « DJ Drone Phantom 4 » équipé d’une caméra vidéo à haute résolution (12MP/4K) et d’un système de contrôle GPS.

A bord de l’engin radio commandé, est installé un kit (réalisé à cet effet) qui aspire l’air en altitude et le dépose sur un filtre 3M.

Le drone a recueilli, en plusieurs sessions, les résidus des poussières dans un espace non urbanisé, mais traversé constamment par les couloirs aériens de descente empruntés par l’aviation civile de la zone aéroportuaire de Nice.

Un protocole rigoureux a donc été mis en place afin de prélever des échantillons utiles pour relever les composants chimiques présents dans l’atmosphère, en relation avec l’activité de bio ingénierie criminelle.

Comme site a été choisi un lieu dans l’arrière-pays ligure adapté à l’expérience.

Les prélèvements ont été exécutés en plusieurs fois, aussi le filtre a été démonté et les poussières accumulées ont été soumises à la procédure adaptée pour les analyser avec les réactifs d’Osumex comme indiqué par le producteur du kit.

Les résultats sont irrévocables : les échantillons mettent en évidence, une fois encore, la présence de  manganèse, de cadmium, de cobalt, de cuivre et de mercure.

La couleur du révélateur, en fait, va du vert olive à l’orange, ce qui, en rapport au tableau de référence confirme que, dans l’atmosphère étudiée, se révèlent de fortes concentrations de métaux déjà trouvés dans le carburant Jet A1 par la scientifique suisse Ulrike Lohmann[1], professeur de physique de l’atmosphère auprès de l’ETH de Zurich.

Dans les carburants aériens (donc l’air que nous respirons), sont aussi présents les deux métaux tueurs déjà notés que sont l’aluminium et le baryum. (1)

Malheureusement, les réactifs fournis par Osumex ne permettent pas de retracer ces éléments neurotoxiques.

Si c’est possible, d’autres échantillonnages seront effectués, toujours sur la base d’une procédure précise et rationnelle.

Nous profitons de l’occasion pour remercier tous ceux qui, par leur contribution, ont permis la réalisation de ce projet.

Nous nous promettons d’organiser d’autres initiatives corollaires à celle-ci/similaires, en ligne/lien avec toutes les autres faites dans ces années.

Aussi, nous procédons à une collecte de fonds afin de faire face, si possible, aux coûteuses analyses spectrales et à celles, relativement plus économiques telles que le kit Osumex.

Ces analyses seront suivies avec la méthode des réactifs, comme dans cet exemple.

Lien pour contribuer à la campagne par Paypal

En alternative, on peut effectuer un virement bancaire (IBAN : IT4810617522700000001977280 –cause : campagne de prélèvement en altitude) ou par carte bancaire (4023 6009 4336 4051- code fiscal : MRCRSR61C19I469R).

Ci-dessous, le film relatif à quelques vols exécutés avec le DJL Phantom 4.

[1] Manuel Abegglen & al. , Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich, télécharger le document

http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke


Rejets d’échappement des avions, caractérisation chimique

par spectrométrie de masse des rejets d’échappement fraîchement émis par des avions

article en anglais à télécharger PDF
Caractérisation chimique par spectrométrie de masse des rejets d’échappement des avions – 2016

Ce sont les premières mesures sur les rejets d’échappement des avions qui utilisent la spectrométrie de masse pour l’analyse de particules simples.

Elles ont été effectuées sur l’aéroport de Zurich (Suisse) et ont porté sur des avions équipés de trois types de moteurs différents.
Ce qui en ressort :

! La majorité des particules examinées contiennent un ou plusieurs composants métalliques.
! Les métaux et la suie s’avèrent mélangés dans les particules émises.
! Les sources potentielles des métaux détectés (le carburant, les huiles et les protections de moteur) ont été discutées.

 

Interview du Dr Ulrike Lohmann

membre de cette équipe de recherche, par Matthias Hancke,

dans le film Overcast

Nous savons que les rejets des avions dégagent des suies et des particules et donc nous voulons savoir quelle est la composition chimique des rejets.

Ces mesures ont été faites peu de fois.

En 2013, nous avons eu l’occasion de mesurer les émissions des turbines à l’aéroport de Zurich, avec « l’office fédéral de l’aviation » et nous avons pratiquement pu examiner la composition chimique des gaz d’échappement de quelques turbines.

Des suies essentiellement de carbone pur ont été trouvées, donc des particules de suie, comme dans les gaz d’échappement des voitures.

Mais nous trouvons également des métaux dans les gaz d’échappement aéronautique, seize métaux différents et entre autre, de l’aluminium et du baryum comme déjà cité, qui proviennent du kérosène et de l’huile, et de l’aluminium qui pourrait venir des turbines.

Nous avons aussi fait des mesures sur le combustible même : nous y avons relevé la présence d’aluminium et de baryum dans le combustible; leur concentration est mesurée en parties par million (PPM).

LETTRE OUVERTE au Maire

Villejuif27mar17

LETTRE OUVERTE à Monsieur le Maire de Villejuif,

 

Franck Le Bohellec , 2,esplanade Pierre Yves Cosnier, 94800 Villejuif

Monsieur le Maire,

Je vous écris car je suis très inquiet par la prolifération des traînées blanches dans le ciel ,au dessus de notre ville ,qui s’élargissent et forment des nuages artificiels en couvrant une grande partie du ciel. Moi ,ma famille et mes amis voient toute la journées des avions laissant d’énormes traînées blanches. Je dispose de nombreuses photos prises dans le Val de Marne : www.aceipica.fr  ,forum  ,val de marne , observateur1. Des jours entiers ,moi et mes proches ,nous avons des difficultés à respirer et nos yeux sont irrités. Cette semaine la radio RTL a affirmé une grande augmentation des allergies dans la population française. D’après vous que sont ces traînées blanches ? Pourquoi elles s’élargissent ? D’autres avions n’ont pas du tout ces traces ou elles disparaissent au bout de quelques secondes. Les traînées dont je parle restent des heures dans le ciel. Avez- vous un service technique qui pourrait étudier l’état du ciel ? Avez – vous le moyen de remonter ce questionnement vers les services de l’ETAT ? Les avions qui laissent ces traînées sont visibles à l’œil nu, donc d’après moi volent à moins de 10 000 mètres d’altitude. Les avions de ligne volent à 10 000 m et on ne les voit pas.Parfois peut on photographier en même temps les avions avec traînées et sans traînées.

J’ai écrit une lettre avec mes observations à Madame Ségolène Royal, Ministre de l’Environnement , mais pour le moment elle reste SANS RÉPONSE.

Dans les médias officiels ce problème n’existe presque pas.

Merci de prendre quelques temps et me répondre car mon inquiétude grandit de jour en jour. Je vous envoie le fruit de mes recherches (nombreux liens).

Veuillez recevoir , Monsieur le Maire,  mes considérations distinguées

Fait à Villejuif le 27 mars 2017

M  Sowa

Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas qu’ils se font asperger comme des insectes que l’on veut éliminer?

Pourquoi ne voient-ils pas l’incroyable quantité d’avions et leurs traînées anormales ?

Pourquoi ne comprennent-ils pas la guerre dont ils sont les victimes … et les acteurs  ignorants et zélés ?

La première condition pour que ça cesse, c’est de reconnaître que ça existe …

1.       Notre civilisation nous conditionne à être aveugle

Quand j’ai vu, pour la première fois de ma vie, des traînées persistantes produites par des avions volant manifestement beaucoup plus bas que l’altitude requise pour former une traînée de condensation (c’est-à-dire 8000 mètres comme je l’avais appris auparavant en étudiant la météorologie de montagne), c’était au Québec, le 26 décembre 1999, alors que la France subissait la double tempête la plus mémorable de son histoire (mais à ce moment-là, je n’en savais rien). Un frisson d’horreur m’a parcouru l’échine. «Ils» font ça! Ils vont jusque-là dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au non-respect de la vie! J’appris ensuite le même jour d’une habitante locale du petit village où je me trouvais, du nom charmant de Saint Adolphe (!), que le Canada subissait ces traînées depuis 1995. De retour en France, je l’ai oublié jusqu’à ce qu’un manège d’avions quadrillant le ciel en produisant le même type de traînées se déroule sous mes yeux, de ma fenêtre, le 16 mai 2002. Depuis, cela n’a pas cessé et n’a fait que s’intensifier.

L’horreur et la révolte qui m’ont saisie à la vue de ces premiers épandages manifestes de produits toxiques dans le ciel ont pourtant fait place en moi dans un premier temps à un formidable espoir: tout le monde allait vite s’en rendre compte et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, de la croyance naïve que les dirigeants du monde œuvrent pour le bien des peuples et que les armées nous protègent; la croyance naïve que la technique et la chimie de synthèse pouvaient résoudre les souffrances de l’humanité –alors qu’elles ne font que l’engendrer et l’infligent aux autres créatures. Ce n’était que le mal ou signal nécessaire à l’ouverture des yeux et du cœur des êtres humains, à leur prise en main de leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et tout simplement, au respect de la Vie. L’occasion de tourner la page de 5000 ans d’impérialismes, ayant engendré tant de souffrances humaines, de destructions de la Nature et de la Connaissance.

«Il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel»[1]. Pourtant, la plupart de ceux qui promeuvent ces phrases ne voient pas ces grands signes dans le ciel, tracés tous les jours par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.

Comment est-il possible de perdre à ce point son instinct de survie ?

Mais que se passe-t-il dans notre cerveau?

Nous sommes en 2017. Les chaines de montage de l’aérospatiale dans notre région de Toulouse, tournent à plein rendement et sans relâche pour produire des avions. Mais qui donc en achète autant? … Heureusement, le nombre de ceux qui constatent quelque chose d’anormal dans le nombre d’avions qui circulent, leur altitude, leurs traînées et leurs effets sur l’atmosphère, la météo et la santé, augmente de jour en jour. Un constat de fait est une priorité vitale ; il est  nécessaire que cela cesse au plus vite. C’est le point focal, celui qu’il faut viser pour démonter la clé de voûte de tout l’édifice de mensonge qui empoisonne aujourd’hui complètement notre santé, notre mental et l’environnement: la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et tous les domaines de notre vie quotidienne, la pharmacopée, les vaccins, les OGM, la cacophonie dans toutes les longueurs d’onde et tout le reste de la panoplie nucléaire, bactériologique, électromagnétique et climatique des apprentis sorciers qui tiennent les manettes des commandes du monde.

L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète, “Overcast”[2].

Cela a commencé parce que …

L’histoire récente est particulièrement bien étudiée par Claire Séverac dans son livre “La guerre secrète contre les peuples[3]”. Dans cette enquête, menée avec brio, elle remonte la trace juridique et évènementielle des tractations internes au complexe politico-militaro-industriel de ces 150 dernières années qui aboutissent aux épandages aériens et aux interventions électromagnétiques d’aujourd’hui. Mais pourquoi font-ils cela? – “parce que nous les laissons faire“ dit Muchael Murphy[4] Comment envisager une issue à cette situation dramatique ?

Comme j‘ai à cœur de réveiller la conscience de notre être primal, originel, « dont l’ignorance fatale couronne l’obscur règne »[5] », je me suis consacrée à approfondir d’une part les concepts qui soutendent les valeurs de nos sociétés actuelles, et d’autre part le fonctionnement  de notre cerveau.

“les êtres humains ne prêtent pratiquement pas attention aux causes fondamentales, premières, de chaque chose. C’est ce dont l’humanité ne veut pas se soucier, nous n’avons pas envie d’y penser.”[6]». Selon Noberto Keppe[7], cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui consiste à penser que l’énergie sort de la matière et non pas l’inverse. Certes, nous nous laissons bien souvent abuser à nos dépends mais n’avons-nous pas aussi une paresse fondamentale à réviser nos croyances ? A nous occuper du ménage au fond de l’âtre de notre vie, où les cendres s’accumulent si vite ?

Claudia Von Werlhof[8], elle, l’analyse comme étant la “haine de la vie”, concept fondamental de toutes nos civilisations impérialistes, jamais remis en question: il s’agit de détruire ce qui est, pour reconstruire selon un « idéal ».

Je vais donc commencer par retracer l’histoire évènementielle, puis j’exposerai brièvement quelques chapitres éclairant cette recherche des causes fondamentales :

  • la désescalade de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis les origines de l’Histoire.
  • la naissance et l’accouchement aujourd’hui, qui illustrent et conditionnent la perpétuation d’un protocole diamétralement opposé à la physiologie[9]
  • la scission de la “Mère des sciences“: Astronomie et Astrologie
  • le fonctionnement du cerveau humain

Histoire récente des compagnies industrielles, chimiques et pétrolières

Les scientifiques qui s’interrogent sur l’éthique de la science aujourd’hui constatent qu’elle n’est menée que par ceux qui la financent[10]. Or, ceux qui la financent sont depuis plusieurs siècles les détenteurs des richesses du sol et du sous-sol. Ils sont aujourd’hui, plus précisément depuis la fin du 19e siècle, les consortiums du pétrole, des produits chimiques et des médicaments. Ils interviennent soit directement, soit sous couvert d’institutions officielles, celles de l’Europe notamment. Comme en témoigne le Dr Rath[11], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, vite « blanchis » après la deuxième guerre mondiale, c’est à dire les promoteurs de ces sociétés (Bayer, IG Farben …) qui ont précédemment œuvré à leur montée au pouvoir en Allemagne dans les années 30[12].

Un amplificateur: La prohibition du chanvre

Petit encart sur un sujet corrélé, rarement, si ce n’est jamais, mentionné comme tel: la prohibition du chanvre/cannabis. C’était la plante la plus commune à la surface de la planète. Au 19e siècle, les citoyens américains étaient tenus de cultiver un arpent de chanvre et payaient leurs impôts en chanvre[13]. En Europe également, toute ferme avait sa chanvrière. Le chanvre a beaucoup de bienfaits pour la santé des gens et des sols et  beaucoup d’utilités communes. Mais il était trop concurrentiel pour les plastiques, les produits chimiques et pharmaceutiques, aussi il fut soudainement interdit. Cela s’est passé dans les années 1930, d’abord en France (1934), puis aux USA (1937), sous la pression des lobbies puritains et des sociétés chimiques. Depuis cette époque, la fleur de chanvre, le fameux “cannabis” ou “marijuana” a été rendu démoniaque et banni comme une drogue dangereuse, alors qu’elle est réellement efficace pour relier les deux hémisphères du cerveau et nettoyer la glande pinéale. Il est difficile de mesurer à quel point, sa consommation, très répandue et pourtant illicite, entretient le moral et la santé du peuple, mais il y fort à parier que sans elle, l’hécatombe serait encore plus prononcée. Aujourd’hui en France, la propagande et la désinformation concernant le cannabis s’amplifient dans les médias et auprès des responsables sociaux; la façon dont elles sont menées s’apparente à toutes les campagnes de dénigrement ciblées sur une catégorie de personnes, dont l’Histoire, regorge …

Les gouvernements perdent leur souveraineté

Ces consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques sont devenus très riches grâce aux produits toxiques qu’ils ont fabriqués et vendus pour les tranchées de la première guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement des Etats-Unis s’était ruiné en s’engageant dans la guerre. Alors ils l’ont acheté ! Donc, depuis un siècle, le gouvernement des Etats-Unis a perdu sa souveraineté: il est mené par ce cartel des compagnies industrielles et des banques. C’est expressément dit par Al Gore lui-même dans son dernier livre “The Future: Six Drivers of Global Change”: “le gouvernement des Etats-Unis a perdu de sa force et de sa liberté. Il semble sclérosé. Pour employer un terme habituellement utilisé en informatique, je dirais que la démocratie américaine a été piratée. Le Congrès, incarnation des corps législatifs élus démocratiquement, est à présent incapable de voter des lois sans l’accord des lobbies industriels ou d’autres intérêts particuliers qui participent au financement de leurs campagnes électorales”.

Grâce à la prohibition du chanvre, les produits de la chimie de synthèse purent être facilement introduits dans l’agriculture, le textile, les médicaments, la nourriture, et ces produits sont très actifs en toxicité en l’absence du chanvre pour réparer leurs dommages.

Puis il y eut l’horreur de la seconde guerre mondiale et des chambres à gaz pour lesquelles ces sociétés ont produit encore plus de produits toxiques et sont devenus encore plus riches… et où furent menées d’ignobles expériences sur des hommes et des femmes au nom de la “science” …

C’est là qu’a été introduit le fluor dans l’eau de boisson afin de rendre les prisonniers plus dociles. Cela s’est généralisé et se perpétue …  A l’inverse du chanvre, le fluor bloque la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Cette pratique se poursuit de nos jours; cela fait partie des entraves à la perception de ce qui se passe dans le ciel.

L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui perpétue aussi cet esprit nazi: de plus en plus d’examens, de moins en moins de diagnostic, de plus en plus de chimie, de moins en moins de santé…

“ Il y a pire que le bruit des bottes, il y a le silence feutré des pantoufles” Max Frisch

Après la seconde guerre mondiale, tous les pays d’Europe de l’Ouest durent se rallier à l’OTAN … pour aider le “grand frère” (big brother) et se placer sous sa “protection. Sans parler de toutes les guerres qui n’ont cessé depuis de par le monde, fomentées pour alimenter le marché …

Au moins deux chefs d’Etat de pays européens opposèrent une résistance sérieuse à l’expansion de l’OTAN: De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 fut utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, quand Tito, qui était le leader des pays non-alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves furent assassinés à l’étranger et la discorde fut activée au sein du peuple…

Durant les années 90, les autorités françaises n’ont probablement pas accepté spontanément de collaborer aux épandages dans notre ciel. Nous avons eu droit à ce qui s’apparente fort à une œuvre de HAARP avec les tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Alors nous fûmes OK et les épandages généralisés purent commencer, en 2001, 2002. Quasiment personne n’a rien vu …

Introduction en Europe de la géoingéniérie civle et d’un nouvel ennemi: le CO2

Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques au sujet de la “géoingéniérie“. Ce nouveau mot a été ensuite introduit dans les autres pays et les autres langues européennes par les séminaires et congrès de différents instituts avec l’induction d‘une forte croyance : le CO2 émis par les activités humaines est la cause du réchauffement climatique. Il n’est toujours question que du CO2 émis par les activités civiles ; les activités militaires, qui en émettent beaucoup plus, ne sont jamais évoquées …

La proportion de CO2 dans l’atmosphère terrestre est pourtant ridiculement faible (inférieure à 0,05%). En 10 ans, ce gaz est devenu le bouc émissaire, le faux problème sur lequel on détourne notre attention pour masquer le réchauffement provoqué par les armes électromagnétiques de type HAARP. En fait il y a bien d’une part énormément de pollution et d’autre part un réchauffement anthropogénique (dû à l’homme) mais ce dernier n’a pratiquement rien à voir avec le CO2 émis par nos activités civiles: il est dû aux armes qui font fondre la calotte polaire, dévient les jet-streams et créent le chaos climatique. Elles représentent la partie immergée de l’iceberg, les huit neuvièmes.

Les plantes sont avides de gaz carbonique et elles ont juste besoin de la lumière du Soleil pour le synthétiser et le restituer en oxygène. Au lieu de cela, les “doctes ignorants” cautionnent le principe d’empêcher  les rayons du Soleil de passer en créant une couverture nuageuse artificielle pour limiter le soi-disant réchauffement soi-disant dû au CO2.

Le CO2 est en train de prendre aujourd’hui la fonction ignoble endossée par la femme depuis des siècles alors que celle-ci semble finir de perdre ses véritables qualités féminines. Le genre féminin demeure la bête noire mais il est transposé à l’échelle globale, celle de la respiration de notre planète. La fonction masculine revient à l’oxygène, la fonction féminine au CO2[14]. Concevoir le monde à l’échelle planétaire nous fait passer d’une civilisation à un système[15]. Sans avoir remis en question le point fondamental : pourquoi un genre noble et l’autre ignoble si ce n’est pour nuire à la vie ?

La règle patriarcale mène à la scission entre les deux hémisphères du cerveau:

 

L’hémisphère droit -féminin et le gauche -masculin, aussi bien à l’échelle individuelle que  sociale, cette dernière s’exprimant par nos sciences et croyances.

La “haine de la vie” a d’abord été posée comme une règle[16]. C‘est clairement défini dans la civilisation grecque: le masculin est noble, le féminin est ignoble ! Selon cette règle se sont développées les civilisations impérialistes, occidentales comme orientales: en ce qui concerne la civilisation occidentale, ses empires, les trois religions monothéistes, nos références gréco-romaines pour l’éthique, les sciences et la politique, relèvent toutes de ce principe. Basées sur la croyance en un Dieu unique, innaccessible et extérieur à nous, dont le monarque est le représentant sur Terre, et sur les forces armées, elles ont étendu leur emprise sur le monde jusqu’à se fondre aujourd’hui en un système, alors même que toute la structure sociale des Etats-nations et des religions s’effondre.  De surcroît, nous pouvons remarquer que: premièrement, le déclin du statut de la femme est similaire et simultané au Japon et en Chine; deuxièmement, que ce déclin advint dans les Empires et troisièmement que les empires sont nés et se sont développés dans les zones de passage les plus peuplées: le long de la Route de la Soie en Eurasie et de part et d’autre de l’Isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). On observe, particulièrement dans les populations d’insectes, que le même phénomène d’organisation sociale en superstructures se retrouve en cas de confinement d’habitat. C’est semble-t-il, une loi universelle de rapport de proportion dans une population.

Les êtres humains, d’abord assujettis, soumis, convertis, par la force ou par la ruse à la volonté du plus fort, au nom de son idéal, ont été, et sont encore plus aujourd’hui, les acteurs zélés du système qui n’a de cesse de détraquer la planète entière, dont nous sommes, rappelons-le, les  créatures et dont dépend entièrement notre existence.

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Chacun d’entre nous, peu ou prou, est à la fois la victime et l’acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais été menée sur Terre, aussi loin que notre mémoire historique en atteste. Il ne faut toutefois pas oublier que cette Histoire a été écrite durant tous ces temps selon les dogmes imposés par les puissants et que de grands pans ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation se confirme par l’astronomie amènent à déduire que des civilisations précédentes ont pu  s’autodétruire comme nous le faisons actuellement.

Nous nous accrochons à nos croyances comme au mât de sauvetage d’un navire qui sombre et reproduisons aveuglément les erreurs, fatales à la vie, que nous véhiculons dans notre insconscient collectif: la Nature est mauvaise, la Terre est ingrate, il faut la dominer, en devenir le maître …

Les religions, qui sont ambivalentes, enseignent bien la valeur de la reconnaissance, de l’amour et de la gratitude mais elles véhiculent simultanément ce principe : détruire ce qui vit au nom d’un idéal mythique qui prétend faire mieux.

Le mythe grec

La civilisation grecque est la référence en ce qui concerne l’art, l’éthique, la politique et la science depuis des siècles. On célèbre en elle la naissance d’une explication du monde atomiste et objective. Le pendant social a été la dévaluation des fonctions féminines qui s’est traduit par la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et par le fait que les femmes aisées se sont délestées de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves[17].

Plus que toute autre, la mythologie grecque a peuplé le ciel : ses mythes relatent les œuvres de Zeus et de sa cour, qui sont essentiellement des rapts, des viols et des assassinats, dont les victimes sont projetées dans les constellations célestes pour l’absolution de ces actes criminels, toujours motivés par la jalousie. La créature féminine est un objet de possession sur lequel Zeus entend avoir tous les droits.

L’exaltation du noble masculin et la déchéance de l’ignoble féminin dans la société grecque antique est bien référencée par André Brahic[18], célèbre astrophysicien français, dans son livre “Enfants du Soleil” : « … les esclaves y accomplissaient les tâches matérielles, et les citoyens avaient tout le loisir de s’intéresser aux questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun pouvait s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser ainsi des questions philosophiques sans avoir besoin de recourir à un mythe. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. En fait le triomphe de la raison a été beaucoup plus long et beaucoup plus difficile à comprendre que ces rapides phrases le laisseraient croire. »

Chacun signifie pas de femmes, pas d’esclaves, rien que des “citoyens”, c’est à dire un cercle restreint particulier d’hommes qui avaient le temps de penser, complètement détachés des contraintes matérielles de la vie quotidienne, qui mettaient ainsi de côté la moitié de la réalité de la vie ! Ainsi le triomphe de la raison serait d’asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à sa nature !

Cette “merveilleuse science” n’a-t-elle pas un défaut ? On se félicite aujourd’hui de sa raison qui  évacue les mythes, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir une grosse mite insatiable qui dévore les tissus vivants!!! N’est-ce pas ainsi que la conscience finit par déserter la science ?

[ ] La «Science » aujourd’hui se glorifie de ne raisonner que sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale.

Au Moyen-Age, jusqu’à Copernic[19] et encore longtemps après, la logique des deux sphères d’Aristote a été l’unique référence cosmologique:

  • La sphère des cieux, fixe, immuable et parfaite, qui porte la noblesse du masculin
  • La sphère de la Terre, changeante et imparfaite, celle des manifestations concrètes, chargée de l’ignominie du féminin.

La Renaissance a beaucoup remis en question les concepts aristotéliciens. Nous avons presque oublié la cosmologie des deux sphères, mais n’avons pas remis en question, à la base,  ce qui est toujours le dogme: ne raisonner que sur les faits, trouver dans les faits eux-mêmes la cause de leur existence. Il manque quelque chose, il y a quelque chose de faux …

“En Physique, on se focalise sur comment extraire de l’énergie de la matière … comment casser un tout en particules pour libérer de l’énergie.  L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gênes sont la structure basique de l’être humain et que si on peut contrôler les gènes alors on peut contrôler tous les aspects de l’être humain. Une des ramifications de ce mode de pensée inversée est que les scientifiques pensent que la matière est la base de toute chose. Les généticiens disent que tout est 100%  génétique et que l’environnement nous affecte à 100%. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, pas seulement social. Cela signifie que notre pensée et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui pense que la matière est la base de toute chose et est aussi la source d’énergie. Nous devons voir que c’est le contraire qui est vrai: c’est l’énergie qui affecte la matière.[20]

Tu enfanteras dans la douleur

La santé primale[21], physique et mentale, de chaque être s’ancre dans sa naissance.

La condamnation biblique « tu enfanteras dans la douleur” est la règle qui a mené les femmes d’aujourd’hui à être pour la plupart – et avec leur consentement- totalement dépossédées de leur plénitude, de leur dignité et de leur santé dans l’acte sacré de mettre un enfant au monde. Accoucher en se pliant au protocole hospitalier, qui est point par point à l’opposé du processus physiologique, est cause de privation d’une joie fondamentale, de faiblesses ou de maladies mentales et physiques pour la mère et l’enfant.

Histoire de la perte des droits fondamentaux de la femme qui enfante

Au commencement de la désescalade des fonctions féminines dans nos sociétés patriarcales occidentales il y a simultanément la sentence biblique «tu enfanteras dans la douleur» et la déchéance du féminin dans la société grecque. Un survol de cette  désescalade illustre particulièrement bien comment une règle s’incarne dans une civilisation pour finalement former un système.

Auparavant, d’après les témoignages apportés par les tablettes sumériennes d’il y a environ trois mille ans, la femme jouissait du même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et les écrits bibliques, c’est à dire dans le courant du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines se sont ancrées comme nobles relativement au féminin auquel échut l’ignoble. Pour les femmes elles-mêmes, les fonctions féminines devinrent ignobles: les riches se délestaient de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves. Au 4e siècle après JC, la réunion de l’Empire de Rome avec l’Eglise sonna le glas pour beaucoup de femmes inspirées comme Sainte Foy, martyrisée par Rome pour sa foi en Christ ou savantes comme Hypathie d’Alexandrie, martyrisée 100 ans plus tard parce qu’elle ne portait pas allégeance à l’Eglise… A partir du 14e siècle, les bûchers au nom de l’Eglise qui s’érigeait en seule pourvoyeur de connaissance, emportèrent dans les flammes les hommes et les femmes savants, pour leur “sorcellerie”. Ainsi s’effacèrent de grands pans de la connaissance populaire, celle des plantes contraceptives entre autres[22], ce qui eut pour conséquence enfants non désirés et abandons, famine et épidémies, sur fond de guerre de Cent Ans.

Arriva Louis XIV qui imposa aux femmes d’accoucher allongée, pour satisfaire un caprice que l’on peut qualifier de voyeurisme. Cette “bonne manière” s’est répandue comme une traînée de poudre à la surface du globe … C’est la pire souffrance et c’est la ruine pour les mères et les nouveaux nés car c’est totalement anti-physiologique. De nos jours, beaucoup de sirènes font croire aux femmes qu’elles peuvent éviter d’affronter cette épreuve grâce à la chimie et à la chirurgie autrement dit qu’elles peuvent avoir leur bébé sans vivre sa venue au monde. Cela se paie en fait par la suite, non  seulement par un affaiblissement de la santé globale mais aussi par une immaturité, une irresponsabilité parentale de plus en plus grave. Le protocole hospitalier de naissance détruit des liens essentiels au démarrage de la vie. Pourquoi ?

Physiologie de l’accouchement et fonctionnement du cerveau

Pour mettre facilement un enfant au monde, la mère doit être en mesure de relâcher le contrôle néocortical[23], celui de l’identité, qualité masculine, pour laisser agir l’obscur cerveau reptilien au profit de la perpétuation de l’espèce, qualité féminine. Cela a été particulièrement démontré par, Michel Odent[24], chirurgien et obstétricien français qui s’est particulièrement consacré à l’étude de la physiologie de l’accouchement.

En résumé, dans l’accouchement, mais aussi dans la vie sexuelle en général et finalement dans toute notre vie hormonale, deux hormones antinomiques, l’ocytocine, typiquement féminine et l’adrénaline, typiquement masculine, accompagnées de leurs familles, entrent en jeu :

– l’ocytocine[25], ou « hormone de l’amour » a pour source le cerveau reptilien. Elle est, secrétée par l’hypothalamus, une structure ancienne du cerveau, et stockée dans la glande hypophyse postérieure. Elle est libérée dans le courant sanguin à l’occasion de circonstances particulières[26]. En interagissant avec la force contraire produite par l’adrénaline, qui a pour source le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsations : les contractions ; la fonction de l’ocytocine est d’ouvrir la porte à un autre référentiel.

– l’adrénaline : la phase finale de tout évènement de la vie sexuelle est déclenchée par l’adrénaline, « hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection, selon le cas: du sperme, du fœtus, du lait. Sa fonction est d’expulser pour protéger l’intégrité individuelle, générant ainsi une dissociation[27].

Séparation entre astronomie et astrologie

Sur le plan social, considérons l’astronomie et l’astrologie qui sont universellement reconnues comme étant, conjointement, la “Mère des Sciences” : elles sont aujourd’hui deux sœurs ennemies.

La scission advint en France  au solstice d’hiver 1666, quand Colbert fonda l’Académie des Sciences sous le règne de Louis XIV … bien que Rabelais ait dit, un peu plus de cent ans plus tôt, que “science sans conscience n’est que ruine de l’âme[28]”… L’abstraction délibérée de toute cosmologie est devenue la norme. En conséquence, une “docte ignorance”[29] s’est développée depuis lors. “La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si toute chose venait de nulle part et spécifiquement comme si l’énergie provenait de la matière. Si c’était le cas, d’où viendrait la matière, alors?[30]…“les principales influences philosophiques des scientifiques sont cachées. Et de plus, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais mises en question; en fait, elles sont maintenant retirées maintenant des livres scientifiques [31]”. Nous pouvons effectivement remarquer que depuis des décennies, les études ressemblent de plus en plus à du bachotage: elles sont de plus en plus spécialisées – ce qui est naturel dans une organisation sociale qui se complexifie mais, surtout, il y a un schisme avec les fondations métaphysiques de la Science. Les seuls autorisés à faire référence officiellement sur un sujet de nos jours sont de plus en plus ceux qui n’ont aucune expérience de ce sujet. C’est particulièrement vrai – et parfois carrément drôle- pour ces sujets fondamentaux « hors des clous » que sont l’Astrologie, la naissance, le climat et … le cannabis!

Bien que cette science idéaliste n’ait jamais cessé de pourfendre l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est encore bien vivante dans nos sociétés. Répondrait-elle à un besoin fondamental de l’être humain, à une fonction naturelle de la vie qui revient au galop quand on la chasse ? Depuis 350 ans, la science se bâtit sur le déni de la moitié de notre cerveau.

Comment fonctionne notre cerveau ?

La fonction de l’hémisphère gauche est de distinguer, identifier, dénombrer, développer. Elle consiste en une ouverture et produit du mouvement, de l’excitation. Dans cet hémisphère on part du néo-cortex et on va vers la complexité. C’est le « –nom-ique », il décode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui notre droite.

La fonction de l’hémisphère droit, elle, est d’unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer l’information. Il part de la complexité qui affecte notre cerveau reptilien pour en déduire quelque chose d’intelligible pour le système limbique et le néo-cortex. Ce faisant, il maintient la protection de l’individu face au milieu extérieur, fait masse et entretient l’homéostasie de l’organisme. C’est le «  –log-ique », il encode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre gauche.

Dans « logique » il y a « log », dans « nomique », il y a « nom ». En termes mathématiques, l’astronomie a la fonction « exponentielle », elle dénombre; en regard l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle structure en une formule assimilable par l’organisme.

En 1666 l’Académie des Sciences fut crée et elle est devenue le nouveau corps officiel de la représentation du savoir. Dans les siècles qui suivirent, elle prit la place dogmatique que l’Eglise avait tenue pendant les mille ans précédents. Et depuis cette époque,  les astrologues et les astronomes qui n’avaient jamais été différenciés jusque-là, se sont trouvés divisés en deux catégories distinctes, l’une recevant les honneurs au nom de la Science érigée en mythe, l’autre la misère humaine dont le prêtre n’a eu cure.  Depuis cette scission, tant les astronomes que les astrologues tournent en rond dans leur hémisphère respectif, comme les deux faces d’une même médaille, en s’écharpant sur la frontière du zodiaque, qui n’est autre que le plan de notre matrice Soleil-Terre.  C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun des partenaires se renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice-versa. Une majorité d’astrologues ignorent tout de l’astronomie tandis que certains astronomes font office de grand guru, sans aucune astro-logique et nous habituent à l’effroi du « silence glacé des espaces infinis »[32].

N’avons-nous pas encore intégré la relativité?

Le postulat de l’héliocentrisme, confirmé par Galilée cinquante ans après la scission de 1666, induit la relativité: la Terre n’est pas le centre de l’univers[33]. Tout corps est un centre. En conséquence, un phénomène peut être considéré de différents points de vue[34]. A partir de là, comment statuer qu’un point de vue est supérieur aux autres ou peut remplacer les autres ? Ne sont-ils pas tous vrais et précieux ? Autant vous-même, que la Terre, que le Soleil ? Et pourtant, notre psyché, conditionnée par l’impérialisme du Pater Arche[35], pense toujours qu’il n’en faut retenir qu’un, seul et unique.

La relativité n’est pas encore vraiment intégrée dans nos esprits ; l’Astrologie s’est trouvée coupée de l’Astronomie au moment où les dogmes (religieux) qui légitimaient la suprématie d’un point de vue sur les autres et l’esclavage de certains humains par les autres depuis de nombreux siècles, ont été fondamentalement remis en question par la Révolution copernicienne. Cette intégration est en cours ; c’est l’objet du SORI’Astres[36].

Comme l’Eglise n’est plus la référence ultime et a perdu une grande part de son influence, le pouvoir spirituel est devenu l’objet de la rivalité entre les deux disciplines. Pour asseoir sa dominance, le dogme de l’astronomie contemporaine renie la réalité physique du zodiaque des signes (dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre sur son plan de révolution) pour ne considérer comme réelles que les constellations (qui sont des arrangements visuels et culturels des étoiles). La négation du rythme notre environnement essentiel, notre matrice originelle Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), c’est-à-dire l’alternance d’éclairage de ses pôles que marquent équinoxes et solstices, n’est-elle pas une énorme erreur astronomique ? Quelle que soit la constellation devant laquelle il a lieu, le zéro degré du signe du Bélier demeure l’équinoxe de printemps Nord/automne Sud. C’est la base de la mécanique céleste, qui se trouve sapée. Dans cette chasse aux sorcières, le dogme scientiste scie la branche sur laquelle il est assis, et cette branche n’est pas la moindre car c’est celle de la Mère des Sciences.

Dans le cerveau divisé de la Mère des Sciences, la science officielle s’est développée en circuit fermé depuis 350 ans : elle a perdu de plus en plus la relation avec son cerveau droit, lequel renvoie l’observateur / expérimentateur à lui-même. De son côté, l’astrologie coupée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre, ses symboles de plus en plus creux ; il faut dire qu’elle était déjà sévèrement corrompue et soumise depuis des siècles au bon vouloir des puissants qui y ont imposé leurs maîtrises.

Le résultat, c’est que l’éthique scientifique aujourd’hui, c’est de savoir mettre sa conscience au congélateur … Cela ne serait-il pas l’essence même de l’esprit nazi ?

  1. cela peut changer …

Jeter l’astrologie, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain, un bain d’impérialisme, vieux de 5000 ans …

Cette fonction naturelle qui revient au galop quand on la chasse est la fonction du cerveau droit, la moitié féminine qui amène la sagesse, l’hémisphère de la con-naissance, absolument nécessaire à la vie pour se perpétuer, aveuglément combattue par la « haine de la vie ».

Elle est certainement beaucoup plus forte qu’on ne le croit car au vu de l’armada dont on dispose[37] et des fous qui sont aux commandes, sans elle, la Terre serait déjà pulvérisée. Entraînons-nous très vite à la re-connaître et ne nous dressons pas les uns contre les autres, mais tous ensemble pour la vérité !

[1] Evangile St Luc 21.11

[2]Film “Overcast“ Matthias Hancke 2015

[3]“La guerre secrète contre les peuples“, Claire Séverac, éditions Kontre Kulture 2015

[4]Film “Why in the world are they spraying ?“ Michael Murphy and Barry Kolski 2012

[5] Gilles Roy, devise de l’association « Rock Astres » 1993

[6] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[7] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[8] Claudia Von Werlhof,  http://www.pbme-online.org/ , Skyguards – Autriche

[9]Physiologie: étude du fonctionnement naturel d’un organisme vivant

[10]Colloque Science à très grande échelle – COMETS-CNRS Paris janvier 2014

[11]http://legacy.movement-of-life.org/index.php

[12]„“Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles“ Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk 2011

[13]Gabriel Luneau https://www.youtube.com/watch?v=VTRfViLgKoM

[14] Viktor Schauberger

[15] Claudia Von Werlhof

[16] Claudia Von Werlhof

[17] André Brahic “Enfants du Soleil“ 1999

[18] décédé en 2016

[19]Copernic, mort en 1549

[20]The ABCs of the NEW PHYSICS, a workbook based on the New Physics by Noberto R.Keppe. author : Claudia Bernhardt de Souza Pacheco and collaborators; Proton Editora 2008

[21]Michel Odent “La santé primale“ 1986

[22] Fruit d’une recherche personnelle: les peuples les plus récemment touchés par notre “civilisation“ connaissent et emploient des plantes contraceptives (Tibétains –confirmation écrite de l’Institut de médecine thibétaine de Daramsala-, Indiens d’Amazonie, Aborigènes …); dans l’Antiquité grecque et romaine et jusqu’au 13e siècle, il n’est pas particulièrement fait mention de trop nombreux enfants par femme. De nombreuses variétés de plantes, différentes selon les climats et les sols existent et sont bien simples: pour chez nous: calendula, safran … J’en conclus que les bûchers de l’Inquisition ont fait disparaître cette connaissance. De rares bribes de connaissance de plantes abortives ont perduré.

[23] Le néocortex, la partie la plus complexe du cerveau, particulièrement développée chez l’humain, la plus récente du point de vue de l’évolution.

[24]Michel Odent « L’amour scientifié » éd. Jouvence 2001 et autres ouvrages. Connu depuis sa direction de la maternité de Pithiviers de 1962 à 1985 où il a lancé le concept d’accouchement en salles de naissance « comme à la maison » ou en piscine.

[25]et ses consoeurs, prolactine et endorphine. Prolactine : hormone ancienne sur le plan de l’évolution, impliquée dans les comportements du maternage : construction des nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle qui allaite

[26]Cette libération se fait de manière discontinue,  par pulsations. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit la naissance, elle est libérée pendant l’orgasme et joue un rôle direct dans la reproduction. (Michel Odent « L’amour scientifié »).

[27] L’adrénaline et sa famille sont à l’origine les hormones secrétées d’urgence quant il faut soudain se protéger par la fuite ou le combat. A leur source, le néocortex. Elles sont mises en jeu quand la survie de l’individu devient la priorité et passe avant la survie de l’espèce, alors que la famille de l’ocytocine est impliquée dans le cas contraire.

Il en est également de même quant au fonctionnement de notre cœur  : le ventricule  gauche propulse le sang dans  l’organisme et le droit rappelle ce dernier pour être régénéré.

[28] Rabelais, « Pantagruel »

[29]“la docte ignorance” Merleau Ponty, philosophe français (1950)

[30]Noberto Keppe NEW PHYSICS

[31]idem

[32] Blaise Pascal

[33] Thomas S. Kuhn „La révolution copernicienne“

[34] En astronomie, il y a différents systèmes de coordonnées, définis par un centre, un plan et deux axes, qui décrivent: le point de vue topocentrique (vous en êtes le centre), le point de vue géocentrique (la Terre est le centre) et le point de vue héliocentrique (le Soleil est le centre); on peut aussi se projeter sur une autre planète ou en tout point de l‘univers

[35] Claudia Von Werlhof http://www.pbme-online.org/

[36] SORI’Astres, voir www.rockastres.org

[37]Rosalie Bertell “Planet Earth, the latest weapon of war“

Analyses d’eau de pluie – OCT 2017 – ⚠️ Aluminium 49,3 µg / L

Analyses d'eau de pluie

Voici les derniers rapports d’analyse d’eau de pluie du Doubs

Prélevée le 12 octobre 2017

En µg / L

  • Aluminium 49,3
  • Baryum <20
  • Fer non analysé
  • Strontium <10
  • Zinc non analysé

analyse eaudepluieDoubs171012

Prélevée le 26 avril 2017

En µg / L

  • Aluminium 25,5
  • Baryum <10
  • Fer non analysé
  • Strontium <5
  • Zinc non analysé
analyse eaudepluieDoubs170426

Rapports d’analyses précédents

A comparer avec les résultats précédents et suivants (échantillons obtenus au même endroit, dans les mêmes conditions et analysés par le même laboratoire).


un ancien Premier ministre de Colombie-Britannique condamne la géoingéniérie

Bill Vander Zalm, ancien Premier ministre de Colombie-Britannique, condamne la géoingéniérie et agit à son niveau pour faire connaître les faits au peuple. Entretien avec Dane Wigington.
 

sous-titres en anglais seulement en attendant une traduction. Appel aux bonnes volontés compétentes ! Merci d’avance.