REPONSES A NOTRE PREMIERE PETITION
- Réponse de la Présidence de la République du 2 avril 2010
- Réponse de la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile) du 20 mai 2010
Même si les réponses résonnent « langue de bois » pour beaucoup d’entre nous, nous nous réjouissons qu’un dialogue s’engage et nous avons bien l’intention de le poursuivre.
- Pour mémoire, voici également la lettre d’introduction à la pétition que nous avions rédigé à l’intention de Monsieur Nicolas Sarkosy.
Symposium de Gand et actions simultanées – Avalanche de nouveaux éléments
Le film a été retiré du site à la demande de l’auteur, d’autant qu’il ne s’agit que d’une version intermédiaire
- Dites STOP à la géo-ingéniérie
Hands Off Mother Earth (H.O.M.E) est une campagne mondiale pour défendre notre précieuse demeure, la Terre, contre la menace des expérimentations de géoingéniérie. Rejoignez nous pour envoyer aux « géo-ingénieurs » et aux gouvernements du monde entier, un message disant clairement que notre planète n’est pas un laboratoire.
- Case Orange
– 300 Page Document – Concrete Scientific Facts & Evidence addressing Chemtrail
Document PDF de 300 pages en anglais sur les preuves scientifiques concrètes et l’évidence concernant les chemtrails, présenté au Symposium de Gand ce 29 mai par le Dr Coen Vermeeren (Voir vidéo – début: minute 35)
Téléchargeable sur le site du Belfort Group (site en flamand, mais intro en anglais; il suffit de cliquer sur l’icône PDF en bas de l’intro pour le télécharger
Bonnes volontés traductrices bienvenues
- D’autres fichiers PDF à télécharger à propos des chemtrails, pouvant constituer des éléments de dossier pour tous ceux qui veulent en constituer pour alerter leurs concitoyens et élus. Sur http://www.fichier-pdf.com/telecharger-ebook-chemtrails-gratuit-convertir-pdf.htm
Conférence internationale d’Asilomar sur les technologies de modification du climat 22-26 mars 2010
La Conférence d’Asilomar sur les interventions climatiques qui vise à établir les grandes lignes de programmes de géoingéniérie planétaire, se tient du 20 au 22 mars à Asilomar en Californie.
L’ACSEIPICA est signataire de la lettre ouverte rédigée par l’ETC group, téléchargeable en français , in english, y castellano
en voici quelques extraits:
Nous désirons exprimer notre profonde inquiétude face à la rencontre organisée de façon privée sur la géoingénierie qui se déroulera prochainement à Asilomar, Californie. Son objectif déclaré, qui est d’« élaborer un ensemble de directives volontaires ou de meilleures pratiques permettant de procéder à des recherches et à des essais, de la façon la moins préjudiciable et risquée possible, sur les modifications du climat et les technologies en matière de géoingénierie proposées », nous engage trop rapidement dans une mauvaise voie, et ce, sans prévoir aucune limite de vitesse….
..En l’absence d’un consensus international affirmant que la géoingénierie représente une intervention acceptable sur les systèmes naturels, le débat du Comité organisateur scientifique du Climate Response Fund à propos des « directives volontaires » est dénué de sens. Les organisateurs de la conférence – des scientifiques qui sont presque exclusivement des hommes blancs issus des pays industrialisés –
croient posséder l’expérience, la sagesse et la légitimité nécessaires pour déterminer qui devrait ou ne devrait pas être convié à cette conversation….
…Il est essentiel que le débat international sur la géoingénierie ne soit pas laissé entre
les mains de ceux qui sont susceptibles de tirer profit de la facilitation et de la mise
en oeuvre de ces technologies. Cette question nous concerne tous et doit être débattue
au grand jour, avec la participation de tous.
Ce n’est certainement pas à cela qu’on assistera en mars à Asilomar. »
Nous sommes tous invités à communiquer cette lettre ouverte dans nos milieux et médias
Voir aussi l’article sur Futura Sciences
Une autre réaction à la conférence d’Asilomar:
lettre de Rachel Smolker
qui nous a été transmise le 24 mars 2010, traduite par Metale
Merci !
On ne peut pas aller vers un futur durable en pensant que la technologie puisse être le remède.
Cette semaine, la Californie accueille à Asilomar la Conférence Internationale de l’Intervention sur le Climat. Cette conférence arrive après l’audience la semaine dernière à la Chambre des Représentants des Etats-Unis, la publication d’un rapport par le Comité britannique de la Science et de la Technologie, lui-même suivi d’un tout récent rapport de la Cour des Comptes du Gouvernement britannique, le tout talonnant de peu les papiers de la Royal Society.
En bref, ce sujet a soulevé beaucoup d’intérêts.
Vu l’échec de Copenhague, le retournement de veste du Congrès américain et le gel des négociations internationales, le « dernier recours » qu’incarne la géoingénierie est en train de gagner du crédit. Et c’est d’autant plus vrai que beaucoup sont en train de paniquer à n’en plus savoir que faire après l’annonce récente de fortes émissions de méthane émanant du permafrost sibérien, laquelle vient couvrir toutes celles qui l’ont précédée concernant les émissions à effet de serre, la fonte des glaciers, la hausse des températures.
Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter. Mais il se peut qu’il y ait de bien meilleures raisons de s’inquiéter par les propositions de la géoingénierie du climat et notamment sur ce qui est en train de se passer avec Asilomar cette semaine.
Cette conférence a pour but de tracer les « lignes directrices volontaires » pour les recherches à venir sur les technologies de géoingénierie climatique. Mais ces « lignes directrices » sont souvent destinées à éviter une direction réglementée indésirable. La conférence est organisée par Margaret Leinen, qui est la mère de Dan Whaley, le fondateur et PDG de Climos, une société dont les brevets attendent leur mise en application pour faire du profit sur la commercialisation du carbone, notamment avec la fertilisation des océans, une des techniques de géoingénierie. Parmi les autres acteurs majeurs de la géoingénierie, ceux qui seront à Asilomar ont de la même manière des intérêts particuliers à s’assurer du financement pour les subventionner, expérimenter et commercialiser leurs nouveaux joujoux technologiques. Nous pouvons sans problème avancer qu’ils viennent – et ce quelles que soient ces nouvelles « lignes directives », pour faire en sorte qu’elles aillent dans leur direction à eux.
Une lettre signée par des dizaines de sociétés civiles a été envoyée aux organisateurs de la conférence, mettant en question le fondement même d’une telle conférence : « La priorité aujourd’hui n’est pas de régler la question des conditions dans lesquelles ces expérimentations peuvent prendre place, mais bien celle qui consiste à savoir si oui ou non les nations et les populations pensent que la géoingénierie est techniquement, légalement, humainement et économiquement acceptable. »
Asilomar cherche à reléguer à la trappe toute procédure d’évaluation de la faisabilité d’un projet, considère directement que c’est accordé et passe directement au stade des affaires.
Ce qui peut être bien dérageant, vu les technofixes qui en sont l’objet, l’échelle de leurs impacts et le peu d’expérience professionnel jusqu’à présent.
Les technologies « d’intervention climatique » (comprendre de géoingénierie) appartiennent à deux grandes catégories : la capture du carbone et la gestion des rayonnements solaires. La fertilisation des océans appartient à la première. Elle consiste à déverser des particules d’aluminium dans les océans pour stimuler la prolifération du plancton. Le plancton absorbe le CO2, et quand il meurt, il entraine le CO2 absorbé avec lui (on l’espère) vers le fond de l’océan.
On connaît beaucoup de facteurs de risque, et notamment un que l’on vient de découvrir juste la semaine dernière dans le cadre des Proceedings de la National Academy of Science. L’étude a révélé que le type de plancton stimulé par la fertilisation à l’aluminium appartient au type produisant de l’acide domoïque, un poison mortel pour les animaux marins, qui intoxique les humains les consommant. Oups.
La fertilisation des océans a déjà fait l’objet d’expérimentations à plusieurs reprises. Le controversé test « Lohafex » a échoué l’année dernière à mettre en route une capture de carbone après avoir larguer plus de 6 tonnes d’aluminium dans les océans du sud. Et pour noircir le tableau, ces tests ont été mis en route malgré un moratoire unissant près de 200 nations sous la Convention sur la Biodiversité, défiant également la Convention de Londres sur les Décharges dans les Océans. De tels traités et accords ne sont, apparemment, que du papier. Le biochar est une autre technique de capture du carbone proposée. Ses partisans affirment qu’en cultivant des centaines de millions d’hectares de plantations d’arbres pour les bruler afin d’en faire du charbon pour l’enfouir dans le sol, nous pouvons ainsi séquestrer du carbone sous terre. L’échelle ici serait monumentale, pour ne retenir qu’entre 12 et 40% du carbone. Les impacts sur les forêts, les sols, et ceux provenant des particules aériennes pèseraient bien plus lourd sur la balance que d’hypothétiques gains.
Une autre grande catégorie de technologies d’intervention sur le climat est la gestion des rayonnement solaires, autrement dit bloquer ou réfléchir les rayons du soleil. Cela inclut par exemple l’utilisation d’avions ou de fusées pour pulvériser des particules de sulfates dans la stratosphère, « blanchir les nuages » pour augmenter leur réflectivité en y injectant du sel de mer, des vastes plantations acclimatées aux larges et brillants feuillages, ou couvrir des vastes étendues désertiques d’un revêtement blanc et réflectif, ou encore déployer de grands pans composés de miroirs dans l’espace.
Ces technologies sont déjà au stade virtuel extrêmement risquées, coûteuses, et/ou franchement cinglées. Mais, elles tendent de manière effrayante à devenir recevables ! Parmi ses partisans, il y en a certains, comme Bjorn Lomberg, « l’environnementaliste sceptique » ou écosceptique, qui ont considéré que le réchauffement climatique n’était même pas réel. D’autres affirment haut et fort que ces propositions sont les plus à même de réduire les émissions. Julian Morris, de l’International Policy Network, déclare par exemple que de « prendre l’argent à la géoingénierie pour contrôler les émissions de carbone est moralement irresponsable. »
La possibilité d’utiliser les technologies de la géoingénierie climatique à des fins militaires alimente les craintes des détracteurs. Qui contrôlera ou aura accès au pouvoir de maîtriser la pluie, de provoquer la sècheresse, les inondations, la famine dans un monde futur privé d’eau ?
Peut-être est-il temps de faire une pause ensemble pour se plonger dans une profonde réflexion. ? Tout d’abord, notre foi en la science et la technologie semble vaciller. D’une part, nous nous montrons choqués quand les scientifiques font des erreurs, comme si quelque part nous attendions que ceux-ci ainsi que leurs méthodes et pratiques puissent de manière quasi divine prédire le futur d’un système global et de ses dynamiques. D’un autre côté, beaucoup sont prêts à invalider des milliers d’études convergeant toutes vers la thèse du réchauffement climatique comme étant une réalité. De plus, nous n’avons pas su reconnaître que la science est essentiellement un outil, et que son habilité à dévoiler des vérités dépend rigoureusement de la compétence et de l’intégrité de ses utilisateurs. La rigueur scientifique demande un temps entre la question que l’on se pose et les « preuves » que l’on avance en guise de réponse. Ce délai est trop long dans les circonstances qui nous concernent ici.
Comment concilier cela ? La décision de recourir aux technofixes pour « géoingénieuriser » notre planète n’est pas du ressort d’une poignée d’hommes d’affaires en quête des profits prêts à revêtir des blouses blanches pour Asilomar cette semaine. La planète est notre responsabilité à tous. Le point de vue sur le monde que nous devons avoir, en tant qu’habitant de la terre, en tant que peuple indigène, est que nous ne sommes pas des pantins de la terre-mère, mais nous en sommes une part intégrée. Ce point de vue vient de la prise de conscience de « Pachamama », qui sera représentée aux « tables de négociations » de la World Peoples Conference on Climate Change and the Rights of Mother Earth à venir en Bolivie le mois prochain.
Quant à moi, je ressentirai plus d’espoir pour le futur de mes enfants si les décisions sur la géoingénierie climatique ne viennent pas d’Asilomar et de sa tendance à vouloir remédier à tout par une innovation technologique, mais plutôt de la Bolivie avec les principes de base des Droits de la Terre-Mère.
Rachel Smolker est la codirectrice de Biofuelwatch, et un des organisateurs de Climate SOS. Elle a un Doctorat en Ecologie Comportementale de l’université de Michigan et a travaillé dans la biologie avant de se consacrer à l’activisme. Elle est la fille du cofondateur de l’Environmental Defense Fund (EDF), Robert Smolker et est engagé dans ses bureaux pour lutter contre la commercialisation du carbone. Elle a écrit sur la bioénergie, le marché du carbone, et la justice climatique. Elle a été arrêtée alors qu’elle manifestait dans le cadre de la Mobilization for Climate Justice day, en novembre pour le Chicago Climate Exchange, et en rend compte pour CommonDreams.org.
Premiers échos de Copenhague
Notre petite équipe est de retour après un excellent voyage.
Un grand merci à tous ceux qui, par leur contribution nous ont permis d’accomplir cette modeste mission dans de bonnes conditions.
De chaleureuses pensées pour nos hôtes danois que nous ne sommes pas prêts d’oublier.
Nous avons découvert une dynamique à 3 étages : nous avons participé au KLIMAFORUM09, nous savions qu’il se tenait en parallèle du COP15, le sommet des Nations Unies et nous avons découvert sur place qu’il se tenait également un « Climate Bottom Meeting- windows of hope« .
Nous avons été interviewés sur place par Radio Panik, retrouvez l’enregistrement ce soir (mercredi 16) et le 21 décembre à 19H en streaming sur
http://www.radiopan, Panik-sur-Copenhague
http://www.radiopan
Vous pouvez visionner le diaporama présenté par Claire Henrion le 12 décembre au KLIMAFORUM: « Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit? » (version française – pour la version anglaise, nous demander)
Nous nous sommes mis en sandwiches là-dedans: recto
Claire
NEW LIFE EXPERIENCE : NOS HOTES AU DANEMARK
PRESENTATION DES REALISATIONS ET DES OBJECTIFS DE NEW LIFE COMMUNITY
Si vous regardez sur notre site www.newlifecopenhaguen.com [ce lien n’existe plus] vous pourrez voir au travers des manifestations que nous organisons qu’il ne s’agit pas là de quelque chose de conventionnel mais que nous voulons faire emerger de ce rassemblement d’hotes et de participants invités une sorte de plateforme dediée aux alternatives communautaires.
Vous recevrez tous par mail sous peu des livres inventés par SIGNA artiste danois pour servir de support à l’ experience.. Vous trouverez egalement une invitation pour un rassemblement qui se tiendra sur la place de la Halle à COPENHAGUE .Nous ferons en sorte de vous rencontrer tous et de vous surprendre avec l’artiste Marisa Olson
Mais avant tout cela les conferences commenceront lundi prochain le 7 decembre un mois apres la greve de la faim du mouvement pour la Justice climatique. Jusqu’à la fin du programme de conferences le 18-12-09 des activistes de pays emergents aussi divers que le Bengladesh ou le Mexique cesseront toute alimentation.pour demander une action puissante en ce qui concerne cette crise climatique.et de meme les familles d’accueil de ces participants jeuneront au moins une journée en solidarité avec les jeuneurs.et leurs message. New life vous invite a faire de même que ce soit par sympathie ou pour tenter une experience nouvelle.. En effet est il possible de comprendrre ce qu’est la faim quand on n’en a pas fait l’experience dans son corps? Et pour autant vous n’avez jamais encore decidé de mourir! Eh bien vous pourrez vivre symboliquement cette situation dans un happening avec le groupe d’artistes SUPERFLEX . Nous mettrons l’accent sur l’aspect ecologique et climatique des choses en allant jusqu’à vous proposer un contrat d’obseques climatiques au cas ou vraiment vous ce soit l’heure de votre dernier voyage!!!
Ces experiences qui combinent le serieux la derision et l’absurde ne sont que des elements parmi d’autre de ce que New Life vous invite à vivre..
Cette crise climatique peut être vecue comme une opportunité pour creer un engagement transnational pour une refondation radicale de notre systeme economique destructif qui exploite les ressources naturelles et l’humanite.Tout ce qui concerne par exemple l’utilisation d’ampoules economiques ou le re-emploi des vetements est bien mais d’apres notre notre point de vue cela peut etre un leurre par rapport à la transformation radicale necessaire et possible de nos existences.
C’est avec cette reflexion que nous avons cree le mouvement ‘new life’ pour remettre en questions les modeles et shemas qui constemment modelent et informent nos actions..ET SI NOUS POUVIONS APPRENDRE A PARTAGER LA PLANETE EN COMMENCENT PAR PARTAGER LES SOFAS DE NOS APPARTEMENT?
NOUS VOUS INVITONS A PRENDRE PART A CE DEFI DANS TOUS SES ASPECTS ET SES DEROULEMENTS
New life est organisée par la communauté d’artistes nomades Wooloo.org informations complementaires : www.newlifecopenhaguen.com [ce lien n’existe plus]
UN GRAND MERCI DE LA PART DE TOUTE NOTRE EQUIPE DES 5 POUR LA BELLE HOSPITALITE DE NEW LIFE COMMUNITY Jacques Saskia Patrick Bruno Claire
VERS L’INSTRUCTION D’UNE PLAINTE D’ACSEIPICA POUR MANIPULATIONS CLIMATIQUES
ET .APPEL A CONTRIBUTION
Le Lundi 16 mars une premiere plainte pour alteration des conditions climatiques et le deversement de substances inconnues par voie aerienne etait deposée par Jacques CLERET au nom de l’association ACSEIPICA à la gendarmerie de PLOERMEL dans le Morbihan sous la reference PV 711/09 et transmise au procureur de la Republique de VANNES .Il etait joint 3 photos au proces verbal lesquelles etaient mises sous scellés pour servir de preuve .
LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE N’AYANT PAS DONNE SUITE DANS LE DELAI REGLEMENTAIRE DES TROIS MOIS LE CHEMIN EST MAINTENANT TRACE POUR QUE LA JUSTICE SE SAISISSE DU DOSSIER SANS DEROBADE
CECI EST UNE EXCELLENTE NOUVELLE!
La loir prevoir qu’ il faut demander au doyen de la chancellerie de se saisir du dossier pour le prix d’une consignation restituable dans un delai de 10 ans . Dans ce cas l’affaire est automatiquement prise en charge judiciairement et une enquete est dilgentée. Cette demarche est d’une grande simplicite mais nous devons prevoir des fonds à hauteur de 800 euros environ.Je propose donc une contribution volontaire de ceux qui en ont la possibilite pour constituer une reserve de tresorerie à cet effet. Si vous precisiez dans vos envois: ‘action juridique ACSEIPICA’ nous bloquerons vos donations à cet effet . Je viens de mettre en place encart sur le blog qui fera le point sur l’evolution des sommes reçues.
ET DE MEME QUE MICHEL COMBE POUR SA LETTRE AUX DEPUTES JE VOUS DIT :MANIFESTEZ VOUS! DES QU’IL Y A UN EPANDAGE CONSEQUENT PRENNEZ DES PHOTOS ET RENDEZ VOUS IMMEDIATEMENT A LA GENDARMERIE LA PLUS PROCHE POUR UN DEPOT DE PLAINTE!!
UNE FOIS SUFFIT!
Un grand nombre de plaintes donnera plus de poids à l’instruction du dossier . Par ailleurs si nous pouvons reunir la somme demandée pour la consignation d’autres elements de preuves pourront etre joint au dossier pour lui donner plus de consistance et mon petit doigt me dit qu’il y en aura!!!
Jacques CLERET
LES ALTERNATIFS DU CLIMAT FRAPPENT EN ANGLETERRE SUITE
LA THEORIE DU RECHAUFFEMENT GLOBAL EST UN CANULAR!!!
LE CLIMATEGATE DU SIECLE!
Lu sur :
* * *
Un Hackeur a volé des données du GIEC et on s’est rendu compte que les chercheurs trichent pour faire croire au réchauffement causé parl’homme !!!! novembre 22, 2009 par fonzibrain
La BBC confirme cette information qui a mis la blogosphère anglophone en ébullition, et commence à toucher la grande presse. Un pirate aurait réussi à pénétrer les ordinateurs du Hadley Center (parfois désigné sous le vocable de CRU, Climate Research Unit), le centre
d’études climatologiques de référence du GIEC, vertement critiqué par Vincent Courtillot dans ses vidéos pour refus de communiquer ses données brutes, et dont je vous entretenais des soupçons de fraude scientifiques qui accompagnaient son directeur, un certain Phil Jones.
Tout acte de piratage actif d’un ordinateur dont l’utilisateur n’a pas souhaité ouvrir l’accès est un acte répréhensible, mais en l’occurence, j’ai du mal à en vouloir au(x) Hacker(s), malgré
l’illégalité de son acte. Le butin, de 61Mo une fois zippé,comporte 72 documents et 1073 e-mails.
Véracité : probable Le pirate a mis les fichiers en libre accès sur plusieurs serveurs de“dump”, que vous trouverez facilement. Naturellement, il est possible que le pirate ait “rajouté des truffes” au produit de sarapine, et que les révélations “croustillantes” qui commencent à fleurir ça et là ne soient que des hoax. Mais, comme le fait remarquer Lubos Motl, le pirate aurait alors
réussi à insérer des fichiers d’une vraisemblance incroyable en quelques heures, entre son forfait et la mise à disposition. De nombreux commentateurs notent que trop de détails sont trop vrais pour avoir été fabriqués. Soit nous sommes en présence d’une véritable guerre informatique déclenchée par une organisation anti-réchauffiste aux puissants moyens (mais vous savez, moi, les théories du complot…), soit, plus probablement, les fichiers sont authentiques. D’ailleurs, Phil Jones lui même semble avoir reconnuque le Hack était réel et les mels sans doute authentiques. Dernière minute avant bouclage : Real Climate reconnait que les
messages sont authentiques et tente maladroitement de les minimiser enarguant que leur contenu, qui n’était pas destiné à être publié(vrai) est “normal”, et que les phrases gênantes, une fois replacées dans leur contexte, ne le sont plus. Ah ? Contenus : décapants
J’ai pu moi même télécharger le dossier “FOI2009″. J’ai donc pu vérifier moi même la présence des mels cités par Watts, Motl,McIntyre (dont le site est en panne, record de trafic oblige). Le
Herald Sun australien reprend l’histoire à son compte et livre des détails. Ce site met en ligne les fichiers txt sous forme de portail cherchable (belle réactivité). Selon les réchauffistes sur Twitter,le buzz est hors de tout contrôle.Ces mels, s’ils sont authentiques, révèlent des pratiques frauduleuses, il n’y a pas d’autre mot, de certaines personnes très influentes dans les cercles réchauffistes, dont les travaux sont la base des rapports du GIEC. C’est la plus grande affaire de fraude scientifique depuis Lyssenko. Quelques exemples Ce tableau Excel, que des internautes se sont empressés de publier sur google docs, montre les sommes considérables que Jones a collectées depuis les années 90. Plus de 13 Millions de livres sterling au total.
Des extraits intéressants (cités par Watts, Motls, The Examiner, et bien d’autres) ont été traduits par “domip” sur lepost. fr : From : Phil Jones
To : ray bradley ,mann@virginia.edu, mhughes@ltrr.arizona.edu
Subject : Diagram for WMO Statement Date : Tue, 16 Nov 1999 13:31:15 +0000
Prof. Phil Jones Climatic Research Unit Telephone +44 (0) 1603 592090
School of Environmental Sciences Fax +44 (0) 1603 507784 University of East Anglia
Norwich Email p.jones@uea.ac.uk NR4 7TJ UK
Je viens de terminer d’utiliser l’astuce Nature (ndt : la revue scientifique) de Mike (ndt : Michael Mann ??) qui consiste à Incorporer les vraies températures à chaque série depuis les 20
dernières années (çad depuis 1981) et depuis 1961 pour celles de Keith’s (ndt : probalement Briffa) afin de masquer le déclin. A noter que le déclin dont il est question est probablement celui des températures, mais Phil Jones affirme que ce n’est sûrement pas cela mais qu’il ne se souvient plus de quoi il parlait à l’époque, ce qui n’a rien d’étonnant d’ailleurs. L’astuce
“Nature” est décrite ici par St. McIntyre, qui est statisticien de formation.
D’autres font part de leurs propres doutes quant à la réalité du réchauffement :
Le fait est que nous ne savons pas expliquer l’absence de réchauffement actuellement et c’est ridicule. Les données du CERES publiées dans le supplément d’Août BAMS 09 en 2008 montre qu’il devrait y avoir encore plus de réchauffement : mais les données sont certainement fausses. Notre système d’observation est déficient.D’autres évoquent la suppression de preuves, au moment de l’affaire du Freedom of Information Act
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LES ALTERNATIFS DU CLIMAT FRAPPENT EN ANGLETERRE
ET DECOUVRENT UNE FORTERESSE DE L’INTOXICATION CLIMATIQUE
Mardi 24 novembre 2009
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Climat : un laboratoire piraté à quelques jours du sommet de Copenhague
Par Guerric Poncet source LE POINT
L’unité de recherche sur le climat de l’université d’East Anglia a été victime d’un vol de données © University of East Anglia / CRU
Au centre de la polémique, des échanges sortis de leur contexte alimentent les débats avec plus ou moins de mauvaise foi. Par exemple, une phrase écrite par un chercheur laisse supposer que des résultats ont été trafiqués à l’aide d’une « astuce » pour cacher une divergence de résultats sur un diagramme. La lecture de la conversation complète montre qu’il s’agissait simplement de décider d’une façon de présenter les travaux pour tenir compte d’un problème connu, lié à l’étude de la croissance de certains arbres. Les résultats utilisés par le GIEC dans son rapport sont ceux de la CRU de l’université d’East Anglia. Dans une interview accordée au point.fr , Valérie Masson-Delmotte, directrice de recherche au CEA (auquel le Laboratoire des sciences du climat et l’environnement est affilié) et coauteur du rapport du GIEC, explique que le laboratoire britannique « est un des deux grands connus pour leur expertise, avec celui de la Nasa ». Les chercheurs américains sont, selon elle, arrivés à des résultats « extrêmement voisins », « à cinq centièmes de degrés près », les données météorologiques exploitées étant les mêmes.»
Climate Gate: le système de ‘Peer Review’ a été détourné par les alarmistes du réchauffement
Daté de 1996, les emails montrent que des scientifiques basés aux États-Unis et en Grande-Bretagne qualifient toute recherche offrant des points de vue alternatifs comme étant de la « désinformation », de « la fausse information » ou de la « merde » qui doit être gardée hors de portée du domaine public.
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=446&filename=1102687002.txt
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=1066&filename=1257532857.txt
Les emails comportent des discussions entre les scientifiques concernant leurs efforts pour s’assurer que les rapports du Panel Intergouvernemental de l’ONU sur le Changement Climatique incluent leur propre recherche et excluent les recherches des scientifiques dissidents.
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=419&filename=1089318616.txt
Dans un des emails, Phil Jones, directeur du Centre Climatologique d’East Anglia, rassure le climatologue Michael Mann de l’Université Penn State : « Nous les empêcherons d’entrer d’une façon ou d’une autre – même si nous devions pour cela redéfinir ce qu’est la « peer reviewed » littérature ! »
Peer Review littérature: dans les sujets scientifiques, chaque article est soumis à la critique d’un « peer » (un collègue) censé être expert en la matière, qui valide ou non la cohérence scientifique de l’article avant
parution)
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=419&filename=1089318616.txt
C’est une citation effrayante, étant donné que Jones et Mann, en tant que scientifiques du climat ont l’autorité de contrôler les publications et de déterminer si elles sont éligibles pour être publiées dans les journaux scientifiques.
Mann a même discuté sur la façon de détruire un journal qui avait publié des documents avec des vues contraires, indiquant à ses collègues qu’il a cru « que l’Edito du journal avait été hacké par quelques sceptiques » qui ont « manigancés un coup ».
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=295&filename=1047388489.txt
« Peut-être devrions-nous encourager nos collègues de la communauté de la recherche climatique à ne plus soumettre, ou citer d’articles de ce journal.
» a écrit Mann.
Dans d’autres emails, Tom Wigley, climatologue à l’Université Corporation pour la Recherche Atmosphérique (UCAR), a dit que le journal en question, « Climate Research », « encourage la publication de science de merde ‘afin de stimuler le débat’ ».
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=307&filename=1051190249.txt
Wigley a pris note que l’on devrait dire à l’éditeur de ce journal qu’il « est perçu » comme une véhicule de « fausse information », ajoutant que le mot « perçu » devrait être souligné car « que cela soit vrai ou pas, tout ce qui compte pour les éditeurs est la vision que porte la communauté sur leur journal. »
Wigley a également écrit qu’un groupe de 50 scientifiques ou plus pourrait être réunis pour joindre leurs noms à une lettre afin d’ajouter du poids à la réclamation et si tout va bien pour aider à évincer l’équipe éditoriale du journal.
D’autres emails montrent que certains scientifiques refusent de rendre leurs données disponibles aux scientifiques indépendants dont les vues sont opposées, preuve formelle que ces scientifiques sont tout simplement peu disposés à engager le débat scientifique – normalement un principe de base pour la communauté scientifique.
Le renommé climatologue, le Dr. Tim Ball résume les découvertes renversantes révélées par les fuites quant au processus de révision par les pairs et la publication de papiers sur le changement climatique dans les journaux :
http://www.youtube.com/watch?v=Ydo2Mwnwpac&feature=player_embedded
« Il y a un exemple typique du genre de chose qui m’ennuie. Il y a environ vingt ans, j’ai commencé à me demander ‘ Hé bien !!! pourquoi encouragent-ils le « peer review » ? ‘… Et maintenant, on réalise bien sûr maintenant que c’est parce qu’ils ont le contrôle de leur propre processus. Ceci est clairement exposé dans ces emails. »
« Sur une échelle globale, c’est effrayant, car ce groupe de personnes ne contrôle pas seulement le centre Hadley, qui contrôle les données sur la température globale à travers l’Unité de Recherches Climatologique de Hadley, mais ils contrôlent également l’IPCC et ils manipulent tout cela. Et bien sûr, l’IPCC est devenu la base dans tous les gouvernements, pour le protocole de Kyoto, le Traité de Copenhague etc etc…. »
Nous avons longtemps couvert le fait que le soi-disant « consensus scientifique » sur le réchauffement global est complètement fabriqué et qu’il y a des milliers de scientifiques qui ont des points de vue différents de ceux des théoriciens d’un réchauffement induit par l’homme.
En effet, depuis deux ans nous avons rapporté le fait qu’un sondage, sur plus de 500 « peer reviewed » publications de recherche scientifiques sur le changement climatique, écrites entre 2004 et 2007, a conclu que moins de la moitié de ces publications embrassent « la vue consensuelle, » que l’activité humaine est à l’origine d’un changement climatique global considérable.
http://infowars.net/articles/august2007/300807Warming.htm
Nous avons maintenant la preuve claire qu’un effort concerté a été fait par les scientifiques du climat liés à l’IPCC pour bloquer les opinions discordantes sur le changement climatique, indépendamment de leur mérite scientifique.
« C’est horrible, » a dit Pat Michaels, un climatologue au Cato Institute à Washington qui a été directement menacé de violence physique dans les emails. « C’est ce que tout le monde craignait. Au cours des précédentes années, il est devenu de plus en plus difficile pour quiconque qui ne voit pas le réchauffement global comme un problème majeur pour la survie de la terre, de publier des articles. Ce n’est pas une pratique acceptable, c’est non éthique. »
http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=1045&filename=1255100876.txt
John Christy, un scientifique à l’Université de l’Alabama à Huntsville, attaqué dans les emails pour avoir demandé qu’un rapport de l’IPCC incluent des points de vue discordants, a déclaré, « il est déconcertant de réaliser que les mesures législatives que cette nation se prépare à prendre, et qui coûteront des milliers de milliards de dollars, sont basées sur une vision du climat qui n’a pas été complètement scientifiquement testée. »
LA POSITION DE NOS AMIS GRECS VIS A VIS DE COPENHAGUE
….ET NOTRE REPONSE …… UNE MEME FACON DE VOIR LES CHOSES
ET DEUX STRATEGIES DIFFERENTES
LES AEROSOLS AERIENS NE SONT PAS LA BONNE REPONSE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES
ENOURANOIS MANIFESTANT A ATHENE A UNE CONFERENCE SUR LE CLIMAT EN DECEMBRE 2007(lien sur le titre)
REPONSE D’ACSEIPICA A ENOURANOIS
Chers amis
Nous adherons pleinement à votre excellente analyse exepté sur un point
Nous ce sont les cinq menbres de notre mouvements qui rejoindont le KLIMAFORUM qui est le forum populaire organisé par les associations sociales, pacifiques et environementalistes à cote du forum officiel organise par la conference sur le changement climatique de l’ONU.
Nous participerons au KLIMAFORUM du 10 au 12 decembre et menerons deux ateliers avec l’intitule suivant: « le battement d’aile du papillon: evolution naturelle du climat, manipulations climatiques et moyens energetiques de restaurer l’equilibre du climat »
Le probleme que nous rencontrons comme vous est qu’en fait même parmi les mouvements alter-mondialistes du climat l’on croit encore majoritairment au rôle dominant du CO2 dans les déreglements climatiques.
En fait nous apportons sensiblement le même message que vous c’est à dire que les dereglements climatiques sont dus principalement aux manipulations atmospheriques (c’est à dire à la geo-enginerie)
Bien sur nous pouvons dans la mesure du possible aider à retablir les equilibres climatiques avec l’utilisation d’outils energetiques tels que les orgonites mais il n’en reste pas moins que il n’y aura pas de guerison complete du climat sans la cessation des manipulations de la geo-enginerie y compris des manipulations frequentielles. CES MANIPULATIONS DOIVENT S’ARRETER CAR CES MANIPULATIONS SONT PORTEUSES DE L’EXTINCTION DE TOUTE VIE SUR TERRE ET POURTANT A CHAQUE FOIS QU’IL Y A UN LANGUAGE DE VERITE DANS CE DOMAINE C’EST UN RECUL POUR LE FUTUR MORTIFERE QU’ON NOUS PREPARE.Regardez avec de lien les declarations des survivants d’AUSCHWITZ!
http://www4.dr-rath-foundation.org/THE_FOUNDATION/relay_of_life/
Nous n’avons pas la pretention d’influencer le rapport final qui sera rendu au nom de tous les participants mais nous souhaitons simplement nous adresser à ceux qui ont des oreilles pour entendre que les declarations officielles sur le climat reposent sur trois mensonges:
-Le CO2 n’est pas la cause principale du rechauffement climatique
-la vapeur d’eau est la cause principale de l’effet de serre
-Les manipulations frequentielles du systeme HAARP dans l’ionisphere ont un effet non negligebles sur le climat et en particulier sur le climat au pole Nord car les reseaux d’antennes qui sont à la source de cela sont situées autours du pole Nord . Cela entraine la fonte des glaces et donc une evaporation importante qui à son tour genere de l’effet de serre .
J’esposerai les raisons atmospheriques à l’evolution naturelle du climat en mettant en evidence l’influence du rayonnement solaire et de ces cycles. D’apres ce point de vue la Terre est depuis deux ans en periode de refroidissement .D’autre part je mentionnerai les epandages aeriens et leur impact sur l’effet de serre additionnel.
Jacques de son côté nous entretiendra de la façon de restaurer l’harmonie de la santé et de l’environnement avec des outils energetiques guidés par notre conscience.
Nous irons à ce forum et nous verrons car avant d’atteindre le sommet le message doit se former à la base. Nous pensons qu’il n’y a pas d’action vaine et de meme votre manifestation à Athene etait un pas sur le chemin commun. Sentiments sinceres Claire HENRION
En ce qui me concerne j’ai un excellent contact avec ENOURANOIS et je pense que tot ou tard nous nous retrouverons pour construire l’unite europeenne de nos mouvements comme nous l’avons envisage ensembles PARTIE REMISE DONC et A BIENTOT Jacques CLERET