La Chine se lance dans un projet à grande échelle pour faire tomber la pluie à la demande [article + AUDIO 14mn de la RTS, 2018]

Une "rivière céleste" pour arroser artificiellement la Chine. Article + Audio 14mn de la RTS, 2018

Article du 23 mai 2018 de la RTS (Radio Télévision Suisse) : https://www.rts.ch/info/sciences-tech/9588188-une-riviere-celeste-pour-arroser-artificiellement-la-chine.html

Les Chinois lancent une expérience pour contrôler la météo / Tout un monde / 14 min. / le 23 mai 2018

La Chine se lance dans un projet à grande échelle pour faire tomber la pluie à la demande, sur une région aussi vaste que l’Europe de l’Ouest. Elle met sur pied la plus grande infrastructure au monde de ce genre.

Connu sous le nom de code « rivière céleste », ce projet expérimental pharaonique consiste à cultiver des nuages. Il s’agit de « semer » des microparticules très fines dans l’atmosphère.

Ces particules – de l’iodure d’argent – agissent comme un aimant, en attirant la condensation ou la vapeur d’eau, un peu comme un noyau qui rattacherait à lui des particules d’eau. Des milliards de particules d’eau sont ainsi accumulées dans l’atmosphère et forment des nuages et donc de la pluie.

Article complet et audio de la RTS ici: https://www.rts.ch/info/sciences-tech/9588188-une-riviere-celeste-pour-arroser-artificiellement-la-chine.html

Merci Patricia.

Le journal La Quotidienne de la Croissance en parle aussi le 16 mai 2018

Comment la Chine plie la météo à sa volonté
Etienne Henri

On croyait l’ingénierie climatique oubliée, passée directement des fantasmes des planificateurs centraux et des militaires aux films de science-fiction sans jamais faire vraiment irruption dans le monde réel ; la voilà qui revient.

L’ingénierie climatique, qui consiste à mettre en oeuvre des pratiques et installations humaines pour modifier globalement ou localement le climat, fait de nouveau parler d’elle.

Oubliez (officiellement) les raisons militaires et hostiles censées être proscrites par les Nations Unies depuis 1977 : en 2018, elle s’attache à rendre la vie des citoyens plus agréable et durable.

La Chine a annoncé il y a quelques semaines être en train d’installer un système capable de déclencher artificiellement des pluies sur le plateau tibétain.

Plusieurs centaines de millions de personnes dépendent aujourd’hui de rivières issues du Tibet pour subvenir à leurs besoins en eau, mais la région est en déficit hydrique chronique.

La fonte des glaciers ne pourra durer éternellement : le régime de Pékin s’inquiète par conséquent de voir nombre de cours d’eau de la région se tarir à moyen terme.

Pas question de faire l’autruche et de laisser ces territoires aller vers des sècheresses chroniques comme en Californie ou en Russie : la Chine a décidé de faire preuve de volontarisme et de plier le climat aux besoins humains.

Avec moi le déluge
Le Tibet fournit aujourd’hui plus d’eau qu’il n’en reçoit du ciel ? Les précipitations annuelles sont trop aléatoires pour faire grossir les glaciers de manière suffisante après leur fonte estivale ? Qu’à cela ne tienne : la région est régulièrement survolée par des masses d’air humide qui ne demandent qu’à se transformer en nuages de pluie.

Pékin prépare la construction de dizaines de milliers de chambres de combustion qui auront pour fonction de produire à la demande des vapeurs d’iodure d’argent.

Ce composé chimique, une fois emporté à haute altitude par le vent et les phénomènes de convection, permettra à l’humidité de l’air de se précipiter en nuages puis en pluie.

Comment la Chine plie la météo à sa volonté. Article de La Quotidienne de la Croissance, 18 mai 2018
Une chambre de combustion lors de sa mise en place par des techniciens

L’objectif est ambitieux : une fois le réseau de chambres de combustion installé, les précipitations supplémentaires devraient atteindre 10 milliards de m3 d’eau par an soit l’équivalent de la consommation de l’ensemble des Californiens ou 7% de la consommation totale de l’Empire du Milieu.

Les nouvelles technologies au service de la low-tech
La conception des brûleurs a été confiée à la China Aerospace Science and Technology Corporation. Si ce nom ne vous est pas familier, sachez que la CASC est le bras armé technologique de Pékin. Elle conçoit des vaisseaux spatiaux, des fusées, des équipements médicaux et autres missiles. En bref, tout ce qui nécessite un savoir-faire de pointe sur les matériaux, le spatial et les télécommunications en Chine passe par ses ingénieurs.

Malgré la relative simplicité des chambres de combustion, leur conception a été faite selon un cahier des charges particulièrement strict. Installation en milieu isolé et hostile oblige, chaque chambre de combustion se doit d’être robuste, fiable et relativement autonome.

La CASC a eu pour mission de concevoir des brûleurs capables d’être contrôlés par des signaux satellitaires, embarquant suffisamment de combustible pour pouvoir fonctionner durant plusieurs mois sans maintenance, le tout dans une enveloppe budgétaire inférieure à 10 000 $.

Il semblerait que le défi ait été relevé puisque Pékin annonce que les premiers prototypes sont désormais disponibles pour un coût d’environ 8 000 $ pièce.

Quand la réalité dépasse la (science) fiction
Ne pensez pas que ce projet soit une simple redite des fantasmes de géo-ingénierie des années 1970. Nous ne parlons pas de simples projections de scientifiques ou d’un effet d’annonce politique pour rassurer les populations locales : 500 chambres de combustions ont déjà été installées.

Fidèle à ses habitudes, le régime de Pékin mène ce projet à marche forcée et passe par une phase de test que l’on appellerait, dans nos contrées, un déploiement à grande échelle.

N’oublions pas que la Chine ne rechigne pas à modeler la planète à l’image de ses besoins. Lors de l’ouverture des Jeux Olympiques de 2008, l’ingénierie climatique avait été mise à contribution pour que les nuages de pluie se dispersent avant d’arriver sur les lieux de la cérémonie. S’il est envisageable de faire la pluie et le beau temps pour une simple compétition sportive, nul doute que l’approvisionnement en eau des populations locales justifiera les moyens les plus démesurés.

Reste une épineuse question : si les chambres fonctionnent aussi bien que le prévoient les scientifiques, et qu’elles parviennent effectivement à capturer 10 000 000 000 m3 par an de précipitations, quelles seront les conséquences pour les régions voisines — y compris les autres provinces chinoises ?

Les scientifiques ne disposent aujourd’hui d’aucun modèle pour prévoir l’impact d’un tel prélèvement d’humidité. De nouvelles zones arides pourraient se créer en aval du Tibet si le cheminement des masses de vapeur d’eau était interrompu.

Tout le travail fait pour mettre en adéquation la ressource hydrique avec la consommation pourrait paradoxalement conduire à plus de problèmes d’approvisionnement en eau dans le futur… et il n’existe aucun moyen de le savoir avec certitude avant de mettre en fonctionnement les brûleurs.

Plus compliqué encore, les effets négatifs pourraient être totalement absents lors des phases de test et ne devenir visibles que lors de l’utilisation simultanée des dizaines de milliers de chambres de combustion prévues — voire ne se manifester que des mois ou des années plus tard.

La géo-ingénierie du XXIème siècle, si elle a pu progresser sur les aspects techniques comme sur l’acceptation politique qui entoure son déploiement, reste une discipline jeune sur laquelle aucun recul n’est aujourd’hui possible.

La mise en place d’un dispositif de pluies artificielles à grande échelle ne peut donc que s’accompagner d’une prise de risque majeure pour les populations locales. Si un tel projet devait être envisagé en Europe, nul doute que le principe de précaution l’emporterait et le tuerait dans l’oeuf avant même la phase de test.

Aucun gouvernement occidental ne prendrait le risque de voir ses citoyens scruter avec inquiétude le ciel, les polluants émis par les chambres de combustion dans d’atmosphère et l’évolution des précipitations sur place et dans les zones annexes.

La construction du barrage des Trois-Gorges nous a montré que les projets les plus pharaoniques sont menés à bien lorsqu’ils bénéficient du soutien du régime de Pékin. Dépenser des milliards de yuans ou déplacer des populations n’est pas un problème lorsque l’intérêt général est en jeu. Que l’idée de faire tomber la pluie sur le Tibet soit bonne ou mauvaise, il y a de fortes chances qu’elle soit mise en oeuvre dans un futur proche.

Cinquante ans après l’utilisation militaire des chutes de pluie artificielles par les Américains, nous verrons la géo-ingénierie redevenir une réalité — en espérant que son usage s’avère, cette fois-ci, plus bénéfique à l’humanité.

Merci Guy.

Globalisme et guerre climatique – Pierre-Antoine Plaquevent

Globalisme et guerre climatique – Pierre-Antoine Plaquevent - strategika.fr

Dossier de Pierre-Antoine Plaquevent sur la réalité et l’utilisation des armes météorologiques

Dossier de 87 pages de Pierre-Antoine Plaquevent en vente pour 7 € sur strategika.fr: https://strategika.fr/2022/12/26/globalisme-et-guerre-climatique-pierre-antoine-plaquevent/

Plan du dossier : 87 pages – 60 pages + 27 pages documents annexes commentés et illustrations

  • Guerre hors limites et guerre climatique
  • Armes météorologiques et géo-ingénierie climatique
  • Histoire de l’action humaine sur la météo et le climat 
  • L’ensemencement de nuages : une pratique désormais largement répandue
  • Les armes météorologiques employées au Vietnam et ailleurs – L’interdiction théorique de leur emploi par l’ONU
  • Le projet Nile Blue et l’« embargo des pluies » contre Cuba
  • La modification des ouraganset la guerre géophysique
  • Institutionnalisation de la géo-ingénierie et gouvernance mondiale climatique
  • Contrôle climatique et suprématie stratégique globaliste à l’horizon 2025 
  • Annexes commentées et illustrations

Prix: 7 €, à commander sur le site de strategika.fr.

Contrôle du climat : la nouvelle stratégie de gouvernance mondiale ? avec Pierre-Antoine PLAQUEVENT [VIDEO, entretien 43mn]

https://odysee.com/@Roms17:d/Contr%C3%B4le-du-climat—la-nouvelle-strat%C3%A9gie-de-gouvernance-mondiale—avec-Pierre-Antoine-PLAQUEVENT:a

Contrôle du climat : la nouvelle stratégie de gouvernance mondiale ? avec Pierre-Antoine PLAQUEVENT
Entrevue avec Pierre-Antoine PLAQUEVENT [VIDEO 43mn]: https://odysee.com/@Roms17:d/Contr%C3%B4le-du-climat—la-nouvelle-strat%C3%A9gie-de-gouvernance-mondiale—avec-Pierre-Antoine-PLAQUEVENT:a
Merci OnNeNousDitPasTout

Si l’on considère que le critère axial du politique[14] est constitué par la désignation de l’ennemi, nous sommes ici confrontés à un ennemi qui se dérobe à notre prise ; car les globalistes politiques refusent de se présenter comme guidés par une volonté de puissance et de domination. Il n’existe dès lors selon nous qu’un seul moyen efficace pour identifier clairement l’ennemi mondialiste : analyser et scruter ses actions et ses méthodes pour comprendre (et peut-être anticiper) ses actions. C’est ce que nous faisons à nouveau dans cette étude avec la question de la guerre climatique comme nous l’avons précédemment fait avec celle du néo-malthusianisme, des « armes d’immigration massive », de la manipulation des droits de l’homme ou encore des « révolutions de couleurs ».

Nous allons voir qu’en matière de guerre climatique, comme pour les autres pans de l’action métapolitique globaliste, l’accusation de complotisme ne constitue qu’une façade bien fragile qui ne résiste pas à l’analyse. Cette diversion sémantique martelée de manière orwellienne, constitue l’habituelle barrière psychopolitique que les globalistes politiques tentent d’ériger entre le grand public et la réalité de l’existence des technologies de géo-ingénierie et de contrôle climatique.

Ces technologies relèvent pour nous de cette nouvelle norme sociopolitique qui accompagne la montée en puissance de la forme globalitaire (globaliste et totalitaire) : l’extension de la guerre à toutes choses et la fin de la limite, de la frontière, entre guerre et paix, entre civil et militaire, entre géopolitique et « métropolitique ».

https://strategika.fr/2022/12/26/globalisme-et-guerre-climatique-pierre-antoine-plaquevent/

Les chemtrails dans les média dominants

Notre ciel rayè. Rien à signaler.

Les avions diffusent-ils des produits chimiques à notre insu ?

France Culture Samedi 28 juillet 2018

Lien: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-idees-claires/les-avions-diffusent-ils-des-produits-chimiques-a-notre-insu-8807813 9mn21

Entrevue avec Olivier Boucher climatologue, directeur de recherche au CNRS.

  • traces de condensation, vapeur d’eau
  • si l’air est humide, les traces mettent plus de temps à partir
  • « je pense que ça existait avant »
  • « il n’y a aucune raison de penser que les traînées d’avion contiennent autre chose que de la vapeur d’eau »
  • ces traces ont un impact sur le climat

REMARQUES:
NOUS N’AVONS AUCUNE RAISON DE PENSER QUE CE QUE VOUS PENSEZ EST JUSTE ! FAITES DONC DES MESURES D’ALUMINIUM, DE BARYUM ET DE STRONTIUM dans ces traînées SVP !!!

Comment expliquez-vous l’augmentation énorme des taux d’aluminium dans l’eau de pluie ?

Avions supersoniques et géo-ingénierie solaire… Joue-t-on avec le feu dans la stratosphère ?

20minutes, publié le 27/09/23

Lien: https://www.youtube.com/watch?v=RCLfiUjgKhA


Chemtrails: l’UE donne des signes de vie mais n’a encore rien remarqué de troublant dans le ciel

2023. Chemtrails : l’UE appelle à des discussions mondiales sur les risques liés à la géo-ingénierie climatique

Article de France Soir publié le 27 juillet 2023

Refroidir la Terre pour freiner le réchauffement climatique ? Des techniques de géo-ingénierie suscitent l’intérêt des chercheurs mais préoccupent l’UE et l’ONU

Lien: https://edition.francesoir.fr/societe-environnement-science-tech/geo-ingenierie-pour-freiner-rechauffement-climatique-UE-ONU

Lelibrepenseur, 23 juillet 2023

Chemtrails : l’UE appelle à des discussions mondiales sur les risques liés à la géo-ingénierie climatique

Lien: https://www.lelibrepenseur.org/chemtrails-lue-appelle-a-des-discussions-mondiales-sur-les-risques-lies-a-la-geo-ingenierie-climatique/

Deux methodes d’ingénieurie solaire POTENTIELLES
(ca n’existe que dans votre imagination, arrêtez donc de croire vos yeux)

Article dans GEO publié le 16/09/2023

Miroirs géants dans le ciel, particules réfléchissantes : un panel international réclame un moratoire sur la géoingénierie solaire

Lien: https://www.geo.fr/environnement/miroirs-geants-dans-le-ciel-particules-reflechissantes-un-panel-international-reclame-un-moratoire-sur-la-geoingenierie-solaire-216660

Rappel: un papier de 1996 pose clairement que l’armée US contrôlera la météo en 2025 et explique les bénéfices d’augmenter la réflectivité de la ionosphère pour diverses applications.
https://www.acseipica.fr/weather-as-a-force-multiplier-owning-the-weather-in-2025/

« Pyrénées: Il pleut (et il neige) du plastique dans les montagnes de l’Ariège révèlent des scientifiques » article du 15 04 2019 dans « 20minutes »

Photo d'illustration de l'article "Pyrénées: Il pleut (et il neige) du plastique dans les montagnes de l'Ariège révèlent des scientifiques" article du 15 04 2019 dans "20minutes"

Des chercheurs ont retrouvé des particules de microplastique dans les pluies et neiges tombées dans un coin reculé des Pyrénées ariégeoises.

Lien vers l’article: https://www.20minutes.fr/planete/2497255-20190415-pyrenees-pleut-neige-plastique-montagnes-ariege-revelent-scientifiques

Article sur le meme sujet:

Pollution des lacs des Pyrénées : 141 molécules toxiques identifiées dans l’eau


Publié le 28/03/2022 à 18h00, Écrit par Lauriane Nembrot
Ici téléchargeable au format PDF.

Lac de Matemale - Pyrénées Orientales (Occitanie)
© MICHEL CLEMENTZ / MAXPPP
Lac de Matemale – Pyrénées Orientales (Occitanie)
© MICHEL CLEMENTZ / MAXPPP

Une centaine de produits chimiques vient d’être identifiée dans des eaux de montagne en Ariège et Haute-Garonne par des scientifiques installés à Toulouse. Cette pollution d’origine humaine a entraîné la disparition de planctons et serait potentiellement dangereuse pour l’Homme.


En 2016, Adeline Loyau et Dirk Schmeller, tous deux scientifiques au sein du laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse ont constaté que les planctons présents dans l’eau des lacs de la région mouraient de façon rapide et inexpliquée. Ils décident d’entamer des analyses pour évaluer la qualité des eaux et tenter de comprendre les raisons de cette mortalité.


Six ans après le début de leurs investigations, les deux chercheurs sont formels : l’eau des lacs est polluée. Un composé toxique complexe, qui résulte d’un mélange de plusieurs produits chimiques dans l’eau, empoisonne et menace l’écosystème.


En Occitanie, au moins quatre points d’eau sont concernés dont l’Ayès dans l’Ariège et le lac de Madamètte dans les Hautes-Pyrénées. Pesticides, herbicides, antiparasitaires : selon les scientifiques toulousains, c’est un véritable “cocktail” toxique qui pollue l’eau des lacs. Pour l’heure, les ils ignorent ses effets sur l’Homme.

« Tous les planctons sont morts”


Pour réaliser leur étude, les scientifiques ont placé des plaques en silicone dans l’eau. Changées toutes les huit semaines, ces plaques absorbent les composantes de l’eau avant d’être analysées par les scientifiques. “Le silicone permet d’imiter le gras des corps présents dans l’eau. C’est sur ce gras que viennent se poser les composés toxiques”, détaille Dirk Schmeller.


Lorsque l’on a une concentration très importante de toxicité dans l’eau, tous les planctons meurent Adeline Loyau, scientifique au laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse. Au cours de ces analyses, les scientifiques ont pu identifier les différents composés chimiques présents dans l’eau. “On s’est rendu compte que plus il y avait de produits chimiques, moins il y avait de planctons, d’algues et de crustacés”, assure Dirk Schmeller. “Lorsque l’on a une concentration très importante de toxicité dans l’eau, tous les planctons meurent”, renchérit Adeline Loyau.
La mortalité du plancton peut avoir des effets néfastes conséquents sur l’ensemble des écosystèmes naturels comme la prolifération d’algues toxiques dans l’eau, indiquent les scientifiques.

141 molécules toxiques différentes identifiées


Parmi les centaines de molécules identifiées au cours de cette étude et responsables de la
disparition de plancton par endroit, “141 sont confirmées toxiques”, selon les scientifiques. Une toxicité basse ou élevée qui menace d’abord la survie des planctons dans l’eau.
Ce mélange, on ne sait pas ce que ça peut donner sur l’Homme, Dirk Schmeller, scientifique au laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse.


D’après l’étude, la présence de toutes ces molécules dans l’eau pourrait aussi avoir des effets sur l’Homme. “Personne n’a connaissance d’effets que peuvent avoir toutes ces substances sur les animaux ni sur nous. Quels genres de maladies cela peut provoquer ?” interrogent les scientifiques. Impossible, pour l’heure, de le savoir avec précision. “Quand les fabricants de ces molécules créent les produits, ils font une analyse des molécules toxiques de façon indépendante. Ils analysent molécule par molécule.”, indique Adeline Loyau. “Ce mélange, on ne sait pas ce que ça peut donner sur l’Homme”, alerte Dirk Schmeller.

L’activité humaine pointée du doigt


Comment ces 141 composés chimiques toxiques ont pu se retrouver dans l’eau des montagnes ?
Selon Dirk Schmeller et Adeline Loyau, l’activité et la présence de l’Homme dans les montagnes est à l’origine de cette pollution. “On a pu identifier de la perméthrine, un antiparasitaire que l’on trouve dans les colliers anti puce des chiens, des pesticides que les fermiers utilisent pour protéger les bétails, des insecticides que les randonneurs pulvérisent sur eux avant d’aller en montagne”, listent les cientifiques.

Le lac de Gaube, dans les Pyrénées
Marie Martin/FTV
Le lac de Gaube, dans les Pyrénées
Marie Martin/FTV

Si la pollution durable des eaux des lacs est avérée, les scientifiques indiquent qu’il n’existe aucun moyen de la contrecarrer. “Il n’est pas possible de nettoyer cette eau, on prendrait le risque de détruire complètement l’écosystème des lacs”, avertit Adeline Loyau. “On peut espérer que les gens arrêtent d’utiliser des produits chimiques et on essaie de faire de la sensibilisation à ce sujet”, explique Dirk Schmeller. À la tête de la chaire AXA écologie fonctionnelle des montagnes, il tente notamment d’alerter sur la fragilité des écosystèmes.

« Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques » article du journal Le Monde 05.09.2023

photo illustrant l'article du journal Le Monde "Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques"

Lien vers l’article : Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques

Remarques:

Il convient de prendre les propos du Monde avec une certaine prudence, considérant les éléments de contexte suivant:

1) chacun pourra se forger une opinion sur le sérieux des informations diffusées par ce journal à la lecture de l’article https://nouveau-monde.ca/dossier-la-verite-enfin-revelee-sur-le-11-septembre-2001/ qui se réfère richement à
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/09/11/11-septembre-les-huit-principales-theories-du-complot-decortiquees_6094267_4355770.html
.

2) Xavier Niel en est le principal actionnaire
3) Le Monde a reçu des financements importants de la Bill & Melinda Foundation

4) Le Monde s’autoproclame détenteur de LA vérité universelle avec sa section « les décodeurs », investie par la mission de nous imposer ce que nous devons voir et penser (voir l’expérience de Asch).

Géo-ingénierie : Huit États américains utilisent l’ensemencement des nuages

Géo­-ingénierie : Huit États américains utilisent désormais une technique appelée « ensemencement des nuages » pour encourager la formation de nuages et fournir aux régions frappées par la sécheresse, l’eau dont elles ont tant besoin.

Les mots sont des armes

Maria Heibel 

Article paru dans NoGeoingegneria en décembre 2014

traduction Monique Fontana

https://www.nogeoingegneria.com/motivazioni/sociale/la-parola-come-arma-le-scie-chimiche/

«Concentrez-vous sur leur sens, et les mots trouveront d’eux-mêmes leur place»

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Les mots peuvent ouvrir des fenêtres, ou dresser des murs. Pour communiquer de façon efficace, il faut transmettre un contenu, des idées, des concepts, faire part d’événements, en utilisant les termes appropriés. Selon le langage utilisé, on peut attirer l’attention et faciliter la compréhension. Chaque mot a sa signification, est une « unité logique d’information » et met en valeur une question ou un problème.

Cette brève introduction est indispensable si nous voulons examiner un terme qui s’est répandu jusqu’à prendre une dimension stratégique ; un stratège démontre qu’il en est conscient en faisant une description délibérément vague d’un certain phénomène : « Je ne sais pas de quoi il s’agit, je ne sais pas si ça peut aider. Je me pose la question suivante : comment se fait-il que ces types soient là et qu’ils le refassent avec une fréquence quasi bestiale … cette chose est là tous les jours … » a déclaré le Général Fabio MINI, parlant des traînées que des avions épandent dans le ciel: des traînées de condensation longues ou courtes, fines ou massives, qui prennent les formes et les couleurs les plus variées, et que nous n’avons jamais vues par le passé. Que faire d’autre que de nous poser des questions au sujet de « cette chose » dans le ciel. Alors, que sont donc ces « contrails », ces traînées de condensation dans le ciel ?

« C’est simplement de la vapeur d’eau, ce sont des traînées de condensation  tout à fait normales », nous assurent ceux qui sont censés savoir. Mais ceux qui ne leur font pas confiance parlent de « chemtrails », de traînées chimiques, un terme qui est devenu endémique dans le monde entier, qui a pris la dimension d’un mot clé. Oui, mais ces mots clés ont une double fonction : on peut les utiliser pour libérer ou pour emprisonner. Et quelle est la fonction dans ce cas précis ? De qui ou de quoi s’agit-il ? Quelle intention l’inventeur de ce terme avait-il en tête ? La composition du mot est-elle tout à fait fortuite ? Car il s’est propagé immédiatement comme un virus. Joue-t-il vraiment le rôle efficace et adéquat d’un messager ?

Mais partons de là : Que veut dire l’expression « chemical trail » ?

 

A « wake », un sillage, est ce que vous laissez derrière vous. Le terme : « composé chimique » (chemical composition) peut décrire un état naturel ou artificiel. Depuis des années le débat tourne autour de cette question essentielle : les traînées que nous voyons dans le ciel sont-elles des « contrails » ou des « chemtrails » ? des traînées de condensation ou des traînées chimiques ? La communauté scientifique définit les « contrails » comme des traînées ou nuages de cristaux de glace. Cependant certains des scientifiques qui alimentent le débat, affirment que, du point de vue linguistique, cette distinction n’a pas de sens. En fait …

Toutes les traînées d’avions sont des « chemtrails » !

La combustion du carburant dans les moteurs d’avions est une réaction chimique. C’est à dire le passage d’une substance d’un état liquide à un état gazeux, qui se transforme en vapeur sous certaines conditions et forme une traînée visible. Les traînées de condensation  sont donc véritablement des « traînées chimiques » ! Alors quoi ? Sont-elles bonnes ou mauvaises ?

Tous ceux qui utilisent le terme « chemtrails » pour dénoncer ces sillages anormaux, lui donne une valeur négative, utilisant le mot « chimique » comme un synonyme de toxique, empoisonné, nocif. Mais il est évident que les réactions chimiques ne sont pas toutes toxiques. Alors dans quel but mettre les deux termes en opposition, opposition qui est créée et voulue, et basée sur une expression géniale ? Qui donc a intérêt à ce que le débat concernant la manipulation climatique (manipulation en cours depuis des décennies), soit réduit à une chamaille stérile pour ou contre l’innocuité ou la malignité des traînées de condensation (contrails).

Au regard des résultats obtenus après des années de discussions, ne voir dans les contrails/chemtrails que d’« insignifiantes traînées dans le sillage » des avions, pourrait être jugé comme une opération de marketing particulièrement réussie. Tout le monde aujourd’hui, ou presque, voit dans le ciel des traînées de condensation (contrails) on ne peut plus normales, qui l’embellissent et que beaucoup qualifient de « magnifiques ». Voyez les innombrables photos et vidéos sur internet.

« Magnifique coucher de soleil »

Depuis fort longtemps, on a laissé s’engager dans le débat des factions opposées (créées ou non à dessein?). Les tenants des « théories de la conspiration » disent que les traînées ne sont PAS naturelles, ne sont PAS  inoffensives et sont précisément des « chemtrails », ce terme impliquant le fait que ce sont des traînées de condensation « maléfiques ». Une grande majorité des scientifiques reconnus, certains hommes politiques et les détracteurs répliquent : les traînées de condensation sont normales, elles sont sans danger, ce sont des « contrails », en bref elles sont « bonnes ».

Si on analyse ces affirmations, on en arrive à penser que le débat est aussi fallacieux que la définition, fallacieux et tout simplement erroné.

Au-delà des composés des traînées de condensation en question, ce que nous voyons dans le ciel n’est A  AUCUN  MOMENT un fait sans danger.  Les traînées de condensation des avions ne sont PAS sans danger.  Les résidus de la combustion du carburant que les avions rejettent, souillent l’atmosphère et interviennent sur le climat de multiples façons. La multiplication des transports aériens qui s’est accélérée ces dernières années, suite à la prolifération des compagnies aériennes à bas prix (low cost), affecte la plupart des pays et augmente de façon exponentielle. Les appareils pour autant que je sache, ne consomment pas de l’eau ! Ils consomment  du kérosène, un carburant fossile. Guy Dauncey et Patrick Mazza expliquent : « Les avions commerciaux génèrent 600 millions de tonnes de CO2 par an. Ils libèrent de l’oxyde d’azote directement dans la troposphère (la partie inférieure de l’atmosphère, là où se produisent les phénomènes météorologiques). C’est là qu’ils oxydent l’ozone troposphérique qui, à cette altitude, agit comme un puissant gaz à effet de serre ». (1)

Les traînées de condensation très denses provoquent la formation de cirrus et bloquent la chaleur au niveau de l’atmosphère. En 1999, le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), exprimait de nouveau son inquiétude au sujet des gaz émis par le trafic aérien. Curieusement, pourtant, ce trafic a été dispensé de tout protocole (Kyoto) et des statistiques gouvernementales. Le ciel demeure un espace libre de toute contrainte, et tout particulièrement pour les militaires.

Le terme de « chemtrails », cependant, n’est pas utilisé pour les émissions habituelles du trafic aérien (qui sont un effet secondaire), mais ce que nous voulons mettre en accusation, ce sont les émissions délibérées de substances dangereuses.

D’où vient le terme « chemtrails» et quand est-il apparu ?

 

C’est dans le langage militaire que le terme « chemtrails » (contraction de « chemical trails », traînées chimiques) a fait sa première apparition. En 1990, il y avait un cours intitulé  « chemtrails », à l’Académie des Forces Aériennes des Etats Unis – Département de Chimie USAFA. Le texte de ce document ne donne pas d’explications pour le choix de ce mot, clairement souligné sur la page de couverture. On dit que le terme « chemtrails » a été utilisé pour la première fois par le journaliste d’investigation William Thomas en 1999. Des traces fréquentes et de plus en plus persistantes ont commencé à alarmer les citoyens américains et canadiens en 1998, et Thomas, spécialiste de la publication de nouvelles non divulguées par la presse officielle, était du nombre. Pendant et après la guerre du Golfe, il était en service à Bahraïn, en Arabie Saoudite et au Koweït comme membre d’une équipe des situations d’urgence environnementale. Il est l’auteur de plusieurs livres, certains au sujet des téléphones mobiles et autres dangers électromagnétiques.

En 1998, le terme de « chemtrails » n’avait pas encore était mentionné publiquement et s’il est vrai que William Thomas a été le premier à utiliser cette définition, il faut noter qu’un article de janvier 1999, dont il est l’auteur, ne comporte aucune mention  du terme. Cet article titrait : « Contrails: les poisons nous tombent du ciel ». Immédiatement après la publication de ce texte, Thomas fut interviewé à plusieurs reprises sur la chaîne radio Art Bell Radio par son fondateur et animateur William Arthur Bell, la première fois en Février, puis de nouveau en mars 1999. L’émission obtint l’écoute de 15 millions d’auditeurs.

William Arthur Bell III mérite une attention toute particulière. Fils de Arthur Bell junior II, Capitaine du Corps de Marine US, et de Jane Bell, instructeur dans la Marine, Bell III, après avoir quitté l’armée, a vécu à Okinawa, une île japonaise connue pour la présence de bases américaines sur 18 % de son territoire. Il a travaillé comme disque-jockey pour KSBK, l’unique station de radio non-militaire en anglais, au Japon. C’est grâce au radiodiffuseur Bell, bien connu pour ses émissions sur les faits paranormaux et les sujets traitant de complot que le terme « chemtrails » s’est répandu comme une traînée de poudre.

Très vite, d’autres pays ont suivi en diffusant des émissions sur les « contrails dans le ciel ». L’augmentation rapide et graduelle des traînées persistantes sur l’ensemble du globe a été accompagnée par la diffusion de programmes identiques à ceux de Art Bell Radio, insérant chaque fois le thème des traînées de condensation dans un contexte de « mystères paranormaux et de complot. » Grâce au soutien particulier des médias de masse, on a pu contrôler la diffusion d’un terme sans histoire, parce qu’il introduisait des éléments faciles à discréditer.

Le terme « chemtrails » : de quoi s’agit-il ?

On utilise ce terme comme mot-clé pour repérer ceux qui sont impliqués dans la question des « traînées de condensation dans le ciel ». Il sert à créer un ghetto. Ce terme n’est pas officiel, il n’a pas d’histoire ou de références, il est en quelque sorte « répulsif » et n’aide pas à créer des liens entre les différents mouvements. Ce qui se passe dans le ciel est significatif dans beaucoup de domaines : la météo, le changement climatique, l’agriculture, les OGM, la gestion de l’eau (ensemencement des nuages et digues), la géologie, la science nucléaire, la protection de la biodiversité, la pollution de l’air (les particules fines et la pollution électromagnétique), les maladies environnementales, la gestion des catastrophes naturelles, la militarisation … en fait, pour tous les groupes ou mouvements qui luttent pour résoudre des questions connectées d’une façon ou d’une autre avec l’atmosphère terrestre.

 

Dans tous ces domaines on utilise, sans exception, des termes dont le sens étymologique est clair et sans équivoque. A l’inverse d’une organisation dont le but est de lever des fonds, une organisation aux prises avec les « chemtrails » qui utilise un terme dont l’origine incertaine est teintée d’une signification très particulière, se voit immédiatement disqualifiée. C’est un mot qui tend à créer des blocages. Le simple fait de le prononcer dresse immédiatement un mur. Il a un arrière-goût de bêtise et d’imbécillité.

Les « chemtrails » : un « phénomène » de persuasion

 

Les médias ont montré son pouvoir de persuasion habituel et ont réussi à développer autour de ceux qui, à différents niveaux, utilisent cette expression, une aura particulière. La réaction est quasi automatique : « c’est une conspiration brandie par des ignorants et des paranoïaques ».

Si les activistes ont tant de mal à trouver des plates-formes appropriées pour présenter des analyses et des documents en termes corrects, cela est dû bien sûr à l’engagement massif de campagnes de dénigrement à tous les niveaux, mais aussi tout particulièrement à un véritable mur de plomb entretenu par ce terme rédhibitoire et à la curieuse obstination des activistes qui utilisent ce terme controversé comme s’il n’en existait aucun de plus exact et de plus crédible.

L’expression « chemical trail » est-elle vraiment un bon outil, un terme ingénieux qui aide à informer et à éduquer les gens ?

NON, décidément non.

L’introduction du terme « chemtrails » a une saveur de « PSYOPS » (action psychologique), utilisée comme appât et comme piège.

Une chose est sûre, le terme « chemical trail » (traînée chimique) n’ouvre pas les tiroirs de documents, ne facilite pas la recherche des brevets et rapports militaires qui ont une assise légale et scientifique. L’usage de ce terme n’ouvrira pas les yeux et n’éclaircira pas les idées de qui que ce soit, mais construira une cage confortable pour ceux qui se contentent de simplifications.

Mais quels sont les termes corrects qui nous « ouvrent le ciel » ?

L’expression officielle qui recouvre les concepts de : « modification climatique délibérée » ou de « géo-ingénierie stratosphérique » est la géo-ingénierie des aérosols stratosphériques, en abrégé : SAG.

La dispersion d’aérosols dans l’atmosphère par avion, a une longue histoire.

Dans les années 1950 par exemple, il y a eu l’Opération LAC (Large Area Coverage – couverture d’une grande étendue), opération de dispersion aérienne de poudre de sulfure de zinc et de cadmium, à grande échelle, sur les Etats Unis d’Amérique et le Canada.

En plus des largages de substances par avion, on utilise aussi des fusées pour projeter des substances dans l’atmosphère. Un exemple particulièrement impressionnant est celui de 1963, quand l’Armée de l’Air américaine a lancé une fusée, créant autour de la planète un anneau formé de minuscules aiguilles de cuivre (dipôles). Ils voulaient ainsi établir un champ magnétique artificiel pour la transmission des ondes radio.

Les années de rêves délirants de Teller et de Wood, marquées par les expérimentations atomiques (plus de 2200 explosions au sol et des centaines dans l’atmosphère), ont marqué le début de la manipulation délibérée de la planète,  et particulièrement de l’atmosphère terrestre.

Le terme « épandage aérien » ouvre un nouveau chapitre. La plupart du temps ces actions ne sont pas dévoilées au public et restent semi-clandestines, mais les militaires ont leurs raisons pour agir de la sorte. Albert Gore, le père de Al Gore vainqueur du prix Nobel de la paix, a incité le Congrès américain en 1951, à créer une zone tampon avec du plutonium dégradé. Les conseillers américains ont examiné la suggestion du député de pulvériser du plutonium radioactif retraité pour former une « ceinture mortelle » au-dessus de la Corée.

En « ensemençant les nuages » par avion ou avec des fusées, on peut détruire ou créer de nouveaux nuages, on peut faire pleuvoir ou neiger, prévenir ou susciter des tempêtes de grêle, manipuler les courants, les orages, les ouragans, etc. En Italie et dans de nombreux autres pays, ce type d’expérimentations a débuté dans les années 1940.

Les « contrails » et les cirrus font l’objet d’études de la part des agences et des instituts gouvernementaux. Ils disent que les « simples traînées de condensation » sont un gros problème. Et la NASA déclare que les nuages créés par les tuyaux d’échappement des avions peuvent réchauffer le climat des Etats Unis. Comment réagissons-nous devant ces affirmations de nuages inoffensifs ?

Les chercheurs et les scientifiques les plus en vue parlent de nuages artificiels.

Depuis des décennies, la « nucléation de la glace artificielle » est utilisée pour manipuler le climat : manipulations du brouillard, de la neige, de la pluie, qui se sont accompagnées de dommages collatéraux et de dévastations.

Les expressions « CHAFF » (l’ivraie), nuages de plasma, nuages d’ondes, nuages bizarres, dévoilent de nouveaux champs de manipulation climatique.

Le blanchiment de nuages / ou du ciel signale que la géo-ingénierie projette de pulvériser (« tirer ») des particules dans la stratosphère. Les experts nous avertissent que le bleu du ciel n’est plus aussi profond qu’autrefois. (3)

 

Bien sûr, l’anglais est la langue la plus utilisée dans les brevets et les rapports.

 

La puissance des mots

 

Pour découvrir la nature exacte des expérimentations qui se déroulent dans le ciel, il est essentiel d’utiliser des mots précis.   

Les opérations entreprises de façon permanente, utilisent de multiples outils et ont de multiples objectifs, comme le montrent les exemples cités. La première règle à observer est d’EMPLOYER  LES  TERMES  EXACTS  et  ETRE CLAIR. Les mots précis fournissent une information rigoureuse et apportent des outils pour la compréhension et l’action.

On ne peut débattre avec les experts des différents domaines impliqués (et ils sont nombreux), que si on utilise la terminologie adéquate. Les entrées illégales et dangereuses dans notre écosphère sont nombreuses dans beaucoup de domaines. Le fait de construire des ponts et de trouver les connections qui relient ceux qui travaillent sur ces problèmes, permet d’échapper à cette ambiance de folie et pourra éventuellement arrêter un véritable « écocide ». Les mots sont importants. Le choix du vocabulaire utilisé est crucial. Il s’agit d’un choix stratégique qui « détermine le positionnement » du sujet en question. Les spécialistes des mass media le savent et ils savent très bien qui a tout intérêt à ce que le problème soit relégué dans la sphère de la « conspiration ».

Nous sommes enfermés dans la cage de nos mots, de ceux que nous utilisons et de ceux que nous omettons d’utiliser.

Seuls les mots justes nous offrent des clés.    

Le député des Hautes Alpes, Joël Giraud, interpelle le ministère de l’Ecologie à propos des « chemtrails  » et de la géoingéniérie

Question écrite du député des Hautes Alpes, Joël Giraud

En date du 12 novembre 2013, adressée au Ministère de l’Écologie, du développement durable et de l’énergie

Sur le site de l’Assemblée Nationale

http://recherche.assemblee-nationale.fr/questions/out/S46/BEMFDKHROYVOKUR1Y84.pdf

Texte de la question

M. Joël Giraud attire l’attention de M. le ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie sur les phénomènes de « chemtrails » et la géo-ingéniérie. Un certain nombre d’articles sont parus dans des revues scientifiques spécialisées ayant trait aux « mystérieuses traînées dans le ciel » plus connues sous le nom de « chemtrails ». Plus récemment, la Conférence du collectif « skyguards » qui s’est tenu à Bruxelles le 9 avril 2013 a rendu ses conclusions et a présenté au Parlement européen une pétition afin de faire cesser les épandages aériens clandestins dans le ciel. La géo-ingénierie qui comprend les interventions délibérées à large échelle visant à modifier le climat pour limiter le réchauffement climatique a des effets dévastateurs. Des milliers de témoins peuvent dénoncer des traînées d’avions dans le ciel qui se développent d’un horizon à l’autre, s’élargissent et fusionnent jusqu’à couvrir le ciel d’un nuage artificiel. En effet officiellement ces traînées sont considérées comme des traces de condensation laissées par les avions mais les scientifiques qui ont étudié la question mettent en avant le fait que les traces de condensation sont identifiables à des altitudes élevées de l’ordre de 10 000 mètres et que celles-ci se résorbent rapidement alors que les chemtrails apparaissent à des altitudes plus basses entre 2 000 et 5 000 mètres et s’estompent très lentement. Certains émettent l’hypothèse qu’il s’agirait là d’épandage de produits chimiques provoquant d’ailleurs des maladies respiratoires chez les populations survolées et que les appareils concernés sont des avions militaires sans aucune identification
possible, écartant ainsi la piste des appareils civils qui ne seraient donc pas concernés par ces traces. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire savoir si des études ont été diligentées par le Gouvernement afin d’apporter des réponses précises aux questions légitimement posées.

  • C’est la deuxième fois qu’un de nos députés pose une question écrite sur ce sujet.  

Voici la réponse, publiée le 29 avril 2014

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-42050QE.htm

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-7016QE.htm

A la suite de quoi, M Joël Giraud a été interviewé sur Street Press par Robin d’Angelo

https://www.streetpress.com/sujet/116812-le-depute-qui-voulait-savoir-pourquoi-il-y-a-des-nuages-dans-le-ciel

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