CANADA: peu de preuves appuient le discours sur l’augmentation des incendies de forêt, des sécheresses et des ouragans au Canada, d’après un rapport de l’Institut Fraser

Article de MATTHEW HORWOOD sur www.epochtimes.fr, Peu de preuves appuient le discours sur l’augmentation des incendies de forêt, des sécheresses et des ouragans au Canada, d’après un rapport de l’Institut Fraser

« De nombreux types de phénomènes météorologiques extrêmes ne montrent aucun signe d’augmentation et, dans certains cas, ils sont en diminution »

Rapport de l’Institut Fraser du 18 avril intitulé Extreme Weather and Climate Change (phénomènes météorologiques extrêmes et changement climatique)

Un nouveau rapport de l’Institut Fraser met en doute les affirmations selon lesquelles les phénomènes météorologiques extrêmes sont de plus en plus fréquents, estimant que les dires des gouvernements et des médias ne sont pas « irréfutables ».

« De nombreux types de phénomènes météorologiques extrêmes ne montrent aucun signe d’augmentation et, dans certains cas, ils sont en diminution » peut-on lire dans le rapport du 18 avril intitulé Extreme Weather and Climate Change (phénomènes météorologiques extrêmes et changement climatique).

Le rapport met en garde contre le fait que les gouvernements ont adopté des « réglementations de plus en plus restrictives » à l’égard des consommateurs de produits énergétiques canadiens, sur la base d’affirmations dont la véracité n’a pas été prouvée, ce qui a eu des répercussions en matière de coûts sur l’économie canadienne et sur le niveau de vie des citoyens.

« Les allégations concernant les conditions météorologiques extrêmes ne devraient pas servir de base pour s’engager dans des régimes réglementaires à long terme qui nuiront au niveau de vie actuel des Canadiens et aggraveront la situation des générations futures », indique le rapport.

Les auteurs s’inquiètent également du fait que les dirigeants mondiaux utilisent des « affirmations extraordinaires » sur le climat de la Terre pour justifier des actions qui réduiront le niveau de vie, telles que l’abandon du capitalisme et l’élimination des combustibles fossiles. Selon eux, le capitalisme et les combustibles fossiles ont permis à l’homme de se libérer du travail manuel dans l’agriculture, de développer des technologies conduisant à une plus grande longévité et à une réduction de la mortalité infantile, et de participer à la démocratie.

Ces évolutions sont « vraiment extraordinaires », affirme le rapport, avant de se demander s’il existe « des preuves extraordinaires correspondantes pour étayer l’affirmation selon laquelle le changement climatique est si grave et s’aggrave encore » qu’il justifie des « actions extraordinaires » telles que celles qui sont entreprises.

Analyse des allégations relatives aux phénomènes météorologiques extrêmes

Le rapport ne s’oppose pas aux affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies selon lesquelles la Terre se réchauffe depuis les années 1950, qualifiant cette évaluation de « largement acceptée comme reflétant fidèlement la réalité ». En revanche, il conteste les affirmations selon lesquelles les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les inondations, les ouragans, les sécheresses et les incendies de forêt sont devenus plus fréquents.

Alors que le groupe d’experts de l’ONU affirme avec une confiance moyenne qu’il y a eu une certaine augmentation des conditions météorologiques propices aux incendies (« Fire weather ») dans « certaines régions » depuis 1950, le rapport de l’Institut Fraser affirme que les données ne montrent pas de tendance claire à l’augmentation de la fréquence ou de l’intensité des incendies. Il ajoute qu’au Canada, le nombre et la taille des incendies de forêt ont diminué entre les années 1950 et aujourd’hui.

Le rapport n’inclut pas les données de 2023, année où le Canada a connu sa saison d’incendies de forêt la plus destructrice de l’histoire récente, avec 18,4 millions d’hectares brûlés par rapport à la moyenne décennale de 2,5 millions d’hectares. Le gouvernement fédéral a attribué cette saison destructrice au changement climatique, le premier ministre Justin Trudeau affirmant dans un message sur X que le Canada voyait « de plus en plus de ces incendies à cause du changement climatique ».

En ce qui concerne les sécheresses, l’Institut Fraser souligne que le GIEC a une « confiance moyenne » dans l’augmentation du nombre de sécheresses. Les preuves sous-jacentes à ces affirmations sont « clairement mixtes et incohérentes », indique le rapport, citant les données de l’Agence internationale de l’énergie de 2021 qui suggèrent que la gravité des sécheresses au Canada entre 2000 et 2020 n’était que légèrement supérieure à la moyenne mondiale.

Alors que le GIEC affirme que les inondations ont « probablement » augmenté depuis 1950, le rapport indique que les tendances montrent une « grande variabilité régionale et l’absence de signification statistique globale d’une diminution ou d’une augmentation sur l’ensemble du globe ». Il cite également le rapport du Canada sur le changement climatique de 2019, qui indique qu’il ne semble pas y avoir de « tendances décelables dans les précipitations extrêmes de courte durée au Canada pour l’ensemble du pays ».

En ce qui concerne les ouragans, les tornades et les cyclones, le rapport reconnaît que le GIEC « suggère qu’il y a probablement une augmentation de certaines caractéristiques des cyclones tropicaux ». Mais les preuves que ces phénomènes deviennent plus fréquents ou qu’ils sont causés par les activités humaines « contredisent le récit du GIEC ou ne révèlent aucune tendance dans les données », souligne le rapport.


🎬 »Notre ciel était une pagaille toxique blanchie, ce n’est ni normal ni sain »

La journaliste Sonia Poulton sur TNT demande s'interroge sur le ciel de Grande-Bretagne "ce n’est ni normal ni sain "
Sonia Poulton sur TNT, avril 2024, décrit le ciel pollué de Grande Bretagne et demande des explications. Video de 4 mn avec sous-titres en francais.

Que se passe-t-il dans nos cieux ?

« Notre ciel était une pagaille toxique blanchie »

« Je sais que ce n’est ni normal ni sain »

Bravo à la journaliste britannique Sonia Poulton

Enfin un journaliste/animateur de radio avec un peu de bravoure et d’intégrité pour discuter de ce qui devrait être la «conspiration» la plus évidente de l’histoire de toutes les conspirations. Il y en a beaucoup.

Cela devrait être la plus grande préoccupation de tout le monde en ce moment.

Regardez et jugez par vous-même.

Source: Black Bond PTV, canal Telegram https://t.me/StoryOfBlackBond/27491
J’ai repris exactement le texte. Merci à lui et à la personne qui a mis les sous-titres 🌸


New Hampshire : projet de loi contre la géo-ingénierie !

Article transmis par mail par Patrick, Avril 2024. Merci !

Les Républicains du New Hampshire présentent un projet de loi contre la géo-ingénierie !

😃(Les chemtrails ne sont plus une théorie du complot !)

Le « Clean Atmosphere Preservation Act » (HB 1700) a été introduit dans le New Hampshire : 

« Une loi interdisant la libération intentionnelle d’émissions polluantes, y compris l’ensemencement des nuages, la modification météorologique, les fréquences électromagnétiques excessives et les rayonnements micro-ondes, et prévoyant des sanctions en cas de violation de cette interdiction. » 

« Le tribunal général estime que de nombreuses activités atmosphériques telles que la modification des conditions météorologiques, l’injection d’aérosols stratosphériques (SAI), la modification du rayonnement solaire (SRM) et d’autres formes de géo-ingénierie, impliquant le rejet intentionnel d’émissions polluantes, nuisent à la santé et à la sécurité humaines, à l’environnement, à l’agriculture, à la faune et à la flore, à l’aviation, à la sécurité de l’État et à l’économie de l’État du New Hampshire.

Le tribunal général a donc l’intention d’interdire la géo-ingénierie SAI et les autres activités intentionnellement polluantes dans l’atmosphère du New Hampshire ».

https://legiscan.com/NH/text/HB1700/id/2865234

https://vk.com/video634041650_456240468?list=23cc903ffd78cfaf62

https://vk.com/video634041650_456240466?list=ea882a7730dd669175

1. Certains pensent que les chemtrails sont une théorie du Complot. Bah voyons, toujours pareil, ils ne savent rien, cela dérange leur compréhension, donc c’est une théorie du complot. Et celle-ci est pourtant débattue publiquement aux Nations-Unies. Ne pas savoir ne vous donne pas le droit de critiquer ceux qui cherchent à savoir. Voilà un extrait: https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f/chemtrails:e6

2. L’Espagne admet non seulement l’utilsation de « Biocides » via chemtrails pour lutter contre le …Covid mais aussi la pulvérisation toujours par chemtrails, de pesticides… Déjà en 2015, le député européen Ramon Tremosa a annoncé au Parlement européen que quatre travailleurs de l’Agence météorologique nationale avaient avoué que l’Espagne était entièrement pulvérisée par des avions qui répandaient du dioxyde de plomb dans l’atmosphère, iodure d’argent et diatomite. L’objectif, selon le même eurodéputé, serait de conjurer les pluies et de laisser remonter les températures, ce qui crée un environnement climatique estival pour le tourisme… https://www.fscnewsmedia.com/post/spain-has-admitted-to-spraying-lethal-pesticides-under-chemtrail-program

3. Même le journal Le Monde est obligé d’en parler https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/05/29/climat-certaines-des-technologies-envisagees-pour-maintenir-habitable-la-terre-relevent-du-cauchemar_6128066_3232.html

4. Ou source UE : https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-8-2015-007937_EN.html

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Pour ceux qui veulent savoir à quoi sert par exemple un type comme Rudy Reichstadt,  invité régulièrement par la Macronie pour dénoncer les théories du Complot, les chemtrails sont de simples traînées de condensations des avions. 

Il ne sait pas par exemple que les militaires du monde entier saupoudrent régulièrement de minuscules morceaux de fibre de verre et de plastique recouverts d’aluminium – appelés « paillettes » – dans les colonnes d’air pour protéger les avions et les navires des radars ennemis.

Selon un rapport de 1998 du General Accounting Office et un rapport de suivi du Naval Research Laboratory en 1999, les impacts environnementaux, humains et agricoles des paillettes alors utilisées dans des scénarios d’entraînement militaire étaient négligeables. 

Vraiment ? 

Pourtant hélas, http://Geoengineeringwatch.org répertorie un certain nombre de tests en laboratoire effectués sur des échantillons d’eau de pluie, d’air et bien plus encore, ainsi que leurs résultats.

En termes d’impacts environnementaux, rien qu’en Californie du Nord… nous avons constaté un déclin de 90 % des insectes aquatiques et terrestres au cours de la dernière décennie.

Il y a tellement d’aluminium provenant des précipitations, qui affecte le pH du sol, et – c’est très important – le rayonnement UV atteint un niveau record, et nous pouvons relier cela directement à l’ingénierie climatique… Nous constatons des niveaux d’UVB. qui sont environ 1 000 % plus élevés que ce qu’on nous avait dit. Elle brûle l’écorce des arbres. Cela tue le plancton. Cela affecte la vie des insectes…

Vous pouvez voir le résultat de ces analyses ici : https://www.geoengineeringwatch.org/lab-tests/

Vous pouvez regardez le documentaire où il y a les témoignages officiels y compris devant les instances parlementaires US ici : https://youtube.com/watch?v=rf78rEAJvhY&t=1s

Ensuite vous pouvez écouter 

@RReichstadt expliquer sur une chaîne du Sénat Français, que tout cela est une théorie du complot… https://youtube.com/watch?v=ZoxP36EfKTA


Merci Patrick pour cet article.

La Chine se lance dans un projet à grande échelle pour faire tomber la pluie à la demande [article + AUDIO 14mn de la RTS, 2018]

Une "rivière céleste" pour arroser artificiellement la Chine. Article + Audio 14mn de la RTS, 2018

Article du 23 mai 2018 de la RTS (Radio Télévision Suisse) : https://www.rts.ch/info/sciences-tech/9588188-une-riviere-celeste-pour-arroser-artificiellement-la-chine.html

Les Chinois lancent une expérience pour contrôler la météo / Tout un monde / 14 min. / le 23 mai 2018

La Chine se lance dans un projet à grande échelle pour faire tomber la pluie à la demande, sur une région aussi vaste que l’Europe de l’Ouest. Elle met sur pied la plus grande infrastructure au monde de ce genre.

Connu sous le nom de code « rivière céleste », ce projet expérimental pharaonique consiste à cultiver des nuages. Il s’agit de « semer » des microparticules très fines dans l’atmosphère.

Ces particules – de l’iodure d’argent – agissent comme un aimant, en attirant la condensation ou la vapeur d’eau, un peu comme un noyau qui rattacherait à lui des particules d’eau. Des milliards de particules d’eau sont ainsi accumulées dans l’atmosphère et forment des nuages et donc de la pluie.

Article complet et audio de la RTS ici: https://www.rts.ch/info/sciences-tech/9588188-une-riviere-celeste-pour-arroser-artificiellement-la-chine.html

Merci Patricia.

Le journal La Quotidienne de la Croissance en parle aussi le 16 mai 2018

Comment la Chine plie la météo à sa volonté
Etienne Henri

On croyait l’ingénierie climatique oubliée, passée directement des fantasmes des planificateurs centraux et des militaires aux films de science-fiction sans jamais faire vraiment irruption dans le monde réel ; la voilà qui revient.

L’ingénierie climatique, qui consiste à mettre en oeuvre des pratiques et installations humaines pour modifier globalement ou localement le climat, fait de nouveau parler d’elle.

Oubliez (officiellement) les raisons militaires et hostiles censées être proscrites par les Nations Unies depuis 1977 : en 2018, elle s’attache à rendre la vie des citoyens plus agréable et durable.

La Chine a annoncé il y a quelques semaines être en train d’installer un système capable de déclencher artificiellement des pluies sur le plateau tibétain.

Plusieurs centaines de millions de personnes dépendent aujourd’hui de rivières issues du Tibet pour subvenir à leurs besoins en eau, mais la région est en déficit hydrique chronique.

La fonte des glaciers ne pourra durer éternellement : le régime de Pékin s’inquiète par conséquent de voir nombre de cours d’eau de la région se tarir à moyen terme.

Pas question de faire l’autruche et de laisser ces territoires aller vers des sècheresses chroniques comme en Californie ou en Russie : la Chine a décidé de faire preuve de volontarisme et de plier le climat aux besoins humains.

Avec moi le déluge
Le Tibet fournit aujourd’hui plus d’eau qu’il n’en reçoit du ciel ? Les précipitations annuelles sont trop aléatoires pour faire grossir les glaciers de manière suffisante après leur fonte estivale ? Qu’à cela ne tienne : la région est régulièrement survolée par des masses d’air humide qui ne demandent qu’à se transformer en nuages de pluie.

Pékin prépare la construction de dizaines de milliers de chambres de combustion qui auront pour fonction de produire à la demande des vapeurs d’iodure d’argent.

Ce composé chimique, une fois emporté à haute altitude par le vent et les phénomènes de convection, permettra à l’humidité de l’air de se précipiter en nuages puis en pluie.

Comment la Chine plie la météo à sa volonté. Article de La Quotidienne de la Croissance, 18 mai 2018
Une chambre de combustion lors de sa mise en place par des techniciens

L’objectif est ambitieux : une fois le réseau de chambres de combustion installé, les précipitations supplémentaires devraient atteindre 10 milliards de m3 d’eau par an soit l’équivalent de la consommation de l’ensemble des Californiens ou 7% de la consommation totale de l’Empire du Milieu.

Les nouvelles technologies au service de la low-tech
La conception des brûleurs a été confiée à la China Aerospace Science and Technology Corporation. Si ce nom ne vous est pas familier, sachez que la CASC est le bras armé technologique de Pékin. Elle conçoit des vaisseaux spatiaux, des fusées, des équipements médicaux et autres missiles. En bref, tout ce qui nécessite un savoir-faire de pointe sur les matériaux, le spatial et les télécommunications en Chine passe par ses ingénieurs.

Malgré la relative simplicité des chambres de combustion, leur conception a été faite selon un cahier des charges particulièrement strict. Installation en milieu isolé et hostile oblige, chaque chambre de combustion se doit d’être robuste, fiable et relativement autonome.

La CASC a eu pour mission de concevoir des brûleurs capables d’être contrôlés par des signaux satellitaires, embarquant suffisamment de combustible pour pouvoir fonctionner durant plusieurs mois sans maintenance, le tout dans une enveloppe budgétaire inférieure à 10 000 $.

Il semblerait que le défi ait été relevé puisque Pékin annonce que les premiers prototypes sont désormais disponibles pour un coût d’environ 8 000 $ pièce.

Quand la réalité dépasse la (science) fiction
Ne pensez pas que ce projet soit une simple redite des fantasmes de géo-ingénierie des années 1970. Nous ne parlons pas de simples projections de scientifiques ou d’un effet d’annonce politique pour rassurer les populations locales : 500 chambres de combustions ont déjà été installées.

Fidèle à ses habitudes, le régime de Pékin mène ce projet à marche forcée et passe par une phase de test que l’on appellerait, dans nos contrées, un déploiement à grande échelle.

N’oublions pas que la Chine ne rechigne pas à modeler la planète à l’image de ses besoins. Lors de l’ouverture des Jeux Olympiques de 2008, l’ingénierie climatique avait été mise à contribution pour que les nuages de pluie se dispersent avant d’arriver sur les lieux de la cérémonie. S’il est envisageable de faire la pluie et le beau temps pour une simple compétition sportive, nul doute que l’approvisionnement en eau des populations locales justifiera les moyens les plus démesurés.

Reste une épineuse question : si les chambres fonctionnent aussi bien que le prévoient les scientifiques, et qu’elles parviennent effectivement à capturer 10 000 000 000 m3 par an de précipitations, quelles seront les conséquences pour les régions voisines — y compris les autres provinces chinoises ?

Les scientifiques ne disposent aujourd’hui d’aucun modèle pour prévoir l’impact d’un tel prélèvement d’humidité. De nouvelles zones arides pourraient se créer en aval du Tibet si le cheminement des masses de vapeur d’eau était interrompu.

Tout le travail fait pour mettre en adéquation la ressource hydrique avec la consommation pourrait paradoxalement conduire à plus de problèmes d’approvisionnement en eau dans le futur… et il n’existe aucun moyen de le savoir avec certitude avant de mettre en fonctionnement les brûleurs.

Plus compliqué encore, les effets négatifs pourraient être totalement absents lors des phases de test et ne devenir visibles que lors de l’utilisation simultanée des dizaines de milliers de chambres de combustion prévues — voire ne se manifester que des mois ou des années plus tard.

La géo-ingénierie du XXIème siècle, si elle a pu progresser sur les aspects techniques comme sur l’acceptation politique qui entoure son déploiement, reste une discipline jeune sur laquelle aucun recul n’est aujourd’hui possible.

La mise en place d’un dispositif de pluies artificielles à grande échelle ne peut donc que s’accompagner d’une prise de risque majeure pour les populations locales. Si un tel projet devait être envisagé en Europe, nul doute que le principe de précaution l’emporterait et le tuerait dans l’oeuf avant même la phase de test.

Aucun gouvernement occidental ne prendrait le risque de voir ses citoyens scruter avec inquiétude le ciel, les polluants émis par les chambres de combustion dans d’atmosphère et l’évolution des précipitations sur place et dans les zones annexes.

La construction du barrage des Trois-Gorges nous a montré que les projets les plus pharaoniques sont menés à bien lorsqu’ils bénéficient du soutien du régime de Pékin. Dépenser des milliards de yuans ou déplacer des populations n’est pas un problème lorsque l’intérêt général est en jeu. Que l’idée de faire tomber la pluie sur le Tibet soit bonne ou mauvaise, il y a de fortes chances qu’elle soit mise en oeuvre dans un futur proche.

Cinquante ans après l’utilisation militaire des chutes de pluie artificielles par les Américains, nous verrons la géo-ingénierie redevenir une réalité — en espérant que son usage s’avère, cette fois-ci, plus bénéfique à l’humanité.

Merci Guy.

Globalisme et guerre climatique – Pierre-Antoine Plaquevent

Globalisme et guerre climatique – Pierre-Antoine Plaquevent - strategika.fr

Dossier de Pierre-Antoine Plaquevent sur la réalité et l’utilisation des armes météorologiques

Dossier de 87 pages de Pierre-Antoine Plaquevent en vente pour 7 € sur strategika.fr: https://strategika.fr/2022/12/26/globalisme-et-guerre-climatique-pierre-antoine-plaquevent/

Plan du dossier : 87 pages – 60 pages + 27 pages documents annexes commentés et illustrations

  • Guerre hors limites et guerre climatique
  • Armes météorologiques et géo-ingénierie climatique
  • Histoire de l’action humaine sur la météo et le climat 
  • L’ensemencement de nuages : une pratique désormais largement répandue
  • Les armes météorologiques employées au Vietnam et ailleurs – L’interdiction théorique de leur emploi par l’ONU
  • Le projet Nile Blue et l’« embargo des pluies » contre Cuba
  • La modification des ouraganset la guerre géophysique
  • Institutionnalisation de la géo-ingénierie et gouvernance mondiale climatique
  • Contrôle climatique et suprématie stratégique globaliste à l’horizon 2025 
  • Annexes commentées et illustrations

Prix: 7 €, à commander sur le site de strategika.fr.

Contrôle du climat : la nouvelle stratégie de gouvernance mondiale ? avec Pierre-Antoine PLAQUEVENT [VIDEO, entretien 43mn]

https://odysee.com/@Roms17:d/Contr%C3%B4le-du-climat—la-nouvelle-strat%C3%A9gie-de-gouvernance-mondiale—avec-Pierre-Antoine-PLAQUEVENT:a

Contrôle du climat : la nouvelle stratégie de gouvernance mondiale ? avec Pierre-Antoine PLAQUEVENT
Entrevue avec Pierre-Antoine PLAQUEVENT [VIDEO 43mn]: https://odysee.com/@Roms17:d/Contr%C3%B4le-du-climat—la-nouvelle-strat%C3%A9gie-de-gouvernance-mondiale—avec-Pierre-Antoine-PLAQUEVENT:a
Merci OnNeNousDitPasTout

Si l’on considère que le critère axial du politique[14] est constitué par la désignation de l’ennemi, nous sommes ici confrontés à un ennemi qui se dérobe à notre prise ; car les globalistes politiques refusent de se présenter comme guidés par une volonté de puissance et de domination. Il n’existe dès lors selon nous qu’un seul moyen efficace pour identifier clairement l’ennemi mondialiste : analyser et scruter ses actions et ses méthodes pour comprendre (et peut-être anticiper) ses actions. C’est ce que nous faisons à nouveau dans cette étude avec la question de la guerre climatique comme nous l’avons précédemment fait avec celle du néo-malthusianisme, des « armes d’immigration massive », de la manipulation des droits de l’homme ou encore des « révolutions de couleurs ».

Nous allons voir qu’en matière de guerre climatique, comme pour les autres pans de l’action métapolitique globaliste, l’accusation de complotisme ne constitue qu’une façade bien fragile qui ne résiste pas à l’analyse. Cette diversion sémantique martelée de manière orwellienne, constitue l’habituelle barrière psychopolitique que les globalistes politiques tentent d’ériger entre le grand public et la réalité de l’existence des technologies de géo-ingénierie et de contrôle climatique.

Ces technologies relèvent pour nous de cette nouvelle norme sociopolitique qui accompagne la montée en puissance de la forme globalitaire (globaliste et totalitaire) : l’extension de la guerre à toutes choses et la fin de la limite, de la frontière, entre guerre et paix, entre civil et militaire, entre géopolitique et « métropolitique ».

https://strategika.fr/2022/12/26/globalisme-et-guerre-climatique-pierre-antoine-plaquevent/

Les chemtrails dans les média dominants

Notre ciel rayè. Rien à signaler.

Les avions diffusent-ils des produits chimiques à notre insu ?

France Culture Samedi 28 juillet 2018

Lien: https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-idees-claires/les-avions-diffusent-ils-des-produits-chimiques-a-notre-insu-8807813 9mn21

Entrevue avec Olivier Boucher climatologue, directeur de recherche au CNRS.

  • traces de condensation, vapeur d’eau
  • si l’air est humide, les traces mettent plus de temps à partir
  • « je pense que ça existait avant »
  • « il n’y a aucune raison de penser que les traînées d’avion contiennent autre chose que de la vapeur d’eau »
  • ces traces ont un impact sur le climat

REMARQUES:
NOUS N’AVONS AUCUNE RAISON DE PENSER QUE CE QUE VOUS PENSEZ EST JUSTE ! FAITES DONC DES MESURES D’ALUMINIUM, DE BARYUM ET DE STRONTIUM dans ces traînées SVP !!!

Comment expliquez-vous l’augmentation énorme des taux d’aluminium dans l’eau de pluie ?

Avions supersoniques et géo-ingénierie solaire… Joue-t-on avec le feu dans la stratosphère ?

20minutes, publié le 27/09/23

Lien: https://www.youtube.com/watch?v=RCLfiUjgKhA


Chemtrails: l’UE donne des signes de vie mais n’a encore rien remarqué de troublant dans le ciel

2023. Chemtrails : l’UE appelle à des discussions mondiales sur les risques liés à la géo-ingénierie climatique

Article de France Soir publié le 27 juillet 2023

Refroidir la Terre pour freiner le réchauffement climatique ? Des techniques de géo-ingénierie suscitent l’intérêt des chercheurs mais préoccupent l’UE et l’ONU

Lien: https://edition.francesoir.fr/societe-environnement-science-tech/geo-ingenierie-pour-freiner-rechauffement-climatique-UE-ONU

Lelibrepenseur, 23 juillet 2023

Chemtrails : l’UE appelle à des discussions mondiales sur les risques liés à la géo-ingénierie climatique

Lien: https://www.lelibrepenseur.org/chemtrails-lue-appelle-a-des-discussions-mondiales-sur-les-risques-lies-a-la-geo-ingenierie-climatique/

Deux methodes d’ingénieurie solaire POTENTIELLES
(ca n’existe que dans votre imagination, arrêtez donc de croire vos yeux)

Article dans GEO publié le 16/09/2023

Miroirs géants dans le ciel, particules réfléchissantes : un panel international réclame un moratoire sur la géoingénierie solaire

Lien: https://www.geo.fr/environnement/miroirs-geants-dans-le-ciel-particules-reflechissantes-un-panel-international-reclame-un-moratoire-sur-la-geoingenierie-solaire-216660

Rappel: un papier de 1996 pose clairement que l’armée US contrôlera la météo en 2025 et explique les bénéfices d’augmenter la réflectivité de la ionosphère pour diverses applications.
https://www.acseipica.fr/weather-as-a-force-multiplier-owning-the-weather-in-2025/

« Pyrénées: Il pleut (et il neige) du plastique dans les montagnes de l’Ariège révèlent des scientifiques » article du 15 04 2019 dans « 20minutes »

Photo d'illustration de l'article "Pyrénées: Il pleut (et il neige) du plastique dans les montagnes de l'Ariège révèlent des scientifiques" article du 15 04 2019 dans "20minutes"

Des chercheurs ont retrouvé des particules de microplastique dans les pluies et neiges tombées dans un coin reculé des Pyrénées ariégeoises.

Lien vers l’article: https://www.20minutes.fr/planete/2497255-20190415-pyrenees-pleut-neige-plastique-montagnes-ariege-revelent-scientifiques

Article sur le meme sujet:

Pollution des lacs des Pyrénées : 141 molécules toxiques identifiées dans l’eau


Publié le 28/03/2022 à 18h00, Écrit par Lauriane Nembrot
Ici téléchargeable au format PDF.

Lac de Matemale - Pyrénées Orientales (Occitanie)
© MICHEL CLEMENTZ / MAXPPP
Lac de Matemale – Pyrénées Orientales (Occitanie)
© MICHEL CLEMENTZ / MAXPPP

Une centaine de produits chimiques vient d’être identifiée dans des eaux de montagne en Ariège et Haute-Garonne par des scientifiques installés à Toulouse. Cette pollution d’origine humaine a entraîné la disparition de planctons et serait potentiellement dangereuse pour l’Homme.


En 2016, Adeline Loyau et Dirk Schmeller, tous deux scientifiques au sein du laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse ont constaté que les planctons présents dans l’eau des lacs de la région mouraient de façon rapide et inexpliquée. Ils décident d’entamer des analyses pour évaluer la qualité des eaux et tenter de comprendre les raisons de cette mortalité.


Six ans après le début de leurs investigations, les deux chercheurs sont formels : l’eau des lacs est polluée. Un composé toxique complexe, qui résulte d’un mélange de plusieurs produits chimiques dans l’eau, empoisonne et menace l’écosystème.


En Occitanie, au moins quatre points d’eau sont concernés dont l’Ayès dans l’Ariège et le lac de Madamètte dans les Hautes-Pyrénées. Pesticides, herbicides, antiparasitaires : selon les scientifiques toulousains, c’est un véritable “cocktail” toxique qui pollue l’eau des lacs. Pour l’heure, les ils ignorent ses effets sur l’Homme.

« Tous les planctons sont morts”


Pour réaliser leur étude, les scientifiques ont placé des plaques en silicone dans l’eau. Changées toutes les huit semaines, ces plaques absorbent les composantes de l’eau avant d’être analysées par les scientifiques. “Le silicone permet d’imiter le gras des corps présents dans l’eau. C’est sur ce gras que viennent se poser les composés toxiques”, détaille Dirk Schmeller.


Lorsque l’on a une concentration très importante de toxicité dans l’eau, tous les planctons meurent Adeline Loyau, scientifique au laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse. Au cours de ces analyses, les scientifiques ont pu identifier les différents composés chimiques présents dans l’eau. “On s’est rendu compte que plus il y avait de produits chimiques, moins il y avait de planctons, d’algues et de crustacés”, assure Dirk Schmeller. “Lorsque l’on a une concentration très importante de toxicité dans l’eau, tous les planctons meurent”, renchérit Adeline Loyau.
La mortalité du plancton peut avoir des effets néfastes conséquents sur l’ensemble des écosystèmes naturels comme la prolifération d’algues toxiques dans l’eau, indiquent les scientifiques.

141 molécules toxiques différentes identifiées


Parmi les centaines de molécules identifiées au cours de cette étude et responsables de la
disparition de plancton par endroit, “141 sont confirmées toxiques”, selon les scientifiques. Une toxicité basse ou élevée qui menace d’abord la survie des planctons dans l’eau.
Ce mélange, on ne sait pas ce que ça peut donner sur l’Homme, Dirk Schmeller, scientifique au laboratoire écologie fonctionnelle et environnement de Toulouse.


D’après l’étude, la présence de toutes ces molécules dans l’eau pourrait aussi avoir des effets sur l’Homme. “Personne n’a connaissance d’effets que peuvent avoir toutes ces substances sur les animaux ni sur nous. Quels genres de maladies cela peut provoquer ?” interrogent les scientifiques. Impossible, pour l’heure, de le savoir avec précision. “Quand les fabricants de ces molécules créent les produits, ils font une analyse des molécules toxiques de façon indépendante. Ils analysent molécule par molécule.”, indique Adeline Loyau. “Ce mélange, on ne sait pas ce que ça peut donner sur l’Homme”, alerte Dirk Schmeller.

L’activité humaine pointée du doigt


Comment ces 141 composés chimiques toxiques ont pu se retrouver dans l’eau des montagnes ?
Selon Dirk Schmeller et Adeline Loyau, l’activité et la présence de l’Homme dans les montagnes est à l’origine de cette pollution. “On a pu identifier de la perméthrine, un antiparasitaire que l’on trouve dans les colliers anti puce des chiens, des pesticides que les fermiers utilisent pour protéger les bétails, des insecticides que les randonneurs pulvérisent sur eux avant d’aller en montagne”, listent les cientifiques.

Le lac de Gaube, dans les Pyrénées
Marie Martin/FTV
Le lac de Gaube, dans les Pyrénées
Marie Martin/FTV

Si la pollution durable des eaux des lacs est avérée, les scientifiques indiquent qu’il n’existe aucun moyen de la contrecarrer. “Il n’est pas possible de nettoyer cette eau, on prendrait le risque de détruire complètement l’écosystème des lacs”, avertit Adeline Loyau. “On peut espérer que les gens arrêtent d’utiliser des produits chimiques et on essaie de faire de la sensibilisation à ce sujet”, explique Dirk Schmeller. À la tête de la chaire AXA écologie fonctionnelle des montagnes, il tente notamment d’alerter sur la fragilité des écosystèmes.

« Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques » article du journal Le Monde 05.09.2023

photo illustrant l'article du journal Le Monde "Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques"

Lien vers l’article : Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques

Remarques:

Il convient de prendre les propos du Monde avec une certaine prudence, considérant les éléments de contexte suivant:

1) chacun pourra se forger une opinion sur le sérieux des informations diffusées par ce journal à la lecture de l’article https://nouveau-monde.ca/dossier-la-verite-enfin-revelee-sur-le-11-septembre-2001/ qui se réfère richement à
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/09/11/11-septembre-les-huit-principales-theories-du-complot-decortiquees_6094267_4355770.html
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2) Xavier Niel en est le principal actionnaire
3) Le Monde a reçu des financements importants de la Bill & Melinda Foundation

4) Le Monde s’autoproclame détenteur de LA vérité universelle avec sa section « les décodeurs », investie par la mission de nous imposer ce que nous devons voir et penser (voir l’expérience de Asch).

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