« Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel » 22/04/2011 | LADEPECHE.FR – Ariège
PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR
L’article n’est plus sur Ladepeche, mais encore ICI.
Intrigué par des traînées blanches anormalement persistantes laissées dans le ciel ariégeois par des avions, Thierry Baudouy, de tempérament curieux, décide de faire des recherches sur Internet et les informations qu’il va trouver vont l’amener à se poser de nombreuses questions. Il s’aperçoit que ce phénomène n’est pas tout récent – il serait apparu en 1996 – et découvre que ce sont des chemtrails (de l’anglais « chemical trails », traînées chimiques) provenant des avions civils et militaires équipés de cuves contenant des produits toxiques, aluminium, baryum, fibres de polymères… Ces épandages sont effectués entre 9 000 et 10 000 m d’altitude, quand le taux d’humidité atteint moins de 30 %.
Thierry continue ses recherches, il veut savoir à quoi servent ces pulvérisations ; les réponses sont troubles : à des fins climatiques, pour lutter contre le réchauffement planétaire, à l’usage militaire… Bon nombre d’informations sont données mais toujours sans aucune certitude. Il contacte alors des associations, dont la principale en France, l’association citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’intervention climatique et atmosphérique (ACSEIPICA), dont le but est de trouver des réponses ainsi que d’informer le public. Il apprend alors que ces épandages sont réalisés dans le monde entier, sans que personne ne connaisse réellement la raison. A l’heure actuelle, Thierry cherche toujours une réponse. « Nous sommes très inquiets des conséquences du nucléaire, précise-t-il, mais peut-être pourrions-nous nous poser la question sur les conséquences de ces épandages ». Site http://acseipica.blogspot.com/
Comment reconnaître des chemtrails : ce sont des traînées blanches sous forme d’alignements parallèles ou de quadrillage qui par la suite s’étalent pour couvrir le ciel d’un large voile blanc ; on peut même apercevoir plusieurs avions qui se suivent pendant l’épandage.
Les méthodes de géo-ingéniérie pour réduire le réchauffement mondial
Notez bien que l’argument du réchauffement climatique global
prétendument dû au CO2 et autres gaz à effet de serre
sans mention de la vapeur d’eau
qui est pourtant, sur Terre, le premier agent et de loin, de l’effet de serre,
est en lui-même un énorme HOAX
qui masque les effets de chauffage de l’atmosphère
par les installations HAARP et consorts.
Voir le diaporama « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ».
A télécharger ICI
Article en anglais sur ACSEIPICA yahoo groupe.
Source: http://www.alterinfo.net/La-geo-ingenierie-atmospherique_a50099.html
Institute of Science in Society, Julian Rose, 20 septembre 2010
Un rapport anonyme confirme que des expériences de manipulation météorologique et climatique ont été effectuées par la Zunie (Etats Unis) et ses alliés durant les dernières décennies.
Les traînées chimiques (chemtrails) dévoilées
Beaucoup de soupçons ont été suscités au cours des dix dernières années par les formations nuageuses inhabituelles et les sillages anormaux de jet dans la haute atmosphère [*]. J’ai personnellement été témoin de centaines de jours d’ingénierie de traînées et de nuages par des jets, à la fois au Royaume-Uni et en Pologne. Cependant, il s’est avéré être extrêmement difficile d’avoir des informations de source officielle sur le phénomène. Sur interrogation, la réponse normale est : « il ne se passe rien d’anormal. »
[* Ndt : La nature anormale de ce phénomène ressort du fait que c’est en gros seulement depuis la fin des années 90 que l’on peut voir le ciel défiguré par des chemtrails persistants, sans que la densité d’avion n’ait changé notablement.]
Il s’avère que c’est très loin de la réalité. Bien que la plus grande partie de cet article se focalise sur une seule affaire récente de recherche professionnelle sur ce sujet, des centaines de documents à la fois officiels et officieux explorent et exposent les agissements loufdingues de l’aviation civile et militaire, chargées quotidiennement depuis quasiment dix ans de pulvériser couche après couche des substances toxiques sous forme de traînées d’aérosols chimiques dans le ciel au-dessus de nos têtes.
Les épisodes d’épandage ne sont pas signalés par les médias et les gouvernements gardent le silence. Cette collusion, qu’elle soit intentionnelle ou non, nous maintient dans l’obscurité au sujet d’une grande expérience de géo-ingénierie qui a pour effet de desservir notre santé et de perturber gravement l’environnement naturel. Et, sans Internet, nous n’aurions rien su.
Le Groupe Belge basé à Belfort a rassemblé plus de sept ans de recherche et d’enquête sur les faits et les activités qui sont devenues largement connus sous le nom « chemtrails. » Le 29 mai 2010, lors d’un symposium international à l’université de technologie Delft à Gand, le Groupe de Belfort a demandé au Dr Coen Vermeeren, ingénieur principal en aéronautique, de prendre la parole sur la question. Vermeeren a établi sa présentation sur un rapport scientifique de 300 pages intitulé [1] « Case Orange: Contrail Science, Its Impact on Climate and Weather Manipulation Programs Conducted by the United States and Its Allies » (Affaire Orange : Sciences des traînées de condensation, impact sur le climat et la météo des programmes de manipulation conduits par la Zunie et ses alliés). Selon Vermeeren, les auteurs du rapport sont « un groupe de scientifiques ou d’initiés qui ont choisi de rester anonymes. »
Dans son exposé, le Dr Vemeeren reconnaît franchement l’existence des traînées persistantes. » Il dit :
« Nous savons aussi que les chemtrails existent parce que nous faisons des pulvérisations, pour les cultures, par exemple, et nous savons qu’ils sont faits à des fins militaires. Les chemtrails ne sont donc pas nouveaux. Nous le savons. »
De la manipulation météo à la géo-ingénierie
Le rapport Case Orange révèle l’existence de documents disponibles au public, indiquant que diverses formes de géo-ingénierie sont en cours depuis « au moins 60 ans. » Les premiers exemples incluent « les opérations du Royaume-Uni d’ensemencement des nuages au-dessus de l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale et les tentatives de la Zunie pour débusquer les Vietnamiens du Nord pendant la guerre du Vietnam. C’est toutefois pâle comparé à l’ampleur des activités actuelles.
La controverse sur les effets potentiellement nuisibles sur l’environnement et la santé humaine de ce genre d’agissement a conduit à l’interdiction des armes de modification environnementale (En Mod), sous les auspices de « La Convention des Nations Unies sur l’interdiction des techniques de modification de l’environnement à des buts militaires ou à toute autre fin hostile » en 1987. Il n’est pas clair si cette interdiction a été encore pleinement appliquée. Pourtant, l’intérêt envers l’En Mod a rapidement pris de l’importance lorsque l’alarme du réchauffement mondial et des questions environnementales associées insistantes ont attiré l’intérêt scientifique mondial [2].
Le rapport Case Orange cite un certain nombre de brevets zuniens concernant l’invention d’un « dispositif spécifique de génération de traînée, destiné à produire une traînée de poudre dotée d’une capacité de diffusion de rayonnement maximale pour un poids donné de matière. Afin de produire une traînée stable ayant une période de latence pouvant atteindre une à deux semaines, » la substance dispersée se compose de 85 pour cent de particules métalliques et 15 pour cent de silice colloïdale et de gel de silice.
Puis, en 2009, la publication d’un rapport intitulé « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement mondial, » a complété l’affaire de stratégies de géo-ingénierie [3]. Tout cela a été déclaré dans l’intention de créer une couche de nuages réfléchissants, capables de renvoyer les rayons du Soleil pour empêcher le réchauffement indésirable du climat terrestre. Le rapport indique que les conclusions du GIEC appuient la proposition décrite dans le brevet Hughes Aircraft 1991 relatif à l’ensemencement stratosphérique pour réduire le réchauffement mondial. Ce brevet a ensuite été acheté par Raytheon, l’entrepreneur privé de la défense du gouvernement zunien. C’est la même compagnie qui a obtenu le contrat de construction de HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) à Gakona, en Alaska.
Le complexe militaro-industriel pour le contrôle complet de la météo contre le réchauffement climatique
HAARP est un grand réseau de 180 antennes qui projette de puissantes impulsions électromagnétiques dans le but de réchauffer un point particulier de l’ionosphère terrestre. Cela a pour effet de créer des fréquences électromagnétiques qui peuvent être réfléchies en des endroits désirés de la Terre, en provoquant de graves perturbations de la météo et des milieux géophysiques, même profondément sous terre [4, 5]. HAARP peut fournir jusqu’à 3,6 milliards de watts, élever la température de l’ionosphère à plus de 50.000 degrés et « soulever une zone de 30 kilomètres carrés de l’ionosphère, et altérer de cette façon les systèmes de pression localisés ou même modifier le trajet du jet-stream. »
[Ndt : Cela pourrait-il expliquer le blocage du jet-stream à l’origine des étranges conditions météo en Russie et au Pakistan cet été ?]
Le rapport Case Orange cite la preuve que Raytheon pourrait développer une capacité à « exercer une forme de contrôle complet de la météo, » une situation ayant une ressemblance marquée avec les ambitions déclarées de Monsanto à « contrôler la chaîne alimentaire. » Il convient de noter qu’il existe actuellement plus de 500 brevets de plantes génétiquement modifiés « climate ready » (adaptées au climat) en attente d’approbation de licence à Washington et à Bruxelles. Selon leurs créateurs, les semences et les plantes génétiquement modifiées « climate ready » promettent d’être capables de produire une récolte à la fois dans des conditions d’inondation et de sécheresse.
Le « Groupe ETC », des droits de l’homme et de la surveillance de l’environnement, décrit ainsi l’évolution de la géo-ingénierie atmosphérique : « Le déploiement du « Plan B » (une référence au recours à la géo-ingénierie, si les autres mesures visant à réduire les émissions devaient être jugées inefficaces) est habilement exécuté : des comités éminents parrainés par des groupes de prestige, une avalanche d’articles évalués par les pairs dans les revues scientifiques et, dans les pays nordiques, des hommes politiques alignés pris de panique, hochant nerveusement la tête pour acquiescer tandis que les scientifiques attestent du « besoin de rechercher le Plan B. »
Rady Ananda déclare à la fin de son document [6] : « Avec des détails tels que les pulvérisations horaires du gouvernement, les commandes de produits chimiques, la nomenclature exacte utilisée dans les manuels d’exploitation des services aériens et les appels des économistes en faveur de la géo-ingénierie, Case Orange concorde au rapport publié en 1996 par le personnel militaire supérieur de Zunie, intitulé « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » [7] à l’appui de sa notion de « forte implication des gouvernements au plus haut niveau dans des projets de contrôle du climat. » Ananda continue [6] : « Maîtriser la météo en 2025 fournit un calendrier précis du recours aux techniques En Mod en coopération avec l’Association de Modification Météorologique, un groupe en affaire avec le gouvernement qui promeut les effets bénéfiques du recours aux modifications de l’environnement [8]
- 2000-2025, usage de produits chimiques dans l’ensemencement atmosphérique fait par l’aviation civile (et militaire)
- 2004, grâce à la nanotechnologie, création de nuages intelligents ayant un accroissement exponentiel, à partir de 2010
- 2005, introduction de poussière noire de carbone. »
L’ONU engagé dans le combat de géo-ingénierie contre le climat
En 2007, l’Organisation météorologique mondiale (de l’ONU) a publié une déclaration incluant des « Directives de planification des activités de modification de la météo. » Ce document implique clairement les Nations Unies dans le projet de conduite des activités de pulvérisation d’aérosols à grande échelle.
Dans une partie du rapport Case Orange portant sur « le strict nécessaire de la géo-ingénierie grâce à la création de nuages pour la survie de la planète, » les auteurs déclarent : « Notre équipe d’enquête arrive à la conclusion que les programmes de maîtrise du climat, contrôlés par les militaires, mais approuvés par les gouvernements, sont discrètement mis en œuvre afin d’éviter le pire cas de figure qu’ils veulent éviter. Les deux instruments de base sont la maîtrise de la température, grâce à la création de nuages artificiels, et la manipulation de l’ionosphère, grâce à des dispositifs de chauffage.
« Tous deux restent essentiellement des systèmes militaires de combat avec l’option de lancer l’offensive si nécessaire. Toutefois, étant donné que plusieurs systèmes de chauffage ionosphérique sont installés en divers endroits du globe, on peut supposer qu’il existe une large coopération entre gouvernements afin d’atteindre l’objectif climatique d’ici à 2025 : le contrôle de la météo et de la planète. »
Les systèmes de pulvérisation semblent organisés en combinaison logique pour que l’ensemble de l’Europe soit couverte en une période de trois jours. Des cartes colorées de l’Europe indiquent à quel moment doit s’effectuer chaque opération.
Dans la section intitulée « Recommandations » du rapport, les auteurs déclarent : « Les chemtrails persistants ont un impact dévastateur sur les écosystèmes de la planète et la qualité de vie en général. » Les auteurs appellent à la divulgation complète au public des activités actuelles du En Mod, ainsi qu’au respect de tout règlement de l’aviation civile.
Moratoire sur les activités de géo-ingénierie
Donnée encourageante, en réponse à l’intérêt politique envers la géo-ingénierie comme moyen de contrôle du climat, le sous-comité de la Convention des Nations Unies sur la biodiversité a proposé en mai 2010 un moratoire sur les activités de géo-ingénierie [9]. Cette proposition sera entendue à la dixième Conférence des Parties en faveur de la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique à Nagoya, au Japon, en octobre de cette année (2010).
Le rapport Case Orange indique en outre que la Zunie permet de tester en plein air des armes chimiques et biologiques. Cela annule le droit civil mentionné plus haut dans cet article. Les auteurs paraphrasent ainsi la loi permissive : « Le ministre de la Défense peut effectuer des essais et des expériences impliquant l’utilisation d’agents chimiques et biologiques sur les populations civiles. » Il semble que des soucis de « sécurité nationale » peuvent servir au président pour rejeter les considérations environnementales et de santé publique. Est-ce la même chose en Europe ?
J’ai fourni une vue d’ensemble du témoignage principal découlant du rapport Case Orange. Elle apporte une contribution importante pour ouvrir les ordres du jour secrets qui n’ont sans cela pas leur place dans une démocratie auto-déclarée. Parmi d’autres rapports conséquents, il y a un document important du Dr Ilya Perlingieri, intitulé « Conséquences des aérosols de métaux et produits chimiques sur la santé humaine » [10]. Mme Perlingieri déclare : « Ces dix dernières années, des tests indépendants sur des chemtrails dans tout le pays ont montré un dangereux brouet très toxiques contenant du baryum, des particules nanométriques d’aluminium recouvertes de fibre de verre (connues sous le nom de CHAFF), du thorium radioactif, du cadmium, du chrome, du nickel, du sang desséché, des spores de moisissure, des mycotoxines de champignons jaunes, du dibromure d’éthylène et des fibres de polymère. Par sa toxicité le baryum peut être comparé à l’arsenic [11], et il est connu pour affecter le cœur. L’aluminium a la réputation d’endommager la fonction cérébrale. » Je n’ai pas besoin d’ajouter que le dibromure d’éthylène est un pesticide agricole hautement toxique.
Maintenant que nous partageons cette information, nous devons agir en conséquence. Il est vital de soutenir le moratoire qui sera présenté en octobre au Japon. Écrivez à votre député pour lui dire que ces activités mondiales ne sont pas des balivernes de « théories du complot, » et qu’elles se déroulent sans consultation du public et sans aucun effort de mise en garde de leurs répercussions éventuelles.
Références
1. Discours du Dr Coen Vermeeren au symposium de l’université de technologie Delft, le 29 mai 2010,
www.ustream.tv/recorded/7299427
2. « L’organisme scientifique supérieur demande le ‘’plan B’’ de géo-ingénierie, » Catherine Brahic : New Scientist, 1/9/2009,
www.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-bodywww.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-body
3. Mitchell DL et Finnegan W. « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement climatique. » Lettres de la Recherche Environnementale, 30 octobre 2009,
iopscience.iop.org/1748-9326/4/4/045102
4. « À propos de HAARP dans un article de Belitsos, » Radical Wisdom, 14 juillet 2010,
radwisdom.com/2010/07/14/chemtrails-aerosol-madness-above-the-earth/
5. Pour en savoir plus sur HAARP, voir : « Maîtriser la météo mondiale, » du professeur Michel Chossudovsky, Global Research,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=319
6. « La géo-ingénierie atmosphérique : manipulation météo, traînées de condensation et chemtrails, » de Rady Ananda, 30 juillet 2010,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=20369
7. Colonel Tamzy J.House, et autres, « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » ministère de la Défense, Air Force zunienne, 17/06/1996. Publié publiquement en août 1996. Reproduit à la Fédération des scientifiques zuniens :
www.fas.org/spp/military/docops/usaf/2025/v3c15/v3c15-1.htm
8. Site Internet de Weather Modification :
www.weathermodification.org/
9. Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, « Examen approfondi des travaux sur la biodiversité et les changements climatiques, » projet de recommandations, Convention sur la diversité biologique, Programme environnemental des Nations Unies, UNEP/CBD/SBTTA/l.9, 15/05/2010.
www.cbd.int/doc/meetings/sbstta/sbstta-14/in-session/sbstta-14-L-09-en.pdf
10. « Conséquences des métaux et des aérosols de produits chimiques toxiques sur la santé humaine, » Ilya Perlingieri, 12 mai 2010,
https://911nwo.com/2015/01/21/chemtrails-the-consequences-of-toxic-metals-and-chemical-aerosols-on-human-health-part-i-perlingieri-2015/
11. Voir Pesticide Action Network North America (PANNA)
www.pesticideinfo.org/Detail_Chemical.jsp?Rec_Id=PC41174
Original: www.i-sis.org.uk/atmosphericGeoengineering.php
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
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Envoyé par supahumandignity dans SupaHumanDignity le 9/24/2010 12:59:00 PM
Le réchauffement climatique remis en question
Titre d’un article publié sur www.spreadthetruth.fr
Bel exposé, mais comme trop souvent dans le domaine scientifique, le B.A.BA est ignoré ou occulté: la vapeur d’eau est le premier responsable de l’effet de serre alors que les gaz dits « à effet de serre » y sont pour peu, voire très peu. Et notre planète est bien minuscule comparée au soleil …
Claire
Obama envisage la géoingénierie
Voici un article de l’Associated Press paru aujourd’hui 8 avril 2009, intitulé :
« Obama envisage la géoingénierie ».
Article du 8 avril 2009 :
http://www.google.com/hostednews/ap/article/ALeqM5hm1kMpA2nQALOfQL8Y8PxxTHNVtgD97ECHLG1
Mise à jour du 9 avril 2009 :
http://hosted.ap.org/dynamic/stories/S/SCI_OBAMA_SCIENCE_ADVISER?SITE=MOSPL&SECTION=HOME&TEMPLATE=DEFAULT
L’article a été modifié par son auteur et s’intitule maintenant « Obama looking at cooling air to fight warming » (Obama envisage de refroidir l’air pour combattre le réchauffement).
Plusieurs ajouts important figurent dans cette nouvelle version (voir les remarques après la traduction).
Traduction :
***
« Obama envisage la géoingénierie »
8 Avril 2009,
Par SETH BORENSTEIN,
Journaliste scientifique pour Associated Press.
WASHINGTON (AP) — John Holdren, nouveau conseillé scientifique du président Obama, a déclaré mercredi que, le réchauffement climatique étant critique, l’administration d’Obama discute d’employer des technologies radicales pour refroidir l’air de la Terre.
Il avait confirmé le mois dernier lors de sa première interview après sa nomination que l’idée de la géoingénierie du climat était actuellement considérée. Parmi les options extrêmes envisagées figure l’injection de particules dans la partie haute de l’atmosphère pour renvoyer les rayons du soleil. Selon Holdren une mesure aussi expérimentale ne serait employée qu’en dernier ressort.
« Cela doit être considéré » a-t-il dit. « Nous n’avons pas le luxe d’ignorer quelque approche que ce soit. »
Holdren a souligné plusieurs « éléments déclencheurs » du réchauffement climatique qui pourraient arriver rapidement. Si un évènement tel que la perte complète des glaces d’été de l’Arctique venait à arriver, la probabilité de « conséquences réellement intolérables » augmenterait, a-t-il dit.
(…)
Holdren a précisé que l’injection de particules dans l’air pourrait avoir de graves effets secondaires et ne résoudrait pas entièrement les problèmes liés aux émissions de gaz à effet de serre. De telles décisions ne peuvent être prises à la légère, a-t-il dit.
Pourtant, « nous pourrions devenir désespérés au point de vouloir utiliser ces technologies » a-t-il ajouté.
(…)
Ajouts figurant dans la mise à jour de l’article du 9 avril 2009 :
Sur ce sujet l’administration Obama pourrait recevoir le soutient inhabituel de groupes qui avaient pourtant nié les dangers du réchauffement climatique par le passé.
L’American Enterprise Institute, think tank conservateur, possède son propre projet de géoingénierie, et affirme qu’il est « faisable et rentable ».
(…) John Holdren a souligné que d’autres évènements pourraient accélérer dramatiquement le changement climatique tels que la libération du méthane gelé contenu dans le permafrost en Sibérie, ou de grands feux de forêts à l’échelle planétaire.
Le problème est que personne ne sait quand ces évènements pourraient survenir, a-t-il dit.
***
lire l’article complet en anglais
Remarques :
* On retrouve ici exactement la même notion d’évènement déclencheur (catastrophe climatique) qui figurait dans le document du CFR de 2008, ainsi que la solution visant à refroidir l’air grâce à l’injection de particules dans l’atmosphère.
* Mise à jour du 9 avril 2009 :
Dans sa nouvelle version l’article cite le soutient probable de l’American Enterprise Institute (think tank néo-conservateur) pour un projet de geoingénierie.
On peut retrouver sur le site aei.org de nombreux articles et compte-rendus traitant de la nécessité d’utiliser la géoingénierie et notamment d’injecter des particules dans l’atmosphère :
– Auditions du 25 juin 2008 devant la Commission pour l’Indépendence Energétique et le Réchauffement Climatique (http://www.globalwarming.house.gov) présidée par le démocrate Edward Markey.
– Article du 23 juin 2008 : « Modifier le thermostat de la Terre »
par Samuel Thernstrom (paru également dans le Los Angeles Times)
– Conférence du 3 juin 2008 : « Géoingénierie, une approche révolutionnaire du changement climatique »
Transcription complète des échanges
Article du London Telegraph (16/11/2008)
« Le monde n’a jamais connu de chaleur aussi frigorifiante. »
(The world has never seen such freezing heat)
par Christopher Booker
Lien de l’article :
http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml
Cet article d’un journal anglais grand public remet en cause clairement la théorie du réchauffement climatique et la crédibilité du GIEC des Nations Unies (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
Traduction – résumé :
* L’institut NASA GISS (http://www.giss.nasa.gov) a rapporté que le mois dernier fut le mois d’octobre le plus chaud jamais enregistré, alors même que des chutes de neiges exceptionnelles sont signalées dans nombreuses régions du monde.
* Origine de l’erreur : des températures de Russie et d’ailleurs, parfois 10°C au dessus de la normale, ont été en réalité reprises des mois précédents.
* Pour compenser l’erreur, le GISS a ensuite déclaré avoir trouvé en Arctique des températures particulièrement hautes. Mais les images satellite montrent une glaciation de 30% supérieure à celle de l’année précédente. Le Giss a également admis s’être basé pour les relevés russes sur un organisme tiers dont il n’a pu vérifier la fiabilité.
* Le GISS, présidé par le Dr Hansen (principal allié scientifique d’Al Gore) est l’une des 4 autorités sur lesquelles se base le GIEC des Nations Unies (IPCC en anglais) pour justifier sa thèse du réchauffement climatique.
Le Dr Hansen est lui-même depuis 20 ans un des avocats les plus alarmistes de cette thèse et de ses conséquences.
* Pourtant la méthodologie et les statistiques du GISS sont remises en question par de nombreux sceptiques. Il fut en particulier forcé d’admettre que la décennie la plus chaude du 20e siècle était les années 30 et non les années 90 comme il le prétendait.
* Un des représentant du GIEC commençait il y a peu une conférence en Australie en montrant des températures mondiales augmentant « plus vite que jamais » alors qu’on sait maintenant qu’elle n’augmentent plus depuis quelques années et qu’elles ont baissé en 2007.
* Sur la base de telles preuves est-il sage pour les gouvernements du monde d’engager des mesures parmi les plus couteuses jamais proposées, pour remédier à un problème qui pourrait en réalité ne pas exister ?
Sources :
L’article : http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml
Le GISS : http://www.giss.nasa.gov
Le GIEC : http://www.ipcc.ch/languages/french.htm
Analystes sceptiques cités dans l’article :
http://wattsupwiththat.com/
http://www.climateaudit.org/
***
L’article original en anglais :
The world has never seen such freezing heat
By Christopher Booker
16/11/2008
A surreal scientific blunder last week raised a huge question mark about the temperature records that underpin the worldwide alarm over global warming. On Monday, Nasa’s Goddard Institute for Space Studies (GISS), which is run by Al Gore’s chief scientific ally, Dr James Hansen, and is one of four bodies responsible for monitoring global temperatures, announced that last month was the hottest October on record.
This was startling. Across the world there were reports of unseasonal snow and plummeting temperatures last month, from the American Great Plains to China, and from the Alps to New Zealand. China’s official news agency reported that Tibet had suffered its « worst snowstorm ever ». In the US, the National Oceanic and Atmospheric Administration registered 63 local snowfall records and 115 lowest-ever temperatures for the month, and ranked it as only the 70th-warmest October in 114 years.
So what explained the anomaly? GISS’s computerised temperature maps seemed to show readings across a large part of Russia had been up to 10 degrees higher than normal. But when expert readers of the two leading warming-sceptic blogs, Watts Up With That and Climate Audit, began detailed analysis of the GISS data they made an astonishing discovery. The reason for the freak figures was that scores of temperature records from Russia and elsewhere were not based on October readings at all. Figures from the previous month had simply been carried over and repeated two months running.
The error was so glaring that when it was reported on the two blogs – run by the US meteorologist Anthony Watts and Steve McIntyre, the Canadian computer analyst who won fame for his expert debunking of the notorious « hockey stick » graph – GISS began hastily revising its figures. This only made the confusion worse because, to compensate for the lowered temperatures in Russia, GISS claimed to have discovered a new « hotspot » in the Arctic – in a month when satellite images were showing Arctic sea-ice recovering so fast from its summer melt that three weeks ago it was 30 per cent more extensive than at the same time last year.
A GISS spokesman lamely explained that the reason for the error in the Russian figures was that they were obtained from another body, and that GISS did not have resources to exercise proper quality control over the data it was supplied with. This is an astonishing admission: the figures published by Dr Hansen’s institute are not only one of the four data sets that the UN’s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) relies on to promote its case for global warming, but they are the most widely quoted, since they consistently show higher temperatures than the others.
If there is one scientist more responsible than any other for the alarm over global warming it is Dr Hansen, who set the whole scare in train back in 1988 with his testimony to a US Senate committee chaired by Al Gore. Again and again, Dr Hansen has been to the fore in making extreme claims over the dangers of climate change. (He was recently in the news here for supporting the Greenpeace activists acquitted of criminally damaging a coal-fired power station in Kent, on the grounds that the harm done to the planet by a new power station would far outweigh any damage they had done themselves.)
Yet last week’s latest episode is far from the first time Dr Hansen’s methodology has been called in question. In 2007 he was forced by Mr Watts and Mr McIntyre to revise his published figures for US surface temperatures, to show that the hottest decade of the 20th century was not the 1990s, as he had claimed, but the 1930s.
Another of his close allies is Dr Rajendra Pachauri, chairman of the IPCC, who recently startled a university audience in Australia by claiming that global temperatures have recently been rising « very much faster » than ever, in front of a graph showing them rising sharply in the past decade. In fact, as many of his audience were aware, they have not been rising in recent years and since 2007 have dropped.
Dr Pachauri, a former railway engineer with no qualifications in climate science, may believe what Dr Hansen tells him. But whether, on the basis of such evidence, it is wise for the world’s governments to embark on some of the most costly economic measures ever proposed, to remedy a problem which may actually not exist, is a question which should give us all pause for thought.