Revue de presse DEC-2024 (5 articles/reportages)

Revue de presse ACSEIPICA - DECEMBRE 2024

1) Témoignage d’Enrico Gianini, agent de piste Italien à l’aéroport de Malpensa [4 videos 2mn]

https://x.com/csapeforce7/status/1850665597421388083

Le témoignage complet de Enrico Gianini est ici
https://t.me/asceipica_le_forum/19615/28350


2) Extrait de l’interview de Clifford Carnicom

Clifford Carnicom est un chercheur indépendant qui étudie (entre autres) le sang, la géo-ingénierie, la maladie de morgellons depuis bientôt 30 ans.
#polymères #filaments #sang_synthétique

https://t.me/asceipica_le_forum/29390


3) Rapport de l’analyse d’eau de pluie et sols Octobre 2024 Bouches du Rhône

http://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2024/12/Rapport_danalyse_eau_de_pluie_et_sols_Octobre_2024_Bouches_du_Rhone.jpg

Rapport de l'analyse d'eau de pluie et sols Octobre 2024 Bouches du Rhône

4) HAARP Sous Stéroïdes – interview d’Eric Hecker, un lanceur d’alerte qui travaillait à la station du pôle Sud pour Raytheon Technologies Corporation

https://t.me/asceipica_le_forum/1/28584

Interview d’Eric Hecker, un lanceur d’alerte qui travaillait à la station du pôle Sud pour Raytheon Technologies Corporation, un conglomérat multinational américain d’aérospatiale et de défense.

Il a témoigné devant le Sénat américain et révélé l’existence d’une machine météorologique massive qui « fait ressembler le projet HAARP à un projet pour bébé ».

« C’est HAARP sous stéroïdes » a-t-il déclaré.

C’est le plus grand système d’Arme à Énergie Dirigée au monde.


5) iTele parle de HAARP en 2010 « Tout d’abord c’est fait par les militaires. Ils ne savent meme pas quel impact cette experience pourrait avoir »

Video de 3:36mn sur …. Telegram: https://t.me/hakounamatatatv/36563

iTele 2010: "HAARP, le climat sous controle ?"

6) Analyses « Sable du Sahara » juillet 2024: concentration de metaux plus de 100x > à la norme

https://t.me/asceipica_le_forum/21177/30810

Merci à toutes les personnes qui ont posté ces informations sur la canal Telegram ACSEIPICA.

Chapitre 9. Projet « Cloverleaf » (pages 75 – 95) de « La chimie des traînées de condensation » par Harald Kautz-Vella

Conférence Harald Kautz-Vella

Photo d’illustration: conférence en allemand de Harald Kautz-Vella Autonomisation – Le chemin du retour au paradis 01.10.2016

Chapitre 9. Projet « Trèfle » (Cloverleaf)

  1. Projet « Cloverleaf » ………………………………………………………………………………. 75
    9.1. Objectif militaire………………………………………………………………………. 75
    9.2. implication des compagnies aériennes civiles……………………………………………………… 77
    9.3. organisations impliquées……………………………………………………………. 80
    9.4. preuves de la validité de certaines informations non confirmées……… 85
    9.5. Sommes-nous en train de nous terra-former nous-mêmes ou sommes-nous terra-formés par une espèce extraterrestre ? …………………………………………….. 96

9.1. Objectif militaire

Dans le chapitre 10 [!?], nous avons pu suivre le développement jusqu’à l’invention de la méthode au baryum par Jim Phelps en 1996. De 1996 à 1998, la CIA a apparemment mené quelques projets expérimentaux utilisant le baryum. Depuis 1998, l’ensemble du territoire des États-Unis serait soumis à des pulvérisations d’aérosols. Pour le reste du monde, on ne dispose pas d’informations fiables sur les pays qui ont adhéré au programme et sur la date de leur adhésion. Au sein de l’OTAN, le Trèfle (Cloverleaf) est associé au « Partenariat pour la paix ». Ce partenariat inclut des pays non membres de l’OTAN comme la Croatie, l’Afrique du Sud et la Suisse. La Chine n’y participe pas. Pour l’hémisphère sud, il est associé au traité sur l’Antarctique.

Nous avons pu trouver un message anonyme qui révélerait peut-être l’objectif militaire de l’organisation, intitulé : Project Cloverleaf – The Science Behind it (Projet Cloverleaf – la science lsous jacente).[97]

[97] disclosure-tv-blog, online http://www.disclose.tv/forum/project-cloverleaf-chemtrails-and-their-purposet72795.html#ixzz2HmY3MiGL, Jan. 12th, 2013.

Il s’agit d’une combinaison de chemtrails pour créer une atmosphère propice aux ondes électromagnétiques, d’oscillateurs de champ électromagnétique au sol appelés gyrotrons et de réchauffeurs ionosphériques. Les particules améliorent le fonctionnement des armes à énergie dirigée. Il s’agit de l’« état stable » et de la densité des particules pour la propagation des faisceaux de plasma. Ils pulvérisent des poudres de baryum et les laissent se photo-ioniser sous l’effet de la lumière ultraviolette du soleil. Ensuite, ils produisent un plasma d’aluminium en « zappant » les cations métalliques présents dans la pulvérisation à l’aide d’électromagnétisme provenant de HAARP, du système gyrotron au sol [Ground Wave Emergency Network] ou de lasers spatiaux. Le baryum rend le plasma d’aluminium plus dense en particules. Plus de densité [plus de particules] signifie que ces particules, qui entrent en collision les unes avec les autres, deviennent plus chargées parce qu’elles sont plus nombreuses à entrer en collision. Ce qu’ils essaient de faire en fin de compte, c’est de créer des armes à particules chargées, des armes à faisceau de plasma : Les traînées chimiques sont le support – l’énergie dirigée est la méthode. Ce système semble être présent en Russie, au Canada, aux États-Unis et dans toute l’Europe. Les armes exotiques peuvent être mobiles, stationnaires, terrestres, aériennes ou satellitaires. Il s’agit d’un système offensif et défensif contre les attaques électromagnétiques.
Il utilise des coquilles de particules ionosphériques comme mécanismes de défense [comme une coquille anti-insectes] contre les missiles et les attaques électromagnétiques. Cela signifie qu’ils pulvérisent puis gonflent la pulvérisation à l’aide de l’électromagnétisme. Lorsque ces coques sont créées à l’aide des stations gyrotron électromagnétiques oscillantes, elles « excluent » et déplacent le champ magnétique de fond. Ces coques peuvent être superposées à la manière d’une canopée pour une protection supplémentaire contre les missiles. Les sprays de chemtrail contiennent divers éléments comme le carbone, qui peut être utilisé pour absorber les micro-ondes. Certains de ces sprays contiennent des paillettes métalliques qui rendent les aéronefs invisibles aux radars. Les sprays spoofer. Ces sprays peuvent être utilisés pour créer des plasmas colorés et magnétisés afin d’occulter les avions de chasse. Des armes satellitaires sont également utilisées. Les activistes utilisent des compteurs et obtiennent des relevés de micro-ondes, de rayons X et d’un autre type d’émission dont ils ne sont pas sûrs, peut-être un laser de faible intensité.
Ils photographient également la génération de plasma gazeux due au réchauffement des traînées chimiques par électromagnétisme. Les noms techniques des colonnes de plasma verticales et horizontales sont les lentilles focales colonnaires et les antennes de plasma à dérive horizontale. Des orbes de plasma gazeux de différentes tailles sont associés à cette technologie. Ces orbes peuvent être utilisés comme émetteurs et récepteurs car ils possèdent d’excellentes propriétés réfractaires et optiques.
Ils sont également capables de transmettre des sons numériques ou analogiques. Le baryum est en fait très réfringent, plus réfringent que le verre. Qu’est-ce que cela signifie ? Notre pays a l’habitude de faire des expériences sur ses citoyens. Nous parlons d’armes à fréquence de particules chargées par satellite qui attaquent une personne 24 heures sur 24. Les armes psychotroniques sont considérées comme des armes de destruction massive par l’ONU. Les HAARP peuvent créer des tremblements de terre [98] et peuvent également radiographier la terre pour trouver des bases militaires souterraines, de l’or ou des réserves de pétrole. Ces réchauffeurs ionosphériques peuvent également fonctionner comme un système de communication au-dessus de l’horizon ou sous l’océan. Si l’on ajoute à cela le système de surveillance par satellite à travers le toit, les balayages électroniques des ordinateurs et des téléphones Echelon, les hélicoptères de la guerre antidrogue de la DOD recouverts de plasma et les furtifs, les implants et les caméras dans les rues, on obtient une grande grille de contrôle de l’espace et du monde. Ces armes utilisent des faisceaux.
Deux faisceaux superposés se couplent en un faisceau de particules et d’ions qui rebondit sur une cible distante et renvoie une image holographique au satellite pour des opérations d’espionnage à distance. Lorsque vous croisez deux faisceaux puissants, vous pouvez soi-disant créer des énergies scalaires. Ces énergies peuvent être utilisées comme des armes intraçables pour des explosions de taille nucléaire ou pour la défense. Ces énergies croisées peuvent être utilisées pour provoquer une défaillance du système électrique physique d’une personne ou, avec une fréquence plus basse, administrer une sorte d’électrochoc à distance. Visualisez le contact d’un câble électrique positif et d’un câble électrique négatif sur le dessus de votre tête. Les énergies scalaires peuvent être utilisées dans les fusils militaires portatifs et sur les chars d’assaut. Elles peuvent dérégler l’électronique ou provoquer de grandes coupures d’électricité. Il est pratiquement impossible de se protéger contre les énergies scalaires. Il faut du plomb, de la céramique et une installation souterraine profonde pour ne pas être affecté par ces armes. Ou alors, il faut être en haut et au-dessus du champ de bataille.

[97] disclosure-tv-blog, online http://www.disclose.tv/forum/project-cloverleaf-chemtrails-and-their-purposet72795.html#ixzz2HmY3MiGL, Jan. 12th, 2013.

[98] Compare: S. S. De1, B. K. De, B. Bandyopadhyay, S. Paul, D. K. Haldar, A. Bhowmick, S. Barui, and R. Ali: Natural Hazards and Earth System Sciences. Effects on atmospherics at 6 kHz and 9 kHz recorded at Tripura during the India-Pakistan Border earthquake. Nat. Hazards Earth Syst. Sci., 10, 843–855, 2010.

9.2. Implication des compagnies aériennes civiles

La question de l’implication éventuelle des compagnies aériennes civiles fait l’objet de nombreuses discussions. Deux propositions anonymes ont été faites à ce sujet. La première, intéressante, est une déclaration publiée lors d’une émission de radio, émanant d’une personne qui a déclaré être mécanicien d’avion :

Pour des raisons que vous comprendrez en lisant ces lignes, je ne peux pas divulguer mon identité. Je suis mécanicien aéronautique pour une grande compagnie aérienne. Je travaille dans l’une de nos bases de maintenance située dans un grand aéroport. J’ai découvert certaines informations qui, je pense, vous paraîtront importantes. Tout d’abord, je dois vous parler de la hiérarchie entre les mécaniciens. C’est important pour mon histoire et pour la cause à laquelle vous vous êtes consacré. Les mécaniciens veulent travailler sur trois choses. L’avionique, les moteurs ou les commandes de vol. Les mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes sont considérés comme les meilleurs. Viennent ensuite les mécaniciens qui travaillent sur les systèmes hydrauliques et de climatisation. Viennent ensuite ceux qui travaillent sur l’office et d’autres systèmes non essentiels. Enfin, tout en bas de la liste, on trouve les mécaniciens qui travaillent sur les systèmes d’élimination des déchets. Aucun mécanicien ne veut travailler sur les pompes, les réservoirs et les tuyaux utilisés pour stocker les déchets des toilettes. Mais dans tous les aéroports où j’ai travaillé, il y a toujours 2 ou 3 mécaniciens qui se portent volontaires pour travailler sur les systèmes de toilettes. Les autres mécaniciens sont heureux de les laisser faire. C’est pourquoi il n’y a que 2 ou 3 mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes dans chaque aéroport. Personne ne fait attention à eux et aucun mécanicien ne fréquente un autre mécanicien qui ne travaille que sur les systèmes d’évacuation. En fait, je n’avais jamais vraiment réfléchi à cette situation jusqu’au mois dernier.
Un jour du mois dernier, j’ai été appelé de notre base pour travailler sur un avion pour une autre compagnie aérienne. Lorsque j’ai reçu l’appel, le dispatcheur ne savait pas quel était le problème. Lorsque je suis arrivé à l’avion, j’ai découvert que le problème se situait au niveau du système d’évacuation des déchets. Je n’avais rien d’autre à faire que de ramper dedans pour régler le problème. Lorsque je suis entré dans la soute, j’ai réalisé que quelque chose n’allait pas. Il y avait plus de réservoirs, de pompes et de tuyaux qu’il n’aurait dû y en avoir. J’ai d’abord pensé que le système avait été modifié. Cela faisait dix ans que je n’avais pas travaillé là dessus. En essayant de trouver le problème, je me suis rapidement rendu compte que les tuyaux et les réservoirs supplémentaires n’étaient pas reliés au système d’élimination des déchets. Je venais de le découvrir lorsqu’un autre mécanicien de mon entreprise est arrivé. C’était l’un des mécaniciens qui travaillent habituellement sur ces systèmes. C’est avec plaisir que je lui ai confié le travail. En partant, je l’ai interrogé sur l’équipement supplémentaire. Il m’a dit de « m’occuper de mon côté de l’avion et de le laisser s’occuper du sien ! »
Le lendemain, j’ai consulté un schéma de câblage sur l’ordinateur de l’entreprise. Le lendemain, j’étais sur l’ordinateur de l’entreprise pour consulter un schéma de câblage et j’ai décidé de vérifier l’équipement supplémentaire que j’avais trouvé. À ma grande surprise, les manuels n’indiquaient aucun des équipements supplémentaires que j’avais vus de mes propres yeux la veille. Je me suis même connecté aux fichiers du fabricant et je n’ai toujours rien trouvé. J’étais maintenant bien décidé à découvrir ce que faisait cet équipement.
La semaine suivante, trois de nos avions se sont retrouvés dans notre hangar principal pour une inspection périodique. Lors de ces inspections, des mécaniciens rampent partout sur l’avion. Je venais de terminer mon service et j’ai décidé de jeter un coup d’œil au système d’évacuation de l’un de nos avions. Avec tous les mécaniciens présents, je me suis dit que personne ne remarquerait la présence d’un équipement supplémentaire sur l’avion. Bien sûr, l’avion que j’ai choisi avait l’équipement supplémentaire !
J’ai commencé à retracer le système de tuyaux, de pompes et de réservoirs. J’ai trouvé ce qui semblait être l’unité de contrôle du système. Il s’agissait d’un boîtier de contrôle avionique d’apparence standard, mais qui ne portait aucune marque. J’ai pu tracer les fils de commande depuis le boîtier jusqu’aux pompes et aux vannes, mais aucun circuit de commande n’entrait dans l’unité. Les seuls fils entrant dans l’unité étaient une connexion d’alimentation au bus d’alimentation principal de l’avion.
Le système comportait un grand réservoir et deux plus petits. Il était difficile de s’en rendre compte dans le compartiment exigu, mais il semblait que le grand réservoir pouvait contenir 50 gallons. Les réservoirs étaient reliés à un robinet de remplissage et de vidange qui traversait le fuselage juste derrière le robinet de vidange du système d’évacuation. Lorsque j’ai eu l’occasion de chercher cette connexion sous l’avion, je l’ai trouvée astucieusement cachée derrière un panneau situé sous le panneau utilisé pour accéder au système d’évacuation des déchets.
J’ai commencé à tracer la tuyauterie des pompes. Ces tuyaux mènent à un réseau de petits tuyaux qui se terminent dans les bords de fuite des ailes et des stabilisateurs horizontaux. Si vous observez attentivement les ailes d’un grand avion, vous verrez un ensemble de fils, de la taille de votre doigt, qui partent du bord de fuite des surfaces des ailes. Il s’agit des mèches de décharge d’électricité statique. Elles sont utilisées pour dissiper la charge électrique statique qui s’accumule sur un avion en vol. J’ai découvert que les tuyaux de ce système mystérieux conduisaient à une mèche de décharge statique sur trois. Ces mèches avaient été « creusées » pour permettre à tout ce qui circule dans ces tuyaux d’être déchargé par ces fausses mèches.C’est pendant que j’étais sur l’aile qu’un des responsables m’a repéré. Il m’a ordonné de quitter le hangar en me disant que mon service était terminé et que je n’avais pas été autorisé à faire des heures supplémentaires. Les deux jours suivants ont été très chargés et je n’ai pas eu le temps de poursuivre mon enquête. En fin d’après-midi, deux jours après ma découverte, j’ai été appelé pour remplacer un capteur de température moteur sur un avion qui devait décoller dans deux heures. Environ 30 minutes plus tard, on m’a appelé pour me demander de voir le directeur général. Lorsque je suis entré dans son bureau, j’ai constaté que notre représentant syndical et deux autres personnes que je ne connaissais pas m’attendaient. Il m’a dit qu’un grave problème avait été découvert. Il m’a dit que je faisais l’objet d’un procès-verbal et d’une suspension pour avoir fourni de faux documents. Il m’a remis un formulaire disciplinaire indiquant que j’avais fourni de faux documents sur le capteur de température du moteur que j’avais installé quelques heures auparavant. J’ai été stupéfait et j’ai commencé à protester. Je leur ai dit que c’était ridicule et que c’était moi qui avais fait ce travail. Le représentant syndical a alors pris la parole et a recommandé de jeter un coup d’œil à l’avion et de voir s’il était possible d’arranger les choses. C’est à ce moment-là que j’ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le GM [manager général] m’a répondu qu’il s’agissait d’inspecteurs de la sécurité aérienne, mais n’a pas voulu me donner leur nom.
Nous nous sommes rendus à l’avion, qui aurait dû être en vol mais qui était garé sur notre rampe de maintenance. Nous avons ouvert le capot moteur et le représentant syndical a retiré le capteur. Il a vérifié le numéro de série et a dit à tout le monde qu’il s’agissait de l’ancien instrument. Nous nous sommes ensuite rendus dans la halle des pièces détachées et sommes retournés dans les racks. Le représentant syndical a vérifié mon rapport et a sorti du rack une boîte scellée. Il l’a ouverte et en a sorti le capteur de température du moteur avec le numéro de série de celui que j’avais installé. On m’a dit que j’étais suspendu pour une semaine sans salaire et que je devais partir immédiatement. Je suis resté chez moi le premier jour de ma suspension en me demandant ce qui m’était arrivé.
Ce soir-là, j’ai reçu un appel téléphonique. La voix m’a dit : « Vous savez maintenant ce qui arrive aux mécaniciens qui fouillent dans des choses qu’ils ne devraient pas. La prochaine fois que vous travaillerez sur des systèmes qui ne vous concernent pas, vous perdrez votre emploi ! Comme je me sens généreux, je pense que vous pourrez bientôt reprendre le travail » CLICK. Une fois de plus, j’ai dû me ramasser. J’ai compris que ce qui s’était passé était directement lié au fait que j’avais retrouvé la mystérieuse tuyauterie. Le lendemain matin, le directeur général m’a appelé. Il m’a dit qu’en raison de mes excellents antécédents professionnels, la suspension avait été ramenée à un jour et que je devais reprendre le travail immédiatement. La seule chose qui me vint à l’esprit fut de me demander ce qu’ils essayaient de cacher et qui ILS étaient !
Cette journée de travail s’est déroulée comme si rien ne s’était passé. Aucun des autres mécaniciens n’a mentionné la suspension et mon représentant syndical m’a dit de ne pas en parler. Ce soir-là, je me suis connecté à Internet pour essayer de trouver des réponses. Je ne me souviens plus comment j’y suis arrivé, mais je suis tombé sur votre site. C’est à ce moment-là que tout s’est mis en place. Mais le lendemain matin, au travail, j’ai trouvé une note dans mon casier fermé à clé. Elle disait : « La curiosité a tué le chat. Ne regardez pas des sites Internet qui ne vous concernent pas ». ILS me surveillent.
Vous savez déjà ce qu’ils font. Je ne sais pas ce qu’ils pulvérisent, mais je peux vous dire comment ils le font. Je pense qu’ils utilisent les « camions à miel ». Ce sont les camions qui vident les réservoirs des toilettes. Les aéroports sous-traitent généralement ce travail et personne ne s’approche de ces camions. Qui a envie de se tenir à côté d’un camion rempli de merde ? Pendant que ces gars vident les réservoirs de déchets, ils remplissent les réservoirs du système de pulvérisation. Ils connaissent la trajectoire de vol des avions et programment probablement l’unité de contrôle pour qu’elle commence à pulvériser un certain temps après que l’avion a atteint une certaine altitude. Les buses de pulvérisation des fausses mèches statiques sont si petites que personne dans l’avion n’y verrait rien. (Signé 🙂 Que Dieu nous vienne en aide, un citoyen concerné. [99]

[99] Radio-INTERVIEW (Live on Coast-to-Coast radio, May 17, 2003)

En réponse à cet entretien, quelqu’un a envoyé un courriel anonyme dans lequel il se présentait comme directeur d’une compagnie aérienne.

….. suite à venir, traduction en cours

Chapitre 8. Politique, infrastructure et utilisation militaire éventuelle (pages 70 – 75) de « La chimie des traînées de condensation » par Harald Kautz-Vella

Conférence Harald Kautz-Vella

Photo d’illustration: conférence en allemand de Harald Kautz-Vella Autonomisation – Le chemin du retour au paradis 01.10.2016

November 19th 2014
The Chemistry in Contrails | La chimie des traînées de condensation

Assessing the Impact of Aerosols
from Jet Fuel Impurities, Additives and Classified
Military Operations on Nature

Évaluer l’impact sur la nature des aérosols
provenant des impuretés et additifs du carburant des avions à réaction
et des opérations militaires classifiées


by Harald Kautz-Vella

PDF de 112 pages en anglais
https://aquarius-technologies.de/wp-content/uploads/2021/02/TheChemistryinContrails.pdf

Chapitre 8. Politique, infrastructure et utilisation militaire éventuelle (pages 70 – 75)

Lorsque les activités d’un gouvernement, d’une armée ou d’une agence sont classifiées, que les personnes impliquées doivent signer des accords de non-divulgation et sont menacées d’emprisonnement, que ce qui est déclaré soit considéré comme étant une théorie de la conspiration est une réaction naturelle de l’esprit humain. L’un a un secret, l’autre se demande ce que c’est. C’est aussi simple que cela. Le projet Cloverleaf est aussi hautement confidentiel qu’un projet peut l’être.

Le public ne dispose d’aucune information officielle. Il y a quelques dénonciations qui peuvent contenir des vérités, mais aussi des quantités considérables de désinformation. Normalement, cela ne devrait pas avoir sa place dans un document qui se veut scientifique. Mais à ce stade, il n’y a pas d’autre option que de citer les lanceurs d’alerte et d’accepter leur souhait de cacher leur identité. Et de chercher à nouveau des preuves scientifiques de leurs affirmations.

Il n’est donc pas possible de citer les informations suivantes au sens scientifique du terme et elles peuvent contenir de la désinformation. La structure que l’on rencontre est en forme d’oignon. Il y a une surface officielle qui investit beaucoup d’argent dans la recherche, mais qui projette la géo-ingénierie pratique principalement dans l’avenir[77]. Mais même si l’on regarde derrière la scène, que l’on écoute les déclarations des lanceurs d’alerte et que l’on lit les documents secrets qui ont été involontairement exposés au public, on ne trouve pas une vérité cohérente, mais plutôt des couches de pelures d’oignon de différents concepts de la réalité.

[77] Professor John Shepherd et al.: Geoengineering the Climate: Science, Governance and Uncertainty. The Royal Society
2009

La pelure d’oignon extérieure ressemble à ceci : la géo-ingénierie a été envisagée pour la première fois dans l’Allemagne d’avant la Seconde Guerre mondiale. La plupart des idées étaient mégalomanes mais plutôt terre-à-terre, comme couper et assécher la Méditerranée pour récolter des terres et mettre en place une centrale hydraulique pour alimenter toute la région en électricité. Un autre concept consistait à faire fondre les poles pour accéder aux ressources naturelles situées en dessous. Certains de ces ingénieurs sont arrivés aux États-Unis après la guerre. L’opération Trombone [pour le papier, pas l’instrument de musique] (Paperclip) a recruté 10 000 chercheurs allemands de haut niveau pour servir l’armée américaine. Les objectifs discutés publiquement étaient plutôt pacifiques. Il s’agissait par exemple de prévenir les ouragans et les tempêtes, de diriger les pluies pour garantir les récoltes…

En 1964, la Fondation Scientifique Nationale Américaine (American National Science Foundation) a créé une commission spéciale sur la manipulation du temps. Cependant, les premières applications pratiques se sont avérées moins pacifiques. Il s’agit de l’ensemencement des nuages effectué au Nord-Vietnam pour renforcer les pluies de mousson et inonder la jungle afin de couper le Vietcong de ses approvisionnements.

Le premier document notable relatif à la forme d’ensemencement des nuages dont il est question dans le présent document est le brevet Welsbach[78] , déposé en 1986. Il s’agit du premier brevet suggérant la pulvérisation d’oxyde d’aluminium et de sels métalliques pour lutter contre le changement climatique. Depuis lors, d’autres brevets ont été déposés qui couvrent l’ensemble du processus technique d’ensemencement des nuages par pulvérisation d’aérosols à partir d’avions civils et militaires.

[78] 78 US-Patent No. 5,003,186

En 1990, le gouvernement américain est entré dans une phase de recherche intensive sur la géo-ingénierie avec le « Global Change Research Act » [79]

[79] Official governmental website: http://www.gcrio.org/gcact1990.html

En 2001, le président élu George W. Bush a mis en place l’initiative de recherche sur le changement climatique (CCRI). Un an plus tard, il a été rendu public que l’USGCRP (United States Global Change Research Program = Programme de recherche sur le changement global des États-Unis) et le CCRI deviendraient ce que l’on appelle le (CCSP) Climate Change Science Program (Programme scientifique sur le changement climatique). Aujourd’hui, sous l’administration Obama, l’héritage continue d’avancer sous le nom d’USGCRP, avec un budget annuel de 2,7 milliards de dollars. [80] Un aperçu de ces programmes révèle que la plupart d’entre eux visent à lutter contre le changement climatique et non à le surveiller.

[80] Shepard Ambellas & Avalon: The Budget Obama Didn’t Want You To Know About. the intelhub.com, March 30, 2011.
Online at: http://theintelhub.com/2011/03/30/secret-presidential-chemtrail-budget-uncovered-exceeds-billions-tospray-populations-like-roaches/ on Nov. 22nd 2012.

Une autre initiative est prévue par le ministère américain de la sécurité intérieure, qui a l’intention de mettre en place le « Hurricane Aerosol and Microphysics Program “ [81].

[81] Richard W. Spinrad to William Laska, “Response to Statement of Work: Hurricane Aerosol and Microphysics Program,”
US Department of Commerce, National Oceanic and Atmospheric Administration, Silver Springs, MD, July 29, 2009,
http://voices.washingtonpost.com/capitalweathergang/noaa_letter_dhs_hurricane_modification.pdf

En 2012, des scientifiques américains ont ciblé ”un prix abordable de moins de 5 milliards par an » pour « souffler un million de tonnes » à des altitudes de 18 miles [82] . Le changement climatique serait principalement causé par le CO2.

[82] Allister Doyle and David Fogarty, “’Sunshade’ to Fight Climate Change Costed at $5 Billion Year,” Reuters, August 31, 2012, http://in.reuters.com/article/2012/08/30/climate-sunshade-idINDEE87T0K420120830

Toutes ces sources font référence au changement climatique provoqué par l’homme comme étant le problème à résoudre par la géo-ingénierie. On croit que le changement climatique est principalement causé par le CO2.

Les résultats de cette recherche sont résumés dans ce graphique :

The	Chemistry	in	
Contrails
Assessing	the	Impact	of	Aerosols
from	Jet	Fuel	Impurities,	Additives	and	Classified	
Military	Operations	on	Nature
by
Harald	Kautz-Vella. Source	unknown,	for	copyright	issues	please	contact	the	author
Source inconnue, pour les questions de droits d’auteur, veuillez contacter l’auteur.

Abscisse: affordability · accessibilité financière
Ordonnée: effectiveness · effectivité
low · bas
high · élevé

Le passage suivant donne une vague image des actions projetées et des aérosols qu’il est prévu d’utiliser :

Jusqu’à présent, le lancement de matériaux réfléchissants dans la haute stratosphère semble être l’option la plus facile et la plus rentable. Pour ce faire, on pourrait utiliser des avions de haut vol, des canons navals ou des ballons géants. Les matériaux appropriés pourraient inclure des aérosols de sulfate (qui seraient créés en libérant du dioxyde de soufre), de la poussière d’oxyde d’aluminium, ou même des particules de conception auto-levante et auto-orientante conçues pour migrer vers les régions polaires et rester en place pendant de longues périodes. S’il est possible de le faire, la concentration des pare-soleil sur les pôles serait une option particulièrement intéressante, car ces latitudes semblent être les plus sensibles au réchauffement de la planète. La plupart des estimations des coûts de ces stratégies de géo-ingénierie sont préliminaires et peu fiables. Toutefois, on s’accorde généralement à dire que ces stratégies sont peu coûteuses ; les dépenses totales des options les plus rentables ne s’élèveraient peut-être qu’à quelques milliards de dollars, soit un pour cent (ou moins) du coût d’une réduction radicale des émissions. [83]

[83] David G. Victor, M. Granger Morgan, Jay Apt, John Steinbruner, and Katharine Ricke: The Geoengineering Option. A Last Resort Against Global Warming? Foreign Affairs, March/April 2009

La description des « particules de conception à lévitation et orientation automatiques » pourrait s’appliquer au TiO3 (Ba, Srx), avec sa capacité à être ionisé et dirigé par rayonnement de micro-ondes. Il s’agit là de la pelure d’oignon externe.

Avant le changement climatique, les choses étaient encore un peu différentes. Jim Phelps travaillait depuis de nombreuses années aux laboratoires nationaux d’Oak Ridge, où il menait des recherches sur le trou d’ozone et d’autres problèmes liés à la pollution atmosphérique. Le réchauffement de la planète était déjà connu à l’époque. Toutefois, il n’était pas dramatisé et était principalement lié aux émissions de fluor et de soufre provenant des carburéacteurs. Le fluor et le soufre, qui créent les acides agressifs HF et H2SO4 dans les nuages, étaient considérés comme la principale cause des pluies acides. Les composés de soufre et de fluor sont considérés comme la cause de la persistance croissante des traînées de condensation et de l’apparition d’un plus grand nombre de cirrus à haute altitude. On pensait que ces nuages retenaient le rayonnement infrarouge et provoquaient le réchauffement de la planète. Pour prévenir les dommages causés par le fluor, qui forme des composés toxiques d’aluminium-fluor une fois qu’il pleut, il a suggéré d’ajouter du TiO2 au carburant pour avion – ou de pulvériser les composés simultanément pendant le vol – pour lier le fluor à des métaux qui forment des composés moins toxiques. En ce qui concerne la branche militaire de la géo-ingénierie, il n’existe que quelques sources, principalement d’anciens employés de diverses agences.

Nous pouvons retracer les débuts des opérations militaires de pulvérisation, également appelées projet Trèfle (Cloverleaf) jusqu’au Dr Edward Teller, père de la bombe à hydrogène et partisan du bombardement des côtes habitées pour les réaménager dans le cadre de projets économiques. Avant sa mort en 2003, Teller était directeur émérite du Lawrence Livermore National Laboratory, où sont élaborés les plans d’armes nucléaires, biologiques et à énergie dirigée. En 1997, Teller a exposé publiquement sa proposition d’utiliser des avions pour disperser dans la stratosphère des millions de tonnes de matériaux métalliques conducteurs d’électricité, soi-disant pour réduire le réchauffement de la planète [84]. (…)

Teller a estimé que les avions commerciaux pourraient être utilisés pour cracher ces particules à un coût de 33 cents la livre. (…) Un brevet d’avion Hughes de 1991 confirme que les matériaux particulaires faisant écran solaire (sunscreen particulate materials) peuvent être utilisées dans les moteurs à réaction [85].

[84] Edward Teller, Lowell Wood, Roderick Hyde: Global Warming and Ice Ages: Prospects for Physics-Based Modulation of Global Change, Edward Teller and Lowell Wood, Hoover Institution, Stanford University, prepared for invited presentation at the International Seminar On Planetary Emergencies, Erice, Italy, August 20-23, 1997; also « The Planet Needs a Sunscreen, » Wall Street Journal, 10-17-97.

[85] 85 Amy Worthington: Aerosol and Electromagnetic Weapons in the Age of Nuclear War. Global Research | June 1, 2004

Une autre histoire est racontée par A. C. Griffith [86], un employé de la NSA, puis de la CIA, qui a révélé sa vérité lors de l’édition du lundi de l’émission Power Hour, diffusée à l’échelle nationale. Une autre pelure d’oignon. Griffith a servi à la base aérienne Ray Patterson, qu’il qualifie de siège des programmes américains de chemtrailing. Griffith fait référence à une guerre froide en cours entre la Russie et les États-Unis utilisant des armes scalaires. Le pire incident de cette guerre froide a été – selon l’ancien colonel de l’armée américaine Tom Bearden, que Griffith cite dans son émission de radio -, la tentative de la Russie de déclencher un tremblement de terre dans la faille de Saint Andreas avec les (soi-disant) dispositifs Woodpecker (émetteurs à micro-ondes à longue portée) basés en Ukraine et alimentés en électricité par les centrales électriques de Tchernobyl. Selon Griffith, l’attaque a été repoussée avec l’aide d’Israël, provoquant ainsi ce que l’on appelle l’accident de Tchernobyl. Griffith estime que les États-Unis sont en retard par rapport à d’autres pays dans le développement de ces armes et d’éventuels systèmes de défense. Dans ce contexte, il décrit le développement des programmes de chemtrail comme un système de défense nécessaire mis au point par la communauté du renseignement CIA/NSA.

La CIA, qui exploitait une importante flotte aérienne pour le commerce de la drogue afin de financer ses activités non officielles (opérations secrètes), devait être à court de capacités d’épandage et a tenté d’impliquer la marine. L’amiral Jeremia Border, chef des opérations de la marine américaine, a refusé de participer au programme et s’est officiellement suicidé en se tirant deux balles dans la poitrine. Depuis lors, la marine est devenue partie prenante du projet Cloverleaf. Pour expliquer le rôle des aérosols, Griffith s’est référé à un article de Matthew Daggett intitulé « Atmospheric sensitivity invalidation study of the variable terrain radio parabolic equation model » (étude d’invalidation de la sensibilité atmosphérique du modèle d’équation parabolique à terrain variable), qui décrit un système de surveillance radar en 3D du champ de bataille pouvant être utilisé à partir d’un navire situé à 400 miles de la côte, en utilisant des sels de baryum comme aérosols réfléchissants. Griffith a également mentionné le DARPA et d’autres agences qui pourraient se joindre au projet pour utiliser la pulvérisation d’aérosols à différentes fins.

Au niveau suivant, on pourrait découvrir l’interconnexion entre les recherches civiles et d’entreprise menées avec HAARP, ICECAT et d’autres dispositifs similaires de transmission de micro-ondes et les pulvérisations d’aérosols – en supposant que c’est la direction vers laquelle Griffith aurait dû s’orienter.

Selon Michael Chossudovsky, professeur à l’Université d’Ottawa, le programme militaire de recherche aurorale active à haute fréquence (High-frequency Active Auroral Research Program, HAARP), qui opère en Alaska dans le cadre de l’Initiative de défense stratégique (Strategic Defense Initiative), est un outil puissant de modification du temps et du climat [87]. Exploitées conjointement par la marine et l’armée de l’air américaines, les antennes HAARP bombardent et chauffent l’ionosphère, ce qui fait rebondir les fréquences électromagnétiques vers la terre, pénétrant tout ce qui est vivant ou mort [88]. Les transmissions HAARP font des trous dans l’ozone [89], créant ainsi un autre hobgobelin [créature fabuleuse, comme un cobold]. L’inventeur de HAARP, Bernard Eastlund, a décrit dans son brevet original comment l’énergie de l’antenne pouvait interagir avec les panaches de particules atmosphériques, utilisés comme une lentille ou un dispositif de focalisation, pour modifier le temps [90]. HAARP est capable de déclencher des inondations, des sécheresses et des ouragans, au grand dam du Parlement européen et de la Douma russe [91]. HAARP génère également des impulsions de balayage dans la gamme ULF/ELF [92]. En 2000, des chercheurs indépendants ont surveillé les transmissions HAARP de 14 hertz. Ils ont constaté que lorsque ces signaux étaient diffusés à des niveaux de sortie élevés, la vitesse des vents atteignait 70 miles par heure. Ils ont vu ces mêmes transmissions disperser un énorme front météorologique qui s’approchait de la côte ouest, de la Californie à la Colombie-Britannique. Bien que des précipitations aient été initialement prévues, le front s’est déchiqueté sur les photos satellites et la pluie ne s’est pas matérialisée [93]. La sécheresse du hobgobelin peut être un outil enrichissant et stimulant pour certaines entreprises et certains gouvernements.
HAARP n’est pas seulement capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques n’importe où sur la planète, mais ses effets peuvent cibler des régions sélectionnées pour affecter les réactions physiques, mentales et émotionnelles de l’homme au cours de projets de guerre non létaux [94]. Les fréquences HAARP transmises à des cibles spécifiques peuvent générer des tremblements de terre catastrophiques, exactement comme le tremblement de terre de décembre dernier, qui a tué des milliers de personnes en Iran, une nation ennemie selon l’administration Bush. [95]

[86 power hour, national broadcast show, online at http://www.youtube.com/watch?v=rS3mVg7GIGI Archived partI,part2, part3

[87] « Washington’s New World Order Weapons Have the Ability to Trigger Climate Change, » Center for Research on Globalization, Professor Michael Chossudovsky, University of Ottawa, January 2001.

[88] « HAARP: Vandalism in the Sky? » Nick Begich and Jeane Manning, Nexus Magazine, December 1995.

[89] Dr. Castle presents information on how HAARP punches massive holes in the open-air column ozone and how the Air Force then uses toxic chemicals to « patch » the holes it has created: Dr. Castle says: « Welsbach seeding and ozone hole remediation sciences utilize chemistries that are toxic to humans and the environment. »

[90] « HAARP: Vandalism in the Sky? » Begich and Manning; Researcher David Yarrow is quoted as saying that Earth’s axial spin means that HAARP bursts are like a microwave knife producing a « long tear–an incision » in the multi-layer membrane of ionospheres that shield the Earth’s surface from intense solar radiation.

[91] U.S. HAARP Weapon Development Concerns Russian Duma, Interfax News Agency, 8-10-02.

[92] HAARP Update, Elfrad Group, http://elfrad.org/2000/Haarp2.htm 6-27-00.

[93] « 14 Hertz Signal Suppresses Rainfall, Induces Violent Winds, » 10-25-00, Newshawk Inc.; « When the Army Owns the Weather-Chemtrails and HAARP, » Bob Fitrakis, 2-13-02: In this article HAARP inventor Bernard Eastlund is quoted on how HAARP can affect the weather: « Significant experiments could be performed. The HAARP antenna as it is now configured modulates the auroral electrojet to induce ELF waves and thus could have an effect on the zonal winds. »

[94] Angels Don’t Play This HAARP, Begich and Manning, op. cit.

[95] Entire passage: Amy Worthington: Aerosol and Electromagnetic Weapons in the Age of Nuclear War. Global Research | June 1, 2004

HAARP-Similar	devices	distributed	around	the	globe. (The	Chemistry	in	
Contrails Assessing	the	Impact	of	Aerosols
from	Jet	Fuel	Impurities,	Additives	and	Classified	
Military	Operations	on	Nature
by Harald	Kautz-Vella)
HAARP – Dispositifs similaires répartis dans le monde entier.

En arrivant lentement au cœur du problème, il est logique de jeter un second regard sur le tout début des choses. Le projet Paperclip n’était pas du tout pacifique. Le transfert de scientifiques allemands a conduit à la mise au point d’armes nucléaires, d’armes chimiques, d’armes biologiques et de méthodes de contrôle de l’esprit. Toutes ces armes ont été testées plus ou moins secrètement sur des civils et des militaires. Le développement le plus dévastateur a été la conversion des déchets de fluor issus de la production d’aluminium en un supplément pour l’eau potable et le dentifrice dans les années 60. Cette technique de contrôle mental a été développée à l’origine par IG-Farben comme méthode pour réduire au silence les territoires occupés, les camps de concentration et les camps de prisonniers de guerre en empoisonnant les habitants avec des composés fluorés par l’intermédiaire de l’eau potable, les rendant sans volonté et abrutis. À peu près à la même époque, l’industrie a commencé à distribuer du kérosène contenant des additifs à base de fluor, ce qui a entraîné un assombrissement de la planète et des dégâts importants dans la nature en raison des pluies acides et, suivant les suggestions d’IG Farben, des dégâts d’une ampleur inconnue dans l’esprit des gens.

Il est intéressant de savoir qu’IG Farben a été financée et « inspirée » par les mêmes groupes qui poussaient à l’eugénisme aux États-Unis dans les années 30, ce qui a conduit à des milliers et des milliers de stérilisations forcées. IG Farben a ensuite créé et produit le Cyclon B, et il existe un lien économique direct entre IG Farben, DOW Chemicals et Monsanto, responsable de la production et de la pulvérisation de l’agent orange au Viêt Nam.

Il est très difficile de dire jusqu’où va l’influence des groupes associés à l’agenda eugénique aujourd’hui. Rockefeller et Bill Gates, avec leur empire d’organisations caritatives, avouent ouvertement agir dans cet esprit, de même que des personnages comme Henry Kissinger, qui a fait du dépeuplement des pays du tiers-monde l’un des principaux intérêts de la politique étrangère des États-Unis [96]. Même si ces éléments se retrouvent dans la politique américaine, il est difficile de dire quand et par qui les propriétés du baryum-strontium-titanate ou d’autres aérosols pourraient être intentionnellement utilisées pour nuire à la population en les appliquant comme armes météorologiques ou antisismiques, ou comme agent de contrôle mental.

[96] NATIONAL SECURITY COUNCIL, WASHINGTON, D.C. 20506 April 24, 1974 National Security Study Memorandum 200

Extraits du meme article traduits en francais:

Contenu et résumé de l’article de Harald Kautz-Vella

Chapitre 9. Projet « Cloverleaf »

Nous ne voulons plus payer le tribut aux « seigneurs de la guerre »


Pétition de l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques  – ACSEIPICA    www.acseipica.fr


Pétition déposée dans le Grand Débat ainsi que dans le Vrai Débat

Nous ne voulons plus payer le tribut aux « seigneurs de la guerre », cette coalition internationale d’intérêts des gros consortiums militaires, pétroliers, chimiques et banquiers au profit de laquelle les états de l’OTAN, pour le moins, ont aujourd’hui perdu leur souveraineté.

STOP aux épandages aériens de substances toxiques pour lesquels nous payons par notre travail, par nos taxes et par notre santé !!! (voir notre pétition « épandages aériens STOP »)

Nous voulons la clarté sur ces opérations aériennes généralisées, clandestines mais flagrantes, qui lacèrent et polluent le ciel avec des traînées persistantes, émises à toutes les altitudes de notre mince couche d’atmosphère et sur le financement de ces opérations.

Respirer de l’air sain ! De l’eau non empoisonnée, un climat naturel ! Il faut pour cela exposer enfin la vérité sur les opérations militaires, et maintenant civiles sous couvert de « géoingéniérie », qui depuis plus de 60 ans détruisent à nos frais la planète, sols, mers et atmosphère, lever le voile sur les caisses où s’engouffre le fruit de notre travail, où disparaissent nos taxes. L’arrêt des épandages aériens dégagerait des sommes si colossales qu’on aurait de quoi de quoi restaurer largement le pouvoir d’achat pour tous ! On arrive au paroxysme de la logique de guerre: cette revendication portée unanimement, fera tomber toute la corruption du système, car nous sommes tous concernés pour le simple fait d’être en vie … si vous êtes vraiment décidés et disposés à un monde meilleur ! Pour plus d’information, lire:       

La planète Terre, ultime arme de guerre Dr Rosalie Bertell, éditions Talma

A diffuser largement

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MARCHE MONDIALE DU 21 AVRIL 2018

OPÉRATION AFFICHAGE

A l’occasion de la Marche Mondiale pour dénoncer la géoingéniérie du 21 avril 2018, voici une idée d’action:

Nous avons en stock des affiches du modèle ci-dessus que nous nous proposons de vous envoyer GRATUITEMENT pour cette occasion contre votre ENGAGEMENT de respecter les règles de l’affichage public (une notice sera jointe).

Nous avons ce modèle en format A2 pour les bords de routes, en format A3 et A4 pour les lieux publics et en format A7 (petits flyers recto français-verso anglais). CES MODÈLES SONT GRATUITS POUR CETTE OCCASION contre votre ENGAGEMENT à respecter les règles de l’affichage public. Stock limité. Dépêchez-vous ! Voir nos autres supports d’info http://www.acseipica.fr/boutique/ 

Passer votre commande ici acseipica.association@gmail.com avec en titre de message « Marche Mondiale »

téléphone 09 74 62 34 77

Communiquez votre action sur la page mondiale

 

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A NE PAS AGRAFER SUR LES ARBRES !!!

A tous les valeureux chevaliers qui diffusent nos informations
MERCI DE NE PAS AGRAFER SUR LES ARBRES
ni de coller dans des endroits non autorisés

Nous avons eu en effet un appel du commissariat de Lagarde dans le Var, nous informant qu’ils avaient trouvé un tract comme ci-dessus agrafé sur un arbre et que s’ils en trouvaient d’autres, ce serait 750€ d’amende. Nous avons mieux à faire.
Alors merci de votre compréhension et de votre action citoyenne, respectueuse des autres, des arbres et de l’environnement (car c’est quand même un comble !)

postez ici votre message

AFFICHES, TRACTS et AUTOCOLLANT

Tracts, affiches et autocollant à votre disposition sur commande

Commandes possible sur la page BOUTIQUE.

TRACTS « Ce qu’on ne vous dit pas »
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TRACT bilingue français/anglais
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Taille 12×12 cm – qualité extérieur
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Calculez vos frais d’envoi sachant que

  • 10 tracts pèsent 26 g – un tract 2,6 g – 1000 tracts 2,6kg
  • 1 autocollant pèse 4g; envoi par lettre
  • 1 affiche 30g
  • envoi par lettre verte; au-delà de 2,8kg, envoi par colissimo
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autocollant 12×12 cm
 
Affiche A3