Lettre ouverte à l’intention du GIEC concernant la géoingénierie

Une initiative de l’ETC Group

 » Les organisations signataires de cette lettre aimeraient exprimer leurs inquiétudes concernant la prochaine rencontre d’experts du groupe de travail conjoint du GIEC portant sur la géo-ingénierie, qui se tiendra à Lima (Pérou) du 20 au 22 juin 2011… suite (http://www.etcgroup.org/en/node/5269 )

Mise à jour du 21 juin 2011

Nous en sommes co-signataires,  
ainsi que, pour la France: la Fédération Sciences Citoyennes, Helio-France et Supahuman dignity
Télécharger le pdf avec la liste des signataires

GEO-INGENIERIE. En attendant qu’ils se RAND !

Transmis par Les Lucindas.

http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html

Vu sur http://www.handsoffmotherearth.org
Publié le 27 avril 2011.

L’armée américaine s’intéresse depuis longtemps à la modification de la météo et à la géoingénierie, mais nous pouvons maintenant jeter un œil à ses réflexions sur la gouvernance de la recherche dans le domaine de la géoingénierie.

En effet, la RAND Corporation  (note shd: pour en savoir plus sur le plus vieux think-tank militaro-industriel mondial, voir aussi la page fr.wikipedia.org sur la RAND) vient de publier un rapport de 93 pages qui tente de déterminer quels scénarios serviraient le mieux les intérêts des Etats-Unis, que ce soit l’interdiction totale, l’absence de normes ou la présence de normes très contraignantes. ( http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html)

Voici une preuve additionnelle que le gouvernement américain ainsi que le Département de la défense prennent la géoingénierie très au sérieux. Rien de rassurant.

Télécharger directement le  rapport complet / rapport résumé en anglais.
Lire en ligne le rapport résumé en anglais.
Traduction du résumé du rapport de la RAND-LIRE EN PLEIN ECRAN-

Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6 

Source :  http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html

Traduit par Les Lucindas.

La géoingénierie – la modification délibérée du climat planétaire – représente une proposition risquée, et effrayante pour certains. Mais le concept a attiré de plus en plus l’intérêt ces dernières années de part son habilité potentielle à changer de façon significative l’éventail des options pour limiter l’ampleur des futurs changements climatiques. Comparées à la plupart des approches visant à réduire les gaz à effet de serre, certaines approches en géoingénierie pourraient faire preuve d’une action plus rapide, moins onéreuse, et être déployées par une seule ou un petit nombre de nations sans coopération globale. Ces caractéristiques offrent un défi significatif pour la gestions des risques, la sécurité nationale, et la gouvernance internationale qui commence juste à faire l’objet de réflexion.

Ce rapport fournit tout d’abord un examen et une comparaison des risques associés aux approches alternatives internationales que les Etats Unis pourraient mener pour gouverner la géoingénierie SRM (gestion du rayonnement solaire). Pour traiter un vaste champ d’incertitudes, nous employons un cadre décisionnel analytique cooptant vulnérabilité et réaction. Plus spécifiquement, nous identifions des scénarios dans lesquels les alternatives des politiques américaines concernant la gouvernance de la géoingénierie pourraient échouer à atteindre leurs objectifs et suggèrent comment elles pourraient réduire ces vulnérabilités. Ce rapport exécute cette approche en utilisant une simple simulation afin de diriger les premières étapes d’une analyse de prises de décisions robuste (RDM, Robust decision Making). L’analyse identifie certains des risques  des trois approches les plus communément débattues concernant la gestion des recherches en géoingénierie : établir des normes imposantes à cette recherche, bannir totalement toute recherche, ou laisser cette recherche déréglementée.

Ce rapport a pour but de servir trois objectifs. Premièrement il démontre l’habilité potentielle d’une analyse des risques basée sur un cadre analytique cooptant vulnérabilité et réponse à informer le débat sur la géoingénierie. Deuxièmement, il aide à définir les étapes nécessaires à la conduite d’une analyse complète pour une prise de décision robuste (RDM) concernant ces questions de gouvernance. Troisièmement, il fournit des résultats politiques très intéressants, bien qu’à titre purement suggestif.

Cette analyse a comparé trois alternatives de politiques que le gouvernement américain pourrait mener concernant une gouvernance à court terme. Le rapport cible les technologies SRM parce que ce technologies offre un éventail complet de caractéristiques qui font que la géoingénierie  apparaît  à la fois  attrayante et dangereuse : une action rapide, relativement peu onéreuse, et qui est passible d’avoir des conséquences globales, même s’il s’agit d’une action unilatérale.

Sous une régulation imposante, le gouvernement américain encouragerait l’établissement de normes internationales pour réglementer les recherches en géoingénierie. Si elles sont bannies, les Etats Unis auraient à promouvoir une prohibition sur toute recherche en géoingénierie. En cas de déréglementation, les Etats Unis auraient à décourager activement toute tentative de réglementation. Une comparaison des performances de ces trois stratégies, à travers plusieurs états possibles du monde futur suggère que, si les dirigeants américains croient que certains types de technologies SRM sont possibles, ils auront à choisir une politique de réglementation stricte. Sous de telles conditions, cette option surpasse les alternatives parce que cela augmente la probabilité d’un déploiement réussi dans les cas où la géoingénierie prouverait sa faisabilité. Cela réduit également les probabilités d’échec dans les déploiements des nations luttant contre les impacts climatiques graves.

Si les dirigeants américains croient que les technologies SRM ne pourront pas réussir, ils auront à choisir de bannir toute recherche ou de les laisser sans réglementation. La politique de bannissement apparaît préférable si les dirigeants croient que les changements climatiques ne seront pas catastrophiques. Dans de telles conditions, cette option réduit les risques d’un excès de confiance dans le déploiement d’un système d’ingénierie qui aurait passé les tests mais échouerait en pratique. Cette option augmenteraient également la probabilité d’un accord international pour la réduction des gaz à effets de serre.

Pour comparer, les dirigeants pourraient choisi l’absence de réglementation s’ils croient que les technologies SRM ne sont pas fiables mais que le changement climatique peut être catastrophique. Sous de telles conditions, et en cas de bannissement de la géoingénierie, d’autres nations pourraient défier la prohibition et déployer une technologie SRM qui échouerait. L’absence de réglementation des recherches pourrait aboutir à des tests faits par des nations chacune de leur côté, sans communiquer leurs résultats. Ainsi, dans ce cas, une politique de déréglementation éviterait un déploiement secret de la géoingénierie.

Il y a beaucoup de mises en garde dans ces premiers résultats. L’analyse ne considère qu’un petit éventail des options possibles pour le gouvernement américain. Le rapport ne traite que les décisions des gouvernements nationaux et ne considère pas explicitement les choix des entreprises privées ou autres organisations non gouvernementales qui peuvent influer sur l’évolution politique en ce qui concerne la géoingénierie. Une analyse RDM plus complète avec une simulation plus complexe pourraient probablement ajouter d’autres vulnérabilités que celles identifiées précédemment et identifierait les directions à prendre pour en améliorer au moins quelques unes. Toutefois, ce rapport démontre que cette analyse des risques se fait sous des conditions de grande incertitude, ce qui pourrait aider les dirigeants américains à développer et évaluer des politiques robustes envers la gouvernance de la géoingénierie. L’étude offre également un aperçu des conditions futures sous lesquelles les approches de gouvernance des recherches en géoingénierie pourraient ne pas marcher comme prévu, et fournit quelques suggestions concernant l’arbitrage de telles stratégies, et décrit les étapes d’après qui pourrait se résoudre avec une estimation plus complète des arbitrages entre les politiques à court terme de gestion des risques et opportunités de la géoingénierie.

Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6 

Source :  http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html

Traduit par Les Lucindas.

http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html

CIEL BLEU ???

Article du Dr Sandra Illya Prelinghieri traduit de l’anglais

Tout semblant de ciel bleu azur foncé des années 1990 a disparu, à cause de ces breuvages mortels.
Le soi-disant « ciel bleu » intermittent que des millions d’entre nous ont vu ces six derniers mois n’est, en fait, PAS un retour au vrai ciel bleu que nous avions avant que ce cauchemar délibérément créé ne commence. Il s’agit d’une autre illusion.
Selon le Dr Castle, cette « nouvelle couleur bleue est due aux composés chimiques Manganèse di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (sels). Ils sont ajoutés aux traînées chimiques de façon à ce que la lumière ne soit pas réfléchie ; au contraire, ces composés réfractent à la fois la lumière et l’obscurité. Par conséquent, l’atmosphère est transformée en ce que l’on appelle « une réfraction de phase cohérente par fibre optique » dans un matériau cristallin (les sels) de couleur bleue. Ainsi, le ciel « semble » bleu, mais en réalité il n’a que la couleur réfractée de la couleur (claire ou foncée) qui se trouve au-dessus de lui.« 


Le Dr Castle m’a dit hier que « la couleur est basée sur le bleu outremer/violet qui a été micronisé en particules aérosolisées et déployé dans l’atmosphère ouverte« . Il ajoute : « Cet aérosol a une puissance de 500 fois supérieure à celle de l’air ambiant : « Cet aérosol contient 500 fois plus de manganèse et un niveau élevé de composés dibromo-flouro-benzène toxiques. Cela permet aux aérosols de rester plus longtemps en altitude, contrairement au baryum et à l’aluminium, plus lourds. Ce dernier a également été testé et présente des niveaux plus élevés d’arsenic et de gallium, qui ont tous deux été testés de manière indépendante par Arizona Skywatch et d’autres. « 

Article original en anglais du Dr Sandra Illya Prelinghieri
Extrait:

Any semblance of the real, dark azure-blue sky of the 1990s is gone, due to these deadly brews.
Our intermittent so-called « blue sky » that millions of us have seen these past six months is, in fact, NOT a return to our real, blue, pre-Chemtrails sky that we had before this deliberately created nightmare began. This is another illusion.
According to Dr. Castle, this « new color blue is due to the chemical compounds Manganese di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (salts). They are added to Chemtrails so that light is not reflected; but, rather, these compounds refract both light and dark. Therefore, it works the atmosphere into what is called ‘a coherent phase fiber optics refraction’ in a crystalline (the salts) blue material. So, the sky ‘looks’ blue; but actually it only has the refracted color of whatever color (bright or dark) is above it. »
Dr. Castle told me yesterday, « the color is based on ultramarine blue/violet that has been micronized into aerosolized particulates and deployed into the open atmosphere. » He notes: « This aerosol has 500 times more manganese and a huge level of a toxic dibromo-flouro-benzene compounds. This helps the aerosols stay aloft for longer periods of time, unlike the heavier barium and aluminum. This also has been tested; and has higher levels of arsenic and gallium, both of which have been independently tested by Arizona Skywatch and others. »

« Malheureusement le gouvernement américain contribue à toutes sortes d’activités eugéniques de ce type » [VIDEO 2:45mn]

Interview de Joe Bannister, ancien agent spécial de la division des enquêtes criminelles de l'Internal Revenue Service (IRS) parle des chemtrails

Interview de Joe Bannister, ancien agent spécial de la division des enquêtes criminelles de l’Internal Revenue Service (IRS)

Ex agent spécial IRS témoigne sur les chemtrails.

Lien: https://www.dailymotion.com/video/xh94oo

Merci à chem trails pour cette vidéo.
En anglais avec sous-titres en francais, 2:45mn.

Le film "Bye bye blue sky" suites

Récapitulatif historique de la « modification du climat »

Après sa diffusion sur la chaîne de TV suisse RSI2, le film de Patrick Pasin a suscité quelques réactions hostiles, niant le phénomène.

Voilà ce qu’écrit le réalisateur Patrick Pasin aux dirigeants de cette chaîne:

Messieurs,

Les messages que vous avez reçus après la diffusion de « Bye Bye Blue Sky » ne sont pas une surprise pour moi. Quels que soient les éléments objectifs que l’on peut apporter, par exemple les analyses du sol telles celles que j’ai fait réaliser à Paris ou le fait que l’armée française ait acheté 10 tonnes de sulfate de baryum, vous recevrez toujours ce type de messages de gens qui s’auto-proclament « debunkers ».

J’enquête sur les questions climatiques et les chemtrails depuis plus de 7 ans. J’ai lu des dizaines de livres, d’études et de rapports sur la question. En janvier, j’ai terminé la rédaction d’un livre dont le titre est « La Manipulation du climat par les militaires ».

La « modification du climat » (c’est le terme officiel) possède déjà une longue histoire. Le premier essai officiel remonte aussi loin que 1891, avec l’expérience dans les Staked Plains au Texas conduite par le Général Dyrenforth. Le Congrès américain alloua alors la somme de 10 000 $, mais arrêta au bout de deux ans compte tenu des faibles résultats (j’ai acheté des journaux de l’époque pour connaître les détails de ces opérations).

La pulvérisation de produits chimiques dans le ciel par les militaires présente aussi une longue histoire. La première tentative de modification du climat à bord d’avions est certainement celle qui se produisit aux Etats-Unis en 1924, lorsque le Army Air Service équipa 2 avions selon les instructions du Dr Emory Leon Chaffee, un physicien de Harvard. Les militaires américains ne sont pas les seuls à avoir tenté ces expériences : les Russes, les Chinois et certainement d’autres ont aussi essayé. J’ai lu, par exemple, que l’armée chinoise avait répandu du deolin en 1930 au-dessus de Hong-Kong afin de combattre la sécheresse.

Ce n’était que le début, mais tout commença vraiment après 1946 et la découverte par le Dr V. Schaeffer de General Electric qu’en déversant de l’iodure d’argent dans les nuages, cela déclenchait des précipitations. Des milliers d’expériences ont été réalisées à travers le monde, dont bien sûr par les militaires. Pour les Etats-Unis, les recherches initiales furent principalement confiées à la Naval Aionr Weapons Stati à la base de China Lake, en Californie du Nord.

Pulvériser des produits chimiques dans le ciel devint une affaire courante pour les militaires américains (et les autres), par exemple dans la lutte contre les ouragans, avec notamment les projets de longue durée Cirrus (1947-1952) et Stormfury (1961-1983). 

Officiellement, la première utilisation de produits chimiques pour modifier le climat comme arme de guerre se produisit pendant le Vietnam, sous le nom de code « Operation Popeye ». De 1967 à 1972, près de 2 700 vols furent effectués pour répandre ces produits au-dessus du Vietnam et du Laos. Presque jusqu’à la fin de l’opération, les militaires réussirent à la garder secrète. Elle ne fut révélée qu’en 1971, ce qui aboutit à une audition devant le Congrès des Etats-Unis le 20 mars 1974 (cette audition ainsi que les détails de l’opération Popeye sont présentés dans un petit livre officiel intitulé  »Prohibition of weather modification as a weapon of war: Hearing before the Subcommittee on International Organizations of the Committee on International … first session, H. Res. 28 … July 29, 1975 » – j’ai ce livre, évidemment).

J’ai indiqué que le Pentagone n’est pas le seul à avoir pratiqué ces épandages chimiques : les Anglais l’ont fait aussi. La BBC, par exemple, a révélé en 2001 que l’inondation soudaine qui dévasta en 1952 la petite ville de Lynmouth, faisant 34 morts, était due à des expériences menées par la RAF sous le nom de code « Operation Cumulus

 (http: //www. uagrdian.co.uk/uk/2001/aug/30/sillyseason.physicalsciences). Malgré les preuves apportées par la BBC, le gouvernement nia sa responsabilité et refusa l’ouverture d’une enquête officielle.

Modifier le climat est une chose, empoisonner les populations en est une autre. En 1997, à la demande du Congrès, le National Research Council (NRC) publie un rapport stupéfiant, dont le titre est « Toxicological assessment of the U.S. Army’s zinc cadmium sulphide dispersion tests ». Il est expliqué que 40 ans plus tôt, dans les années 50 et 60, l’armée américaine déversa à partir d’avions, du toits des immeubles et de véhicules mobiles, un composé de sulfure de cadmium-zinc et de micro-organismes au-dessus de trente-trois zones urbaines et rurales des Etats-Unis et du Canada, dans le cadre de tests de guerre bactériologique. Des villes aussi importantes que Minneapolis et St. Louis furent visées. Bien évidemment, le NRC et ses experts concluent dans leur rapport que ces expériences ne présentaient aucun danger pour la population. La lecture complète du rapport démontre plutôt le contraire. Signalons que les militaires déclarèrent ne plus savoir exactement où furent conduites ces opérations et que la plupart des dossiers a disparu…

Nous apprenons aussi dans ce rapport que les mêmes expériences contre la population et l’environnement furent menées à la même période en Scandinavie et au Royaume-Uni, pendant près de 40 ans ! Le journal The Observer enquêta sur le sujet (à lire sur le site de The Guardian http://www.guardian.co.uk/politics/2002/apr/21/uk.medicalscience). « Beaucoup de ces tests consistaient à disperser des produits chimiques et des micro-organismes potentiellement dangereux au-dessus de vastes zones habitées, sans en avoir informé préalablement les populations. »

Les conséquences furent terribles, mais de nouveau, comme aux Etats-Unis, des experts distingués conclurent quatre décennies plus tard que ces expériences étaient sans danger pour la population et l’environnement. Et tout fut classé définitivement.

Tandis qu’ils aspergeaient les gens aux USA, en Angleterre et ailleurs, bien évidemment des « experts » et des « savants » expliquaient que ces traces dans le ciel étaient absolument normales. Par exemple, le journal américain The Free-Lance Star du 6 Mai 1972, explique que « les contrails familières souvent laissées par les avions volant à haute altitude peuvent persister pendant une longue période sous certaines conditions. » 

De même, dans le livre Clouds of the World: A Complete Color Encyclopedia publié en 1972, il est expliqué dans le chapitre 11 – Condensation trails, que ces traînées persistantes sont tout à fait normales. Dans les films et les séries TV américains de l’époque, on en voit parfois. Un exemple flagrant : l’épisode n°25 de la première saison de ZORRO, diffusée en 1957-58 (il n’y a eu que deux saisons). Vous verrez ces traînées, tout particulièrement pendant la course. Elles sont manifestement persistantes, car elles apparaissent, mais (heureusement) pas les avions qui les ont produites…

Dans son livre « Planet Earth, The Latest Weapon Of War », le Dr Rosalie Bertell écrit que « les Etats-Unis et le Canada collaborent à des expériences de modification du temps depuis 1958. […] Le Programme Churchill CRM (Chemical Release Modules) comprenait différents composés du baryum, dont de l’azoture de baryum, du chlorate de baryum, du nitrate de baryum, du perchlorate de baryum et du peroxyde de baryum. Tous sont combustibles et la plupart sont destructeurs de la couche d’ozone. Dans un programme de 1980, environ 2 000 kg de produits chimiques furent déversés dans l’atmosphère, incluant 1 000 kg de lithium. Le lithium est un produit chimique hautement réactif qui est ionisé très facilement par les rayons du soleil. Ceci augmente la densité des électrons dans les couches basse de l’ionosphère et crée des radicaux libres qui sont hautement réactifs et capables de produire d’autres changements chimiques.

[…] J’ai interrogé un jour le conservateur de la bibliothèque du Parlement du Canada pour savoir s’il existait des comptes-rendus officiels sur les conséquences de ces expériences. Il me fut répondu qu’il n’y avait aucun problème d’ordre environnemental étant donné que les scientifiques menant ces expérimentations n’en avait mentionné aucun et qu’il n’y avait pas de tollé de la part du public. Evidemment, puisque le public ne savait pas que les couleurs magnifiques qu’il observait dans le ciel pouvaient avoir été causées par des expériences. »

Pour ceux qui essayeraient de nous faire croire que ces expériences n’existent plus, voici un extrait d’une correspondance récente avec le Dr Rosalie Bertell :

« Le 19 septembre 2010, l’U.S. Navy a effectué un tir de fusée de sa base en Virginie pour créer des nuages artificiels d’oxyde d’aluminium à environ 800 kilomètres au-dessus de la côte Est des Etats-Unis. Les nuages naturels les plus élevés se situent autour de 80 km. L’ombre nuageuse gigantesque a ainsi généré une neige précoce sur la côte Est. […] Le plan original prévoyait aussi un test au-dessus de Singapour. L’U.S. Naval Reserve a retiré de son site les informations sur ce projet lorsque j’ai commencé à en parler. Qui sait ce qu’ils peuvent bien manigancer d’autre ? »

Ainsi que je l’ai indiqué ci-dessus, j’ai écrit un livre sur le sujet, donc évidemment je pourrais en ajouter encore sur ces expériences et opérations militaires devenues monnaie courante depuis plus de 60 ans. Qui peut encore avancer que tout cela n’existe pas ? Qu’il s’agit de « théorie du complot » ? Chacun peut vérifier toutes les informations ci-dessus, car elles proviennent de rapports officiels et de grands médias comme la BBC et The Guardian.

Parlons maintenant du film. J’ai évidemment interviewé des scientifiques (dont un météorologue membre distingué du GIEC), qui m’ont expliqué que les chemtrails n’existent pas et que tout est contrail. Lorsque, durant l’interview, je leur ai demandé s’ils avaient effectué des analyses de quelque sorte que ce soit pour étayer leurs propos, leur réponse fut naturellement négative. En fait, ils n’ont pas du tout étudié le phénomène : ils connaissent la « réponse officielle » et se contentent de la délivrer. Ce n’est plus de la science mais de la politique.

De même, lorsque je leur ai demandé comment expliquer la présence de baryum à la surface des bacs à sable à Paris et dans les endroits où apparaissent régulièrement ces traînées, ils n’avaient pas d’explication…
Et je ne parle pas mêmes des 10 tonnes de baryum achetées par l’armée française : aucun expert ou scientifique n’a été en mesure de me fournir une explication plausible quant à leur utilisation… Et je rappelle, ainsi qu’il est mentionné dans le film, que les militaires ont retiré l’information de leur site immédiatement après ma visite et le fait que je l’aie enregistrée. Pourquoi ?

Donc ces scientifiques que j’ai interviewés ne sont pas dans le documentaire : porter une blouse blanche et être qualifié officiellement de scientifique n’est pas suffisant, encore faut-il avoir travaillé sur le sujet pour être pertinent. C’est un respect minimum dû au public. De plus, la « réponse officielle » est déjà dans le film, puisque je cite cet extrait de la brochure de l’US Air Force affirmant que les chemtrails sont un « hoax », un canular. Je me suis donc clairement centré sur les scientifiques qui ont étudié le phénomène de ces traînées persistantes et depuis plusieurs années.

Certains emails que vous avez reçus tentent de jeter le discrédit sur eux. Est-il vraiment utile d’y répondre ? Le Dr Rosalie Bertell est une grande Dame, avec tant de références, de réalisations, de récompenses ! En juin dernier, elle a de nouveau été invitée à s’exprimer aux Nations Unies sur les questions de désarmement. Elle a dirigé la Commission médicale internationale de Bhopal, qui a enquêté sur les conséquences de cette catastrophe en Inde, elle a organisé la Commission médicale internationale à Tchernobyl, elle a travaillé sur le projet de guerre des étoiles de Reagan, etc., etc. Elle est l’une des rares scientifiques cités dans le Rapport Theorin (1999) du Parlement européen, que chacun devrait avoir lu.

Les références et les réalisations du Dr Nikos Katsaros sont également impressionnantes. De plus, il écrit et s’exprime sans relâche sur le sujet, y compris devant les parlements et les institutions qui l’invitent régulièrement. Quant au Dr Coen Vermeeren, en tant qu’expert en aéronautique, il est totalement engagé dans ce sujet sur lequel il enquête depuis des années avec tous ses efforts et son humilité.

De l’information documentée peut être trouvée partout. La chaîne allemande RTL9 a diffusé un reportage (http://www.youtube.com/watch?v=RWsQ2KnIvH0&feature=more_related) où des météorologues menés par Karsten Brandt ont obligé l’armée allemande à reconnaître qu’elle avait répandu des produits chimiques dans le ciel en  2005 et 2006.

De nombreuses analyses sont disponibles sur Internet (http://www.carnicom.com/flame1.htm). Ce qu’explique le Dr Hildegarde Stanninger est incroyable : elle a fait réaliser des analyses qui montrent au Texas et ailleurs que les substances trouvées dans des chemtrails et sur des patients souffrant de la maladie des Morgellons sont les mêmes (http://morgellons-info.blogspot.com/2010/11/morgellons-intervista-alla-dottoressa.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+MorgellonsDiseasetankerEnemy+%28Morgellons+Disease+%28Tanker+Enemy%29%29

Les contrôleurs aériens commencent aussi à parler (lire l’article de William Thomas, qui enquête depuis longtemps sur le sujet des chemtrails, sur http://www.rense.com/general20/cc.htm).

Vous pouvez aussi lire ce qu’en dit le Dr R. Michael Castle : « Au cours de ce siècle, nous pensons que nous assistons à la fin progressive et délibérée du système naturel de la Terre. Il y a ceux qui « débunquent » / désinforment tout ce qui est écrit au sujet des chemtrails. De quoi s’agit-il ? Les chemtrails ne sont que la vague description, en termes profanes, d’un théâtre bien plus vaste de produits toxiques déversés dans l’atmosphère / la stratosphère, pour une myriade de programmes bruts et toxiques. »

Je pourrais ajouter tellement d’autres informations, mais j’arrête la liste, car ce texte est déjà long. J’espère qu’il vous aidera. Ainsi que je l’ai indiqué au début, vous pouvez l’utiliser comme vous le souhaitez.

Pour finir, je voudrais saluer votre courage et votre sens des responsabilités. Espérons maintenant que le public fera pression sur les hommes politiques pour qu’ils obligent les militaires à arrêter tout ça.

Bien cordialement,

Patrick Pasin

Producteur et réalisateur de « Bye Bye Blue Sky »

LES RESOLUTIONS DE NAGOYA (Conférence des Parties d’octobre 2010)

Le président de la COP, Ryu Matsumoto, adoptant le protocole historique de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation.

Bulletin des Négociations de la Terre

Vol. 9 No. 544 Page 23 Lundi 1er novembre 2010

Compte rendu complet

Extrait concernant la géo-ingénierie

«Tuvalu, les Philippines, le Costa Rica, le Groupe africain, la Suisse, le Groupe Alianza Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América (ALBA), la Grenade, Greenpeace, Climate Alliance et ETC Group ont demandé qu’aucune géo-ingénierie ne soit entreprise jusqu’à ce qu’une base scientifique suffisante la justifie et que les risques associés soient considérés. 

Les Philippines ont également proposé d’insérer un libellé sur la nécessité urgente d’un cadre réglementaire global et transparent pour la géo-ingénierie. 

Le Brésil a proposé d’autoriser les activités scientifiques à petite échelle et dans les limites de la juridiction nationale. 

Le Japon a noté que certaines activités de géo-ingénierie pourraient être bénéfiques pour la biodiversité et le changement climatique. 

La Fédération de Russie a demandé la suppression d’un libellé sur la géo-ingénierie. 

Les délégués ont ensuite discuté: d’une définition ou d’une compréhension de la géo-ingénierie; la formulation d’un moratoire de factoet une exception pour la recherche scientifique.

Au sujet de la définition, les délégués ont discuté d’une compréhension préliminaire de la géo-ingénierie, faisant référence aux technologies de réduction de l’insolation ou l’augmentation de la séquestration du carbone de l’atmosphère et débattant du point de savoir s’il y a lieu d’exclure explicitement la capture et le stockage du carbone (CSC). Finalement, les délégués ont accepté, dans le groupe des Amis du Président, d’insérer, dans une note de bas de page, une compréhension de la géo-ingénierie, sans préjudice à de futures délibérations sur la définition, à l’exclusion du CSC à partir de combustibles fossiles lorsqu’il capture le dioxyde de carbone avant qu’il ne soit libéré dans l’atmosphère. 

Au cours des discussions du GT

I, la Bolivie a demandé de préciser que l’exclusion du CSC ne peut pas être interprétée comme une acceptation des activités de géo-ingénierie dans le projet de décision, acceptant par la suite de noter simplement cette préoccupation dans le rapport de la réunion.

Concernant le moratoire de facto, les délégués ont débattu du point de savoir s’il devait être levé après la création d’un mécanisme global, transparent et efficace de réglementation et de contrôle. Ils ont finalement décidé de mentionner l’absence de tels mécanismes, mais ont chargé le Secrétariat d’une étude des lacunes dans les mécanismes mondiaux pour examen par l’OSASTT, en tenant compte que ces mécanismes peuvent ne pas être les mieux placés au titre de la CDB. Les délégués ont ensuite discuté de la façon de qualifier le moratoire, acceptant en fin de compte de se référer aux “activités de géo-ingénierie liées au climat qui peuvent affecter la biodiversité,” conformément à l’approche de précaution et l’article 14 de la CDB (Évaluation de l’impact et réduction des effets indésirables).

S’agissant de l’exception faite pour la recherche scientifique, les délégués ont débattu du point de savoir s’il faut demander qu’elle soit effectuée dans un environnement “clos” et “contrôlé”, dans les limites de la juridiction nationale, sous réserve d’une évaluation préalable des impacts potentiels sur l’environnement, et justifiée sur la nécessité de recueillir des données spécifiques. Ils ont finalement convenu de se référer à un “environnement contrôlé” et à l’article 3 de la CDB pour s’assurer que les activités relevant de la compétence ou du contrôle des parties de la CDB ne causent pas de dommages à l’environnement d’autres États ou au-delà de la juridiction nationale. »

Commentaire de Claire:

Nous avons ainsi découvert qu’en fait, les pays avaient jusqu’au 1er février 2012 pour signer le protocole incluant ce moratoire sur la géoingéniérie dont il est bien effectivement question. La France l’a signé fin 2011 puis ratifié le 31.08.2016. Liste des pays signataires

Donc cela contredit ce qui était dit dans le message « compte rendu du meeting d’Athènes« , ci-dessous, comme quoi, on pouvait interpeller nos représentants sur la base de ce protocole qu’ils étaient censés avoir signé: ce n’est pas encore fait. Mais peut être peut-on faire un peu pression sur eux pour qu’ils le signe … 

Et puis après, entre ce qui est signé et ce qui est appliqué, tout le monde connait la différence. Mais quand c’est signé, c’est signé. Quand même ! 

COP10 : Tenth Meeting of the Conference of the Parties to the Convention on Biological Diversity
https://enb.iisd.org/biodiv/cop10/

La dixième réunion de la Conférence des Parties (COP 10) à la Convention sur la diversité biologique (CDB) s’est tenue du 18 au 29 octobre 2010 à Nagoya, au Japon, et a rassemblé plus de 7 000 délégués. Après d’intenses sessions nocturnes marquées par de nombreuses délibérations parallèles et des négociations de dernière minute sur l’APA, le plan stratégique et la stratégie de mobilisation des ressources, un « paquet » impressionnant a été adopté, faisant de la CdP 10 l’une des réunions les plus réussies de l’histoire de la Convention: le protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation ; le plan stratégique de la CDB pour la période 2011-2020 ; et une décision sur les activités et les indicateurs pour la mise en œuvre de la stratégie de mobilisation des ressources. Enfin, la réunion a adopté une décision équivalant à un moratoire de facto sur la géo-ingénierie, pris position sur la question de la biologie synthétique, affirmé le rôle de la CDB dans la REDD+, adopté le code de conduite éthique Tkarihwaié:ri et établi des mesures claires pour accroître la coopération entre les conventions de Rio jusqu’au sommet Rio+20.

Le président Matsumoto a clôturé la COP 10 à 2h59 du matin le samedi 30 octobre 2010.

Photo ci-dessus : Le président de la COP, Ryu Matsumoto, adoptant le protocole historique de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation.

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Vous pouvez aussi le télécharger sur cette page

Il a été présenté pour la première fois au symposium de Gand pour la vérité sur les épandages aériens, le 29 mai 2010, organisé par le


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Où est passé le réchauffement climatique ?

Jean Paul Jody, auteur de la BD « La route de Gakona » – une fiction très bien documentée à propos de Haarp vient de publier sur son blog la partie 1 d’une rétrospective assez exhaustive sur les différents points de vue sur le climat et leur évolution.
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