Chapitre 8. Politique, infrastructure et utilisation militaire éventuelle (pages 70 – 75) de « La chimie des traînées de condensation » par Harald Kautz-Vella

Conférence Harald Kautz-Vella

Photo d’illustration: conférence en allemand de Harald Kautz-Vella Autonomisation – Le chemin du retour au paradis 01.10.2016

November 19th 2014
The Chemistry in Contrails | La chimie des traînées de condensation

Assessing the Impact of Aerosols
from Jet Fuel Impurities, Additives and Classified
Military Operations on Nature

Évaluer l’impact sur la nature des aérosols
provenant des impuretés et additifs du carburant des avions à réaction
et des opérations militaires classifiées


by Harald Kautz-Vella

PDF de 112 pages en anglais
https://aquarius-technologies.de/wp-content/uploads/2021/02/TheChemistryinContrails.pdf

Chapitre 8. Politique, infrastructure et utilisation militaire éventuelle (pages 70 – 75)

Lorsque les activités d’un gouvernement, d’une armée ou d’une agence sont classifiées, que les personnes impliquées doivent signer des accords de non-divulgation et sont menacées d’emprisonnement, que ce qui est déclaré soit considéré comme étant une théorie de la conspiration est une réaction naturelle de l’esprit humain. L’un a un secret, l’autre se demande ce que c’est. C’est aussi simple que cela. Le projet Cloverleaf est aussi hautement confidentiel qu’un projet peut l’être.

Le public ne dispose d’aucune information officielle. Il y a quelques dénonciations qui peuvent contenir des vérités, mais aussi des quantités considérables de désinformation. Normalement, cela ne devrait pas avoir sa place dans un document qui se veut scientifique. Mais à ce stade, il n’y a pas d’autre option que de citer les lanceurs d’alerte et d’accepter leur souhait de cacher leur identité. Et de chercher à nouveau des preuves scientifiques de leurs affirmations.

Il n’est donc pas possible de citer les informations suivantes au sens scientifique du terme et elles peuvent contenir de la désinformation. La structure que l’on rencontre est en forme d’oignon. Il y a une surface officielle qui investit beaucoup d’argent dans la recherche, mais qui projette la géo-ingénierie pratique principalement dans l’avenir[77]. Mais même si l’on regarde derrière la scène, que l’on écoute les déclarations des lanceurs d’alerte et que l’on lit les documents secrets qui ont été involontairement exposés au public, on ne trouve pas une vérité cohérente, mais plutôt des couches de pelures d’oignon de différents concepts de la réalité.

[77] Professor John Shepherd et al.: Geoengineering the Climate: Science, Governance and Uncertainty. The Royal Society
2009

La pelure d’oignon extérieure ressemble à ceci : la géo-ingénierie a été envisagée pour la première fois dans l’Allemagne d’avant la Seconde Guerre mondiale. La plupart des idées étaient mégalomanes mais plutôt terre-à-terre, comme couper et assécher la Méditerranée pour récolter des terres et mettre en place une centrale hydraulique pour alimenter toute la région en électricité. Un autre concept consistait à faire fondre les poles pour accéder aux ressources naturelles situées en dessous. Certains de ces ingénieurs sont arrivés aux États-Unis après la guerre. L’opération Trombone [pour le papier, pas l’instrument de musique] (Paperclip) a recruté 10 000 chercheurs allemands de haut niveau pour servir l’armée américaine. Les objectifs discutés publiquement étaient plutôt pacifiques. Il s’agissait par exemple de prévenir les ouragans et les tempêtes, de diriger les pluies pour garantir les récoltes…

En 1964, la Fondation Scientifique Nationale Américaine (American National Science Foundation) a créé une commission spéciale sur la manipulation du temps. Cependant, les premières applications pratiques se sont avérées moins pacifiques. Il s’agit de l’ensemencement des nuages effectué au Nord-Vietnam pour renforcer les pluies de mousson et inonder la jungle afin de couper le Vietcong de ses approvisionnements.

Le premier document notable relatif à la forme d’ensemencement des nuages dont il est question dans le présent document est le brevet Welsbach[78] , déposé en 1986. Il s’agit du premier brevet suggérant la pulvérisation d’oxyde d’aluminium et de sels métalliques pour lutter contre le changement climatique. Depuis lors, d’autres brevets ont été déposés qui couvrent l’ensemble du processus technique d’ensemencement des nuages par pulvérisation d’aérosols à partir d’avions civils et militaires.

[78] 78 US-Patent No. 5,003,186

En 1990, le gouvernement américain est entré dans une phase de recherche intensive sur la géo-ingénierie avec le « Global Change Research Act » [79]

[79] Official governmental website: http://www.gcrio.org/gcact1990.html

En 2001, le président élu George W. Bush a mis en place l’initiative de recherche sur le changement climatique (CCRI). Un an plus tard, il a été rendu public que l’USGCRP (United States Global Change Research Program = Programme de recherche sur le changement global des États-Unis) et le CCRI deviendraient ce que l’on appelle le (CCSP) Climate Change Science Program (Programme scientifique sur le changement climatique). Aujourd’hui, sous l’administration Obama, l’héritage continue d’avancer sous le nom d’USGCRP, avec un budget annuel de 2,7 milliards de dollars. [80] Un aperçu de ces programmes révèle que la plupart d’entre eux visent à lutter contre le changement climatique et non à le surveiller.

[80] Shepard Ambellas & Avalon: The Budget Obama Didn’t Want You To Know About. the intelhub.com, March 30, 2011.
Online at: http://theintelhub.com/2011/03/30/secret-presidential-chemtrail-budget-uncovered-exceeds-billions-tospray-populations-like-roaches/ on Nov. 22nd 2012.

Une autre initiative est prévue par le ministère américain de la sécurité intérieure, qui a l’intention de mettre en place le « Hurricane Aerosol and Microphysics Program “ [81].

[81] Richard W. Spinrad to William Laska, “Response to Statement of Work: Hurricane Aerosol and Microphysics Program,”
US Department of Commerce, National Oceanic and Atmospheric Administration, Silver Springs, MD, July 29, 2009,
http://voices.washingtonpost.com/capitalweathergang/noaa_letter_dhs_hurricane_modification.pdf

En 2012, des scientifiques américains ont ciblé ”un prix abordable de moins de 5 milliards par an » pour « souffler un million de tonnes » à des altitudes de 18 miles [82] . Le changement climatique serait principalement causé par le CO2.

[82] Allister Doyle and David Fogarty, “’Sunshade’ to Fight Climate Change Costed at $5 Billion Year,” Reuters, August 31, 2012, http://in.reuters.com/article/2012/08/30/climate-sunshade-idINDEE87T0K420120830

Toutes ces sources font référence au changement climatique provoqué par l’homme comme étant le problème à résoudre par la géo-ingénierie. On croit que le changement climatique est principalement causé par le CO2.

Les résultats de cette recherche sont résumés dans ce graphique :

The	Chemistry	in	
Contrails
Assessing	the	Impact	of	Aerosols
from	Jet	Fuel	Impurities,	Additives	and	Classified	
Military	Operations	on	Nature
by
Harald	Kautz-Vella. Source	unknown,	for	copyright	issues	please	contact	the	author
Source inconnue, pour les questions de droits d’auteur, veuillez contacter l’auteur.

Abscisse: affordability · accessibilité financière
Ordonnée: effectiveness · effectivité
low · bas
high · élevé

Le passage suivant donne une vague image des actions projetées et des aérosols qu’il est prévu d’utiliser :

Jusqu’à présent, le lancement de matériaux réfléchissants dans la haute stratosphère semble être l’option la plus facile et la plus rentable. Pour ce faire, on pourrait utiliser des avions de haut vol, des canons navals ou des ballons géants. Les matériaux appropriés pourraient inclure des aérosols de sulfate (qui seraient créés en libérant du dioxyde de soufre), de la poussière d’oxyde d’aluminium, ou même des particules de conception auto-levante et auto-orientante conçues pour migrer vers les régions polaires et rester en place pendant de longues périodes. S’il est possible de le faire, la concentration des pare-soleil sur les pôles serait une option particulièrement intéressante, car ces latitudes semblent être les plus sensibles au réchauffement de la planète. La plupart des estimations des coûts de ces stratégies de géo-ingénierie sont préliminaires et peu fiables. Toutefois, on s’accorde généralement à dire que ces stratégies sont peu coûteuses ; les dépenses totales des options les plus rentables ne s’élèveraient peut-être qu’à quelques milliards de dollars, soit un pour cent (ou moins) du coût d’une réduction radicale des émissions. [83]

[83] David G. Victor, M. Granger Morgan, Jay Apt, John Steinbruner, and Katharine Ricke: The Geoengineering Option. A Last Resort Against Global Warming? Foreign Affairs, March/April 2009

La description des « particules de conception à lévitation et orientation automatiques » pourrait s’appliquer au TiO3 (Ba, Srx), avec sa capacité à être ionisé et dirigé par rayonnement de micro-ondes. Il s’agit là de la pelure d’oignon externe.

Avant le changement climatique, les choses étaient encore un peu différentes. Jim Phelps travaillait depuis de nombreuses années aux laboratoires nationaux d’Oak Ridge, où il menait des recherches sur le trou d’ozone et d’autres problèmes liés à la pollution atmosphérique. Le réchauffement de la planète était déjà connu à l’époque. Toutefois, il n’était pas dramatisé et était principalement lié aux émissions de fluor et de soufre provenant des carburéacteurs. Le fluor et le soufre, qui créent les acides agressifs HF et H2SO4 dans les nuages, étaient considérés comme la principale cause des pluies acides. Les composés de soufre et de fluor sont considérés comme la cause de la persistance croissante des traînées de condensation et de l’apparition d’un plus grand nombre de cirrus à haute altitude. On pensait que ces nuages retenaient le rayonnement infrarouge et provoquaient le réchauffement de la planète. Pour prévenir les dommages causés par le fluor, qui forme des composés toxiques d’aluminium-fluor une fois qu’il pleut, il a suggéré d’ajouter du TiO2 au carburant pour avion – ou de pulvériser les composés simultanément pendant le vol – pour lier le fluor à des métaux qui forment des composés moins toxiques. En ce qui concerne la branche militaire de la géo-ingénierie, il n’existe que quelques sources, principalement d’anciens employés de diverses agences.

Nous pouvons retracer les débuts des opérations militaires de pulvérisation, également appelées projet Trèfle (Cloverleaf) jusqu’au Dr Edward Teller, père de la bombe à hydrogène et partisan du bombardement des côtes habitées pour les réaménager dans le cadre de projets économiques. Avant sa mort en 2003, Teller était directeur émérite du Lawrence Livermore National Laboratory, où sont élaborés les plans d’armes nucléaires, biologiques et à énergie dirigée. En 1997, Teller a exposé publiquement sa proposition d’utiliser des avions pour disperser dans la stratosphère des millions de tonnes de matériaux métalliques conducteurs d’électricité, soi-disant pour réduire le réchauffement de la planète [84]. (…)

Teller a estimé que les avions commerciaux pourraient être utilisés pour cracher ces particules à un coût de 33 cents la livre. (…) Un brevet d’avion Hughes de 1991 confirme que les matériaux particulaires faisant écran solaire (sunscreen particulate materials) peuvent être utilisées dans les moteurs à réaction [85].

[84] Edward Teller, Lowell Wood, Roderick Hyde: Global Warming and Ice Ages: Prospects for Physics-Based Modulation of Global Change, Edward Teller and Lowell Wood, Hoover Institution, Stanford University, prepared for invited presentation at the International Seminar On Planetary Emergencies, Erice, Italy, August 20-23, 1997; also « The Planet Needs a Sunscreen, » Wall Street Journal, 10-17-97.

[85] 85 Amy Worthington: Aerosol and Electromagnetic Weapons in the Age of Nuclear War. Global Research | June 1, 2004

Une autre histoire est racontée par A. C. Griffith [86], un employé de la NSA, puis de la CIA, qui a révélé sa vérité lors de l’édition du lundi de l’émission Power Hour, diffusée à l’échelle nationale. Une autre pelure d’oignon. Griffith a servi à la base aérienne Ray Patterson, qu’il qualifie de siège des programmes américains de chemtrailing. Griffith fait référence à une guerre froide en cours entre la Russie et les États-Unis utilisant des armes scalaires. Le pire incident de cette guerre froide a été – selon l’ancien colonel de l’armée américaine Tom Bearden, que Griffith cite dans son émission de radio -, la tentative de la Russie de déclencher un tremblement de terre dans la faille de Saint Andreas avec les (soi-disant) dispositifs Woodpecker (émetteurs à micro-ondes à longue portée) basés en Ukraine et alimentés en électricité par les centrales électriques de Tchernobyl. Selon Griffith, l’attaque a été repoussée avec l’aide d’Israël, provoquant ainsi ce que l’on appelle l’accident de Tchernobyl. Griffith estime que les États-Unis sont en retard par rapport à d’autres pays dans le développement de ces armes et d’éventuels systèmes de défense. Dans ce contexte, il décrit le développement des programmes de chemtrail comme un système de défense nécessaire mis au point par la communauté du renseignement CIA/NSA.

La CIA, qui exploitait une importante flotte aérienne pour le commerce de la drogue afin de financer ses activités non officielles (opérations secrètes), devait être à court de capacités d’épandage et a tenté d’impliquer la marine. L’amiral Jeremia Border, chef des opérations de la marine américaine, a refusé de participer au programme et s’est officiellement suicidé en se tirant deux balles dans la poitrine. Depuis lors, la marine est devenue partie prenante du projet Cloverleaf. Pour expliquer le rôle des aérosols, Griffith s’est référé à un article de Matthew Daggett intitulé « Atmospheric sensitivity invalidation study of the variable terrain radio parabolic equation model » (étude d’invalidation de la sensibilité atmosphérique du modèle d’équation parabolique à terrain variable), qui décrit un système de surveillance radar en 3D du champ de bataille pouvant être utilisé à partir d’un navire situé à 400 miles de la côte, en utilisant des sels de baryum comme aérosols réfléchissants. Griffith a également mentionné le DARPA et d’autres agences qui pourraient se joindre au projet pour utiliser la pulvérisation d’aérosols à différentes fins.

Au niveau suivant, on pourrait découvrir l’interconnexion entre les recherches civiles et d’entreprise menées avec HAARP, ICECAT et d’autres dispositifs similaires de transmission de micro-ondes et les pulvérisations d’aérosols – en supposant que c’est la direction vers laquelle Griffith aurait dû s’orienter.

Selon Michael Chossudovsky, professeur à l’Université d’Ottawa, le programme militaire de recherche aurorale active à haute fréquence (High-frequency Active Auroral Research Program, HAARP), qui opère en Alaska dans le cadre de l’Initiative de défense stratégique (Strategic Defense Initiative), est un outil puissant de modification du temps et du climat [87]. Exploitées conjointement par la marine et l’armée de l’air américaines, les antennes HAARP bombardent et chauffent l’ionosphère, ce qui fait rebondir les fréquences électromagnétiques vers la terre, pénétrant tout ce qui est vivant ou mort [88]. Les transmissions HAARP font des trous dans l’ozone [89], créant ainsi un autre hobgobelin [créature fabuleuse, comme un cobold]. L’inventeur de HAARP, Bernard Eastlund, a décrit dans son brevet original comment l’énergie de l’antenne pouvait interagir avec les panaches de particules atmosphériques, utilisés comme une lentille ou un dispositif de focalisation, pour modifier le temps [90]. HAARP est capable de déclencher des inondations, des sécheresses et des ouragans, au grand dam du Parlement européen et de la Douma russe [91]. HAARP génère également des impulsions de balayage dans la gamme ULF/ELF [92]. En 2000, des chercheurs indépendants ont surveillé les transmissions HAARP de 14 hertz. Ils ont constaté que lorsque ces signaux étaient diffusés à des niveaux de sortie élevés, la vitesse des vents atteignait 70 miles par heure. Ils ont vu ces mêmes transmissions disperser un énorme front météorologique qui s’approchait de la côte ouest, de la Californie à la Colombie-Britannique. Bien que des précipitations aient été initialement prévues, le front s’est déchiqueté sur les photos satellites et la pluie ne s’est pas matérialisée [93]. La sécheresse du hobgobelin peut être un outil enrichissant et stimulant pour certaines entreprises et certains gouvernements.
HAARP n’est pas seulement capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques n’importe où sur la planète, mais ses effets peuvent cibler des régions sélectionnées pour affecter les réactions physiques, mentales et émotionnelles de l’homme au cours de projets de guerre non létaux [94]. Les fréquences HAARP transmises à des cibles spécifiques peuvent générer des tremblements de terre catastrophiques, exactement comme le tremblement de terre de décembre dernier, qui a tué des milliers de personnes en Iran, une nation ennemie selon l’administration Bush. [95]

[86 power hour, national broadcast show, online at http://www.youtube.com/watch?v=rS3mVg7GIGI Archived partI,part2, part3

[87] « Washington’s New World Order Weapons Have the Ability to Trigger Climate Change, » Center for Research on Globalization, Professor Michael Chossudovsky, University of Ottawa, January 2001.

[88] « HAARP: Vandalism in the Sky? » Nick Begich and Jeane Manning, Nexus Magazine, December 1995.

[89] Dr. Castle presents information on how HAARP punches massive holes in the open-air column ozone and how the Air Force then uses toxic chemicals to « patch » the holes it has created: Dr. Castle says: « Welsbach seeding and ozone hole remediation sciences utilize chemistries that are toxic to humans and the environment. »

[90] « HAARP: Vandalism in the Sky? » Begich and Manning; Researcher David Yarrow is quoted as saying that Earth’s axial spin means that HAARP bursts are like a microwave knife producing a « long tear–an incision » in the multi-layer membrane of ionospheres that shield the Earth’s surface from intense solar radiation.

[91] U.S. HAARP Weapon Development Concerns Russian Duma, Interfax News Agency, 8-10-02.

[92] HAARP Update, Elfrad Group, http://elfrad.org/2000/Haarp2.htm 6-27-00.

[93] « 14 Hertz Signal Suppresses Rainfall, Induces Violent Winds, » 10-25-00, Newshawk Inc.; « When the Army Owns the Weather-Chemtrails and HAARP, » Bob Fitrakis, 2-13-02: In this article HAARP inventor Bernard Eastlund is quoted on how HAARP can affect the weather: « Significant experiments could be performed. The HAARP antenna as it is now configured modulates the auroral electrojet to induce ELF waves and thus could have an effect on the zonal winds. »

[94] Angels Don’t Play This HAARP, Begich and Manning, op. cit.

[95] Entire passage: Amy Worthington: Aerosol and Electromagnetic Weapons in the Age of Nuclear War. Global Research | June 1, 2004

HAARP-Similar	devices	distributed	around	the	globe. (The	Chemistry	in	
Contrails Assessing	the	Impact	of	Aerosols
from	Jet	Fuel	Impurities,	Additives	and	Classified	
Military	Operations	on	Nature
by Harald	Kautz-Vella)
HAARP – Dispositifs similaires répartis dans le monde entier.

En arrivant lentement au cœur du problème, il est logique de jeter un second regard sur le tout début des choses. Le projet Paperclip n’était pas du tout pacifique. Le transfert de scientifiques allemands a conduit à la mise au point d’armes nucléaires, d’armes chimiques, d’armes biologiques et de méthodes de contrôle de l’esprit. Toutes ces armes ont été testées plus ou moins secrètement sur des civils et des militaires. Le développement le plus dévastateur a été la conversion des déchets de fluor issus de la production d’aluminium en un supplément pour l’eau potable et le dentifrice dans les années 60. Cette technique de contrôle mental a été développée à l’origine par IG-Farben comme méthode pour réduire au silence les territoires occupés, les camps de concentration et les camps de prisonniers de guerre en empoisonnant les habitants avec des composés fluorés par l’intermédiaire de l’eau potable, les rendant sans volonté et abrutis. À peu près à la même époque, l’industrie a commencé à distribuer du kérosène contenant des additifs à base de fluor, ce qui a entraîné un assombrissement de la planète et des dégâts importants dans la nature en raison des pluies acides et, suivant les suggestions d’IG Farben, des dégâts d’une ampleur inconnue dans l’esprit des gens.

Il est intéressant de savoir qu’IG Farben a été financée et « inspirée » par les mêmes groupes qui poussaient à l’eugénisme aux États-Unis dans les années 30, ce qui a conduit à des milliers et des milliers de stérilisations forcées. IG Farben a ensuite créé et produit le Cyclon B, et il existe un lien économique direct entre IG Farben, DOW Chemicals et Monsanto, responsable de la production et de la pulvérisation de l’agent orange au Viêt Nam.

Il est très difficile de dire jusqu’où va l’influence des groupes associés à l’agenda eugénique aujourd’hui. Rockefeller et Bill Gates, avec leur empire d’organisations caritatives, avouent ouvertement agir dans cet esprit, de même que des personnages comme Henry Kissinger, qui a fait du dépeuplement des pays du tiers-monde l’un des principaux intérêts de la politique étrangère des États-Unis [96]. Même si ces éléments se retrouvent dans la politique américaine, il est difficile de dire quand et par qui les propriétés du baryum-strontium-titanate ou d’autres aérosols pourraient être intentionnellement utilisées pour nuire à la population en les appliquant comme armes météorologiques ou antisismiques, ou comme agent de contrôle mental.

[96] NATIONAL SECURITY COUNCIL, WASHINGTON, D.C. 20506 April 24, 1974 National Security Study Memorandum 200

Extraits du meme article traduits en francais:

Contenu et résumé de l’article de Harald Kautz-Vella

Chapitre 9. Projet « Cloverleaf »

Une réflexion sur “Chapitre 8. Politique, infrastructure et utilisation militaire éventuelle (pages 70 – 75) de « La chimie des traînées de condensation » par Harald Kautz-Vella

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