Article dans « The Gardian », 14 mars 2024
Traduction
L’impact sur les écosystèmes doit être étudié avant l’utilisation de la technologie de géoingénieurie, déclare le chef de l’agence américaine des sciences de l’atmosphère.
Les scientifiques doivent travailler d’urgence à la prévision des effets de la géo-ingénierie du climat, a déclaré le chef de l’agence américaine des sciences de l’atmosphère, car cette technologie sera probablement nécessaire, du moins en partie.
Note ACSEIPICA: écouter à ce sujet l’entretien de 2018 avec Jacqueline Roche https://www.acseipica.fr/ici-et-maintenant-interview-de-jacqueline-roche-%f0%9f%8e%ac19mn/ dans lequel elle dit
« On va rapidement passer de quelque chose qui n’existe pas à quelque chose qui est obligatoire, qui va être obligatoire. Bien sûr on ne va pas dire aux gens qu’on va faire des épandages de nanoparticules. On va leur expliquer qu’il faut faire des retraits de CO2 dans l’atmosphère mais il n’y a pas de retrait de CO2 dans l’atmosphère sans géo-ingénierie. Donc je ne sais pas comment ils vont s’arranger … Je pense en faisant très peur aux gens, en les préparant bien, en disant que le climat se dérègle – évidemment avec la géo-ingénierie ça se dérègle encore plus vite donc en les préparant bien et en leur faisant peur, ils vont admettre n’importe quoi, oui. »
Richard Spinrad, administrateur de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), a déclaré que l’organisme soutenu par le gouvernement estimait les effets de certaines des techniques probables de géo-ingénierie, y compris celles qui impliquent les océans.
« Ma conviction personnelle est que nous devons mieux comprendre quels sont les impacts », a-t-il déclaré. « Je pense que certains aspects de la géoingénierie constitueront un élément important de la solution pour réduire le réchauffement de la planète et tous les effets du changement climatique mondial, comme l’acidification des océans.
Note ACSEIPICA: écouter à ce sujet l’entretien de 2018 avec Jacqueline Roche https://www.acseipica.fr/ici-et-maintenant-interview-de-jacqueline-roche-%f0%9f%8e%ac19mn/
Les techniques potentielles de géo-ingénierie comprennent l’ensemencement des océans avec du fer pour absorber davantage de dioxyde de carbone, ou la pulvérisation d’eau des océans dans des nuages de basse altitude pour refléter une partie du rayonnement solaire.
Selon M. Spinrad, il est essentiel de comprendre l’impact potentiel de la géo-ingénierie sur les océans. « Si nous devions entreprendre un effort de fertilisation en fer [des océans], quelles en seraient les conséquences pour l’écosystème ? [Il est également important de construire de bons modèles prédictifs et d’aider les décideurs », a-t-il déclaré.
La NOAA se concentre sur le potentiel de séquestration du CO2 par les océans, un processus connu sous le nom d’élimination du dioxyde de carbone marin.
Les chercheurs de l’agence travaillent également en étroite collaboration avec des universités et des scientifiques gouvernementaux dans les pays de l’Union européenne.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)