Ôde à la vie

OVDNS, appel au combat – version 1. 05 août 2024

Le texte en pdf: http://inmediares.be/ovdns/appel.pdf

« Trouvez-vous cela normal qu’actuellement nous voyions des bébés souffrir d’accidents vasculaires cérébraux ? Trouvez-vous cela normal que des adolescents meurent d’infarctus, que des sportifs de haut niveau tombent comme des mouches lors de leurs
activités sportives ? Voyez-vous ce qui commence à arriver aux personnes qui ont organisé ce massacre ? Ce n’est qu’un début. »

Docteur Stéphane Résimont, s’adressant au docteur Bruart, président de l’Ordre des médecins du Hainaut : lettre du 23 avril 2023



« Il faut toujours dire ce que l’on voit ; surtout, il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit. »

Charles Péguy


« Si on n’avait pas de preuve visuelle de ce qui se passe, ça serait plus délicat. Mais lorsqu’on regarde des avions de ligne épandre comme ils épandent et que les traînées ne se dissipent pas, c’est indiscutable. Cela signifie que les fabricants d’appareils sont responsables pour ce qui est d’équiper les avions de systèmes d’épandage qui fonctionnent en parallèle du fonctionnement même des moteurs. Il faut savoir par ailleurs que la nouvelle génération de moteurs, les turbofans, ne provoquent même pas de traînées de condensation. Donc les fabricants, les compagnies aériennes elles-mêmes, toutes les personnes qui affrètent les appareils, l’armée, les armées de l’air, mais on va aller plus loin… L’ONU est tout à fait au courant, le GIEC dépend de l’ONU, l’Organisation Météorologique Mondiale est à Genève… J’ai trouvé il y a déjà un moment ce programme pays par pays, zone par zone, continent par continent, et on y lit qui est le sponsor du projet, qui sont les partenaires technologiques pour le faire. C’est quand même incroyable. C’est donc vraiment de notre devoir de sensibiliser un maximum de gens, parce que du moment où les gens vont se rendre compte de ce qui se passe au quotidien au-dessus de leur tête, et qu’ils vont être très nombreux à s’en rendre compte, je pense que ça va être comme une boule de neige qui se forme en haut d’une montagne. Au début, ça résiste, on se fait traiter de fou, de complotiste, dans le meilleur des cas, mais à partir du moment où il y a des millions de personnes qui en sont convaincues, qui ont fait l’observation par elles-mêmes, qui ont fait un minimum de recherche, qui ont croisé les informations, qui ont parlé à leurs élus… Moi j’ai parlé à mes élus locaux. Les réactions sont d’ailleurs étonnantes : il y a des réactions de rejet total, d’autres où on est un peu mieux reçu. Mais on se doit tous, pour la prolongation de nos vies, et surtout pour la défense des
vies de nos enfants, de se bagarrer, de se dresser… C’est pour cela que je parlais au début, en préambule, de l’éléphant dans le salon, parce que, pour tout ce qui se passe par ailleurs, la démonstration est moins directe, alors que là, c’est au-dessus de nos têtes à longueur de journée. »

Vincent Souchaud (à entendre ici dans cette excellente table ronde)


« Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même. […] Les nations se sont irritées, et votre colère est venue, et le moment de juger les morts et de donner leur récompense à vos serviteurs les prophètes, et aux saints, et à ceux qui craignent votre nom, aux petits et aux grands, et d’exterminer ceux qui ont corrompu la terre. »

Apocalypse 8:12, 11:8


À cette heure fatidique à laquelle Davos s’apprête à impunément relancer le port obligatoire du masque facial et généraliser les codes digitaux d’identification pour le bétail humain, et cette fois plus à l’échelle de temps de quelques mois, celle de l’opération covidiste (réussie en grande part) de mesure de notre docilité et de renfort à son accoutumance, mais dans la durée, deux siècles après de Tocqueville, la question nous est posée, cette fois sans que nous puissions plus détourner le regard, au nom d’une indépassable question morale que personne ne pourra plus éviter bien longtemps encore, et que toute réflexion critique juste vient servir en dernière instance : quel sens pratique allons-nous enfin accorder à la lutte qui (au moins) au nom de nos innocents enfants nous oblige ?


L’expression de « géo-ingénierie », que chacun d’entre nous et jusqu’au plus impie, a déjà entendu au moins une fois dans sa vie, appartient au triste mais prolifique lexique de la novlangue, qui rend compte d’un phénomène politique (et en l’occurrence extrêmement grave) tout en le vidant de sa matière, substance vive, en trahissant la force évocatrice de la réalité sensible seulement désignée à mi-mot par son aplatissement (sa liquidation) sur la technique, ici « géographique », comme elle est « médicale » dans le tristement célèbre acronyme « IVG » (exemple choisi), lequel nous met à distance, nous extrait, désengage, désensibilise – avec le franc succès dont nous sommes les apathiques témoins – de la froide et brutale réalité que recouvre l’expression, et qui n’est autre chose, dans le réel que les mots ne paient pas (ni ne remboursent), que celle de la destruction d’un petit être en formation dans le ventre de sa mère. Les épandages aériens de biocides criminels sur nos têtes, qui constituent une réalité documentée et incontestable depuis la Seconde Guerre mondiale – et dont nous vous rendrons précisément compte (et comme personne avant nous : seule bonne raison d’écrire) avec tout ce qui suit dans une série documentaire ambitieuse qui sortira dans quelques mois (nous ne pouvons être plus précis) –, sont passés par plusieurs étapes d’expérimentations et ont connu un coup d’accélérateur majeur au tournant covidiste en 2020, lorsqu’ils se sont massivement intensifiés, en Occident principalement et en particulier, comme nous l’avons très directement observé, en Europe de l’Ouest.


Aussi, ces pathogènes aéroportés devraient être vus, d’après les phares officiels, comme le fruit d’opérations sur le climat et son « urgence », au dessein allégué de limiter les effets du rayonnement solaire et, partant, d’un « réchauffement climatique anthropique » – très mauvaise blague, parmi les diverses plaisanteries de la vaste comédie de la grande narration politique régnante, et démontée par presque autant de généralistes que de spécialistes, parmi lesquels l’éminent climatologue Marcel Leroux. Nonobstant ce fait intrompable que le carbone n’est d’aucune manière un « polluant », mais source de toute vie sur terre, le GIEC et ses valets médiatiques ne peuvent rendre le change à cet autre état de fait, lui aussi indépassable, et qui à lui seul fait s’effondrer sur ses bases l’édifice de cette stupide idée réchauffiste (le réchauffement est au plus auto-prophétique, en tant que résultat des opérations d’ingénierie sur le climat, précisément) : le dioxyde de carbone produit par l’homme (dont, entre parenthèses, la quasi-totalité n’est d’ailleurs pas produite par les « Inutiles », c’est-à-dire vous et moi, auxquels sont pourtant réservées les taxes climatiques, mais bien par une poignée d’« Élus », et pas uniquement décalottés, qui en bénéficient) ne représente qu’une portion infinitésimale de la quantité totale de CO2 produite dans la nature. Non, pas plus que les pluies ultratoxiques incessantes qui s’abattent sur nous depuis de nombreux mois, les avions qui rainurent nos ciels jours et nuits de
substances toxiques ne répondent de quelque objectif « climatique » que ce soit… Leurs commanditaires savent aussi bien que nous, et le savaient par définition avant nous d’ailleurs, que le réchauffisme est une plaisanterie, une imposture à destination de dociles administrés trieurs de déchets : par la « géo-ingénierie » pour « sauver le climat », ils répondraient à un problème qui
n’existe pas, un problème qu’il savent parfaitement fictif et dont ils engendrent de fait la rumeur – portée et réputée par le bruit d’un tam-tam médiatico-académico-politique ininterrompu, mais jamais vérifiée par l’intelligence.


Entre bien d’autres personnalités publiques un peu courageuses qui sont sorties du rang, ou ont du moins fait un pas de côté, en 2022 l’avocat et parlementaire bosniaque Mirnes Ajanovic faisait état de cette « géo-ingénierie », dont quelques parlementaires aventureux qui ont soulevé le sujet ces dernières années n’ont obtenu que des fins de non-recevoir par les gouvernements.
Ajanovic traitait en particulier de ces prétendus « sables du Sahara », qui selon les médias de grand chemin, comme les appelle Slobodan Despot, s’abattent sur nous et dans toute l’Europe depuis plusieurs années, et que nous constatons notamment sur nos automobiles en stationnement que ces poussières ont le temps de recouvrir, pour en dévoiler le contenu, par une analyse comparative avec le véritable sable saharien. Les particules fines en suspension dont le taux est de façon générale déjà plusieurs fois supérieur à la limite supérieure décidée comme seuil limite de tolérabilité sont après analyse composées d’aluminium, d’arsenic, d’argent, de bore, baryum, béryllium, bismuth, cobalt, chrome, cuivre, fer, lithium, manganèse, molybdène, nickel, plomb, antimoine, sélénium, étain, strontium, thallium, vanadium, zinc… Rien que ça… Or, le sable saharien contient moins de
0,5 milligramme d’arsenic par kilogramme, contre 22 milligrammes par kilogramme pour les poussières qui pleuvent sur nous (soit un niveau 44 fois plus élevé) ; le sable saharien contient 1,8 milligramme de fer par kilogramme, alors que la poussière magnétisable des échantillons de pluie récoltés en contient 42 ; et toutes les valeurs comparées révèlent un écart significatif : pour exemples plus parlants encore, le sable saharien renferme 10,43 mg/kg de zinc, alors que la pluie en contient 671 mg/kg [!],
tandis que le taux d’aluminium est de 14,2 mg/kg pour le premier là où il est de 10342 mg/kg pour la seconde (soit 728 fois supérieur…).


Au mont Shasta en Californie, entre autres lieux bien éloignés de l’Amérique, des taux d’aluminium eux plusieurs milliers de fois supérieurs à la valeur limite supérieure (ergo d’une extrême toxicité) ont été mesurés. Le docteur roumain Geanina Hakima, et toujours entre tant d’autres expériences conduites ailleurs, relevait récemment que la poussière que nous inhalons et avalons depuis déjà bien trop longtemps est magnétisable (faites vous-même l’expérience et à l’aide d’un aimant puissant, ou recueillez et étudiez ces milliers d’expériences qui ont déjà été menées et que vous retrouverez sur la Toile sans difficulté), montrant que l’eau de pluie récoltée à Pitesti en Roumanie dans un récipient, placé sur la fenêtre du toit d’une maison pour éviter toute contamination par de la terre ou toute autre source étrangère indésirable, contenait des sédiments métalliques, tels que graphène, baryum, strontium, aluminium, fer, cadmium, cuivre, zinc, nickel, mais encore lithium et arsenic – métaux qui ne reviennent à aucune autre forme de pollution préexistante ou conjointe que celle des déversements aériens. Bref, une myriade de substances, dont encore des phtalates, mycoplasmes, ou des érythrocytes, globules rouges desséchés de sang humain, eux également relevés dans les mixtures de saloperies qui sont lâchées avec acharnement sur les populations à réduire, ne peuvent, encore, relever de quelque visée « climatique », à l’inverse de l’iodure d’argent lui officiellement confessé pour formation de nuages artificiels : l’agenda n’est résolument pas climatique (pas plus que les effets néfastes ou mortifères des injections covid ne sont « secondaires », c’està-dire indésirés ou inattendus, puisqu’ils sont tout à fait primaires, c’est-à-dire voulus, prémédités), mais bien démographique, eugéniste, transhumaniste, génocidaire.


Or, et à plus forte raison encore dans notre contexte général d’un empoisonnement (multicanal) du parc humain par une caste mondialiste aujourd’hui parfaitement acté, et que les plus naïfs d’entre nous ne peuvent plus ignorer (au sens : n’ont plus d’excuse d’ignorer) depuis le moment covidiste (et que les un peu moins naïfs discernaient un peu plus tôt à l’épisode marquant des Gilets jaunes et à la chasse ouverte du prolétaire allogène par tir LBD), l’expression de pharma-ingénierie est en réalité nettement plus rigoureuse.


Un bilan sanguin exhaustif en métaux lourds révélera chez chacun d’entre vous, chez chaque Européen spécialement visé (pour des raisons très nettes également, et que le pouvoir ne s’embarrasse pas non plus de masquer) des taux élevés et en réalité alarmants, dépassant de plusieurs têtes les valeurs limites tolérables, en baryum ou strontium notamment. Les nanoparticules d’aluminium que nous respirons chaque jour franchissent la barrière hémato-encéphalique pour se loger directement dans le
cerveau et les cas de démences, dont la maladie d’Alzheimer (à la définition même de l’horreur : devenir incapable de se souvenir des êtres aimés) qui touche des personnes de plus en plus jeunes, ont explosé spectaculairement en quelques années, comme l’autisme lui aussi indubitablement lié à l’empoisonnement par aluminium, pour devenir une cause majeure de décès, dans des proportions telles que le problème nous concerne déjà virtuellement tous – tous sans exception. De nombreuses affections physiques et mentales sont provoquées par une intoxication chronique aux métaux lourds.

En particulier, ces particules peuvent activer les lymphocytes T et induire une auto-immunité par dysfonctionnement de l’organisme : maladies pulmonaires, cardiovasculaires, neurologiques, diabète, AVC, cancers, épuisement chronique et mortalité prématurée. Puissamment oxydants et
produisant des radicaux libres, ils détruisent les cellules saines, dénaturent l’ADN, diminuent les échanges cellulaires, bloquent l’épuration de l’organisme, empêchent la fabrication d’énergie. Les épandages criminels d’aérosols sont liés – liste non exhaustive – à l’explosion généralisée des pneumopathies, aux bronchiolites chez le nourrisson, qui étaient confidentielles avant
2020, aux troubles d’attention marqués chez les enfants, aux acouphènes, lésions dermatiques, palpitations et troubles cardiaques divers, au brouillard cérébral, à divers troubles musculo-squelettiques, ou à la disparition de la mémoire à court terme. Des cocktails pathogènes retrouvés dans les panaches chimiques défigurant nos ciels, est-il par exemple encore question d’oxysulfure de carbone, irritant des voies respiratoires, dont l’action est de dégrader irrémédiablement le système nerveux central.


Les effets de ces déversements pour nous, nos sols et nos eaux, et qui conduisent inéluctablement au dépérissement à petit feu par voies directe et indirecte, dont celui de nos cultures (l’aluminium court-circuite les échanges chimiques vitaux au niveau le plus élémentaire), pour une famine organisée dont l’objectivité ne laisse elle non plus aucune place au doute, sont à adjoindre à la contamination du vivant par injections et pollution électromagnétique. Cette attaque croisée est si virulente que nous pouvons d’ailleurs en prendre la mesure non pas même à l’échelle de quelques décennies ou d’une vie, mais plus que cela encore, à une échelle d’à peine quelques mois ou années (ce qui d’un point de vue de santé humaine est dramatique) : si chez vous-même (qui éternuez peut-être en cascade sans allergie particulière, et qui remarqueriez avec nous que vos éternuements cesseraient dès que vous voyageriez dans des zones où la mal nommée « géo-ingénierie » est inexistante ou moins intensive) vous n’observez pas encore de maux cardio-respiratoires (cf. dyspnée, qui s’installe en chronicité), vous n’aurez pas pu, depuis 2020, manquer d’en constater autour de vous, dans votre entourage (et même non vacciné !) plus ou moins proche, lequel tousse d’ailleurs, de plus en plus et en tout cas quotidiennement (notamment au moment des repas, comme si l’on avalait de travers, avec un effet moins brutal que celui de la fausse route, mais qui y ressemble). Ces détériorations très nettement constatables chez ceux qui ont encore des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, et qui couvrent en entier la symptomatologie de toute maladie X déjà dans les cartons de l’OMS après son SARS-CoV-2, ne sont autres que les conséquences d’une inflammation générale des tissus, le résultat
conjoint du rayonnement électromagnétique qui nous irradie par micro-ondes constamment et des particules métalliques (et plastiques) qui servent ce rayonnement (à divers emplois destructeurs, parmi lesquels les incendies, et les armes à énergie dirigée, dont le peuple hawaïen fut très récemment le martyr) et sont absorbées par nos organismes continuellement, et de plus en plus,
dont l’oxyde de graphène qui n’est pas seulement présent dans les injections vaccinales, mais est encore présent dans les aérosols en plus d’être retrouvé dans l’eau de distribution (sujet qui deviendra très vite très piquant) et dans une variété de produits de consommation courante, cosmétiques ou encore pharmaceutiques (comme les anesthésiants dentaires : et l’Université du Colorado vient d’y confirmer la présence d’oxyde de graphène, corroborant les résultats de diverses analyses antérieures, et d’ailleurs réalisables sans microscopes ultraperformants), comme l’a implacablement montré notamment l’association espagnole de la Quinta columna, après que le chimiste allemand Andreas Noak ait payé de sa vie pour avoir démontré pour le public la létalité du graphène dans nos tissus.


À cet empoisonnement à plusieurs vecteurs, il faut évidemment admettre l’immigration (« sauvage », mais plus encore, parce que notre mal est bien plus « civilisé » que sauvage : incessante, artificielle et parfaitement contrôlée, l’homme n’étant pas plus « migrant » qu’oie sauvage), dont le fait lui aussi gravissime à lui seul déjà met nos États intégralement hors-la-loi. Ce 30 juillet 2024, à Southport, ville côtière du nord-ouest de l’Angleterre, un Rwandais s’est rendu en taxi dans un centre récréationnel avec la ferme intention de tuer et de commettre un carnage. Il a massacré trois petites filles, deux de 6 et 7 ans, mortes en se vidant de leur sang sur sur place, une de 9 ans décédée à l’hôpital. Six autres enfants sont encore entre la vie et la mort, en plus de deux adultes ayant tenté de s’interposer mutilés. Ces événements, dont il nous faudrait des centaines de pages serrées pour témoigner
seulement de ceux qui nous ont concernés sur l’espace de ces quelques derniers mois à peine, s’enchaînent et font désormais partie de notre quotidien : il ne se passe pas un jour sans que de tels crimes horribles, se produisent en Europe de l’Ouest. Des gens qui n’ont absolument rien à faire chez nous, sinon nuire, dans tous les sens du terme, y sont installés pour cette unique raison. Ces Africains sans tête utilisés comme proxies aux basses besognes mondialistes, corvéables et activables à merci, tuent pour une cigarette ou un mauvais regard. Nos politiques les font venir pour cette raison seule (et non pour combler à quelque pénurie d’ingénieurs ou de traducteurs, comme ils ont entre cent osé nous le dire, en se moquant encore ouvertement de nous, et de nos enfants décimés), nuire, et surtout tuer nos enfants sur une base de haine raciale qui dans ce sens est non seulement autorisée, mais encore voulue, encouragée, sponsorisée (l’idéologie antiraciste, par son inversion systémique des rôles, en est
précisément le blanc-seing), selon des plans eux aussi incontestables parfaitement documentés, objectifs et officiels – et encore parfaitement retors puisque organisés par nos États pour un chaos indistinctif par lequel nous ne devons plus que reconnaître des ennemis horizontaux, des étrangers pauvres (quelles que soient leurs qualités par ailleurs), pour que nous ne visions pas, et à
terme ne puissions plus viser, nos directeurs.


Sous l’effet de la colonisation de nos pays par des peuplements exogènes, organisée par nos bourgeoisies respectives foncièrement hostiles aux plèbes autochtones (« les petits blancs »), les pays occidentaux sont désormais dans une situation de guerre raciale latente avec des affrontements de plus de plus en rapprochés et de plus en plus violents. Et comme l’écrivait Spengler, l’exogène « transperce l’homme blanc de son regard lorsque ce dernier parle d’humanité et de paix éternelle [et] y voit l’incapacité et le refus de se défendre » de cet homme qui assiste, là aussi, (à) sa propre disparition. Ces effets de l’immigration désastreuse viennent se surajouter ou plutôt conclure les effets pratiques historiques de notre colonisation (marchande) qui a servi et sert à casser le coût du travail comme à empêcher, par la juxtaposition de cultures différentes et souvent incompatibles sur de mêmes territoires, d’êtres aux horizons mentaux tout à fait différents, d’êtres qui ne partagent aucune histoire commune avec nous, de compromettre par dysharmonie les possibilités de rencontres et d’entente entre gens d’en bas, compromettre l’agrégation, l’homogénéisation sociale qui seule peut gêner le pouvoir, et que nous devons à tout prix susciter, pour que le moment Gilets Jaunes n’en ait pas été le dernier soubresaut. Des millions de Britanniques chez lesquels la coupe est pleine, en réponse à cette dernière tuerie commandée, prennent en ce moment le pavé et donnent l’exemple. Ils sont réprimés par la racaille des bobbies à cheval associés à la racaille allogène, mais s’élèvent en grand nombre contre le projet du gouvernement d’éliminer les autochtones d’ici 2030, contre la classe mondialiste déterminée à leur retirer leurs droits, à normaliser l’injustice.


Si nous pouvons quand même rappeler que le phénomène de condensation de l’eau par les moteurs de réaction de l’aviation ne peut en aucun cas produire des traînées (elles-mêmes déjà si rares que certains contrôleurs du ciel n’en ont aperçu une seule en tout une carrière) qui a. persistent et b. se dispersent pour recouvrir le ciel d’un voile laiteux, et que le débat est déjà ici
techniquement réglé, attachons-nous surtout à l’idée suivante… Nos enfumeurs subventionnés cherchent à nous perdre dans les raisonnements binaires (like/dislike, PSG/OM), à nous confondre par des considérations uniques et étroites, pièges souvent grossiers par lesquels ils parviennent néanmoins à hypnotiser la plupart des administrés distraits n’ayant malheureusement guère
plus de culture en physique atmosphérique, de virologie ou de démographie statistique qu’ils n’ont de culture critique. De la même façon que nous savons pertinemment bien que les vaccins n’ont de démonstration produit que celle de leur nocivité sans être nous-mêmes virologues ou médecins (« Qu’est-ce que t’en sais puisque tu n’es pas médecin ? » : affirmation psittaciste d’une bêtise sans fond que nous avons tous entendue pendant ce moment covidiste révélateur), comme toujours sans être
médecins nous savons que le test des d-dimères est un indicateur infaillible du risque thrombotique chez un vacciné et par là de la toxicité de sa ou ses prises de vaccin covid, ou de la même façon que nous savons que l’immigration est un fait objectif de nuisance sans être géographes ou politologues (nous le sommes si peu, et nous sommes bien plus), nous savons encore que les
pulvérisations de biocides existent par un cheminement de pensée qui ne transite pas seulement par de pures considérations physiques, chimiques ou quantitatives, voire qui peut tout à fait s’en passer. Celles-là sont incontournables en certains points, mais ne veulent jamais rien signifier, dans l’histoire des hommes, en dehors de considérations extérieures qui les éclairent, leur donnent sens.


En passant, pour ne pas épiloguer, voyons que la question (épitomique) de la vaccination, intime intromission, est d’ailleurs aussi, surtout ou encore avant tout une question de (solidité) morale, par laquelle aucun médecin démiurge, bonimenteur de plateau télé n’aurait pu vous faire manger sa soupe malgré tous ses effets de manche, ses tours prestidigitateurs en chiffres et en graphes
opacifiants, son nombre de diplômes. Et combien de ces médecins, qui ne sont d’ailleurs pas académiquement formés en vaccinologie bien qu’ils vous parlent volontiers d’« ARNm » comme de leurs dernières vacances, connaissent seulement la terrible histoire de la vaccinolâtrie, ou seulement celle de la clinique, non moins joyeuse, ou l’histoire encore de la censure de certains de leurs confrères ayant rapporté précisément la dangerosité des incriticables vaccins, combien d’entre eux connaissent seulement le nom de Sylvie Simon, tandis que virtuellement tous ignorent l’histoire de notre dépossession depuis les Chouans et les Vendéens ? Par-delà le fait connu de son poison, la goutte de sérum au bout de la seringue n’est pas en outre une substance chimique qu’on pourrait évaluer au moyen de critères purement fonctionnels, comme s’il s’agissait d’un élément nouveau qui aurait surgi par hasard du tableau de Mendeleïev. Cette goutte de sérum contient le monde qui l’a nécessitée, produite et vendue.
Elle contient une histoire. Elle contient notre rapport à la mort et au soin, c’est-à-dire ce qu’il y a de plus humain en l’homme. À mille lieues de tout « complot » (expression de ceux qui n’ont plus de langue ni de vocabulaire, de locuteurs fantoches qui veulent trouver que les États agissent pour leur bien) qu’il s’agirait de dévoiler, elle signifie à ciel ouvert l’économie qui l’a rendue possible : l’économie de l’accumulation, l’économie du déracinement, l’économie de la destruction des services publics, l’économie des pouvoirs totaux et de l’isolement entre les êtres, l’économie de la dépossession et de notre soumission instruite à
son ordonnancement destructeur. Nous rejetons son rite parce qu’il est plus qu’une liturgie : il est le sacrement d’un nouveau contrat social.

Notre époque, celle de l’abrutissement inédit et consommé, est bien celle d’abrutis (parfois, dans de rares cas, érudits : l’érudition n’est pas la capacité à faire des liens, celle de synthèse, et ne remplace pas plus le génie, comme le disait Schopenhauer, que l’intelligence) spécialistes des savoirs éclatés, des tout petits sujets. Et cette époque, terminale, réclame plus que jamais des généralistes, que nous reliions les points


Considérons, en tant qu’attendus omnipraticiens (avant qu’un monde à faire renaître et dont nous retrouverons le chemin accouche à nouveau d’authentiques polymathes), encore et seulement cette seule question, logique, modeste, toute simple, laquelle ressort d’un tout autre registre que celui des sciences naturelles, et fait déjà avancer le débat de façon décisive : quelle est la qualité de ces avions (que sont-ils ?) non identifiés par les cartes de la flotte civile, qui naviguent à une altitude de croisière qui n’est pas celle des avions de ligne et suivent d’autres couloirs aériens, qui volent souvent groupés, en escadrilles, dessinent aussi des courbes, suivent des trajectoires irrégulières dans le ciel, font des demi-tours (etc.), et qui ne font rigoureusement pas partie – ce que personne n’a encore osé contester à notre connaissance –, de l’aviation civile, mais d’une aviation au moins apparemment clandestine ? Cette seule question, comme nous l’avons d’ailleurs expérimenté, suffit déjà à perdre votre interlocuteur du côté de la doxa, qui ne pourra honnêtement vous répondre tout en vous cachant que des épandages existent bel et bien, et existaient déjà il y a trois, cinq ou dix ans lorsque les autorités vous expliquaient à leurs propos – dont la question est multiple, critique, historique, et non pas uniquement (ou non pas principalement) de physique atmosphérique – qu’ils n’étaient qu’en « projet » (et « projet climatique », donc), comme y insiste justement Dane Wigington de geoengineeringwatch.org, lequel nous rappelle également, et avec d’autres (telle que la journaliste et photographe Jacqueline Roche qui en témoigne par son documentaire Vers un climat artificiel ?), que d’un seul point de vue symbolique, esthétique et finalement de respect de notre personne, nous devrions déjà trouver intolérables ces opérations qui ne rencontrent aucun débat public et auxquelles nous ne consentons pas autrement que par le visa de notre inaction : le voilement de notre ciel bleu et de notre soleil sont d’une gravité sans pareille indépendamment même de ses conséquences pour le vivant déjà grandes par la baisse de luminosité à elle seule.



Cette position officielle d’« expérimentations sur le climat seulement au stade de projet » est par ailleurs et évidemment une énorme moquerie, un affront envers vous et moi (traduisons : envers l’idiot moyen qui nous représente et qui ne demande plus quelque compte que ce soit à son gouvernement, et entre mille : ces rares jours de ciels bleus sans trace dans le ciel ni d’ailleurs d’avions visibles en dehors des zones d’aéroports, l’aviation civile est-elle en chômage économique ?), lorsque nous savons, par exemple, qu’est actée, confessée, non pas à mi-mot mais parfaitement en entier et noir sur blanc, une ordonnance du gouvernement espagnol, ayant statué en 2020 que les militaires, avec la bénédiction de l’ONU et sous couvert d’ « état d’urgence pour la gestion de la situation de crise sanitaire causée par le covid-19 », disséminent des agents reprotoxiques, cancérigènes,
mutagènes, mortels sur nos voisins ibériques, qui à l’inverse des injections anti-immunitaires de Davos, n’ont avec nous aucune possibilité de les refuser, mais ne peuvent que les subir, selon des méthodes de lâches (empoisonner par avions des populations civiles qui n’ont aucun moyen direct de se défendre) dont la marque est très reconnaissable…


Ne perdons donc en tout cas pas le ballon des yeux, restons cadrés sur l’objet et l’enjeu du débat (dont nous devons prendre la mesure, à la lettre apocalyptique) sans nous laisser perdre dans des cul-de-sacs argumentaires qui nous éloignent de la possibilité de saisissement d’une réalité (ce dont a si bien témoigné Debord) par ses reliefs les plus saillants, de sa vérité par ses aspects décisifs qui convergent avec l’intelligence, brouillent les limites entre l’accessoire et l’essentiel, et que doivent occulter des considérations hors-sol, mortes, données comme hors de portée de la foule (comme la physique atmosphérique ou la virologie).
Nous revient fréquemment : pourquoi font-ils ça, puisqu’ils respirent le même air que nous et se condamnent alors eux aussi, à terme, par leurs propres opérations ? La question (sur laquelle nous ne nous arrêtons pas à fond ici dans un souci de synthèse) est naïve, quoique non inintéressante pour autant, mais elle sert surtout, à ceux qui la posent qui ne peuvent être de parfaite bonne foi, de refuge, de prétexte, en tout cas de point d’arrêt à la réflexion et donc à l’engagement, alors que cette question-là, quelle qu’en soit la réponse, hypothétique ou finale, n’élude aucunement celle du quoi, celle de la réalité objective et irréfutable de ces pulvérisations criminelles et assassines, qui sont, qui ont lieu (autant que les OGM, les pesticides, la disparition de la forêt primaire, la lourde pollution pétrochimique qui mettent eux aussi en danger le monde entier, y inclus les milliardaires…), qu’elles
qu’en soient leurs raisons profondes…


Ces plans morbides sont annoncés à l’Européen suicidaire (« La Bête de l’événement est là »), et leurs crimes proprement épouvantables ne sont que la contrepartie réelle, le tribut des rituels et messes noires sacrificielles aux cultes de Lucifer, Moloch et Baphomet que nos élites judéo-maçonnes étalent devant nos yeux, jusqu’au moindre des programmes télé, et d’autant plus clairement que nous ne les combattons pas.


Appelons donc un chat un chat : ces opérations, qui ne nous laissent désormais aucun répit, laisseront nos populations (certes déjà ravagées par l’acculturation à d’hideuses idéologies auto-destructrices, telles que l’avortement, que des êtres de la même obédience que Barbara Lerner Spectre, appelant de ses vœux la destruction des chrétiens d’Europe, leur a foutu dans la tête, avec traitement spécial depuis 1945), malades et mourantes d’ici peu de temps, et le constat, qui ne date pas d’hier, de disparition de la faune et de la flore, de la détérioration irrémédiable d’à peu près tous les écosystèmes, est malheureusement absolument implacable.


Aussi, ces déversements aériens, quotidiens et intensifs depuis 2020, aux marques (« chemtrails ») normalement immanquables (d’une très vaste et imparable bibliographie, nous ne retiendrons ici pour vous que les pièces documentaires The Dimming, dont vous pourrez retrouver une version sous-titrée en français sur la plateforme Crowdbunker, et, sur une autre note, Bye bye blue sky de Patrick Pasin) sont le signe indépassable non seulement des opérations de dépopulation en cours, mais encore celui d’une infaillible tolérance pour l’intolérable, au même titre que l’opération covid en ses questions brûlantes de santé et de vie et de mort ont été révélatrices de l’état des foules, de l’état moral ou des capacités de réponse de la part de ceux qui en sont la cible, c’est-àdire vous et moi toujours. Ces phénomènes, à l’aune de tout ordre moral, auraient déjà dû nous mettre tous et autant que nous sommes sur le pont, nous pousser à constituer des fronts populaires (dont de parents) unis par la colère. S’ils ne produisent pas la révolte qu’ils devraient moralement inspirer, et que personne ne devrait avoir le droit d’ignorer, c’est que nous avons à tirer pleinement et pour notre action les enseignements du constat que nous ne pouvons éviter de tirer, celui d’un infra-monde devenu
inhumain et qui sera bientôt totalement irrespirable, un vaste centre HP peuplé de fous qui ne distinguent pas (ne veulent pas distinguer) davantage un avion qui les aspergent de produits toxiques à basse altitude qu’ils ne reconnaissent (ne veulent reconnaître) l’horreur intégrale des paranoïaques politiques généralisées en faveur de l’infanticide considéré comme parfaitement légal et moralement irréprochable, quand bien même les images morbides et désormais séculières de ces ritualisations de
glorification de la mort, de la débauche et du sexe à outrance dressent leurs autels en plein jour et en odieuses bacchanales télévisuelles, un monde dans lequel il est devenu normal de poser la question du changement de sexe à une gamine de quatre ans avec une moitié de la population que cela n’émeut pas et l’autre moitié que cela transporte à peine…


Ils nous vouent pourtant une haine sans bornes, dont la plupart des éveillés ou semi-éveillés n’ont encore qu’une très vague idée et que nous vous exhortons à voir nettement et en face. Ils nous vouent à la géhenne, nous avilissent, suivant des préceptes religieux qu’ils nous donnent sans cesse à voir, ne nous cachant rien, mais au contraire nous narguant en nous jetant à la figure leurs programmes thanatiques (« Je jetterai sur toi des impuretés, je t’avilirai, Et je te donnerai en spectacle – Nahum, 3.6 »,
affiche ouvertement un film de 2022, Nope, qui ne raconte rien d’autre que l’histoire d’un ciel menaçant et de « nuages suspects » qui déciment les gens), selon un principe directeur de la kabbale talmudique comme vient de le démontrer l’ignoble et parisien spectacle d’ouverture de ces Jeux olympiques 2024, et qui, comme nous le rappelle Alexis Haupt, n’est pas tant un problème de
« cérémonie d’ouverture des JO » (ou de « blasphème de la religion chrétienne » dirait-on au tocard laïc qui ne voit pas que c’est précisément des fous religieux qui nous assaillent et qui proscrivent à renfort de lois le blasphème dirigé contre eux), ce que le prisonnier du Médiavers, tout à fait effrayant dans sa froide indifférence, ne semble pas comprendre, que d’un problème d’idéologies malsaines et dangereuses qui prolifèrent dans la société et qui concernent la mise en danger de l’enfance.


Rappelons-nous que la gouvernance mondiale s’exerce sans entrave au moyen de gouvernements fantoches subordonnés aux élites lucifériennes. Et la succession des têtes qui composent les gouvernements n’apporte aucun changement substantiel, ne servant que de décor à ce sinistre spectacle. L’éventail politique dans tous les pays de la démocratie libérale s’est définitivement
uniformisé. La classe politique est l’otage du même paradigme dominant. La subordination des gouvernements des pays du monde entier à l’ONU et à ses agences (OMS, OMC, PNUD, UNICEF…) en tant qu’expression du gouvernement mondial est évidente pour tout observateur attentif. Les gouvernements admettent eux-mêmes que « l’Holocauste vaccinal » tuera d’autres
millions d’enfants dans le monde dans un avenir proche, après les millions d’entre eux déjà mutilés (dont des bébés venant au monde dans les pires souffrances) et tués par injections. Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément : nos classes dirigeantes sont non seulement opposées à nos intérêts, mais sont encore opposées à notre existence.

Trouvons l’occasion de faire valoir ici l’idée de fausse opposition au système, de faux opposants, groupements politiques ou parapolitiques d’une « dissidence » auto-proclamée et en carton-pâte et sous contrôle du pouvoir central. Elles ont la vie dure parce que pour l’athée (celui qui ne croit même pas vraiment au Mal, en ce qu’il ne croit tout à fait en Rien) le besoin d’idoles (compensatoires) est grand. Ces individus et plus souvent groupements d’individus (qui sont parfois le fait, du moins en
apparence, d’un seul individu, souvent homme politique déclassé : par exemple Florian Philippot en France), qui ont souvent comme point commun de se dire censurés mais qui trouvent toujours pourtant le moyen de communiquer vers nous (et de poursuivre le spectacle), auxquels nous réservons un chapitre entier dans le document que nous vous promettons, permettent d’une part de lister, cartographier, les dernières forces vives des nations, avant de les cadenasser et d’en aseptiser les vigueurs d’autre part. Il y est toujours question de reproduction du jeu de dupes du langage politique trafiqué d’édulcoration de notre expérience, mais centralement de maintien et de validation de ses illusions centrales, des grands paradigmes de notre servitude :
gauche/droite (par-delà toutes les expressions politique frelatées et insensées dont ils sont promoteurs, et nous songeons à E&R ici, Loubavitch ou non), ou dans le cas de personnages comme Didier Raoult ou Louis Fouché, il s’agit de critiquer la vaccination covid que pour mieux valider la vaccination tout court (qui est pourtant un poison dans toutes ses applications particulières), et par elle le paradigme pasteurien en général. Fuyons ces fausses idoles, ces pions, qui nous maintiennent captifs des voies sans issues et des temps d’écran, mais très fondamentalement encore docilement nous éloignent, en contradiction de la gravité de notre situation et son urgence, du commandement de nous donner physiquement contre le mal, au centre du message de notre Seigneur, qui ne s’est pas contenté d’enseigner, qui nous acclimatent au défaitisme et à notre situation de bétail. Mais nous y reviendrons donc plus en détail.


À l’heure de l’ordre marchand régnant, du satanisme réalisé (radicalement, celui de l’inversion de toute valeur), nous sommes déconnectés d’à peu près toutes les évidences. Or, une de ces évidences fondamentales, qui apparaît comme axiome et que nous endosserons en tout cas comme tel, est que nous avons le devoir, sacré, de nous battre ; et ce devoir se moque de nos excuses à ne pas agir. Les épandages assassins sont le signe critique de notre devoir de révolte, à l’heure de notre destruction programmée et dont le programme est déjà bien entamé… En dépit du constat effroyable d’un danger mondialiste à entendre au moins autant dans la prodigieuse somme de nos consentements muets qui l’autorise que dans ses applications sataniques elles-mêmes, la révolte attendue ne connaît aucune date de péremption. Ne perdons pas de vue cette idée, à la fois terrible mais prodigieuse. Nous la devons, chaque jour qui passe, à notre salut, à nos innocents petits. Nous la devons à la morale (et non à l’« éthique », mot de ceux qui précisément n’ont plus de morale) qui est notre guide et qui nous enseigne que n’avons aucune excuse défaitiste à faire valoir (et de toute cette démissionnaire racaille qui nous cerne, nous ne voyons pas plus médiocrement hypocrite ceux qui à notre demande d’agir éhontément nous servent du « c’est trop tard », et alors que bien souvent ils n’ont précisément encore rien fait…).
Les martyrs gazaouis sont à la fois le miroir de notre grande lâcheté, pour nous qui, et avec bien plus que de vulgaires cailloux, nous ne battons pas contre les génocidaires de nos propres enfants, et l’exemple devant nous inspirer le courage et la force vitale de combattre, dans le déni desquels nous sommes devenus des sous-hommes depuis 1945 au moins et son Plus jamais ça ! dont le sens véritable évident est : ne daignez plus jamais à résister, combattre pour votre vie, votre identité, qui vous êtes (indéniablement, et nous trouverions la magnanimité d’expliquer au lecteur qui serait pris de fièvre à la simple lecture de cette dernière idée pour lui expliquer que la haine n’est pas de notre camp).


Le goyim, gnostique à point, préparé par une vaste liturgie laïque qu’il ignore en majeure partie, est aujourd’hui, vingt ans après le 11 septembre (le rapport annuel de la Fondation Rockefeller de 2010 décrit une hypothétique pandémie qui a coïncidé étrangement, et à cent pour cent, avec la plandémie covid-19 lancée en 2020), tout à fait prêt à l’exécution assistée, suffisamment stupide que pour ne pas comprendre, mais encore suffisamment lâche aussi que pour ne pas vouloir entendre (leçon cardinale de Louis-Ferdinand Céline), comme nous l’avons bien vérifié avec le covidisme, qui ne fut pas seulement une vaste campagne de terreur cognitive et psychologique (de test de la docilité des populations à échelle mondiale), mais encore une opération militaire concrète de mise à mort et de mutilation de millions de prolétaires se conduisant eux-mêmes à l’abattoir pour se faire piquer comme des poulets par ce qui est, parfaitement objectivement, non pas «un produit pharmaceutique expérimental aux effets secondaires malheureux », mais un produit militaire conçu pour mutiler et tuer, comme il faudra encore avec persistance ou acharnement le rappeler à bien des semi-courageux « lanceurs d’alerte ». Ce spectateur, en tant qu’agent actif de possibilité des cultes de mort du FMI et de leurs actions concrètes, plus que de ne pouvoir les reconnaître, ne veut le faire, parce qu’il aurait précisément à y reconnaître son inavouable participation. Aucune expression n’est trop sévère pour qualifier l’Européen moyen, cet être intransitif dont le dernier mot n’est plus que sa survie individuelle et non plus celle de sa famille, et dont toute l’axiologie est frappée de nullité puisque la première est, à long terme, par définition impossible.


Contrairement à ce que l’on serait en droit de penser, nous n’avons pas encore touché le fond, et nous devons toujours malgré nous composer avec ceux qui, s’ils (avec optimisme) ne représentaient pas une si solide (sordide) majorité d’entre nous, représentent encore en tout cas une part incontournable… Vraiment, la guerre menée contre les peuples s’annonce rude, et rude peut–être d’abord par là, dans notre isolement, parce qu’il y en a en effet pire encore que ces attaques elles-mêmes, monstruosités
oligarchiques : il y a ce fait que la plupart des administrés ne veulent pas les voir. Avançons d’un pas et admettons-le s’il n’est pas déjà trop tard pour le faire : notre combat passe résolument par l’objectivation de ces réalités, dont la désignation des lâches qui peuplent nos familles. Et tirons-en sans plus tarder les importantes implications pratiques.


*


Nous ne pouvons cependant rester ni sur le constat de nos propres défaillances, ni sur l’effroi et la peur qu’il suscite, parce que nous n’en avons pas le luxe, primairement. De bien de brillants rhéteurs ont rapporté notre terrifiante descente depuis plusieurs siècles, mais en omettant le plus souvent d’en développer le propos jusqu’à ses conclusions logiques… C’est la morale qui en retrouvant bonne réputation doit revenir à l’avant-plan du discours, et nécessairement compléter les froides dissections anthroposociales de notre déchéance qui ne peuvent plus s’écraser sur leur propre constat clôt, le déterminisme impersonnel, être admises comme c’est toujours le cas aujourd’hui (à la pointe de ce qui fait notre aliénation : l’intellectualisme, c’est-à-dire les mots qui ne répondent plus que d’eux-mêmes) comme notes de fin d’une histoire qui n’en finit plus avec le nihilisme sans que ne soient dressées les conclusions (morales, ce qui n’est pas un gros mot, et morales parce qu’encore et avant tout humaines) qui s’y imposent.


Alors, que faire ? Nous ne discuterons pas ici de tout ce que nous faisons ici, et par tous les côtés, notamment en envisageant sérieusement la possibilité de retrait géographique, et bien évidemment la prophylaxie. Nous nous affairons bien entendu et avant tout à rendre seulement la lutte possible, ou de ce qui la définit directement, en ce qu’elle est par exemple ou avant tout faire et élever des enfants dans des conditions peut-être devenues impossibles en Europe de l’Ouest… Nous ne discuterons pas de nos plans précis ici, pour maintenir le propos sur quelques idées générales, idées pour guides d’actions, mais il va bien évidemment de soi que ces affaires sont centrales et que vous y êtes invités.


Premièrement, affirmons un peu naïvement que toutes les illusions doivent être abandonnées. Cultiver le mythe des rivalités (géo)politiques qui transcenderaient l’agenda globaliste-sataniste est non seulement contre-productif, mais suicidaire. Il s’agit d’entrevoir un saut paradigmatique qui dépasserait les clichés d’interprétation politique et géopolitique. Une analyse profonde, réaliste et sans limite circonstancielle des hiérarchies étatiques est le prélude à l’élaboration d’une plateforme de lutte idéologique et politique infiniment plus efficace. Plus qu’une analyse à dresser pour les autres, ce sont nos plans qui s’édifient sur ses résultats.


Combattre (que nous prenons donc comme base) reviendrait déjà à ce que soit déterminée la nécessité de ce combat comme ses raisons que nous avons commencé à exposer. Et quoique nous avons presque honte d’énoncer ce qui peut s’apparenter au truisme, nous en sommes pourtant, de cette détermination-là, bien loin. Avant tout, combattre, c’est donc tout simplement pouvoir en parler, faire sortir des silences coupables la question que nous nous donnons (utilement) tant de peines à éviter. C’est nous parler de ce dont il est fatalement question ici, dont notre responsabilité personnelle et collective à ce chaos que nous venons d’évoquer, débarrassés du poids des faux-semblants et faux sujets, des diversions politiques, des détournements des divertissements omniprésents, des excuses à ne rien faire et de leurs sciences. Discutons-en – et efforçons-nous à réapprendre à discuter tout court – pour en dresser un plan de réponse (et faisons déjà par cette seule question précise mais gênante s’évanouir foule d’encombrants pleutres), en familles choisies, comités organiques et véritablement (déjà par là) solidaires, vibrants, virils, parce qu’établis sur de vitales considérations, unis parce que celles-là se situent loin devant les pathétiques guéguerres d’égo et les mesquins calculs.


C’est le début, et c’est l’essentiel. Soulignons-le, fixons l’idée : point de salut sans honnêteté.


Cette condition première d’objectivation et d’expression de la nécessité du combat et des formes à lui faire prendre en commun nous livre son corollaire direct : combattre reviendrait alors, génériquement, à parler et oser notre langue, vernaculaire, gauloise, charnelle, vivante, à reprendre nos mots de notre propre histoire, alors affranchis des fausses questions et des prétextes à ne pas nous rassembler sur la seule question politique qui vaille (celle de notre survie), de la censure émasculante, neutralisante, qui est aussi, indirectement, celle qui nous invite sur le terrain des fausses questions, faux débats politiques, et à nous perdre en discutailleries quant au sexe des anges et des couleurs des abris à vélos. Vaste sujet, mais que nous pouvons appréhender en y donnant des directions claires. Pouvoir parler de la réalité indépassable que nous avons ici dressée en quelques pages – et que personne (personne) d’honnête ne pourrait contredire – c’est le début, nous disions, mais c’est aussi le plus difficile, et certainement de loin… Nous ne pouvons plus consentir à passer nos pensées et paroles sous les fourches caudines des compromis et calculs politiques, par les détecteurs à métaux des indignes commissaires des idées propres, à nous aplatir à la langue de bois et aux pensées sur rails qui ne mènent nulle part ailleurs qu’au déshonneur et l’oubli. Cela revient à dire que nous ne pouvons plus tolérer aucun chantage à l’expression. L’impératif connaît multiples implications, dont nous ne pouvons évidemment pas rendre en entier dans ce texte dont ce n’est pas l’objectif, mais efforçons-nous d’en tirer le principal.


Il nous apparaît évident, et d’après l’impératif de Soljenytsine, que nous ne pouvons plus nous faire les sémaphores du mensonge ambiant. La seule chose qui permet au mensonge d’exister en effet est notre participation à celui-ci. Que tous les hommes, ou du moins une partie d’entre eux, lui tournent le dos et le mensonge cesse d’exister. Et ainsi se perce une brèche dans le cercle imaginaire de notre inaction. Cela ne veut pas dire qu’il faille se rendre sur la place publique pour proclamer à grands cris la vérité, et dire tout haut ce que nous pensons tout bas… Nous ne sommes plus capables d’une telle chose, qui demande une force morale que nous n’avons plus. Orwell avec raison disait qu’ « en ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ». Soljenitsyne ne va pas si loin. Ne pas mentir, ne pas propager le mensonge est déjà un acte révolutionnaire en soi. Si nous ne sommes pas capables de prononcer tout haut ce que nous pensons tout bas, refusons au moins de dire (et par là déjà supporter) ce que nous ne pensons pas… Notre voix ne peut soutenir le mensonge. Or, quel que soit notre seuil de conscience ou notre culture propre, nous sommes à peu près tous conscients de la frontière au-delà de laquelle commence celui-ci. Ne renforçons donc pas l’écaille de l’idéologie, et voyons rapidement le mensonge tomber de lui-même. Si nous ne sommes pas capables de dire que le roi est nu, refusons au moins de dire qu’il est paré de beaux habits. Ainsi, chacun d’entre nous est placé devant ce choix : ou bien demeurer serviteur conscient du mensonge, ou bien considérer que le moment est venu de se secouer, et de devenir honnête, une personne digne d’être regardée par sa famille, considérée par ses amis, admirée par ses contemporains, digne d’être retenue et convoquée par la mémoire des hommes. Par nulle autre voie que celle-là doit alors devenir naturel déjà, pour une saine question d’hygiène, le refus de participer plus longtemps au jeu politique, à l’électoralisme à somme nulle, de délégation de notre souveraineté à des hommes qui n’en sont dignes…


Notre époque a cependant bel et bien besoin de héros. Nos aspirations doivent dès lors naturellement nous amener à trouver, ou à au moins rechercher cette force morale, pour nous hisser à redevenir capables, plus encore que de ne pas trahir la vérité, mais de la porter, positivement, partout, et quoi qu’il puisse nous en coûter. Combattre c’est oser nommer le mensonge partout où il se trouve, par tous ses grands récits mystificateurs, diviseurs : idéologies antiraciste, féministe, shoatique, écologiste, etc. ; nommer le grand mensonge politique qui les pilote : toutes les « extrêmes » sont installées, logées depuis longtemps (comme leurs « haines », « discriminations », « atteintes à la dignité », « crimes contre l’humanité », etc., effectifs) au cœur du pouvoir, en son bloc central, en ces cénacles, ses politiques racailleuses en costumes deux pièces et leurs relais du lumpenprolétariat de banlieues qui nuisent également sans sanction, et non vivantes en partis d’« opposition » ou dans les marges de populations indigènes dépossédées. Cherchons tous les chemins du courage pour contraindre le méphitique mensonge là où il se fait le plus virulent : là où il envoie de justes historiens derrière les barreaux pour délit d’opinion par les gardiens et de la seule histoire autorisée, faussaire et mythique, de la Seconde Guerre mondiale, s’apprêtant à réserver le même sort aux contestataires des discours officiels sur le climat et les vaccins ; là où il protège de démoniaques pédocriminels de cénacles et de réseaux (notamment dissimulés derrière les prétendus « prédateurs isolés ») auxquels notre démission collective et notre démission collective d’abord permet le transit de milliers d’enfants souffrant les pires et inimaginables sévices sur nos territoires. C’est là où il est interdit de dire que nous devons d’abord agir, et par là que nous devons fuir ceux qui nous disent de nous taire par stratégie (et qui se taisent partout et pour toute stratégie) pour nous éviter des punitions et peines, que nous devons pourtant endurer pour qu’il ne devienne pas impossible, demain, de s’autoriser le « dérapage » tout en jouissant encore d’une marge de manœuvre pour réagir à la sanction, pour qu’il ne devienne pas impossible, demain, de s’exprimer sans se faire admettre dans des camps.


Aucun d’entre nous ne devrait pouvoir supporter défendre plus longtemps les mensonges structurels et pendables qui doivent régler nos vies (et qui règlent avec une pernicieuse efficacité celles de ceux qui se pensent « sans religion »…), pour toute raison humaine, morale ou esthétique. Notre combat est primairement celui de l’abolition de la censure politique, qui passe par le désir comme par la nécessité de dire le vrai – ce qui fait de nous des hommes. Nous sommes des hommes de toutes les vérités et nous le sommes parce que c’est là le combat de tout honnête homme d’abord, que la libre expression est seule garante et guide du geste juste, et que ensuite et en réalité – ce dont nous ne chercherons pas à vous convaincre parce qu’il est trop tard pour cela – nous pensons avec Galilée que le « devoir d’un homme est d’être un homme », où il entendait qu’être un homme passait par la recherche de la clarté, de la justesse et de la justice et d’y sacrifier son existence, et que si personne ne se tient défenseur de cette recherche, qui est un chemin de croix, dans un monde où le mensonge aura triomphé (et nous n’y sommes pas loin), plus aucun père de famille ne sera en mesure de protéger sa femme et ses enfants…


Nous savons que le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ses idéologies malsaines que par ceux qui les voient triompher et s’en accommodent. Nous savons que le système que nous produisons collectivement par la somme de nos consentements individuels a pour propriété de concentrer un pouvoir de nuisance phénoménal dans les mains d’un tout petit nombre d’individus très dangereux. Et nous savons encore que ces derniers n’y pourraient rien sans nous. Sans la participation,
qui est d’abord l’adhésion passive, du plus grand nombre aux politiques qui nous mangent et uxquelles nous servons de rouages, rien de leur entreprise de destruction ne serait possible. Aussi sommes-nous intimement convaincus que si tout le monde se donnait au devoir de ne plus mentir, le monde tel que nous le connaissons aujourd’hui serait diamétralement différent demain. Et que brûlent en Enfer ceux qui détruisent nos cathédrales et souillent nos enfants.


Nous sommes également acquis à l’idée que combattre revient à diriger son énergie sur tout autre chose que le mal qui nous consume, à cultiver son jardin, à construire, donner la vie, non à l’extérieur de ce système mondial auquel nous ne pouvons plus échapper, mais en son dedans, en ses marges, pour y construire et y prévoir sa contradiction… Or, si nous ne savons pas encore exactement quelle part à accorder à notre devoir de résistance entre retrait et engagement frontal aux dangers qui nous font face et nous menacent – et c’est donc bien à cette réflexion vive, et la seule qui vaille véritablement comme nous le gageons, que vous êtes tous conviés –, nous savons néanmoins d’abord qu’il nous faut et faudra les deux, et nous savons encore (et d’autant plus lucidement en tant que parents) qu’elle ne peut s’entendre totalement dans le premier, et pensons que, autant que la désobéissance, notre combat passe aussi par la confrontation à laquelle il ne peut échapper et à laquelle nous aurions bien tort de ne pas nous préparer.


Nous pensons avec le Comité invisible, que nous citons ici en substance, qu’il n’y a pas d’insurrection pacifique, et que les armes sont nécessaires, bien qu’il s’agisse de tout faire pour en rendre l’usage superflu, qu’une insurrection est davantage une prise d’armes, une « permanence armée », qu’un passage à la lutte armée, que lorsque le pouvoir est dans le caniveau, il suffit de le piétiner, mais que dans la distance qui nous en sépare, les armes ont acquis ce double caractère de fascination et de dégoût, que seul leur maniement permet de surmonter. Nous désirons faire valoir alors qu’un authentique pacifisme ne peut pas être refus des armes, mais seulement de leur usage, et qu’être pacifiste sans pouvoir faire feu n’est que la théorisation d’une impuissance : ce pacifisme a priori correspond à une sorte de désarmement préventif, c’est une pure opération policière. En vérité, la question pacifiste ne se pose sérieusement que pour qui a le pouvoir de faire feu. Et dans ce cas, le pacifisme sera au contraire un signe de puissance, car c’est seulement depuis une extrême position de force que l’on est délivré de la nécessité de faire feu.


Quelques siècles de dressage politique et civilisationnel — et de génocides d’ailleurs en rappels à l’ordre — nous ont essentiellement séparés de notre pouvoir incarné, et non seulement de la possibilité physique de prise de pouvoir sur nos vies, mais encore, par l’arrachement de nos coutumes qui nous a conduit à la déconnexion entre les mots dont nous nous payons et nos réalités vécues, de la possibilité de conscientisation mentale de sa nécessité. Or, notre combat est inévitablement aussi, pour partie, physique, comme la bravoure pensons-nous également. Rappelons-y George Sorel qui, nous montrant la valeur d’un êtreau-monde vitaliste et pessimiste dans le combat politique, disait que face à la force de l’État, la force policière, militaire, judiciaire et juridique, leur harcèlement permanent et de plus en plus précis, les travailleurs n’ont qu’une seule et unique solution, celle de la grève générale et de la violence. Jeanne d’Arc face à l’envahisseur anglais n’a pas scandé « aux urnes, l’on s’arrangera aux élections », mais « aux armes ! ». Et Charles Maurras qui nous rappelle que tout désespoir en politique est une sottise absolue, dans Si le coup de force est possible, de poser la question : « Sans pouvoir souhaiter ni espérer le mal, nous ne pouvons pas faire que tant de fautes politiques ne l’engendrent pas. Faut-il s’interdire de le prévoir ou doit-on éviter noblement d’y
pourvoir ? Faut-il éviter de se dire que l’ennemi de l’intérieur pourra être un jour accablé des conséquences de ses fautes ou de ses crimes et que nous pourrons profiter d’un instant de stupeur pour nous débarrasser de lui ?
» Et déjà d’y répondre par : « Que la force publique montre du flottement, les chefs civils ou militaires de l’indécision, en ces cas-là (ceci a force d’axiome en histoire, par conséquent en politique), devant un groupe d’individus résolus sachant bien ce qu’ils veulent, où ils vont et par où passer, le reste plie, le reste cède, le reste est mené, enlevé. Ce n’est pas seulement la loi de la lutte civile ou de la sédition heureuse. C’est l’éternelle condition du succès des coups de main dans toutes les guerres connues. » Or, nous ne prônons pas la violence, mais seulement d’y répondre ; nous n’appelons pas à la violence, mais au contraire à y mettre fin.


L’engagement attendu de nous, et qui nous attache à trouver des solutions de survie pratiques dans des communautés à souder et à faire pousser de façon incontrôlable, nous appelle en réalité à bouter le feu de l’insurrection partout où nous le pouvons. Combattre dans notre perspective, combattre dans toute perspective, en réponse à l’infâme, revient à contester le pouvoir partout et dans ses moindres recoins, et pas seulement par les mots porteurs, à œuvrer à la chute de son infra-monde en en invalidant les structures, en nous activant à leur sabotage, en désobéissant le mieux que nous puissions à ses règles, en défiant le système d’obéissance, son marché, son esclavagisme par le travail, ses taxes, PV et impôts (nous y donnons là aussi l’exemple), ses génuflexions obligées et l’ensemble de ses lois iniques (et illégitimes avant d’être légales ou non).


Entre tant de gestes à poser et à encore imaginer auxquels nous devons insuffler vie et nous donner comme exemples, interpellons vivement les flics – instrument principal de domestication des masses par les démocraties remplacistes –, que nous ne pouvons plus admettre, comme les militaires – agents d’exécution des différents procédés mondialistes de mise à mort – autour de nous, pour les exhorter à sortir du rang. Ces médecins qui aujourd’hui encore et un peu partout injectent à nos enfant des produits de mort, comme ces pilotes épandeurs, avec tous leurs commanditaires et leurs relais politiques doivent être arrêtés et méritent un châtiment exemplaire. Combattre, c’est partout oser dire ce qui doit être dit, mais c’est encore oser faire ce qui doit être fait – en l’occurrence nous défendre. C’est affirmer que les instigateurs de ce qui nous arrive, par-delà le droit d’exception, méritent le pire
châtiment, et que nous devons, pères et mères de familles, l’administrer. Nous avons un devoir d’exemple d’invective des personnalités publiques, ministres, bourgmestres, députés, élus locaux, auxquels nous devons faire entendre qu’ils ont le devoir de mettre leur peau sur la table pour contrer ces politiques d’exécution, leur faire entendre en réponse à leur propre menace, celle a minima de leur collaboration passive, qu’ils ont le devoir de bouger, comme aux magistrats, journalistes auxquels nous devons tirer les oreilles, sans oublier les nôtres et notre propre auto-critique : nous sommes à peu près tous, à différents degrés, des fonctionnaires, petites mains de la politique en place. Et c’est en ce sens que nous devons bien identifier que c’est la désunion visà-vis de celle-là de la part des rouages que nous sommes, de la part de chacun d’entre nous, prolétaires, dont sont policiers, magistrats et militaires, cette désunion qui ferait déjà, et à défaut de pouvoir taper sur sa tête, s’écrouler sur ses bases le château de cartes du mondialisme. Si nous ne pouvons arrêter directement les avions, tentons de trouver les pilotes, et à défaut de pouvoir trouver ces derniers, bousculons tous les militaires que nous connaissons, qui n’ont pas le droit de dormir : nous avons à nous employer activement à saper les forces militaires qui prennent le pouvoir sur le monde de façon fatale en les attaquant partout où
nous le pouvons, et le plus souvent donc à la base, en tentant de faire entendre raison aux troufions qui sont nos voisins.

Combattre c’est tout faire pour arrêter nos assassins et tous leurs relais qui doivent être contestés, arrêtés, punis ; c’est tout faire pour dénoncer le mal là où nous nous en trouvons témoins, c’est mettre des mots sur nos propres lâchetés, c’est répondre à tous les mercenaires et employés du mal que nous retrouvons dans le moindre service d’administration, en juste et légitime défense.
C’est rendre les coups, et c’est mettre notre peau sur la table en y prenant des risques : risquer sa vie parce que la vie est sacrée, à défendre et à transmettre. Et nous l’avons cent fois vérifié : la force étatique est démoniaque en son tout, mais n’est composée que de petits êtres, petites choses lâches. N’allez jamais penser que vous ne faites pas peur à un odieux huissier que vous saisiriez par
le col, parce que ces effets sont garantis : tous ces planqués, ces queues plates et lapins de coursive d’administration, comme les appellerait Bernard Lugan, qui ne se sont jamais frotté au réel, qui ne se sont jamais battu pour défendre un enfant, pensent toujours pouvoir agir impunément parce qu’ils sont protégés par des bras qui ne sont pas les leurs, et nous vous assurons que les réponses viriles leur font peur. Plus terrifiant que le bruit des bottes, le silence des pantoufles.


Inutile d’accumuler ici davantage de risques en plus de ceux que nous prenons déjà, par des écrits qui seraient forcément interprétés par la pleutrerie congénitale de ce pouvoir censeur et assassin dans le sens qu’il veut. Et si nous affirmons par exemple qu’un ministre de la Défense qui ne nous protège pas et ignore nos appels jusqu’à la mort ne mérite pas d’être sur cette terre, ainsi que le capitaine Juving-Brunet exprime lui que de nos classes dirigeantes en entier, une moitié mérite la corde, l’autre d’être
fusillée, nous prenons précaution de préciser qu’il ne s’agit là que d’une opinion qui ne constitue aucunement, de tout point de vue technique, une menace, et de rappeler que nous ne prônons pas la violence, mais seulement d’y répondre, que nous n’appelons pas à la violence, mais au contraire à y mettre fin. En revanche, nous ne manquons pas de dire, dans ce monde devenu intégralement sataniste en ce que toutes les idées sont inversées et la tête en bas (pour rappel), que ce sont ces gens-là qui nous menacent, et qui plus que cela, puisque la menace ne présage que de l’avenir, d’une intention, exécutent des plans délétères contre nous ; qui les exécutent ou qui du moins y accordent leur visa. Et si nous parlons de bousculer, non de tuer, chacun en son âme et conscience doit savoir jusqu’où doit porter sa réponse à des assassins, et que nous avons donc toutes les raisons du monde
de répondre, plus qu’à des menaces donc, mais à des attaques déjà portées.


Les gens se distraient sans cesse pour échapper à l’angoisse d’un quotidien monotone et morne, reflet de leur vide intérieur. Si Internet, le mobile multifonctions et les sorties se révèlent insuffisants, alors les antidépresseurs ou les drogues viennent à la rescousse. S’ils ne veulent aucun autre son de cloche que les officiels sur Hitler, les épandages aériens, le 11 septembre, les vaccins ou les tueries de Rome, Madrid ou du Bataclan, c’est tout simplement et en dernière instance parce qu’ils ont adopté une
vision matérialiste de l’homme, qui ôte tout sens à la vie, et qu’ils tiennent à jouir de leur existence qui se terminera dans une plongée dans le néant éternel. Par conséquent, ils s’accrochent aux libertés individuelles qui lui permettent de jouir et de choisir ses distractions : film du soir, sortie du dimanche, lieu de vacances, communauté d’amis, amours… Aucun sacrifice pour la communauté n’est à l’ordre du jour pour la communauté nationale, parce qu’aucune réalité n’est à admettre que celle, sous
somnifères, de leur piteuse jouissance. Au fond, de l’Européen moyen, athée et exsangue, celui qui à l’heure de la destruction officielle de nos enfants s’attache à nous dire que le réel n’existe pas, celui que, par-delà les grands « mécanismes » historiques nous entendons dans sa situation (en l’occurrence coupable) de jouisseur, aux instincts vacillants et croyances avariées, partout conquérant à la retraite, rentier de l’héroïsme, comme le disait remarquablement Cioran, en sa volonté propre d’y demeurer (et
qui explique un abrutissement incompréhensible sans elle), nous pouvons déjà dire que, a minima et à l’aune d’un principe de responsabilité tutélaire, nous n’avons plus de temps à lui donner, et quasiment plus rien à perdre avec lui.


« Placés entre le feu de ceux qui aiment et le feu de ceux qui haïssent, il faut prêter main forte aux uns ou aux autres. Sachez-le donc ! ce n’est pas à l’homme en général, c’est à vous en particulier que l’appel est fait ; car toutes les forces morales, intellectuelles, matérielles, qui se trouvent à votre disposition, sont autant d’armes que Dieu vous a mises dans les mains, avec la liberté de vous en servir pour lui ou contre lui. Il faut vous battre ; vous vous battez nécessairement. Il ne vous est laissé que le
choix du camp. »

Ernest Hello


Nous ne nous acharnons pas avec les damnés qui ne peuvent plus rien entendre, et qui ne pourront sans doute plus jamais rien entendre. Et si nous ne croyons pas (ou plus) vraiment à ce seuil d’« éveil critique des consciences» dans les masses auquel serait à identifier le grand basculement, nous n’avons pas vraiment le luxe de ne pas y croire totalement… Nous savons qu’on ne gagne pas toujours avec le nombre, mais qu’on ne gagne jamais sans lui, et moins encore contre lui. Nul à ce jour n’a trouvé d’autre moyen de transformer les idées en force matérielle, et la critique en actes, que la conviction non pas forcément du plus grand nombre, parce que les grands changements opèrent souvent à partir de l’exemple donné par un petit groupe, mais d’un certain nombre. Nous soutenons que les idées sont décisives, comme nous soutenons que le problème capitaliste est bien trop universel pour que nous puissions lui échapper en îlots isolés. Les idées ont des ailes et des conséquences. Une idée qui vole de cervelle en cervelle devient une force d’action irrésistible et transforme le rapport des forces. C’est d’abord une bataille d’idées que nous, sans-pouvoir, livrons au pouvoir, aussi devons-nous être d’abord des producteurs d’idées, en recherche, par une pratique d’information qui demeure incontournable, non pas de convaincre le plus grand nombre – c’est peine perdue – mais un public d’élite, des êtres volontaires auxquels ne manquent encore qu’une étincelle… et qui composeront les forces, d’un petit nombre mais d’un nombre décisif et de qualité, des changements véritables. Et, comme le dit justement Éric Montana, « ça serait bien le diable si un million de Français sur les soixante-sept millions ne s’engagent pas dans cette cause nationale, parce que de toute façon l’on sait que ce sont toujours les minorités éveillées qui font bouger les choses. […] Ce sont les minorités conscientes et agissantes qui peuvent entraîner dans leur sillage un mouvement national ; et vraiment je considère ça comme une cause
nationale ce qui doit devenir une cause nationale. Et je ne sais pas comment les gens font pour ne pas se rendre compte de cela, et du fait qu’il y a au moins de quoi se poser la question…
».


Ne nous trompons pas de cible. L’élaboration d’une plateforme de lutte idéologique et politique que nous évoquions en début de seconde partie entend notamment la reconnaissance entre nos ennemis primaires et secondaires. Si nous n’avons pas le luxe de ne pas tout à fait croire en notre entourage proche, nous avons encore moins celui – face à nos ennemis dont nous connaissons les méthodes (de division : et il faut s’intéresser de près au grave problème des placements d’enfants abusifs) – d’apparaître forcenés à leurs yeux, celui de devenir totalement infréquentables, bien que nous devons tâcher de nous maintenir craints et respectés, ou du moins respectables. Beaucoup d’entre eux, ô combien nous le savons et Dieu nous en est témoin, méritent des paires de calottes et plus que cela encore. Veillons cependant à établir des hiérarchies à nos plans de réponses, et ne confondons pas frères, voisins, entourage passif qui nous entoure, et qui pour les meilleures raisons du monde méritent parfois des pieds aux fesses, qui doivent être bousculés et que nous ne pouvons laisser dormir tout à fait tranquilles, de nos assaillants directs. Point de contradiction ici. Mettons des coups de pied dans les fourmilières de nos familles endormies, réveillons les consciences qui peuvent l’être, parce que nous n’avons pas le choix. Ceux de ces zombies de nos proches qui ne sont pas encore tout à fait au point de non-retour, celui qu’ont franchi tant d’entre nous déjà, incapables ni de la moindre réflexion ni d’un seul acte de résistance, nous devons faire notre possible pour eux ; pour tenter de faire réaliser aux résinés à double (ou triple, quadruple, quintuple) dose qu’ils ont une grande chance d’être encore en vie et que précisément ils doivent à la vie d’expier, de s’accomplir en être humains pour ne pas finir comme larves esclavagisées, et de reconnaître cette voie de rédemption qui s’ouvre devant eux,
qui les invite plus que les autres encore encore à se rebeller, à trouver colère, eux qui ont consenti à la vaccination, et qui ont là activement collaboré au méphistophélique office de la plus grande dictature connue de l’histoire humaine, à l’intérieur de laquelle des enfants, comme en Australie, ont été arrachés des bras de leur parents pour être soumis de force à l’injection. Faisons voir à nos proches, dans la démarche non pas de leur venir en aide, mais qui se présente davantage comme un appel à l’aide, à la nécessité de faire corps, qu’ils méritent des coups de pieds au cul sans que ceux-ci ne viennent matériellement, et qu’ils devraient préférer cent fois les nôtres à ceux des Robocop de Davos, qui ne sont plus de la science-fiction, mais bien à nos portes ; nous devons faire voir et sentir que par leur attitude ils ne méritent pas forcément sort plus enviables que les démiurges de Davos et
que, dans leur inaction dont nous devons objectiver la grave culpabilité, ils ne méritent pas plus leurs enfants ou petits-enfants que leur salut, mais qu’ils méritent en revanche que nous les laissions sur le chemin. Nous devons êtres durs parce que nous aimons activement nos enfants, et ceux qui pourront nous lire comprendront intimement qu’en réalité, nous le ne sommes pas, durs…


Nous savons encore que nos peurs que le pouvoir nourrit et entretient délibérément constituent une expression performative de ce pouvoir de nuisance… Prenons garde à ne pas sombrer nous-mêmes dans l’immobilise, dont la terreur, qui en est une forme, par le paralysant constat de notre immense passivité collective ; déployons nos forces avec les vivants que nous devons chercher plutôt qu’à perdre une précieuse énergie à vouloir négocier, et en cas d’échecs de nous venger, des fantômes qui nous entourent (piège ou abîme, comme nous l’avons également expérimenté), bien que, et c’est presque un paradoxe, il est très difficile de composer sans eux et qu’il restent, pour le meilleur ou pour le pire, incontournables (et c’est quand ils le sont que leur démission est particulièrement, à la lettre, insupportable).


Nous affirmons encore, le verbe haut et au-devant des événements récents qu’Emmanuel Macron annonçait sans ambages luimême comme l’avènement de la Bête, appartenir à une génération de chrétiens qui n’acceptera pas de se faire cracher à la gueule, et que si les mondialistes et leurs piteux relais prennent notre miséricorde pour de la lâcheté, dans ces cas-là, nous avons le devoir
d’arrêter d’être miséricordieux.


Pour préserver les nôtres et assurer un avenir respirable à nos enfants, pères et mères de familles nous n’avons plus de temps à perdre pour relever la tête. Ensemble, combinons notre courage, notre volonté et nos efforts afin de rendre concret ce combat, de lui donner ses formes, et continuer ces lignes, forcément et par définition vacillantes, maladroites, défricher des territoires nouveaux, promesses de vie.

Le message déjà connu par quelques centaines d’entre vous aujourd’hui sera connu par des milliers d’autres demain. Aux autres, il vous sera inlassablement répété, et si vous serez régulièrement rappelés à vos obligations par de volontaires vivants, il vous reviendra de toute façon, sans eux, sans nous, comme un vital rappel en coup de boomerang, par l’éternel et concret retour du réel qui viendra vous chercher par la nécessité. Nous ne menaçons donc personne, mais rendons les coups, préparons la riposte, anticipons la victoire.


L’histoire l’a aussi parfaitement montré : aucune force politique, qui ne peut ou n’a le courage de soutenir un centimètre de débat critique avec nous (comme avec toute penseur honnête : cf. l’immense Pierre Guillaume) sur quelque idée que ce soit défendue ici pour nous contredire, ne nous viendra en aide. Ces gens ne répondront pas, ils continueront à se terrer derrière leur lâcheté, aujourd’hui impardonnable – qu’ils le sachent. Toute requête introduite vers eux, comme encore celle-ci récente de
l’ACSEIPICA
, doit avoir essentiellement valeur d’exemple, de publicisation du problème, puisque, encore avec le Comité invisible : nous n’écrivons pas pour convaincre, en ce qu’il est bien trop tard pour cela, mais écrivons pour armer notre camp dans une guerre qui se livre à même les corps avec les âmes pour point de mire, une guerre qui n’oppose certes pas un virus et l’«humanité » ainsi que le veut la dramaturgie spectaculaire, et nous tâchons alors de rendre la vérité « maniable comme une arme, selon le conseil de Brecht ».


Concernant diverses expérimentations remontant au second grand conflit mondial, occasionnels depuis la fin des années 90, les épandages aériens de biocides de l’OTAN sur les populations humaines, reconnus et surtout objectivés depuis longtemps, sont réguliers, quotidiens, intensifs depuis 2020. Ils répondent à l’agenda mondialiste (et son accélération) de contrôle et de dépopulation des masses (« vile semence de bétail »). Au rythme que nous connaissons depuis quelques années, notre sera humanité malade et mourante dans peu de temps. Nous en observons déjà les premiers résultats nets et, « géo-ingénierie » à part, les injections de mort de Davos et leur « covid-19 » parabolique devraient normalement déjà en avoir donné une idée nette à tout esprit encore fonctionnel. À l’inverse, entre autres, du « terrorisme musulman », du « réchauffement climatique », de l’« extrême droite », de l’ « antisémitisme », voire des méchants « virus » vendus aux cochons par l’empire médiatique, réellement
insignifiants, pour l’essentiel invisibles, mais assiégeant pourtant tous les espaces d’attention, occupant la tête de l’individu résigné moyen qui ne réclame plus rien d’autre que son divertissement, les « chemtrails », à plus forte raison peut-être encore que les vaccins meurtriers, évidents, hyper apparents, parfaitement réels, demeurent au contraire presque inapparents au regard de cet
assujetti…


Or, nous devons donc bien comprendre la multitude des maux qui nous écrasent par leur dénominateur commun : notre grande tolérance envers les mécanismes de leur accablement. Et c’est parce qu’un crime à si grande échelle n’est possible que parce que ceux qui en sont la cible désignée en suivent scrupuleusement la règle, et que le spectacle en cours d’effondrement laissera apparaître sur ses ruines soit la déréliction et la mort, soit le printemps d’une humanité renaissante selon nos réponses au chaos actuel dont nous ne pouvons nous soustraire, que rien ne doit nous sembler plus urgent et désirable que de reprendre possession de notre langue, d’abord par le courage de donner voix à ce que nous expérimentons, et à ce qu’un vécu collectif, certes traumatique, devrait désormais avoir rendu immanquable pour quiconque : le contraste entre le calme avec lequel nous continuons à vivre tranquillement et ce qui nous arrive est vertigineux et, en tout état de cause, inacceptable.


Si nous croyons peu aux vertus du cataclysme, et que les foules (dont pourtant la solidarité est clé) vont se mobiliser de plus en plus au fur et à mesure que les catastrophes vont se multiplier, nous ne pouvons qu’encourager votre mouvement, qui conditionne directement les possibilités du nôtre. Il en reste que dans notre système-monde devenu totalement irrespirable nous avons tous le devoir sacré, spectateurs y inclus, spectateurs d’abord et surtout, de nous montrer intraitables dans la défense de principes humains infranchissables. Gardons à l’esprit le bon conseil du docteur Reiner Fuellmich : « Diffusez la vérité et les faits le plus largement possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des gens qui sont désespérément vaccinés. Nous ne pouvons pas sauver tout le monde et beaucoup de gens encore vont mourir », et retenons-en que nous ne pouvons qu’accepter la réalité si nous voulons la changer, et que, dans tous les cas, notre démission est un préjudice ouvert et grave envers nos innocents enfants…


Ils réclament que nous nous battions, que nous nous battions contre la Bête, ses représentations, ses principes, ses artificiers, ses Golems, tous ses agents actifs et agents qui par leur passivité ne méritent que de disparaître dans la souffrance que leur promet Davos. Il s’agit là de notre unique défi, notre devoir d’hommes, celui du salut de notre âme, celui de notre honneur, un défi qui unit invinciblement tous les hommes de bien dans une union de la foi, sous l’appel de l’incandescence lumineuse et indétrônable du feu sacré et de la Passion du Christ.


Ne comptons essentiellement que sur nous-mêmes, et nous-mêmes, nous sommes les 99 %. Et le message est clair : nous n’avons pas d’autre choix que de laisser sur la route du déshonneur ceux qui ne se rebellent pas, et nous ne pouvons qu’espérer que les arrêtés endurent déjà ci-bas leur peine, celle de leur démission envers nos enfants en plus de celle du terrible poids de leste qu’ils font peser sur les avançants, en rendant par leur léthargie notre marche bien plus ardue. Les vivants que ce message pourra atteindre, eux, agiront, lorsqu’ils n’agissent pas déjà, que ce soit directement avec nous ou de leur côté propre. Ils seront en tout cas, à bien nous lire et au désir de vouloir agir, mieux armés.


Ce propos indépassable nous met tous au défi, qui bien est d’abord celui de l’entendre, et de trouver le courage déjà de pouvoir le faire.


Puissiez-vous donc trouver seulement le courage comme la force de puiser et de vous inspirer de notre patient travail d’honnêteté, de libération de la parole et de contestation, vives, que presque personne n’ose encore, pour rejoindre ce mouvement nécessaire.
Fermons toutes les portes à l’inessentiel, à l’esbroufe et aux pertes de temps multiples et sans cesse réinventées pour servir notre vile paresse.


Comme l’écrivait récemment Iurie Rosca dans un texte sur notre lutte nécessaire contre l’élite technocratique et la tyrannie technologique de notre mise à mort, qui implique un changement de modèle profond : « Et puisqu’à l’heure actuelle il n’y a aucun pays qui dispose d’un leadership fort, déterminé à livrer un combat total, jusqu’à la mort, aux élites satanistes qui ont usurpé le pouvoir politique à l’échelle mondiale, il est impératif de révéler cet état de fait tragique », et ajoute : « Le temps des héros frappe à la porte. L’avenir dépend de la volonté de quelques minorités qui constituent les véritables élites des nations. L’on ne peut pas bâtir sur les fondations fragiles de la médiocrité et de la lâcheté. Notre futur sera compromis si nous manquons le moment opportun. »


L’ancien sous-officier de gendarmerie François Dubois dans son appel à suivre vient d’exprimer la nécessité pour « tous les vrais patriotes » de « s’unir », eu égard du « caractère urgent et imminent de la situation », celle de « trouver les moyens de se regrouper et de se fédérer, à l’écart des fausses oppositions et des apparatchiks du système qui chercheront à nous saborder de l’intérieur ». Ou entendons encore l’appel, limpide, du pharmacologue Mike Yeadon, ex-président de la firme Pfizer, que nous remettons en citation tout en bas…


Guettons tous les signes forts et entendons même les têtes politiques à la marge qui nous lancent des messages courageux et qui ne trompent pas : combattre. Récemment, cette intervention de l’eurodéputée allemande Christine Anderson qui appelle à rompre le silence et à la désobéissance, qui a également dit devant assemblée et en s’adressant à l’OMS « Nous vous ferons tomber, et nous ne nous fatiguerons pas tant que nous n’aurons pas atteint cet objectif ; alors préparez-vous », et à peu près au même moment que Peter Mertens, du paysage politique belge, qui déclara lors du Sommet des Peuples organisé au Parlement européen :
« Il y a aussi une mutinerie en Europe. Les peuples souffrent de l’inflation croissante et de la pauvreté, de l’érosion du droit du travail et de lois de plus en plus répressives. La lutte des classes en Europe va et vient, comme les vagues de la mer. Mais elle est là, et elle lutte contre le même ordre mondial, les mêmes monopoles, le même système d’exploitation. Si nous arrivons à joindre la mutinerie du Nord à la mutinerie du Sud, et vice versa, nous pouvons faire basculer le monde. ».


L’appel, universel, est fondamentalement celui de la dignité. Il est celui de la grande union des honnêtes forces humaines productives, enracinées partout dans le monde contre ce qu’Ezra Pound appela l’« usurocratie », contre la classe des nomades anonymes parasites qui nous sucent le sang, qui sponsorisent tous les suceurs de sang affiliés, et qui doit être éliminée, abattue avec ses systèmes et États bâtards, avant qu’ils ne nous réduisent définitivement à rien. Cet appel est celui de ne pas nous laisser intimider ni par la classe politique, ni par tous les laquais d’État, de ne pas abandonner face à une classe politique qui fera tout pour rester au pouvoir et conserver ses petits privilèges. Ne jamais abandonner ; gardons toujours la foi près du cœur et le courage qu’elle inspire vissée aux tripes, et n’abandonnons pas, jamais. Combattons. La tête relevée, les pieds sur terre, le verbe haut et les yeux levés vers le ciel, édifions des armées de bâtisseurs, ne nous contentons plus de seulement redorer nos cages, et célébrons le réveil du sans-grade dans le cadre d’une croisade anonyme et mondiale du peuple renaissant.


Ne cédons pas au découragement devant le triomphe apparent des ennemis de Dieu, en nous remettant activement à la providence comme à la prière, loin des numérologies et des absentéismes karmiques des formes New Age qui valent tout autant comme prétextes au statu quo et nous envoient dans les étoiles pour ne jamais revenir sur terre et faire face à Satan et ses ennemis matériels. Fuyons les invitations incessantes à ne rien faire, à nous laisser mourir. Et puissions-nous d’abord et avant tout, chacun d’entre nous, nous rendre humbles face à Jésus Christ notre Seigneur et son profond message.


Notre pensée conclusive va vers, parmi les combattants devant l’Éternel, un vénérable et maudit professeur qui, au prix de sa vie, a exemplairement et anticipativement répondu à cet appel, et dont le courage, la droiture, le goût pour l’exactitude, l’amour inaltérable de la lumière de la vérité et la puissance de sa parole qu’aucune censure ne peut venir occulter, le sens du sacrifice que nous laissons encore aux médiocres calculs et intérêts, sont d’irréductibles et tutélaires modèles pour nous tous. Héraut du goût que nous avons à cultiver pour l’exactitude, de l’amour à vouer à la justice, magnanime envers les faibles, intraitable pour les escrocs, héroïquement martyr pour nous, nous avons une dette envers lui ; à défaut de beaucoup d’autres de ces générations honteuses qui l’ont méprisé, les hommes en devenir y tireront noble inspiration et honoreront sa mémoire. Nous finirons tous par perdre en nous taisant et nous perdrons nos enfants en ne nous sacrifiant pas pour eux. L’éminent professeur, suivant Galilée, nous enseignait : « Par-dessus tout je crois qu’il faut avoir du respect pour la vérité et pour la recherche de la vérité. C’est en tout cas mon devoir, et je crois que mon devoir c’est le vôtre aussi. »


Ce message, en toutes ses parties, est dédié à toutes les innocentes victimes de la haine qui est.


Collectif OVDNS
Envoyez-nous un courriel à bonjour[at]inmediares[point]be pour être informés de la sortie du documentaire en préparation, pour être acteurs de nos avancées.
Et retrouvez la version PDF de ce texte ici : www.inmediares.be/ovdns/appel.pdf.

« J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité.
C’est-à-dire la disparition de tout élément d’identité religieuse, civilisationnelle et culturelle collective. Il s’agit du vaste programme des élites mondialistes qui se résume à deux priorités : DÉPEUPLEMENT et CONTRÔLE. […] En ce moment historique, critique pour l’humanité, l’esprit de sacrifice et le courage des élites intellectuelles anti-Système est la condition indispensable de notre effort pour
réveiller les nations. Toute tentative d’édulcorer la réalité et d’éviter les risques de confrontations directes avec des gouvernements asservis à des centres de commandement mondialistes peut être fatale pour le monde entier. L’histoire est mise en avant par des personnages forts et lucides. Le temps des marchands et de l’esprit petit-bourgeois doit rester révolu. Le temps des héros frappe à la porte. L’avenir dépend de la volonté de quelques minorités qui constituent les véritables élites des nations. L’on ne peut pas bâtir sur les fondations fragiles de la médiocrité et de la lâcheté. Notre futur sera compromis si nous manquons le moment opportun. […] À ce moment crucial de l’histoire, une révolte majeure, mondiale, inconciliable et victorieuse des nations s’impose. Un nouveau monde ne peut être construit que sur les ruines d’un ancien monde. La génération actuelle est destinée à devenir le fossoyeur du capitalisme mondialiste, mais aussi de la technocratie démoniaque. »

Iurie Rosca


« Il y a ceux qui ne se révoltent jamais et laissent couler la vie, indifférents au sort des humains et parfois même aux injustices dont ils sont eux-mêmes victimes. D’autres vivent des moments de révolte, mais, incapables de lui donner un sens, ils ne peuvent traduire leur révolte en actions ou en lignes de conduite. Et puis il existe de rares personnes qu’on dirait nées avec un besoin si aigu de justice, d’équité et de bonheur qu’il leur est impossible de ne pas vivre en état de révolte permanente. On pense souvent que ces hommes révoltés vivent tristement, occupés qu’ils sont à sans cesse dénoncer les injustices, et qu’ils ne peuvent jouir des beautés de la vie. On se trompe. L’homme révolté, pour parvenir à l’équilibre sur la corde raide de la critique permanente, doit croire profondément au bonheur et à la beauté des choses. C’est parce qu’il est profondément inspiré par la beauté et le bonheur qu’il en fait sa revendication incessante. »

Gil Courtemanche


« Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font. »

Claire Séverac


« Si vous aimez vos enfants, rejoignez-nous, en combattant ce que nous devons combattre. C’est un combat juste, c’est le bon combat, c’est la bonne cause. »

Docteur Dietrich Klinghardt, éminent spécialiste du traitement des maladies connues, fondateur du Sophia Health Institute


« Le Goye […] a perdu tout discernement, et même toute velléité de discernement. Il ne réagit plus. Il ne se doute même plus qu’il n’existe plus. Il est trop minutieusement entrepris depuis l’école, depuis le lycée, depuis trop longtemps accaparé, robotisé, implacablement sonné, du berceau jusqu’à la tombe. […] Il règne sur tout ce pays, au tréfonds de toute cette viande muselée, un sentiment de gentillesse
sacrificielle, de soumission, aux pires boucheries, de fatalisme aux abattoirs, extraordinairement dégueulasse. Qui mijote, sème, propage, fricote, je vous le demande, magnifie, pontifie, virulise, sacremente cette saloperie suicidaire ? Ne cherchez pas ! Nos farceurs gueulards imposteurs Patriotes, notre racket nationaliste, nos chacals provocateurs, nos larrons maçons, internationalistes, salonneux, communistes, patriotes à tout vendre, tout mentir, tout provoquer, tout fourguer, transitaires en toutes viandes, maquereaux pour toutes catastrophes. Patriotes pour cimetières fructueux. Des vrais petits scorpions apocalyptiques qui ne reluisent qu’à nous faire crever, à nous fricoter toujours de nouveaux Déluges… On nous a toujours trafiqués, vendus comme des porcs, comme des chiens, à quelque pouvoir hostile pour les besoins d’une politique absolument étrangère, toujours désastreuse. »

Louis-Ferdinand Céline


« Trois millions de petits bourgeois rouges, sans Dieu ni maître, de cœur avec les plus abjects révoltés de l’histoire, baptisant volontiers Spartacus ou Marat la rare géniture échappée par miracle à leur fureur malthusienne, et pourtant citoyens dociles, contribuables ingénus, souscripteurs à tous les emprunts, tels enfin que je les voudrais voir sculptés dans le marbre, leur bonne face rondouillarde levée vers le ciel, y bravant du regard la foudre, mais attentifs à ne pas heurter de la jambe le seau de l’employé du fisc occupé à les traire — oh ! l’incomparable, la magnifique gageure ! Protégée par cette épaisse matelassure, la République peut gouverner, c’est-à-dire poursuivre le cycle de ses expériences démagogiques, au moins jusqu’à ce que la dure loi de l’argent ait rejeté au creuset — au cœur même du prolétariat — une classe moyenne appauvrie. »

Georges Bernanos (dans La Grande Peur des bien-pensants)


« Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde : je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme…
Chacun d’eux, retiré à l’écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres : ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l’espèce humaine. Quant au demeurant de ses concitoyens, il est à coté d’eux, mais il ne les voit pas ; il les touche et ne les sent point ; il n’existe qu’en lui-même et pour lui seul, et, s’il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu’il n’a plus de patrie. Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge
viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer dans l’enfance. Il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre. Il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages ; que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ? »

Alexis de Tocqueville


« On sait, en effet, que la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. Cet intéressant résultat, l’abasourdissement médiatique l’obtient très naturellement par le moyen de ses mensonges incohérents, péremptoires et changeants, de ses révélations fracassantes et sans suite, de sa confusion bruyante de tous les instants. Cependant, si chacun, là où il se trouve, avec ses moyens et en temps utile, s’appliquait à faire valoir les droits de la vérité en dénonçant ce qu’il sait être une falsification, sans doute l’air du temps serait-il un peu plus respirable. »

George Orwell


« Le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest aujourd’hui pour un observateur extérieur. Le monde occidental a perdu son courage civique, à la fois dans son ensemble et singulièrement, dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque pays, et bien sûr, aux Nations Unies. Ce déclin du courage est particulièrement sensible dans la couche dirigeante et dans la couche intellectuelle dominante, d’où l’impression que le courage a déserté la société toute entière. Bien sûr, il y a encore beaucoup de courage individuel mais ce ne sont pas ces gens là qui donnent sa direction à la vie de la société. Les fonctionnaires politiques et intellectuels manifestent ce déclin,
cette faiblesse, cette irrésolution dans leurs actes, leurs discours et plus encore, dans les considérations théoriques qu’ils fournissent complaisamment pour prouver que cette manière d’agir, qui fonde la politique d’un État sur la lâcheté et la servilité, est pragmatique, rationnelle et justifiée, à quelque hauteur intellectuelle et même morale qu’on se place. Ce déclin du courage, qui semble aller ici ou là jusqu’à la perte de toute trace de virilité, se trouve souligné avec une ironie toute particulière dans les cas où les mêmes fonctionnaires sont pris d’un accès subit de vaillance et d’intransigeance, à l’égard de gouvernements sans force, de pays faibles que personne ne soutient ou de courants condamnés par tous et manifestement incapables de rendre un seul coup. Alors que leurs langues sèchent et que leurs mains se paralysent face aux gouvernements puissants et aux forces menaçantes, face aux agresseurs et à l’Internationale de la terreur. Faut-il rappeler que le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant-coureur de la fin ? »

Extrait du discours Le déclin du courage, prononcé par Alexandre Soljenitsyne à Harvard le 8 juin 1978


« Ces opérations doivent être considérées comme l’entreprise la plus insensée jamais déployée par la race humaine. Celles-ci font dérailler tous les systèmes de support de la vie sur terre. La totalité de l’architecture de vie est systématiquement contaminée et décimée par l’ingénierie climatique en cours. Et ajouté à toutes les autres formes d’activités humaines ou anthropiques qui déjà causent des ravages dans celle-ci, le génie climatique est mathématiquement et statistiquement parlant la menace la plus grande et la plus immédiate à laquelle nous sommes collectivement confrontés à l’exception d’un cataclysme nucléaire. »

Dane Wigington, chercheur principal de Geoengineeringwatch.org


« Nous sommes au cœur d’un crime en cours. J’ignore combien de temps il va se poursuivre, mais je suis convaincu qu’il s’agit du plus grand crime de l’histoire humaine. Son plan est global, avec l’intention de contrôler et supprimer la liberté de chacun d’entre nous. Je crois aussi qu’il implique de tuer d’autres millions, voire des milliards de personnes encore. Aussi, c’est un plan prévu depuis longtemps. Les composantes de la tromperie, comme par exemple les tests PCR ou le recours massif à la peur par l’entreprise médiatique sont bien connues et ont fait l’objet d’études et de phases de test, par la sphère militaire comme par les gens qui la commandent, depuis au moins vingt-cinq ans. Voici pourquoi je vous appelle aux armes : il ne s’agira jamais d’un retour à la normalité, au monde tel que nous l’avons connu, qui n’est nullement leur intention. Le phénomène ne va pas naturellement s’estomper et le changement ne peut par conséquent pas se produire passivement. Si vous vous conformez à cette tyrannie, cela se terminera par la perte de votre liberté, et probablement celle de votre vie. Les chaînes d’approvisionnement qui acheminent les matériaux, les matières premières et les produits finis dans le monde entier sont brisées à l’échelle mondiale ; et il est terrifiant de constater qu’il en va de même pour la production alimentaire, à l’échelle mondiale aussi, qu’il s’agisse de la production d’aliments ou d’engrais, délibérément saccagées. Ils détruisent les moyens de produire suffisamment de calories pour maintenir 7,8 milliards de personnes en vie. Où pensez-vous que cela va finir ? Famine de masse, conflits horizontaux généralisés, déplacements de populations mondiales tous azimuts. C’est ce qui se passera si chacun d’entre nous ne fait pas son possible pour les arrêter.
Les taux d’intérêt augmenteront en raison des dettes énormes qui provoqueront des faillites massives, des récessions, des dépressions, la perte de confiance en toutes les économiques qui littéralement s’effondreront. Si vous attendez, je pense qu’il sera trop tard ; et pense aussi que vous savez déjà que je vous raconte quelque chose de plus proche de la réalité que ce que les gouvernements nous disent. Mais je crois que nous pouvons éviter ce cauchemar en en soustrayant activement notre consentement et en n’acceptant absolument pas ces identifiants numériques pour quelque raison que ce soit. Si vous les acceptez, ils nous soumettront. C’est pourquoi je vous implore de vous impliquer, de prendre la mesure de ce que je vous dis avec d’autres. Soyez courageux, hardis aux frontières de la témérité, soyez héroïques sans plus attendre et en prenant le risque de tous les embarras ; ralliez un maximum de personnes à la cause, afin que nous ayons une chance de retourner la situation. »

Mike Yeadon, ex vice-président du groupe Pfizer


Collectif OVDNS

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