Carlos Xerfan, enquêteur privé officiel sur l’affaire AZF http://livreazf.e-monsite.com/, et sympathisant de notre mouvement depuis déjà longtemps, nous a contacté récemment au sujet d’une affaire qui pourrait être un début fort intéressant d’enquête judiciaire.
En effet, bien au courant des nouvelles du Brésil car il est franco-brésilien, Carlos nous a appris que la société gestionnaire d’un site d’extraction d’aluminium – le plus grand du monde – situé à Barcarena, état de Para (nord Brésil), la société norvégienne Hydro, avait été mise en examen judiciaire au niveau fédéral fin février et tenue dès lors de ne produire au maximum que 27% de sa production la plus basse habituellement. Ceci suite aux catastrophes écologiques provoquées par cette exploitation qui ont mobilisé le peuple et ses élus. Un leader de la lutte locale vient d’être assassiné, voir cet article de presse locale: https://g1.globo.com/pa/para/noticia/lider-comunitario-que-denunciava-crimes-ambientais-em-barcarena-e-morto-a-tiros.ghtml
Les clients principaux de cette société sont/étaient des armées et des sociétés secrètes et l’aluminium part/partait pour être transformé en nanoparticules… Reste à poursuivre l’enquête sur ce sujet.
Nous avons mené un petit sondage duquel il ressort qu’une majorité d’observateurs ont constaté une trêve dans les épandages fin février et une fréquence moyenne un peu moindre depuis …
Faute de matière ?
Certes, il n’y a pas que l’aluminium et de celui-ci il y a d’autres sources de production – autre enquête à mener ; les nanoparticules peuvent être ajoutées au substrat de base des épandages que sont les cendres de charbon volantes ou ajoutées au carburant courant des avions … Ou partir dans des vaccins ou autres …
A suivre …
Devenez plus vigilant dans vos observations ! Nous pouvons apporter une contribution au procès de cette société et remonter la piste de l’aluminium.