GÉOINGÉNIERIE ENQUÊTE Chemtrails – Ondes – Polymères – Impacts

Chantal Dumas


À savoir si c’était des Lockheeds Martin F-22 Raptor, je n’y connais rien en matière d’aviation, une chose CERTAINE, c’est que c’était des avions de chasse de l’armée, couleur gris foncé sans aucune démarcation, sans signe particulier sur leur habitacle visible.
Ceci quelques heures avant la pluie de filaments du 07 novembre 2013 en Drôme Ardèche, phénomène ayant défrayé la chronique.

Le hasard a voulu que j’assiste de mes propres yeux au passage de ces chasseurs manœuvrant en vols parallèles, situés en basse altitude arrivant du Sud en direction du Nord.
Tous laissaient de grosses traînées blanches derrière eux. Visuellement, la distance entre chacun d’eux était identique. Sauf, l’un d’eux, plus en retrait, qui avant de s’aligner avec les autres, a fait un cercle complet. Celui-ci m’a particulièrement stupéfié après avoir fait un largage 2 à 3 fois plus important que le restant du groupe, entraînant derrière lui une épaisse fumée cotonneuse blanche qui s’étendait et s’étalait de façon spectaculaire !!!
J’ai besoin d’un éclaircissement : « Comment cela se fait-il que des opérations semi-dévoilées au grand public, censées être exercées exclusivement dans le cadre de la géoingénierie, ensemencement des nuages et création de bouclier nuageux artificiel, se fasse juste en dessus des habitations et en si basse altitude !??? Il m’est personnellement difficile de ne pas y voir là une toute autre expérimentation parallèle bien moins avouable….

Deux ans plus tard, les journalistes du secteur ont renouvelé un article au vu que cet événement soit porté définitivement aux oubliettes. Aussi, je remercie par avance les hommes de pouvoir qui voudront bien se risquer à me répondre. Je suis patiente, c’est quand vous voulez….

Bref, quelques heures après le passage des chasseurs, le ciel se voilait et dans l’après-midi commençait la chute des mystérieux filaments…
Dans notre Région (Drôme), depuis la pluie de filaments du 07  novembre 2013, qu’est ce qui a changé pour ce qui concerne les polymères organiques aéroportés ?
C’est aussi à partir de là que j’ai commencé à me poser des questions et à réagir activement en multipliant les observations de terrain, les recherches et les contacts cherchant à m’informer, presse, internet,… et contactai différents organismes.

Mon tout premier lien internet fût celui-ci, utile à ma compréhension et prise de conscience du phénomène :
AVRIL 2013 Claire Henrion présidente de l’ACSEIPICA à la conférence du 8 & 9 avril 2013 au parlement européen :
https://realinfos.wordpress.com/2013/04/20/chemtrails-skyguards-8-et-9-avril-2013-claire-henrion-au-parlement-europeen/

Personnellement ça fait bien longtemps depuis que je ne regarde pas la météo mais me fie à l’état anthropique du ciel…

À savoir, qu’avant cet événement très préoccupant, mon attention était orientée dans le cadre d’une maladie infectieuse appelée : la borréliose de Lyme et sa chronicité. Comme le nuage de Tchernobyl, cette maladie s’est arrêtée à nos frontières : « En France, 5 000 cas sont officiellement recensés en 2012, contre prêt de 1 000 000 de patients traités en Allemagne !!! ». Sous l’effet du réchauffement climatique et la déforestation, la Borréliose de Lyme est devenue la deuxième maladie infectieuse après le SIDA. (L’estimation réelle en France étant d’environ 65 000 nouveaux cas/an et 80 000 nouveaux cas/an pour les données allemandes, ce qui se tient. Ceci est égal à 1% atteint de cette maladie et donc « potentiellement » 1% des donneurs de sang !…). La Borréliose de Lyme est une réelle pandémie, plus dramatique encore que cette maladie grave, tenace et insidieuse, je reste sidérée de voir autant de victimes d’un système destructeur où les malades à leurs dépends sont utilisés comme source d’énergie faisant émerger un business financier fleurissant… Mais COMMENT POUVAIS-JE UN INSTANT IMAGINER RENCONTRER UNE SITUATION BIEN PIRE ENCORE !!!???…
En juin 2013 environ, je suis tombée par hasard sur des vidéos via internet exposant le déni orchestré autour d’une maladie appelée le Morgellon.
On ne sera d’ailleurs pas étonné, que des personnes atteintes de Morgellon, soient aussi positif à la Lyme en raison d’un système immunitaire affaibli…
Puis, le temps a passé et j’ai attendu le 07 novembre 2013 !!! BEN OUI !…QUE ÇA ME TOMBE SUR LA TÊTE POUR RÉAGIR !!!….

Synthèse sur les filaments aéroportés :
Au fils du temps et les mois qui ont suivi, la chute et leur présence sur les sols ont été quotidiennes et le sont toujours aujourd’hui (preuves clichés en vidéo), bien que moins visibles en raison d’une augmentation des vents anthropiques tout azimut, fragmentant la fibre des polymères.

Leur observation en amas devint moins courant. Quelques heures après les épandages chimiques, leur présence, en filament épar rend la prise d’un cliché en macro assurément compliquée, voire impossible.

Une fois à terre, selon les vents et températures, les polymères perdent rapidement de leur volume (- H2O), donc moins collants jusqu’à perdre leur propriété élastique.

Moins chargés en eau, au microscope, leur matière est plus dense, plus compacte, plus chargée en poussières et additifs polluants.
D’un blanc immaculé, certains filaments sont passés au gris, se fragmentent jusqu’à ne plus devenir visibles à l’œil nu.

Il existe plusieurs fibres et de différentes couleurs : rouge vif métallisé – jaunes doré – blanc – bleu….

Plusieurs mois après, je constatai que leur membrane interne devint plus cassante, soit, se désintégrant d’avantage en fines particules dans l’air.
Les polymères sont du coup beaucoup moins entremêlés, plus épars, moins de présence d’amas, donc moins perceptibles à l’ œil nu ainsi que stipulé ci-dessus.

Ils disparaissent plus rapidement par le système d’évaporation d’eau et par dilution : si l’air et les sols sont plus chargés en hygrométrie.

Une fois tombés au sol, les polymères semblent perdre de leur capacité adhésive. Il n’en demeure pas moins qu’ils conservent leur caractéristique électromagnétique. Soit, il reste courant d’en retrouver sur les carrosseries de véhicules, grillages de clôtures, fils d’étendage… mais surtout, le comble de l’ironie : ils se font piéger par les toiles d’araignées !!! (il ne suffisait pas d’avoir accusé à tort les aranéides, voilà que maintenant leur habitacle est devenu inhospitalier, littéralement infecté pour certains)…

Cette vidéo est une synthèse relatant des faits et documents réels, vécus depuis le 07 novembre 2013 jusqu’à ce jour.
Aujourd’hui, je reste seulement active dans l’envoi régulier des clichés du ciel anthropique de ma Région auprès de l’Association citoyenne ACSEIPICA. Il s’agit d’une enquête indépendante, personnelle, menée à la suite des filaments tombés du ciel le 07 novembre 2013 sur notre Région de Drôme-Ardèche. Par mesure de précaution, de respect et droit à la personne, aucun nom, ne sera divulgué.

Pourquoi ? Dès lors que je me suis mise à m’intéresser aux problématiques liées aux épandages aériens et que j’ai voulu en savoir plus sur les polymères organiques aéroportés, j’ai été confrontée à une forme de réticence de la part de certains interlocuteurs. Indéniablement, le simple fait d’évoquer le sujet « Filaments issus des Chemtrails » dérangeait grandement.

À noter quelques railleries ou on vous envoie vers d’autres interlocuteurs, histoire de se débarrasser plus vite du problème. Également des formes de déni orchestrées, genre : « jamais entendu parlé, non, je ne vois pas, non, pas au courant… », mais essentiellement des contrevérités, des formes d’hypocrisie cocasse, genre : « Ah, non ! Nous on ne fait pas ce type d’analyses ici, ou cela, vous coûterez quelques milliers d’Euros, etc… » (ça c’est pas mal non plus, histoire de dissuader…). Etc.

J’ai eu aussi un personnel qualifié dans les pollens et micro environnement et qui restait toujours sur sa position initiale (qu’en est-il aujourd’hui, je l’ignore) : « les polymères sont issus des fils de dispersion de la vierge liés à certaines espèces d’aranéides ! disait-il… ». Cette personne poussera le vis et la dérision en rajoutant ceci : « Vous savez, un jour, une personne m’a amené des échantillons en disant que ça ressemblait à de la peau humaine alors que c’était des résidus d’écorces de cyprès… ». Mais, bien sûuuuuur !!!! Pffff…..
Et, quand vous lui dites, qu’il y a eu des analyses qui ont été faites concernant les polymères et que vous lui annoncez ce que c’est en réalité, il vous dit : « désolé je n’ai pas le temps, là, j’ai du travail !… ».

Y’en a eu un, dans le lot, qui a été moins « langue de bois » que les autres et qui m’a dit : « nous privilégions la piste « anthropique » sans pouvoir la démontrer avec certitude, d’autres spécialistes dont c’est le domaine (biologie, chimie) doivent faire leur travail, pour confirmer cela ou pas, ce n’est pas le nôtre !!! » et il rajoutera entre autre : « pour moi il y a deux types de spécialistes à interroger :
– des spécialistes de l’environnement et en particulier des araignées ;
– des chimistes pour analyser chimiquement ces fils ;
J’ai été contacté par une chercheuse du CNRS qui travaille justement sur ce phénomène  des « fils de la vierge ». Elle semble formelle sur le côté « naturel » de la chose…et donc de ce que l’on a observé en Drôme ; l’ampleur du phénomène l’a seulement un peu intriguée et pourrait s’expliquer par des conditions météo particulières…. ».
Cette chercheuse du CNRS a été impossible à retrouver !!!!! : « inconnue au bataillon !!! », bien sûr ce sont des choses qui arrivent souvent !!! : Peut-être la retrouverais-je dans les  » FAITS DIVERS  » ??? avec un gros titre genre : « DISPARITION INEXPLIQUÉE DE PERSONNELS AU SEINS DU CNRS »… Mais restons sérieux…

Bref, de fils en aiguille, j’ai eu la chance qu’on me mette en relation, enfin, auprès d’une autre chercheuse du CNRS pour l’échange d’échantillons de polymères, piège à particules sèches, récolte d’eau de pluie. L’entretien suivi aura duré plusieurs mois. Je suppose que si cela aura pu se faire, c’est que je me serais contentée tout ce temps d’écouter et de suivre les instructions sans poser de questions ou presque ?
Par contre, bien qu’allant à l’encontre de l’avis de la chercheuse, jouant « cartes sur table », j’aurais pris la peine de l’informer, dès le départ, de mon point de vu « ferme et arrêté » sur l’origine des polymères.
Mon premier contact qui a été téléphonique, aura été pour le moins très surprenant mais malheureusement toujours dans le même état d’esprit !!!
Surtout avant de lire ce qui va suivre : pensez que cette scientifique ne fait que répéter les consignes et ordres qui lui ont été conférés et commandités…. :

Les points positifs :
1- La personne ne dénigre pas l’évidence même : aussi que ces filaments ne sont pas du tout de même nature que les toiles d’aranéides !!!
2- Elle est sensibilisée par le fait que la circulation croissante liée aux passages des avions peut également entraîner une perturbation climatique….

Le point négatif, (à savoir que je n’avais fait aucune demande particulière, ni posé aucune question) : Cette personne, d’une voie très calme, mélodieuse et de façon méthodique se met à me relater les faits du 15 février 2013, où une grosse météorite est entrée et a explosé dans l’atmosphère terrestre à plusieurs kilomètres d’altitude, provoquant ainsi cette pluie de météorites autour de la ville russe de Chelyabinsk (dans l’Oural). Elle m’informe que depuis la désintégration de cette météorite, on a pu remarquer une modification significative sur un dérèglement climatique, cela, sur l’ensemble du globe.
Nous suivons cela de très prés dit-elle ! La dernière fois qu’un tel événement s’est produit avec des dégâts encore plus importants, c’était le 30 juin 1908, en Sibérie, dans la région de la Toungouska….

Bref, cette personne fait le lien entre cet événement du 15 février 2013 et les filaments tombés du ciel le 7 novembre 2013 !!! Elle dit que ceux-ci font partis des mystères de la nature et que l’on est loin d’imaginer toutes ses merveilles… (le mots « merveilleux », par ailleurs, revient avec insistance et à plusieurs reprises).

Soit : cette matière se diluant dans les sols ne représenterait aucun danger pour l’Homme, voire au contraire : elle ferait partie des mystères fascinant de la vie au même titre que les traces d’ADN retrouvées dans certains météorites…

Cette personne se veut rassurante et me dirige ainsi par ses propos vers la théorie extraterrestre pour ce qui est à l’origine de ces filaments !!!

TOUS CES PROPOS QUI REPOSENT SUR DES FAITS RÉELS, SELON MOI, SONT, BIEN ENTENDU, PURES DIVAGATIONS ET PROPAGANDES HISTOIRE DE NOYER LE POISSON DANS L’EAU…

À noter que si une météorite similaire avait déjà frappé la terre en fin 2012 (date des premiers prélèvements d’échantillons analysés) ou même en 2007, lors des analyses du Docteur Zamengo de l’université Ca’ Foscari en Italie et bien cela se saurait !!!!!
C’est vraiment à se demander pourquoi autant de zèle et d’application dans une histoire comme celle-ci, à dormir debout ?

QUE VEULENT-ILS BIEN NOUS CACHER ?
– Que leurs essais d’épandages comportent des risques sur l’environnement, l’écosystème, la biodiversité, le monde animal et l’être humain et qu’ils ne sont pas en mesure réellement de quantifier exactement leurs impacts ? (Est-ce que ce sera 10, 20, 30% ou plus de la population qui sera affectée ?)
– Qu’exposer au monde de tels procédés en stade expérimental, ceux-ci n’auraient jamais pu voir le jour car jugés, par la population, trop risqués et peu viables, quelles qu’en soient les raisons exposées ?
– En gros, qu’ils ne maîtrisent, en fin de compte, pas grand-chose, qu’ils ne sont pas en mesure de dire si le jeu en vaut réellement la chandelle ?
– Que maintenant la machine lancée, ils ne peuvent plus faire marche arrière : trop d’investissements économiques, financiers sont en jeu ?
– Que spéculateurs et investisseurs tiennent les rênes et qu’eux-mêmes sont devenus les instruments d’autres marionnettistes bien plus avides et perfides ?
– Que sous-couvert d’une lutte contre le réchauffement climatiques, lutte hasardeuse et soumise à controverses entres scientifiques, mais soit disant utile et nécessaire, d’autres profitent de l’opportunité pour officier dans des buts (militaires, puisque ayant racheter les brevets scientifiques des géoingénieristes…) bien plus risqués et bien plus inavouables encore ? (Il ne suffirait certainement pas des 10 doigts de la main pour énoncer les toutes les raisons aux multiples facettes des épandages).
– Que nous sommes entrés dans une guerre silencieuse « légitime », sous forme de sélection naturelle, sans merci, évoquant une surpopulation mondiale engendrant une baisse critique des ressources terrestres ne pouvant assurer telle que la pérennité de l’existence humaine sur terre ? (Justement on en parle aujourd’hui à la télévision, y a-t-il vraiment de hasard, où suis-je Madame Irma !???LOL)…..

En fin de compte, la réalité ne dépasserait-elle pas la fiction ???
« Ne sommes nous pas les figurants, victimes d’un scénario catastrophe qui aurait pu être inspiré des plus grands chefs-d’œuvre de Stephen King avec une fin s’annonçant peu glorieuse ? »

N’en déplaise à certains, mais j’étais bien au premières loges lorsque des « Chasseurs » précédant cette pluie massives de filaments du 07 novembre 2013, sont passés au dessus de la maison . Ils laissaient s’échapper derrière eux des épandages d’épaisses fumées blanches s’étalant dans le ciel jusqu’à former un voile sur toute sa superficie.

J’ai pu remarquer que plus la pression atmosphérique est chargé en eau plus les filaments sont épais, collants & résistants (élastiques) et l’on peut alors apercevoir des amas qui se forment (filaments entremêlés). Ne pas les voir, ne veut pas dire qu’ils ne demeurent pas.

Tout me laisse à penser que les caractéristiques et propriétés des filaments, entrant en combinaison avec les quelques éléments de l’air auxquels ils s’associent (eau, hydrogène, oxygène, azote, etc.), auraient la capacité de se régénérer? Ceci m’a donné l’idée d’en faire une culture afin d’en étudier l’endurance, l’avancement et le comportement.

Intéressant de savoir que quelques morceaux de brindilles auxquels étaient agrippés les filaments ont été également déposés dans le liquide. Le bois des brindilles même coupé continue à travailler, c’est un matériau dit « hygroscopique ». Même constat pour les filaments, même après avoir hiberné pendant 2 mois au frigo, à l’abri de l’air, sous pli aluminium !!! Une sacrée résistance en somme !!!

Les filaments après s’être dissous littéralement se sont comportés comme un champignon parasitaire venant ensuite s’agglutiner autour des morceaux de brindilles et ont fabriqué ensuite des ramifications faisant comme une forme de cocon fibreux cotonneux.

Ensuite, une forme de mère jaunâtre, comme ce que l’on peut voir dans le vinaigre, se forma, mais d’aspect beaucoup, beaucoup, plus fluide, se dispensant dès qu’on agite le flacon et se reformant au repos !!!!….
D’après moi, ils peuvent se présenter sous différentes formes, donc, particulaires, dissoutes, volatiles ou non, en fonction des différents critères de situations (pression atmosphérique, hygrométrie, températures…).

Les filaments ne sont pas toujours perçus à l’œil nu.
Ce qui est de toute façon visible (par beau temps, de façon évidente), c’est la formation de voiles nuageux artificiels d’origine anthropique dans le ciel. Ciel aux couleurs dénaturées et/ou saturées, tellement chargé en particules polluantes après épandages chimiques (ou Chemtrails).

Mes observations complémentaires : La matière des polymères est capable de faire corps avec les éléments. La nature chimique des chemtrails crée artificiellement des zones dépressionnaires provoquant nuages et/ou pluies, vents….
La masse nuageuse anthropique crée un bouclier et empêche la pollution ascendante de se disperser de façon homogène dans l’atmosphère et rend l’air moins respirable et donc plus nocif (effet de serre), comme nous le savons.

Suivant les conditions, les différents critères de situation, les éléments, auxquels est soumis le polymère organique complexe (ou dit « non identifiable » après analyses, puisque fabriqué en laboratoire, non breveté pour éviter les fuites de divulgation), son aspect varie.

Une partie s’évapore (air), une partie se dilue dans l’eau (sol), une partie de dissout en fines particules (poussière) dans l’air et une partie n’est-elle pas directement ingérée par la matière organique vivante ? À l’échelle du nanomètre toutes les hypothèses sont envisageables….
Que maîtrisons-nous au juste? Dans le cadre de la nanotechnologie, créer une nouvelle forme de vie en combinant du vivant et du non-vivant, ça aujourd’hui, on sait le faire !!! Oui, créer ne semble plus poser de problème, mais, conscientiser, appréhender de façon concise et responsable, l’interaction et l’impact éventuelle auprès des formes de vie déjà naturellement présentes sur terre, là, la tâche devient plus compliquée !!!
Il n’y a aucun mérite, quel que soit l’enjeu, de créer une nouvelle forme de vie qui détruit ou déstabilise l’équilibre naturel de la vie sur terre…. La nature nous apprend de surcroît que toutes choses perdurent dans le temps à condition qu’elles vivent avec ses particularités propres en harmonie avec son environnement et non au détriment de celui-ci en se comportant comme un vulgaire parasite !!! Tout repose, dans l’Unité, intelligemment, en un subtil équilibre.

Le polymère est capable de rester longtemps en suspension dans l’air. Il remplit avec succès ses fonctions premières, orchestrée par nos apprentis sorciers, soit, entres autres : « servir de parachute pour diverses additifs créant ainsi une barrière pour les rayonnements du soleil afin de retarder les effets du « dit » réchauffement climatique ».

Personnellement, ce qui me pose problème par-dessus tout, c’est ma théorie exposée ci-dessus, concernant son adaptabilité aux éléments terrestres et son autorégulation dans notre atmosphère et notre environnement…

Différents critères me pousse à émettre l’hypothèse suivante : Après avoir été épandus, la formation des polymères s’auto-régule en partie, peut-on parler alors de régénérescence ?? Quoiqu’il en soit, ils ont une force d’adaptation spectaculaire !!!! Autonomes, sans qu’il soit besoin de les réalimenter constamment, ils semblent s’auto-alimenter grâce à la molécule d’eau présente dans l’air et le cycle de celle-ci.

Pour se faire des bactéries sont automatiquement utilisées, mais lesquelles sont-elles, E-Coli et leur effet glaçogène, etc… ???

J’ai lu plus tard que que le baryum absorbant fortement le dioxyde de carbone et l’eau, en combinaison avec l’aluminium, agiraient ensemble pour diffuser du courant dans le « dit » bouclier, ajoutés au nitrates, monoxyde, dioxydes de carbone, fluorocarbones, hydrocarbornes…. ainsi que nos fameux polymères électromagnétiques (pouvoir d’attraction, servant de véhicules), mélangés avec du matériel biologique, permettrait la suspension de tout ces mélanges de particules dans l’atmosphère pendant de plus longues périodes… avant de retomber sur terre ou de se dissoudre dans les pluies, les sols… bien évidemment rien ne se perd !!!

À l’époque j’avais fait un beau travail également auprès de la spécialiste en aranéologie maintes fois citée dans les média. J’ avais été la seule à comprendre qu’elle avait été plus ou moins dupée par les média et que ses propos avaient été coupés et utilisés à ses dépends, aussi je lui avais envoyé des filaments qu’elle aura pu étudier personnellement pour se faire son propre avis avec des bases solides, d’authentiques échantillons prélevés sur le terrain. Après quelques échanges elle s’était confiée que dorénavant elle se méfierait.

Bilan : lors des épandages intensifs devenus aujourd’hui récurrents avec d’avantage d’ondes ajoutées (HAARP) qu’il y a 2 ans, je peux remarquer une recrudescence de problèmes de santé divers et varié, allergies ORL & cutané, (yeux, nez, voies respiratoires, peau), fatigues, maux de têtes, difficulté de concentration… des maladies gastriques, cancers poumon, colon…, accidents de la route en augmentation également dus aux intempéries liées à la modification climatique engendrée par ces opérations d’épandages orchestrés et pas uniquement à une baisse de vigilance, dépression, Alzheimer, autisme…. Des gens meurent ou sont affectés à différents niveaux en raison des problèmes occasionnés par ces épandages chimiques… Nous, nous le savons !!!!

Pour terminer, ma petite attention aux plus sceptiques, pour vous aider à avaler la pilule rouge, j’ai quand-même pensé à vous mettre de la musique douce !! ;-)) Gardons, consciemment, la Foi et l’humour…
Amicalement Vôtre,

Chantal, alias « Fleur de Lotus » pour le microcosme et ce que la Nature a fait de plus beau & « The Mutant 26 », pour le reste et ce que l’homme a fait de pire, car quand je vois cela, je n’ai pas l’impression d’appartenir au même monde !!

Compte rendu ACSEIPICA de la conférence « Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat »

organisée par Amy Dahan et Hélène Guillemot, du CNRS et Centre Alexandre Koyré les 20 et 21 novembre 2014 au Musée des Arts et Métiers à Paris 3e.

http://climaconf.hypotheses.org/

Nous nous sommes retrouvées à 6 jeudi matin à l’entrée du Musée avant l’heure d’ouverture de la conférence et avons pu distribuer comme prévu aux participants , notre lettre dont j’avais envoyé par mail, la veille au soir, une copie aux ministères de l’Ecologie et de la Défense ; impossible d’envoyer un message par internet au ministère de la Santé et le ministère de la Défense nous demande un courrier postal. Nous allons donc renvoyer cette lettre par courrier postal à ces 3 ministères, ce qui est fait depuis le 24 novembre

argumentation CNAM_lettre ministres

 

Saskia Messager a eu un entretien serré avec Amy Dahan, qui était sur la défensive …

Trois d’entre nous sont restées pour assister à la conférence et avons pu faire quelques interventions. Nous avons d’autre part rencontré quelques sympathisants et soutiens, alertés par nos annonces sur internet

A midi, nous avons discuté, chacun(e) en particulier avec quelques uns des orateurs. Nous avons pu nous rendre compte, si nous en doutions encore, que ces scientifiques auxquels font référence les politiques, étaient dans l’ignorance totale des armes climatiques et électromagnétiques.

Ceci et leur déni systématique de la réalité des épandages en a pris un coup, même si bien sûr ils ne se rangent pas du jour au lendemain à notre point de vue. Malgré nos délicatesses, c’est pour eux un choc frontal, on attaque un mur.

Amy Dahan, quoique résolument hostile à nos propos a eu la politesse de nous accorder la parole quand nous l’avons demandé, le dialogue reste ouvert.

Vendredi après midi, nous nous sommes retrouvés à 3 pour la session de clôture, avec également Marc Cendrier de Robin des Toits.

Ce qui ressort de tous les exposés présentés : l’incertitude des modèles ; leur travail consiste à gérer les probabilités d’incertitudes -:) ; la perspective du COP 15 à Paris ne provoque à ces scientifiques aucun espoir particulier d’issue sur les problèmes climatiques.

J’ai pu prendre la parole à ce moment et exprimer à nouveau qu’il était bien difficile de leur accorder confiance puisqu’ils ne tenaient compte dans leurs études que de la partie émergée de l’iceberg, à savoir l’impact des activités civiles sur les dérèglements du climat. Et qu’en conséquence leurs modèles et prospectives ne pouvaient être véritablement valides puisqu’ils ne tenaient pas compte des activités militaires et secrètes qui représentent les 8/9 immergés . Que nous étions des lanceurs d’alerte et que nous leur demandions de se pencher de manière scientifique sur l’observation de la circulation aérienne, que c’était une affaire de sécurité et de santé nationale, et qu’il en était de même dans tous les pays.

Malgré quelques réprobations , j’ai pu être entendue. Personnellement je suis heureuse d’avoir pu être là à ce moment là et poser ces quelques jalons. La mer monte, et les châteaux de sable sont fragilisés. Merci à toutes et tous qui ont pu être là, à ceux qui ont envoyé la lettre ou qui ont aidé à la préparation ainsi qu’à Nina K. qui m’a offert une merveilleuse hospitalité. Force et courage.

Claire Henrion

 

Ci-dessous la lettre

 

aux ministres de la Santé, de l’Ecologie, de l’Agriculture et de la Défense

le 24 novembre 2014

Au sujet de la conférence « Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat », qui s’est tenue les 20 et 21 novembre, au Musée des Arts et Métiers à Paris 3e, organisée par Mme Amy Dahan et Mme Hélène Guillemot du Centre Alexandre Koyré- CNRS et soutenue par l’Agence Nationale de la Recherche http://climaconf.hypotheses.org/ .

Madame/Monsieur le Ministre,

Veuillez trouver ci-dessous la lettre que nous avons distribuée à l’entrée de la conférence et que nous souhaitions porter à votre connaissance.

Merci de votre attention; nous restons à votre disposition pour plus d’information et nous vous prions d’agréer, Madame le Ministre l’expression de nos meilleures salutations citoyennes.

Pour l’ACSEIPICA

Claire HENRION

« Nous sommes venus participer à cette conférence mais nous restons dehors, voici pourquoi1 :

Bien que nous nous soyons inscrits, car concernés par le titre du colloque, nous nous abstenons de rentrer étant donné qu’aucune place n’est prévue dans le programme pour l’expression de la société civile et la remise en question des postulats sur lesquels reposent les prospectives annoncées dans le programme à savoir :

  • la nécessité de modéliser le climat pour sauver – qui ? – d’un catastrophique réchauffement climatique qu’on attribue unanimement et sans conteste possible au CO2 émis par nos coupables activités civiles. Lequel CO2 (qui ne représente pourtant que moins de 0,05% des gaz de l’atmosphère terrestre) est devenu l’obsession des scientifiques autorisés et des sphères politiques: pour le contenir il faudrait empêcher les rayons du Soleil de passer … Pourtant tout le monde sait que les végétaux transforment le CO2 en oxygène sous l’effet de la lumière du Soleil. Faut -il se priver des rayons du Soleil ? Cherchez l’erreur …

Nous voulons signifier que la société civile n’accordera confiance, crédibilité et autorité aux représentants des institutions de sciences et politiques du climat, pourtant à priori honorables, qu’à partir du moment où ceux-ci:

  • prendront en compte les effets de la géo-ingéniérie dans leurs modélisations climatiques, géo-ingéniérie à l’œuvre depuis plus de 50 ans dans le domaine militaire et maintenant dans le civil. S’ils l’évoquent d’un point de vue historique, comme Amy Dahan dans son exposé du mois de janvier au colloque du COMETS, ils occultent totalement ce facteur au présent …
  • Se pencheront sur l’évidence des épandages aériens généralisés de produits toxiques par des avions évoluant en grand nombre, bien en-dessous des couloirs civils; ceux-ci produisent des traînées anormalement persistantes à des altitudes auxquelles les lois de la physique ne permettent à la vapeur d’eau éjectée par l’avion de produire de la condensation qu’en présence de particules supplémentaires
  • Et se mettront, en raison d’une question de sécurité nationale et mondiale, au service de la surveillance de la circulation aérienne – civile, militaire et clandestine – ainsi que de l’analyse de la composition chimique de ces traînées anormalement persistantes, et de leurs conséquences sur la santé et sur tout l’environnement. Un fait qu’ils s’obstinent, jusqu’à présent, à nier ou ignorer.

L’inconsistance totale des arguments, hormis son titre, et la catastrophe planétaire dans laquelle ils nous précipitent, nous autorise à porter cette alerte à la connaissance de tous.

Nous sommes donc présents, ici à l’entrée, pacifiques et silencieux, représentant la société civile de France et d’Europe pour affirmer cela, avec calme et fermeté.

ACSEIPICA, Skyguards

20 novembre 2014

1Au final, quelques uns d’entre nous ont suivi la conférence ; voir notre compte rendu sur http://www.acseipica.fr/

en .pdf  argumentationCNAM_lettre ministres

Sciences à très grande échelle – colloque CNRS

colloque CNRS jan2014 COLLOQUE  INTERDISCIPLINAIRE organisé par

LE COMITÉ d’ÉTHIQUE DU CNRS (COMETS)

les 8 et 9 janvier 2014

Sciences à « très grande échelle »

Tout est-il permis ?

Tout est-il bénéfique ?

La dynamique d’une recherche peut-elle nous échapper ?

colloqueCNRSprogramme    

 

 

Nous avons été invités à ce colloque et une dizaine de membres de l’ACSEIPICA y ont assisté, en particulier à la conférence inaugurale et à l’exposé sur la géoingéniérie planétaire.

Suivi du colloque sur les sciences à « très grande échelle » sur le site du COMETS

 

Voici notre compte-rendu:

Ambiguïté, voilà le maître mot de ce colloque.  

Doit-on se désoler de ce que les scientifiques présents aient considéré nos interventions comme simplement dérangeantes, refusant d’aller plus loin sur la question ?  

Ou se réjouir de voir Olivier Boucher encadré, ici par deux femmes d’ envergure philosophique : Bernadette Bensaude-Vincent et Amy Dahan, principales animatrices du colloque ?   Toutes deux ont affirmé fermement leur refus de toute pratique de géoingéniérie de même que l’ensemble des femmes qui se sont exprimées dans cette assemblée de chercheurs; du côté des hommes, c’est plus mitigé, certains semblent séduits par la géoingéniérie.  Mais la question des conséquences imprévisibles et irréversibles de ces plans « prométhéens »   – le terme a été maintes fois prononcé –, ainsi que l’aspect multi-échelles du problème – de la cellule à la planète, en passant par nous- ont été bien abordées, ce qui a mis bien en lumière la folie qu’est la géoingéniérie dans son principe et interdit toute expérimentation.  

Un exposé très bien documenté et s’accordant avec nos sources sur l’histoire de la géoingéniérie a été présenté par Amy Dahan.  

Le seul ennui, bien sûr, c’est leur refus résolu d’entendre parler de ce qui se passe réellement dans le ciel. Nous avons même eu droit à la formule consacrée sur la condensation des avions de ligne par une personne du staff, au premier rang !  

Dans l’ordre :

Dominique Pestre, du CNRS, historien des sciences, directeur d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Conférence inaugurale: « Entre hubris[1] technologique, acteurs économiques et société civile. Quels rôle et place pour les scientifiques ? » Analyse de l’évolution du rapport sciences et politique depuis le 19e siècle : la science est devenue l’alter ego de l’état et une institution de référence ; elle en profite dans ses financements. Son autonomie est systématiquement dépendante de ses financeurs. La maîtrise des choses réside dans l’alliance du scientifique et du politique. Aujourd’hui nous sommes dans les effets durables de ce paradigme.    

– L’une d’entre nous a pris la parole en premier dans l’assemblée et est rentrée dans le vif du sujet, assez maladroitement du point de vue des autres, car la tribune et beaucoup du public se sont sentis agressés d’entrée. Manque de breefing au départ ? Mais faut-il lui tenir rigueur d’avoir fait le premier pas dans ce milieu qui ne nous était qu’entr’ouvert ? Maintenant que c’est fait ce n’est pas la peine. Continuons à avancer.  

– J’ai pensé qu’il fallait apporter des précisions et j’ai pris la parole en deuxième, énoncé notre nom complet, et demandé une première fois aux scientifiques d’aborder ce sujet avec une démarche scientifique. Il a fallu que j’insiste pour aller au bout de ma phrase car un brouhaha de protestation se levait.  

– Intervention ensuite de Dominique Legluge, journaliste scientifique pour Sciences et Avenir à propos de la différence entre principe de précaution / d’innovation.  

– Puis de Michel Spiro (directeur de l’IN2P3/CNRS et Délégué scientifique français au Conseil du CERN depuis 2003)   – Puis Irène Hardy (de l’ACSEIPICA mais se présentant sous son étiquette Robin des Toits) ramène le sujet de l’actualité des manipulations atmosphériques.  

– Michèle Leduc, physicienne, présidente du Comité d’Ethique du CNRS (le COMETS) aborde la question de l’intégrité scientifique et introduit :  

– Amy Dahan (histoire des sciences, membre du COMETS) présente un exposé sur les rapports entre éthique, politique, épistémologie[2] ; la question climatique, la planète dans sa globalité. Souligne l’aspect à la fois spatial et temporel des grandes échelles dont il est question, c’est-à-dire les conséquences à très long terme des expériences de géoingéniérie.  

– Norbert …, mathématicien, rêve d’une autorégulation permettant une harmonie entre la recherche scientifique et le bien-être humain. Fait remarquer que des pans entiers de la science échappent à toute régulation. Cite l’économie financière comme autre exemple de science à grande échelle.  

– Dominique Pestre : le concept à la base de notre science est de devenir le maître de notre environnement ; c’est une approche prométhéenne du monde, intrinsèquement contradictoire. Il n’y a pas de synergie entre science et démocratie ; la science se pose au-dessus de la société. Les effets de la science nous mettent devant des ETATS DE FAITS.  

– Pierre Joliot, professeur au collège de France   – Gérard Toulouse, ENS, physicien  

– Yann Canino, petit entrepreneur en chimie moléculaire aborde : principe d’innovation versus principe de précaution ; « le vulgat conspirationniste » ; perturbateurs endocriniens  

Exposé d’Olivier Boucher, climatologue, laboratoire de Métrologie dynamique présente les techniques de géoingéniérie : injection d’aérosols dans l’atmosphère pour la « Gestion du Rayonnement Solaire » (Solar Radiation Management – SRM) et la capture du CO2.  

– J’aurai l’opportunité de poser la question : puisque l’on attribue à l’excès de CO2 la cause du réchauffement climatique, pourquoi créer un écran aux rayonnement solaire qui limite la transformation de ce gaz en oxygène par les végétaux ? Ce à quoi Olivier Boucher répondra que ce n’est pas important.  

– Amy Dahan fait un point bien documenté sur l’histoire de la modification du climat faisant ressortir le rôle initiateur et prépondérant des militaires ; note un reflux de la contestation publique dans les années 60 ; dans les années 70, on s’inquiète davantage des effets de la pollution sur le climat ; le GIEC est créé en 1988.

Pour le SRM, elle cite entre autres : le Lawrence Livermore National Laboratory https://www.llnl.gov/, lié aux chercheurs en armement ; ce laboratoire proposait, en 1991, de créer un smog atmosphérique ; en 1992, de créer un bouclier solaire pour la planète.

Cite Ken Caldeira et David Keith (géoingénieurs) ainsi que Clive Hamilton qui dénonce la « mégalomanie technicienne » (mais nie la géoingéniérie en cours) et Paul Crutzen, chimiste, à l’origine du concept « d’anthropocène », qui dénonce avec vigueur depuis 2006 l’augmentation des pollutions, le caractère pseudo naturel  de la météo et la dédramatisation du passage à la géoingéniérie.  

Quel pourrait être le frein à la mise en œuvre de la géoingéniérie ? Rappel de la conférence de la Royal Society 2009, et suivantes, sous l’égide de John Shepherd, où la géoingéniérie est banalisée et présentée comme opportune. Les principes d’Oxford, élaborés à la conférence d’Asilomar en 2010 sous la houlette de Steve Rayner, établissent un premier cadre de gouvernance pour les pratiques de géoingéniérie. Voilà ce qu’Amy Dahan souligne par rapport aux 3 points de ces principes (compte tenu que ni elle, ni les auteurs de ces principes, ne reconnaissent la géoingéniérie en cours ; il s’agit pour eux d’expériences à réaliser ou non) :    

– la géoingéniérie doit demeurer un bien public (mais la part du privé est acceptée)            

– les conséquences sur les générations suivantes posent un dilemme de droit, voilà pourquoi cela ne doit pas être géré que par des privés.            

– nécessité d’obtenir un consentement préalable des parties concernées.            

– C’est un défi lancé aux us et aux croyances            

– comment s’assurer de la transparence des résultats ?            

– comment obtenir des expertises indépendantes sur les impacts ?            

– gouvernance avant déploiement ; entre expérience à grande échelle et déploiement, où est la frontière ?

Pour conclure, les principes d’Oxford sont un effort louable et inédit mais ils écartent la possibilité de prohiber certaines recherches.  

 

Discussion ouverte par Bernadette Bensaude-Vincent : la géoingéniérie, comme la science moderne, n’est pas neutre : elle est mortifère (Michel Serre 1970) ; elle est liée à des enjeux militaires ; sa vision est prométhéenne. Soulève deux questions d’éthique :            

– peut-on envisager des réponses humbles au problème du changement climatique            

– c’est un situation typique d’incertitude : il faut en reconnaître les limites Cite l’appel d’Heibelberg en 1992 http://fr.wikipedia.org/wiki/Appel_d%27Heidelberg  

DOIT-ON CONTINUER A VOULOIR DOMINER LA NATURE ?  

 

– Domy Pélissier (ACSEIPICA) fait état de HAARP et de ses effets sur le climat.  

– Daniel Hofnung (ACSEIPICA mais se présente seulement sous l’étiquette Ciel voilé) présente des analyses d’eau de pluie faisant état d’un fort taux de baryum  

– autres interventions (je n’ai pas tout noté)  

– A la fin de cette première session, j’ai pu remettre en main propre deux exemplaires de Case Orange  à Amy Dahan et une autre personne (désolée je ne sais pas qui c’est) ainsi qu’un exemplaire du cours « chemtrails » de l’US Air Force à une 3e.  

 

TABLE RONDE FINALE le jeudi 9 janvier à 16h

– M. Grange, professeur de biologie pense que si la géoingéniérie est une pratique prométhéenne et dangereuse, en revanche il n’en serait pas autant d’éradiquer un virus à l’échelle de la planète (à très grande échelle). Dis qu’il est important de connaître l’histoire.  

– Modératrice : très grande échelle, c’est quand les mécanismes de régulation ne sont plus gérables.  

– Michel Templio, géophysicien de Grenoble, membre du COMETS) ; son rayon c’est l’échlle planétaire, les risques naturels, les conséquences globales d’un séisme par exemple. Dis qu’on s’attend à la juste punition de notre attitude prométhéenne (connaît-il HAARP-note de Claire) ; qu’il faudra bien accepter des programmes désagréables parce que c’est trop tard pour l’attitude humble.  

– Il est contredit par Amy Dahan.  

– Danièle Boursier, juriste, a retenu :            

– pas de synergie entre science et démocratie            

– nous vivons dans un monde toxique            

– « régulation »            

– « le scientisme de l’innovation »

De son point de vue, la grande échelle, c’est le droit international. Elle souligne la différence entre le droit continental, préventif et le droit anglo-saxon, « common law » (on laisse faire et venir puis on gère) La démocratie s’arrête à l’entrée d’une multinationale pharmaceutique Appelle au partage des données scientifiques  

 

BILAN DES TROIS THEMATIQUES du colloque 

1- Géoingéniérie : Bernadette Bensaude-Vincent

Le climat est déréglé, les molécules sont dégénérées. Notre rapport à l’Objet nous a amené dans une crise profondément anthropologique qui concerne notre rapport à la Nature. Devant la complexité croissante des objets, que faire ? Nécessité d’une approche systémique, considérant des individus en relation ; d’un modèle global, holistique, multi-échelles. Considérer les objets non comme outils mais comme partenaires, alliés, à respecter. Cite Primo Levi (chimie). Les plus petits objets : molécules, bactéries et les objets dangereux demandent notre respect.  

 

2- Les substances chimiques : Mathias Girel

Cite « Golden holocaust », livre à sortir d’ici 2 mois.  

 

3- Les bactéries résistantes: Norbert Schappacher, biologiste,

raconte la découverte des antibiotiques et le discours de Flemming : « il est extrêmement dangereux d’interrompre un traitement antibiotique car les bactéries ont l’opportunité de rebondir ». Il se dit choqué par la sérénité d’Olivier Boucher. Pour lui, la géoingéniérie serait une idée folle, mais pas les antibios …  

– un intervenant parle de l’interaction de l’homme et du microbe (on a besoin de nos bons microbes)   – un autre des insectes OGM, ingéniérés. Met en question la vieille logique selon laquelle la technique va régler les problèmes causés par la technique.  

– Amy Dahan, répondant aux propos de Bernadette Bensaude-Vincent à propos du respect de l’objet d’expérience (les molécules …) : le vocabulaire moral est-il adapté ? Le véritable problème est le réchauffement climatique. A cette grande échelle, il y a hubris + prolifération.  

– Une mathématicienne souligne les propos de Bernadette BV et insiste sur « penser multi-échelles ». C’est un problème de phénomènes non-linéaires ; tout dépend de tout avec des interactions inter-échelles.   – Jacques Bordais parle du choix des sujets de recherche ; de la recherche sur les causes ; il faut éviter une fuite en avant.  

– Un jeune parle de la science de la prévention  

– Conclusion par Dominique Pestre : ce colloque fut un grand plaisir, bien que son constat est que : tout est noir, le siècle est toxique ; la salle entière est hostile aux propositions d’Olivier Boucher. « Tout dépend des récits qu’on construit et qu’on donne. »  

Voici donc mon récit, que je vous donne ! Claire  

Je rajouterai qu’une question a été posée à Olivier Boucher sur ce que font des pays comme l’Inde ou la Chine. Il a répondu que pour la Chine on sait puisqu’ils ont fait pleuvoir à 100 kms de Pékin au moment des JO. D’autre part, Bernadette Bensaude-Vincent, outre se demander si on peut envisager des réponses humbles au changement climatique, a fait remarquer l’échec du politique depuis Rio et se demande si les solutions techniques sont plus « secure ». Et enfin, sa question pertinente : Quelle posture voulons-nous adopter face à la nature ?  

Personnellement, je n’ai pas été éblouie par Amy Dahan, elle a juste fait son boulot d’historienne des sciences en compilant tout ce qui a été fait depuis les années 40 et en citant les noms de tous ceux qui sont engagés dans les recherches sur la géoingénierie. Oui bien sûr, elle appelle un chat un chat et précise bien tous les programmes financés par les militaires, mais bon… pas de quoi se relever la nuit à mon sens.

Quant à Olivier Boucher, il a bien insisté sur les modèles, les expériences, rien de tout cela n’est mis en oeuvre. Lorsque Daniel Hofnung a fait remarquer que des quantités extrêmement élevées de baryum avaient été mesurées dans l’eau, il a répondu par l’étonnement, il n’était pas au courant. Sa conclusion : la géoingénierie est une petite partie des sciences du climat, elles se nourrissent l’une l’autre.  

Voilà ce que j’ai noté. Domi R



[1] Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l’homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
[2] Epistémologie : désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général.