Des documents du gouvernement américain relient le réchauffement climatique global aux techniques militaires de pointe de modification du climat.

Des documents de 1966 révèlent que la mission de modifier le climat est confiée aux militaires et aux agences fédérales.

Article original: chemtrailsplanet.net

Ci-dessous traduction des titres de l’article.
Une relecture de cette traduction et une traduction intégrale seraient fort bienvenues. Merci de votre contribution.

«La science du réchauffement climatique est établie », citation d’Al Gore .

– Plans présents et futurs des agences fédérales en matière de modification du climat.
– L’évolution d’un programme R&D (?) de modification du climat en système d’armement militaire. Une critique de 1986 sur les initiatives de 1966.

Réchauffer l’Arctique avec des projets de géoingéniérie à grande échelle est la vision des industriels depuis 100 ans et l’est toujours.

Vous souvenez-vous de l’époque où l’on pensait que réchauffer l’Arctique était une bonne idée ?
Vous souvenez-vous de l’époque où les scientifiques pensaient que réchauffer l’Arctique était une bonne idée ?

Si réchauffer l’Arctique est considéré comme bon pour le commerce depuis 100 ans, pourquoi la découverte que le dioxyde de carbone fait déjà le travail gratuitement a été soudain considérée comme une catastrophe à prévenir ?

Pourquoi un optimisme de plusieurs décades dans le réchauffement de l’Arctique a t-il soudainement fait place à une campagne de crainte et de menaces pour l’avenir à cause des conséquences du réchauffement de l’Arctique sous l’appellation « réchauffement global », est une question qui reste largement inexpliquée.

Depuis 1958 le Congrès et les militaires travaillent sur des systèmes de guerre climatique exotique qui comprennent la manipulation électromagnétique de la ionosphère.


Il est inacceptable que l’ONU et le GIEC (IPCC) continuent à promouvoir le CO2 comme cause du changement climatique mais refusent d’admettre que les militaires sont activement engagés dans les technologies d’armes de réchauffement climatique.

– Des documents de 1966 révèlent comment les militaires et les agences fédérales modifient le climat global.

En 1962, les efforts de la géoingéniérie pour réchauffer l’Arctique étaient encore un amusement mais en 1966 l’empêcher de se réchauffer d’un seul degré est devenu la première des priorités.

De cette inversion de conduite soudaine -entre promouvoir l’intervention sur le climat de l’Arctique et prévenir le réchauffement global- a résulté l’idée que les deux (le CO2 et les armes de réchauffement climatique) polluaient l’atmosphère ET devenaient une source de réchauffement global.

Les aérosols de la géoingéniérie réchauffent l’atmosphère et sont une source de réchauffement climatique.

Les propositions de géoingéniérie pour réchauffer l’Arctique sont remplacées par la peur du réchauffement climatique.

Au delà de « Être maîtres du temps en 2025 »

Le monde est en train de s’éveiller aux crimes d’état de réchauffement et catastrophes climatiques par la combinaison des armes électromagnétiques et des épandages d’aérosols.

postez ici votre message

Article du London Telegraph (16/11/2008)


« Le monde n’a jamais connu de chaleur aussi frigorifiante. »


(The world has never seen such freezing heat)
par Christopher Booker

Lien de l’article :
http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml

Cet article d’un journal anglais grand public remet en cause clairement la théorie du réchauffement climatique et la crédibilité du GIEC des Nations Unies (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

Traduction – résumé :

* L’institut NASA GISS (http://www.giss.nasa.gov) a rapporté que le mois dernier fut le mois d’octobre le plus chaud jamais enregistré, alors même que des chutes de neiges exceptionnelles sont signalées dans nombreuses régions du monde.

* Origine de l’erreur : des températures de Russie et d’ailleurs, parfois 10°C au dessus de la normale, ont été en réalité reprises des mois précédents.

* Pour compenser l’erreur, le GISS a ensuite déclaré avoir trouvé en Arctique des températures particulièrement hautes. Mais les images satellite montrent une glaciation de 30% supérieure à celle de l’année précédente. Le Giss a également admis s’être basé pour les relevés russes sur un organisme tiers dont il n’a pu vérifier la fiabilité.

* Le GISS, présidé par le Dr Hansen (principal allié scientifique d’Al Gore) est l’une des 4 autorités sur lesquelles se base le GIEC des Nations Unies (IPCC en anglais) pour justifier sa thèse du réchauffement climatique.
Le Dr Hansen est lui-même depuis 20 ans un des avocats les plus alarmistes de cette thèse et de ses conséquences.

* Pourtant la méthodologie et les statistiques du GISS sont remises en question par de nombreux sceptiques. Il fut en particulier forcé d’admettre que la décennie la plus chaude du 20e siècle était les années 30 et non les années 90 comme il le prétendait.

* Un des représentant du GIEC commençait il y a peu une conférence en Australie en montrant des températures mondiales augmentant « plus vite que jamais » alors qu’on sait maintenant qu’elle n’augmentent plus depuis quelques années et qu’elles ont baissé en 2007.

* Sur la base de telles preuves est-il sage pour les gouvernements du monde d’engager des mesures parmi les plus couteuses jamais proposées, pour remédier à un problème qui pourrait en réalité ne pas exister ?

Sources :
L’article : http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml
Le GISS : http://www.giss.nasa.gov
Le GIEC : http://www.ipcc.ch/languages/french.htm
Analystes sceptiques cités dans l’article :
http://wattsupwiththat.com/
http://www.climateaudit.org/

***

L’article original en anglais :

The world has never seen such freezing heat

By Christopher Booker
16/11/2008

A surreal scientific blunder last week raised a huge question mark about the temperature records that underpin the worldwide alarm over global warming. On Monday, Nasa’s Goddard Institute for Space Studies (GISS), which is run by Al Gore’s chief scientific ally, Dr James Hansen, and is one of four bodies responsible for monitoring global temperatures, announced that last month was the hottest October on record.

This was startling. Across the world there were reports of unseasonal snow and plummeting temperatures last month, from the American Great Plains to China, and from the Alps to New Zealand. China’s official news agency reported that Tibet had suffered its « worst snowstorm ever ». In the US, the National Oceanic and Atmospheric Administration registered 63 local snowfall records and 115 lowest-ever temperatures for the month, and ranked it as only the 70th-warmest October in 114 years.

So what explained the anomaly? GISS’s computerised temperature maps seemed to show readings across a large part of Russia had been up to 10 degrees higher than normal. But when expert readers of the two leading warming-sceptic blogs, Watts Up With That and Climate Audit, began detailed analysis of the GISS data they made an astonishing discovery. The reason for the freak figures was that scores of temperature records from Russia and elsewhere were not based on October readings at all. Figures from the previous month had simply been carried over and repeated two months running.

The error was so glaring that when it was reported on the two blogs – run by the US meteorologist Anthony Watts and Steve McIntyre, the Canadian computer analyst who won fame for his expert debunking of the notorious « hockey stick » graph – GISS began hastily revising its figures. This only made the confusion worse because, to compensate for the lowered temperatures in Russia, GISS claimed to have discovered a new « hotspot » in the Arctic – in a month when satellite images were showing Arctic sea-ice recovering so fast from its summer melt that three weeks ago it was 30 per cent more extensive than at the same time last year.

A GISS spokesman lamely explained that the reason for the error in the Russian figures was that they were obtained from another body, and that GISS did not have resources to exercise proper quality control over the data it was supplied with. This is an astonishing admission: the figures published by Dr Hansen’s institute are not only one of the four data sets that the UN’s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) relies on to promote its case for global warming, but they are the most widely quoted, since they consistently show higher temperatures than the others.

If there is one scientist more responsible than any other for the alarm over global warming it is Dr Hansen, who set the whole scare in train back in 1988 with his testimony to a US Senate committee chaired by Al Gore. Again and again, Dr Hansen has been to the fore in making extreme claims over the dangers of climate change. (He was recently in the news here for supporting the Greenpeace activists acquitted of criminally damaging a coal-fired power station in Kent, on the grounds that the harm done to the planet by a new power station would far outweigh any damage they had done themselves.)

Yet last week’s latest episode is far from the first time Dr Hansen’s methodology has been called in question. In 2007 he was forced by Mr Watts and Mr McIntyre to revise his published figures for US surface temperatures, to show that the hottest decade of the 20th century was not the 1990s, as he had claimed, but the 1930s.

Another of his close allies is Dr Rajendra Pachauri, chairman of the IPCC, who recently startled a university audience in Australia by claiming that global temperatures have recently been rising « very much faster » than ever, in front of a graph showing them rising sharply in the past decade. In fact, as many of his audience were aware, they have not been rising in recent years and since 2007 have dropped.

Dr Pachauri, a former railway engineer with no qualifications in climate science, may believe what Dr Hansen tells him. But whether, on the basis of such evidence, it is wise for the world’s governments to embark on some of the most costly economic measures ever proposed, to remedy a problem which may actually not exist, is a question which should give us all pause for thought.