LES ALTERNATIFS DU CLIMAT FRAPPENT EN ANGLETERRE

ET DECOUVRENT UNE FORTERESSE DE L’INTOXICATION CLIMATIQUE

Mardi 24 novembre 2009

Vous êtes ici : Accueil > Tech & Net

Climat : un laboratoire piraté à quelques jours du sommet de Copenhague

Par Guerric Poncet source LE POINT

Climat : un laboratoire piraté à quelques jours du sommet de Copenhague

L’unité de recherche sur le climat de l’université d’East Anglia a été victime d’un vol de données © University of East Anglia / CRU

Un groupe de hackers a piraté les serveurs d’un prestigieux laboratoire de recherche sur le climat. De nombreuses données ont été volées, dont des milliers d’emails échangés entre des spécialistes du monde entier entre 1996 et novembre 2009. Le tout a été mis en ligne sur un serveur russe. Le but est, semble-t-il, de discréditer le rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et de réclamer plus de transparence.Les pirates ont bien préparé leur coup. Ni la date ni la cible n’ont été choisies au hasard. Le vol est intervenu à quelques jours de l’ouverture du sommet de Copenhague sur le changement climatique, alors que le laboratoire visé, l’ unité de recherche sur le climat (CRU) de l’université britannique d’East Anglia , est l’un des principaux acteurs du rapport du GIEC. Les chercheurs dont les correspondances ont été dévoilées ont participé à la rédaction du rapport. L’université a confirmé que des informations avaient été dérobées, mais précise qu’elle ne sait pas si tout ce qui a été publié est authentique.

Au centre de la polémique, des échanges sortis de leur contexte alimentent les débats avec plus ou moins de mauvaise foi. Par exemple, une phrase écrite par un chercheur laisse supposer que des résultats ont été trafiqués à l’aide d’une « astuce » pour cacher une divergence de résultats sur un diagramme. La lecture de la conversation complète montre qu’il s’agissait simplement de décider d’une façon de présenter les travaux pour tenir compte d’un problème connu, lié à l’étude de la croissance de certains arbres. Les résultats utilisés par le GIEC dans son rapport sont ceux de la CRU de l’université d’East Anglia. Dans une interview accordée au point.fr , Valérie Masson-Delmotte, directrice de recherche au CEA (auquel le Laboratoire des sciences du climat et l’environnement est affilié) et coauteur du rapport du GIEC, explique que le laboratoire britannique « est un des deux grands connus pour leur expertise, avec celui de la Nasa ». Les chercheurs américains sont, selon elle, arrivés à des résultats « extrêmement voisins », « à cinq centièmes de degrés près », les données météorologiques exploitées étant les mêmes.»

Climate Gate: le système de ‘Peer Review’ a été détourné par les alarmistes du réchauffement

Mardi 24 Novembre 2009

Autres articles
Parmi les révélations les plus saisissantes directement liées au scandale du « Climate Gate », on retient les efforts menés par les scientifiques, adhérant par conviction ou par intérêt à la théorie du réchauffement global liée aux activités humaines, pour exclure les points de vue contraires dans les publications scientifiques importantes.Parmi les milliers d’emails et de documents ayant fuits la semaine dernière de l’Unité de Recherche Climatique à l’Université East Anglia, il y a plusieurs références à un calendrier mis en place pour stopper tout débat scientifique sur le réchauffement global.

Daté de 1996, les emails montrent que des scientifiques basés aux États-Unis et en Grande-Bretagne qualifient toute recherche offrant des points de vue alternatifs comme étant de la « désinformation », de « la fausse information » ou de la « merde » qui doit être gardée hors de portée du domaine public.

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=446&filename=1102687002.txt

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=1066&filename=1257532857.txt

Les emails comportent des discussions entre les scientifiques concernant leurs efforts pour s’assurer que les rapports du Panel Intergouvernemental de l’ONU sur le Changement Climatique incluent leur propre recherche et excluent les recherches des scientifiques dissidents.

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=419&filename=1089318616.txt

Dans un des emails, Phil Jones, directeur du Centre Climatologique d’East Anglia, rassure le climatologue Michael Mann de l’Université Penn State : « Nous les empêcherons d’entrer d’une façon ou d’une autre – même si nous devions pour cela redéfinir ce qu’est la « peer reviewed » littérature ! »

Peer Review littérature: dans les sujets scientifiques, chaque article est soumis à la critique d’un « peer » (un collègue) censé être expert en la matière, qui valide ou non la cohérence scientifique de l’article avant
parution)

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=419&filename=1089318616.txt

C’est une citation effrayante, étant donné que Jones et Mann, en tant que scientifiques du climat ont l’autorité de contrôler les publications et de déterminer si elles sont éligibles pour être publiées dans les journaux scientifiques.

Mann a même discuté sur la façon de détruire un journal qui avait publié des documents avec des vues contraires, indiquant à ses collègues qu’il a cru « que l’Edito du journal avait été hacké par quelques sceptiques » qui ont « manigancés un coup ».

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=295&filename=1047388489.txt

« Peut-être devrions-nous encourager nos collègues de la communauté de la recherche climatique à ne plus soumettre, ou citer d’articles de ce journal.
» a écrit Mann.

Dans d’autres emails, Tom Wigley, climatologue à l’Université Corporation pour la Recherche Atmosphérique (UCAR), a dit que le journal en question, « Climate Research », « encourage la publication de science de merde ‘afin de stimuler le débat’ ».

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=307&filename=1051190249.txt

Wigley a pris note que l’on devrait dire à l’éditeur de ce journal qu’il « est perçu » comme une véhicule de « fausse information », ajoutant que le mot « perçu » devrait être souligné car « que cela soit vrai ou pas, tout ce qui compte pour les éditeurs est la vision que porte la communauté sur leur journal. »

Wigley a également écrit qu’un groupe de 50 scientifiques ou plus pourrait être réunis pour joindre leurs noms à une lettre afin d’ajouter du poids à la réclamation et si tout va bien pour aider à évincer l’équipe éditoriale du journal.

D’autres emails montrent que certains scientifiques refusent de rendre leurs données disponibles aux scientifiques indépendants dont les vues sont opposées, preuve formelle que ces scientifiques sont tout simplement peu disposés à engager le débat scientifique – normalement un principe de base pour la communauté scientifique.

Le renommé climatologue, le Dr. Tim Ball résume les découvertes renversantes révélées par les fuites quant au processus de révision par les pairs et la publication de papiers sur le changement climatique dans les journaux :

http://www.youtube.com/watch?v=Ydo2Mwnwpac&feature=player_embedded

« Il y a un exemple typique du genre de chose qui m’ennuie. Il y a environ vingt ans, j’ai commencé à me demander ‘ Hé bien !!! pourquoi encouragent-ils le « peer review » ? ‘… Et maintenant, on réalise bien sûr maintenant que c’est parce qu’ils ont le contrôle de leur propre processus. Ceci est clairement exposé dans ces emails. »

« Sur une échelle globale, c’est effrayant, car ce groupe de personnes ne contrôle pas seulement le centre Hadley, qui contrôle les données sur la température globale à travers l’Unité de Recherches Climatologique de Hadley, mais ils contrôlent également l’IPCC et ils manipulent tout cela. Et bien sûr, l’IPCC est devenu la base dans tous les gouvernements, pour le protocole de Kyoto, le Traité de Copenhague etc etc…. »

Nous avons longtemps couvert le fait que le soi-disant « consensus scientifique » sur le réchauffement global est complètement fabriqué et qu’il y a des milliers de scientifiques qui ont des points de vue différents de ceux des théoriciens d’un réchauffement induit par l’homme.

En effet, depuis deux ans nous avons rapporté le fait qu’un sondage, sur plus de 500 « peer reviewed » publications de recherche scientifiques sur le changement climatique, écrites entre 2004 et 2007, a conclu que moins de la moitié de ces publications embrassent « la vue consensuelle, » que l’activité humaine est à l’origine d’un changement climatique global considérable.

http://infowars.net/articles/august2007/300807Warming.htm

Nous avons maintenant la preuve claire qu’un effort concerté a été fait par les scientifiques du climat liés à l’IPCC pour bloquer les opinions discordantes sur le changement climatique, indépendamment de leur mérite scientifique.

« C’est horrible, » a dit Pat Michaels, un climatologue au Cato Institute à Washington qui a été directement menacé de violence physique dans les emails. « C’est ce que tout le monde craignait. Au cours des précédentes années, il est devenu de plus en plus difficile pour quiconque qui ne voit pas le réchauffement global comme un problème majeur pour la survie de la terre, de publier des articles. Ce n’est pas une pratique acceptable, c’est non éthique. »

http://www.anelegantchaos.org/cru/emails.php?eid=1045&filename=1255100876.txt

John Christy, un scientifique à l’Université de l’Alabama à Huntsville, attaqué dans les emails pour avoir demandé qu’un rapport de l’IPCC incluent des points de vue discordants, a déclaré, « il est déconcertant de réaliser que les mesures législatives que cette nation se prépare à prendre, et qui coûteront des milliers de milliards de dollars, sont basées sur une vision du climat qui n’a pas été complètement scientifiquement testée. »

lette ouverte: Pascal HUSTING de GREENPEACE et Corinne LEPAGE de CAP 21 deux styles de reponse


V

GREENPEACE : QUEL AVENIR POUR LES ECOLOS?

FORUM du NOUVEL OBSERVATEUR du 06-08-09

Avec Pascal Husting, Qu’espérer du résultat des verts aux dernières élections ? Cette nouvelle tendance écologique va-t-elle durer? Pascal Husting, directeur général de Greenpeace France, esquisse une suite possible à ces élections.

Question de : internaute

Que pensez-vous des longues trainées blanches qui persistent et qui confluent, laissées par les avions dans le ciel : s’agit-il d’une procédure anti-réchauffement par confection d’un voile de particules cherchant à masquer le soleil ?
Merci

Réponse : Je ne suis pas au courant d’une telle procédure.

Question de : Votre pseudo

Mr Husting ; Greenpeace mene une campagne sur le climat tres affirmée. En revanche pas un mot des epandages aeriens reguliers qui obscurcissent le ciel ‘detraquent la meteo’ et posent un probleme d’environnement et de sante publique par les substances utilisées
Que pensez vous de ce sujet ?
Pourquoi le mutisme de Greenpeace France à ce sujet est il l’egal de celui des autorités?

Réponse : Greenpeace a fait le choix de concentrer ses efforts sur un certain nombre de problématiques et de ne pas lâcher prise avant d’avoir gagné. Nos priorités actuelles et pour les années à venir sont la lutte contre les changements climatiques et pour la préservation de la biodiversité.

Mr Pascal HUSTING avait bien reçu notre courrier quand il a commis ces reponses. En consequence sa premiere reponse frise le mensonge quand à la seconde c’est un beau bottage en touche .Force est de constater que GREENPEACE se derobe à ses respnsabilités dans le domaine des manipulations climatiques . Nous avons de la sympathie pour Greenpeace mais puisqu’il en est ainsi nous nous gardons la possibilité de jouer les troubles fêtes comme Greenpeace sait le faire avec les autorités!!

En revanche on trouve dans la premiere reponse à notre lettre ouverte qui est celle de Mme Corinne LEPAGE une attitude plus responsable et ouverte……Elle ne nie pas les epandages et s’inquiete de la nature des particules epandues; on sens de la sincerite dans sa demarche d’investigation et pour peu que des preuves physiques soient produites il est probable qu’elle prendrait positiion d’une façon claire.

Nous attendons encore toutes les autres reponses des associations contactées….

ET VOILA CE QUE DIT NOTRE AMI KEMTREL QUI A EGALEMENT PRIS PART AU DEBAT

Les traînées blanches dans notre ciel : GREENPEACE France esquive la question

Le 6 juillet 2009, sur le forum du Nouvel Obs, Pacal Husting, Directeur de Greenpeace France, a été interrogé à deux reprises sur les traînées blanches persistantes laissées par les avions et qui strient en tout sens notre ciel bleu.

Mr Husting a esquivé les deux questions.

« Je ne suis pas au courant d’une telle procédure » dit-il…

C’est inexact : Mr Husting a été parfaitement contacté par courriel, par courrier et téléphoniquement, à plusieurs reprises, sur le sujet !

Greenpeace France fait la sourde oreille alors qu’il dit s’attaquer aux enjeux de la mutation climatique : pourquoi Greenpeace France ne se poserait-il pas la question de savoir s’il existe ou non une relation entre cette mutation du climat et les épandages aériens ?

Mr Husting, ces nouveaux nuages qui apparaissent, ce voile de poudre qui masque le soleil… n’est-ce pas aussi le climat ?

Vous dites que vous avez « fait des choix » … mais le choix, ce n’est pas à Greenpeace de le faire… c’est à l’urgence de la situation !

Si vous vous promenez au bord d’une rivière et que vous voyez quelqu’un se noyer et appeler à l’aide, allez-vous demander une ligne de crédit ou une réunion de votre conseil d’administration avant d’agir ?

Non, vous plongez et d’autant plus vite que vous êtes un ardent défenseur de la vie sur cette planète !

A l’évidence, vous feignez de ne pas connaître le sujet : Mr Husting, dites à l’opinion publique française si vous avez reçu des consignes de silence.

Madame Corinne Lepage, elle, a pris ses reponsabilités.